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Un cinéma particulier

Chapitre 2

Gay
En sortant du cinéma X où je venais de vivre ma première expérience de Glory Hole, je savais déjà que j’y retournerais. L’occasion se présenta trois semaines plus tard.
Durant ces trois semaines, d’autres envies m’avaient envahi. Notamment celle de faire ce qu’on m’avait fait. J’avais terriblement envie de sucer une autre bite. Pourtant, ne me considérant pas comme gay (pour rappel, je suis gynosexuel), je ne suis pas attiré par les hommes cis. Mais cette idée d’en sucer un de manière anonyme me tenaillait et en même temps, elle me dégoûtait. Finalement, l’envie a été plus forte que le dégoût et j’ai fini par me dire que, vu que je ne voyais pas le visage de l’autre, je pouvais imaginer qui je voulais. Et je n’allais rien faire d’autre que ce que j’avais déjà fait avec des femmes trans ou des travestis. Alors j’y suis retourné.
La nuit précédente, l’excitation qui m’envahissait m’empêcha de dormir. Alors pour passer le temps, j’ai commencé à lire d’autres histoires de glory holes (ici même) et à me masturber. Depuis toujours, sauf quand je suis avec une femme dans mon lit, au moment où j’éjacule, c’est comme si ma raison reprenait le contrôle et me disait « non mais t’as vu ce que tu viens de faire, gros dégueulasse ? » et ça me dégoûtait, raison pour laquelle j’étais reparti aussi vite après cette première pipe au glory hole. Cette nuit, donc, je me suis interdit de me branler jusqu’au bout. Ce edging devait, de un, décupler mon excitation, de deux invalider mon dégoût. Autant vous dire que le lendemain matin, après avoir passé la moitié de la nuit à me procurer ce traitement, j’avais besoin d’une bite dans ma bouche (au moins une), voire d’une dans mon cul.
J’ai pris avec moi une boîte de préservatifs, au cas où mes envies auraient évolué, un tube de lubrifiant et de quoi me nettoyer un peu mieux que juste avec du papier toilette de basse qualité.
Après avoir payé mon entrée, j’ai d’abord refait un petit tour des lieux. Je ne souhaitais pas être vu en entrant dans l’une des cabines, j’ai sorti les affaires nécessaires et j’ai commencé à attendre, déjà à genoux près de l’ouverture, tout en regardant d’un œil distrait le film qui passait (un film trans, parfait pour moi). Je n’ai pas eu besoin d’attendre très longtemps. Au bout d’environ deux minutes, j’ai entendu du bruit dans la cabine d’à côté et le verrou s’y fermer. J’ai positionné ma bouche face au trou et quelques instants plus tard, un braquemart imposant se dressait face à moi. Quelle taille. Il devait faire pas loin de vingt centimètres de long, circoncis, avec une belle veine qui se dessinait sur le dessus. De plus, le propriétaire de ladite bite devait l’avoir bien nettoyée avant d’arriver. Elle sentait bon. Très vite, ma main a commencé à jouer avec et j’ai déposé un petit baiser sur le gland. Puis c’est ma langue qui est passée sur ce gland. J’ai joué un petit peu avec cette magnifique cerise, faisant tourner ma langue autour, sans oublier de bien insister sur le frein, une chose que j’ai toujours adorée qu’on me fasse. Puis j’ai gobé ce bout et l’ai suçoté un petit moment.
J’ai commencé à accélérer la cadence un tout petit peu. Je voulais prendre mon temps, tout en lui donnant autant de plaisir que possible. Soudain, il retira sa bite du trou et sortit dans le couloir pour toquer discrètement à la porte de la cabine où je me trouvais. N’ayant aucune envie de voir son visage, je lui ai indiqué préférer continuer comme on avait commencé. Il est donc retourné dans sa cabine et m’a représenté son bâton de plaisir, sur lequel je me suis précipité comme la misère sur le bas-peuple. Je l’ai sucé goulûment. Que cette bite était bonne. Je n’aurais jamais penser goûter une bite aussi bonne dans un tel endroit. J’ai tenté de le prendre en gorge profonde du mieux possible, tirant la langue tout en continuant mes va-et-vient.
