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Un cinéma particulier

Chapitre 1

Mon premier Glory Hole

Gay
Note de l’auteur : cette histoire est entièrement véridique. J’ai choisi de vous raconter les faits tels qu’ils se sont produits, sans rien romancer. J’espère que vous trouverez cette histoire intéressante.
J’ai pour ainsi dire toujours été un garçon curieux. Surtout en ce qui concerne les plaisirs de la chair. C’est vrai : sur les dix fantasmes les plus courants chez les hommes, selon les statistiques, je les ai presque tous réalisés (ce qui, si j’avais la motivation de le faire, pourrait finir en récit ici, mais j’ai la flemme et, vu que ces histoires remontent à, potentiellement, plusieurs années, je ne me souviens pas forcément de tous les détails).
Au-delà des fantasmes classiques tels que coucher avec deux femmes, avec une actrice porno ou le fantasme d’être attaché, j’en avais également d’autres que j’ai pu réaliser (comme, par exemple, coucher avec une femme trans, avec une femme ayant le double de mon âge, avec une mère et sa fille… et j’en passe et des meilleures).
Ces derniers mois, cependant, un nouveau fantasme grandissait en moi, de façon très forte : le fantasme du glory-hole.
Cette envie a commencé pendant que je regardais des vidéos de « Sissy Hypno ». Je ne suis pas moi-même du genre Sissy, mais je trouve ces vidéos plutôt stimulantes. En ce qui me concerne, je suis un jeune homme de trente-deux membres ans, gynosexuel (c’est-à-dire que je suis attiré par la féminité avant-tout, que ça soit une femme cis-genre, une femme trans ou un travesti). Mais ces vidéos m’ont donné des envies d’avoir des rapports avec d’autres hommes, même si je ne suis pas attiré par eux. L’option du glory-hole était donc intéressante pour moi, étant donné que je ne voyais pas l’autre et, de ce fait, pouvais imaginer qui je voulais. Le pouvoir de l’imagination est, pour moi, extrêmement fort.
Après avoir regardé de nombreuses vidéos sur le sujet, j’étais encore plus curieux des sensations éprouvées dans un endroit de ce genre. J’ai donc, tout naturellement, lu diverses histoires sur le sujet, mais tout cela n’a pas calmé mes ardeurs. Bien au contraire.
Alors ce qui devait finir par arriver arriva. J’ai cherché une adresse pas trop loin de chez moi et, contre toute attente, j’ai trouvé un cinéma X qui possédait des cabines avec ces fameux « trous de la gloire ».
Ni une ni deux, je m’y suis rendu à la première occasion. Au début un peu gêné, j’ai payé mon entrée les mains légèrement tremblantes et suis passé du côté des cabines. J’ai commencé par faire le tour du propriétaire : une quinzaine de cabines, séparées par des cloisons en contreplaqué, diffusaient divers films pornos de tous genres. Des chaises rembourrées, des corbeilles et des rouleaux de papier toilette composaient l’équipement des différentes cabines. On trouvait les trous destinés aux interactions anonymes que dans certaines cabines, pas dans toutes. Plusieurs hommes de tous âges déambulaient et regardaient les films d’un œil distrait. J’ai assez vite compris qu’ils n’attendaient qu’une chose : qu’une cabine avec glory hole trouve un occupant pour pouvoir investir la seconde.
Dans la deuxième partie du cinéma, une cabine légèrement plus grande proposait des films gays et une dernière salle, la plus grande, équipée d’un salon complet, proposait des films trans.
J’ai fini par choisir une cabine avec un trou. J’ai fermé la porte et tiré le loquet. Je dois avouer que je ne me souviens pas particulièrement du film qui y était diffusé. Assez vite, j’ai entendu que quelqu’un entrait dans la cabine d’à côté. Peu de temps après, j’ai vu qu’un œil observait ce qui se passait de mon côté et un doigt me fit un petit signe invitant.
Je n’ai pas hésité très longtemps avant de faire passer mon engin déjà mi-dur par le trou. Une main a commencé à me caresser, ce qui me fit déjà réagir. Puis j’ai senti une langue qui glissait délicatement sur mon gland. L’inconnu a alors gobé ce gland et a commencé à me titiller avec sa bouche. C’était chaud et accueillant. Ce traitement a fini par me faire durcir en bonne et due forme. L’homme s’est attelé à me sucer avec beaucoup de douceur. Sa main est venue rencontrer mes testicules et me les caresser. J’ai alors laissé échapper un gémissement, ce qui eut pour effet qu’il s’active sur mon membre et me suce plus rapidement. Il changea de position pour pouvoir me prendre sur toute ma longueur. J’étais en train de me faire sucer par un homme que je ne connaissais pas et dont je n’avais jamais vu le visage. Et je prenais mon pied, ce que mes gémissements prouvaient. Visiblement, lui aussi prenait beaucoup de plaisir, car il ne m’a pas relâché tant que je n’avais pas déchargé au fond de sa gorge.
Quand j’ai senti que mon orgasme approchait, c’était tellement bon et intense que j’ai dû m’accrocher à la paroi qui nous séparait. Mes gémissements se sont transformés en râles. Sa main, qui caressait toujours mes testicules, les a quittés pour venir accompagner sa bouche sur mon sexe pour finir en apothéose.
J’ai éjaculé une quantité abondante de sperme dans sa bouche, alors qu’il continuait de me sucer avidement. Finalement, il m’a libéré de son étreinte buccale et j’ai vu sa main passer par le trou pour me gratifier d’un pouce en l’air, m’indiquant qu’il avait apprécié ce moment. Je lui répondis par le même geste et je l’ai entendu quitter sa cabine. J’ai préféré ne pas sortir directement, afin de ne pas croiser mon bienfaiteur et garder ce mystère que je trouvais excitant.
Je me suis essuyé avec un peu de papier toilette, ai remballé mes affaires, suis sorti de ma cabine et suis rentré chez moi, sachant que ça ne serait pas ma dernière visite de ce cinéma.
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