Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 17 J'aime
  • 2 Commentaires

le cinéma porno

Chapitre 6

Gay
Ce chapitre se situe en fait entre "le cinéma porno 2 et 3". Une erreur de frappe est à l’origine de ce décalage.
Une fin d’après midi de la semaine, je décide d’aller au cinéma porno pour me faire enculer par quelques mecs. Je me prépare comme d’habitude et emmène avec moi mon matériel. Je suis habillé léger car il fait assez chaud. J’arrive à la caisse, c’est la caissière, elle me reconnait et me fait un beau sourire. Quand j’arrive à la caisse, elle s bouge de manière à me montrer toutes ses jambes. Elle est habillée tout en blanc, corsage assez transparent qui laisse voir un soutient gorge blanc, jupe blanche ample et courte. Je remarque un string blanc en haut de ses cuisses.— Bonjour, vous allez bien?— Très bien, une place s’il vous plait.— J’ai discuté avec mon collègue, et il m’a dit ce que vous aviez convenus. Je pense que vous devriez le faire tout le temps, quelle que soit la personne à la caisse.— Si je comprend bien, vous me demandez de me déshabiller ici, dans le hall, devant vous, avant d’entrer?— C’est bien ce que vous aviez convenu non?— Exactement.Je pose mon sac sur la banque de la caisse, dégrafe ma chemise, l’enlève et la pose sur la caisse. Je défait le bouton de mon short, le déboutonne et le laisse tomber à terre. Je m’en empare et le pose sur la caisse. Je suis nu dans l’entrée du cinéma, j’ai un pincement au coeur d’excitation, j’aime cette sensation de danger quand je suis à poil et que je m’expose. Je souhaite que quelqu’un franchisse la porte du cinéma, mais rien ne se passe et je récupère mon sac pour entrer dans la salle. J’entre par la porte gauche, celle qui grince et prévient des nouveaux entrant. Il n’y a que deux personnes au rez de chaussée, je monte donc au balcon. Là, il y a au moins une dizaine de personnes. Tous les regards se tournent vers moi, je passe en bas du balcon pour que tout le monde voit bien que je suis à poil. Je m’installe sur un siège au bord de l’allée centrale au deuxième rang et commence à me masturber. je bande assez vite. Comme il n’y a personne devant moi, je met une jambe par dessus le dossier devant moi. Je suis jambes écartées et je me branle doucement pour faire durer le plaisir le plus longtemps possible et surtout attirer quelqu’un. Comme personne me m’approche, je sort de mon sac un gode pas trop gros, je lubrifie mon cul, en-capote de gode et le présente devant ma rondelle. Une main vient me bloquer, s’empare de mon gode et le positionne sur mon fion. Le gode s’enfonce doucement, il n’est pas trop gros, 4 cm de diamètre, mais il est assez long, 28 cm . La main fait faire des va et vient au gode dans mon cul, le rythme est lent au début et s’accélère petit à petit pour devenir, au bout de quelques minutes, très rapide. L’amplitude de la pénétration augmente avec le rythme pour finir sur toute la longueur du gode. Je le sent tout au fond de moi. Je sent petit à petit mon corps se détendre, puis une onde partir de la plante des pieds pour monter le long de mes jambes, atteindre mon ventre, monter vers mon coeur et terminer dans mon cerveau qui ne pense plus mais commande une violente jouissance. Je donne des coups de rein pour enfoncer le plus possible ce gade dans mon cul, j’attrape le poignet pour maintenir le rythme.— Vas y putain, c’est le pied, je joui. Je joui sur mon ventre par de longs jet de sperme. Une langue vient me lécher le ventre. Je me retourne et je vois un homme accroupie entrain de me lécher pour récupérer tout mon jus, et un autre, debout à côté, entrain de se masturber. Sa bite est à quelques centimètres de ma bouche, je m’avance, il vient vers moi et je gobe sa bite. Ce n’est pas un mandrin gigantesque, mais elle est très dure. Il joui en quelques secondes, ce qui me surprend un peu et je laisse s’échapper quelques gouttes de sperme. L’homme qui me léchait veut récupérer ce liquide sur mon menton mais je le repousse, je ne supporte pas de me faire embrasser ou lécher par un mec, j’aime me faire mettre dans le cul sous toutes les formes possibles, faire une fellation, mais c’est tout. J’aime les hommes pour leur bite, c’est tout, le reste ne me plait pas du tout.