Je l’entendais gémir de l’autre côté de la porte. Ces gémissements m’excitèrent davantage. Je m’appliquai à le pomper comme j’aime être pompé. Ses gémissements devinrent plus intenses et plus rapprochés. Je sentais qu’il ne lui faudrait plus très longtemps avant de venir.
Au bout de quelques instants, je l’ai senti décharger sa semence au fond de ma gorge. Je n’ai pas ralenti mon rythme pour autant. Il avait un goût très légèrement amer, mais pas désagréable. J’ai fait tourner ce nectar quelques instants avant de le faire couler le long de ma gorge. De l’autre côté de la paroi, l’inconnu s’est rhabillé et est sorti.
Pas encore satisfait, je suis resté où j’étais. Peu de temps après, une autre personne entra dans la cabine voisine. Je lui présentai ma bouche et sa bite ne se fit pas attendre. Elle était plus fine et plus petite que la précédente, mais elle sentait bon. Elle devait mesurer environ quinze centimètres. Là, j’ai choisi de moins tourner autour du pot et je l’ai directement prise au fond de ma gorge. J’ai entendu l’homme s’exclamer d’un « oh putain ! » de plaisir et de surprise. Je trouvai ça gratifiant. Au bout de quelques trop courts instants, il a retiré son membre du trou, mais pour pouvoir y faire également passer ses testicules. Je compris très vite ce qu’il désirait et j’ai donc laissé glisser ma langue sur celles-ci un moment. J’en profitai pour humer son pénis tendu, qui reposait sur mon nez. Cette odeur virile et parfumée me plaisait au plus haut point.
Je le repris en bouche un moment, me concentrant au maximum sur son plaisir. Avant qu’il ne termine, il se retira soudainement et se pencha pour me proposer d’inverser les rôles. Par peur de mon habituel dégoût post-jouissance, je refusai en lui faisant signe du doigt. Il n’insista pas et reprit place bien au chaud dans ma bouche. Alors que j’allais lui proposer de mettre son bâton de chair ailleurs qu’au fond de ma gorge, je l’entendis râler « putain c’est boooon », puis je sentis un liquide chaud envahir mes amygdales. Celui-ci était encore meilleur que le premier, moins amer et je pris encore plus de plaisir à l’avaler. Ce deuxième inconnu s’en alla sans plus de cérémonie, me laissant à nouveau seul dans ma cabine.
A ce moment-là, je me suis dit que le prochain qui viendrait, après l’avoir sucé un instant, je l’équiperais d’un préservatif et lui offrirais de passer par ailleurs. Je préparai donc une capote et m’enduis déjà la rondelle de lubrifiant.
Ma solitude n’a pas duré très longtemps. Un troisième homme entra dans la cabine d’à côté. Il me présenta son engin et, à ce moment-là, voyant la taille de la chose, j’ai pensé qu’il ne bandait pas encore et que j’aurais le plaisir de le sentir gonfler dans ma bouche. J’ai eu beau le sucer du mieux que je pouvais, il avait beau durcir, son pénis ne grandissait pas plus. Seul le gland dépassait de son entrejambe. Il ne devait mesurer qu’environ cinq petits centimètres. Et encore, je suis généreux. C’est là où j’ai finalement compris à quel point la taille compte quand même un peu. Vu son micropénis, je n’ai pas eu envie de lui offrir plus que la pipe que je lui taillais. De plus, il ne mît pas long à vider les quatre gouttes que son petit ver pouvait contenir.
J’attendis le suivant. J’étais, à ce moment-là, dans la dynamique « je les enchaîne ».
J’ai attendu un long moment, personne d’autre ne prit place dans cette seconde cabine. Au bout d’une demi-heure, frustré, je suis sorti et ai refait un tour du cinéma. Il n’y restait plus que des vieux qui devaient avoir entre soixante-cinq et quatre-vingts ans. L’idée d’en sucer un, voire plus, me rebuta. J’ai donc décidé de repartir, m’en voulant de ne pas avoir offert mon cul au deuxième, dont les dimensions auraient été parfaites pour moi.
Ça sera pour la prochaine fois.
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