Je récupère mon gode, enlève la capote et le range. Comme toujours, ou presque, après avoir joui, j’ai envie d’aller pisser. Je me lève et me dirige vers les escaliers. Un homme se met devant moi et m’arrête.— Tu ne vas pas partir comme ça juste après nous avoir excité. J’ai envie de ton cul.— D’abord, je donne mon cul à qui je veux, et, tel que c’est parti, je ne pense pas que tu vas en profiter. J’ai envie de pisser et je vais pisser.L’homme n’a pas l’air de vouloir me laisser passer quand deux autres arrivent et l’un d’eux lui dit.— Dégage mec, ici personne ne dicte sa loi. Ou tu acceptes ça ou tu te tires.Ils le tire de côté pour que je puisse passer. Je m’engage dans l’escalier et ils me suivent. Je traverse le hall d’entrée nu comme un ver. La caissière me voit et me sourit, elle me fait un clin d’oeil. Je descend aux toilettes, suivi des deux hommes. — Ne t’en fait pas, on te suit car on ne sait pas si le mec a bien compris et ne va pas venir te faire chier. Je pisse et les deux mecs sortent eux aussi leur sexe pour pisser. l’un d’entre eux est super bien monté, mais aucun des deux ne fait quoi que se soit vers moi. L’homme qui m’avait arrêté arrive.— Excuses moi, mais j’étais excité et j’ai cru que tu partais. Je ne te voulais pas de mal. Excuse moi encore.Il prend le place d’un des deux mecs qui partent et sort de son pantalon un énorme engin, plus ou moins bandé. Je regarde ce truc et je me dit qu’il me le faut dans le cul. Il n’a pas envie de pisser, il est juste venu me faire voir son membre pour m’allécher. Et bien, c’est réussi. Je tend la main vers son sexe et m’en empare. Je peux à peine refermer mes doigts alors qu’il n’est pas encore dans sa pleine forme. Ce super engin se redresse doucement pour prendre des proportions assez impressionnantes. Je me penche pour le prendre en bouche, mais il est trop gros pour ma petite bouche, je ne réussi qu’a lui sucer le gland. Je sort de mon sac un préservatif que je lui met non sans mal. Je me lubrifie le cul et me retourne. Il pose ses mains sur mes hanches et m’attire à lui doucement. Son membre entre en contacte avec mon fion, je reçois la décharge électrique traditionnelle dans tout mon corps, mais celle là est particulièrement intense. Je sent mon sphincter se dilater lentement, son gland a franchi la première porte, il pénètre maintenant dans mon tunnel, je sent mes chairs s’écarter pour lui laisser le passage. Cette sensation me met dans tous mes états, je pousse mon cul vers ce braquemart pour le sentir encore plus au fond de moi. Enfin, je sent ses couilles sur mes fesses. Il est a fond, et il commence ses va et vient, d’abord tout doucement et sur une petite longueur, ensuite de plus en plus vite et de plus en plus profond.Cet homme est d’une grande douceur, il s’occupe de mon cul en scrutant mes réactions pour ne pas me faire mal. Ca ne correspond pas du tout avec la première impression qu’il m’a donné.— Ca va? je ne te fais pas mal.
— Non, continus.— Je suis impressionné, car d’habitude je ne peux pas m’enfoncer comme ça, les mecs refusent souvent d’aller jusqu’au bout. Toi, tu ne dis rien, mais en plus je sent ton cul bien se dilater comme si il avait l’habitude de sexe comme le mien.— Le fait est que je m’entraîne tous les jours en me mettant un gode dans le cul. J’en ai un gonflable jusqu’à 10 cm de diamètre, et je suis souvent dans les 9 cm.— Putain, je viens, je vais joui en toi, vas y, joui aussi.Je sent son sexe se gonfler encore plus, ses spasmes se répercutent en moi au travers de ma rondelle et je joui aussi, mais je suis déçu, ce n’est pas ce que j’attendais de cet énorme sexe, l’intensité n’y est pas, c’est une bonne jouissance mais sans plus. Nous reprenons nos esprits, il rentre son mandrin dans son pantalon, me caresse les fesses.— Merci, c’était super, j’espère qu’on se reverra.— salut et merci, peut être à bientôt.Je remonte une minute après lui, la caissière me fait signe de venir vers elle. Je m’approche et je constate qu’elle a les jambes ouvertes, la jupe remontée, elle n’a plus de string et je vois sa chatte épilée assez brillante.— Tu m’excites tu sais?— J’avoue que tu ne me laisse pas indifférent.— Tu reste jusqu’à la fin?— Oui, si tu veux.— Bien sûre que je veux, tiens, prend les clefs de la petite pièce.Elle se penche sur le côté pour saisir la clef dans un tiroir, je vois sa fesse gauche et je tend la main pour la poser dessus. Elle s’immobilise un instant pour me laisser le temps de la caresser un peu. C’est à ce moment que la porte d’entrée du cinéma s’ouvre. Un homme entre, reste une seconde immobile en me voyant nu, tout en tenant la porte ouverte. Toutes les personnes passant dans la rue peuvent me voir. Cette sensation me fait bander. L’homme relâche la porte qui se referme doucement. Personne ne m’a vu, dommage. La caissière se redresse et me tend la clef.— A tout à l’heure.Je me dirige vers la salle doucement. L’homme paye rapidement et m’emboîte le pas, j’ouvre la porte gauche de la salle et attend que l’homme entre. En passant il me touche la bite et me sourie. Je me dirige vers la petite pièce, l’ouvre, allume les lumière douces. L’homme me suit. Je m’allonge sur le divan sur le ventre et je pose mon sac à côté de moi. L’homme referme la porte derrière moi et vient s’asseoir sur le divan. Deux mains se posent sur mes fesses, les caresse, remontent sur mon dos et redescendent sur mes fesses. Elles les écarte et je sent un liquide sur mon fion. Il a craché dessus pour le lubrifier. Un doigt entre, suivi d’un second puis un troisième.Je prend mon sac, en sort la gel lubrifiant et un gant en latex fin. Je tend le tout à l’homme qui comprend, met le gant, et me lubrifie abondamment le cul en entrant des doigts dedans pour bien lubrifier l’intérieur. Il lubrifie le gant et positionne ses doigts en pointe sur mon sphincter. Il pousse et mon fion se dilate pour lui laisser le passage. Je sent ses phalanges entrer une à une en élargissant le passage. Arrive la paume de la main, le diamètre maximum. Il s’arrête, fait durer le plaisir, mon cul palpite, je veux sa main dans mon cul et je donne un coup de rein en arrière. Il a anticipé et recule sa main.— Doucement, ça va venir, profite du moment, après tu vas regretter ce moment intense. Il tourne de droite à gauche sa main, je fond, je sent mon cul au bord de l’explosion. Tout à coup, il s’enfonce et me pistonne à toute vitesse. Je lève mes fesses en écartant les jambes, je veux qu’il s’enfonce le plus possible. Il va jusqu’au deux tiers de son avant bras. Sa main s’ouvre et se referme dans mon fion, il bouge le poignet dans tous les sens, je ne me contrôle plus, mon corps s’abandonne à cette main qui me taraude le cul. Je ne suis plus qu’un cul, un fion, un trou qui dirige mon être, mes sensations, mon corps.Mon ventre se noue, mon coeur accélère, mon cul me brûle, je joui comme rarement j’ai joui, mon corps est secoué par de violent spasmes, j’ai de la peine à respirer tellement la décharge est violente. Je sent des gouttes me tomber sur le dos. Je pense que c’est lui qui s’est masturbé en me fistant. Il ralenti son pistonnage, se retire doucement. Paradoxalement, mon sphincter ne veut pas le laisser passer et c’est un peu douloureux mais très supportable. Quand mon cul est libre, je sent une langue qui vient le lécher. Elle entre dedans sans résistance, et mon cul se referme sur elle. Cette langue sur mon fion me fait beaucoup de bien.— Ne bouges pas, on s’occupe de tout.Je sent plusieurs mains qui m’essuient le dos. Il est en fait couvert de sperme. Je réalise que nous ne sommes pas que tous les deux.Cette langue sur mon cul, ce ne peut pas être mon fisteur, puisqu’il est devant moi, je vois ses jambes. Je me retourne et je vois six hommes, la bite à l’air, un essuie tout à la main.— Tu peux être tranquille, tu n’as plus de trace de sperme sur le dos.— Merci les mecs, mais j’ai besoin de me reposer.Tout le monde sort me laissant seul sur le divan. Je me lève pour aller pisser. En remontant des toilettes, la caissière me fait signe de venir vers elle. Quand je suis à côté d’elle je constate ce qu’elle voulait me faire voir. Elle a enlevé son soutient gorge et je peux voir distinctement sous le léger tissus de son corsage, une magnifique paire de seins bien droits et pointant orgueilleusement vers moi. — Ou là là, ça ce sont de magnifiques seins.— Merci, mais c’est pour tout à l’heure. Récupères bien.Je retourne dans la salle, il est maintenant vingt trois heures, le cinéma est vide et je m’allonge sur le divan sur le côté pour m’assoupir.— Alors, on s’est bien amusé?C’est la caissière qui est debout en face de moi. Elle est entièrement nue. Elle est vraiment très belle. Elle s’assoie sur le bord du divan.— J’ai tout fermé, mais nous avons tout juste une grosse demi-heure avant le passage des gardiens.Elle se penche sur moi, me met sur le dos et me gobe la bite. Je bande en un rien de temps, elle a de l’expérience. Elle se positionne en 69 et je m’empare de son sexe. Son odeur est envoûtante, mi acide, mi sucré, je sent le parfum qu’elle s’est mis sur le pubis. Ma langue parcourt ses lèvres, grandes et petites, et arrive à son clitoris. Elle se raidi.— Oui, j’aime, met moi un doigt dans le fion.Je mouille mon index et lui plante dans le cul. Elle donne des coups de reins pour s’enfoncer plus. Je réussi à attraper mon sac, en sort un gode, le lubrifie et le présente sur sa rondelle.— Oui, vas y, je n’attend que ça.Je pousse et lui enfonce le gode dans le cul. Je suis étonné du peu de résistance rencontrée. Elle a l’habitude de se faire enculer.— Oui, vas y, encore. Elle me pompe toujours le dard et je sent qu’elle ne va pas tarder à jouir.— OOOHHHH OOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIElle se cabre, envoie son cul dans les airs et me mord la bite.— Oh là doucement, tu me fait mal.Elle relâche la pression de ses dents sur ma bite.— OOOOOOHHHHHHHHH oui encore, encore, plus gros, j’en veux une plus grosse. J’accélère le mouvement de va et vient.Elle s’écroule sur moi, la tête sur mon entre jambe. Je n’ai pas joui, elle m’embrasse la bite sur sa morsure.— Excuses moi, mais c’est la première fois qu’une telle chose m’arrive.— Tu es toute excusée. Mais dit moi, tu veux vraiment du plus gros dans ton cul.— Dans mon cul en même temps que tu me baisera.— Te baiser, je ne peux pas puisque je débande dès que je met une capote, par contre, je peux te mettre quelque chose dans les deux tous en même temps.— Dommage pour ta bite, j’aime avoir une vraie bite dans ma moule ou mon cul. Va pour la double gode.Je sort mon gode gonflable et le plus gros après. Il fait tout de même sic centimètres de diamètre et vingt cinq de long.— Houa, ça c’est du gode.— Ok, tu veux être prise comment?— Allongée sur le dos. Ne bouge pas je reviens.Elle sort de la salle pendant que je prépare les godes, je gonfle le gonflable à six centimètres, l’encapuchonne d’un préservatif ainsi que le second et je les lubrifie. La caissière revient avec deux coussins. Elle les pose sur le divan et se couche dessus sur le dos. Elle écarte au maximum ses cuisses en repliant ses jambes. Son sexe et son anus sont offerts et bien dégagés. Je lui lubrifie bien le cul. Je présente les deux godes en même temps devant les deux trous. Le gonflable sur le sexe, l’autre sur le fion. Je pousse doucement sur les deux en même temps. Ses orifices s’ouvrent, je vois son fion se dilater très facilement.— Oui, vas y, je les sent bien s’enfoncer en moi.J’arrive au bout avec le gode gonflable. Elle s’en saisie pendant que je fini la pénétration de son cul avec l’autre. Les deux godes sont à fond, je commence à gonfler un peu le gode dans son sexe. Elle se branle dessus en lui faisant faire des va et vient. Je m’occupe de son cul en la pistonnant avec l’autre gode.— Oui, putain c’est le pied, gonfle mon cul s’il te plait.— Pas possible, il n’est pas gonflable.— Alors, change de gode.Elle retire le gode de son con, se saisi de l’autre et se le plante d’un seul coup. Je prend le gode gonflable, sans le dégonfler et l’introduis dans son fion. Il entre sans problème, c’est une habituée de l’enculage. Je gonfle le gode pendant qu’elle s’astique de pl;us en plus vite avec son gode dans le sexe. Le gode gonflable commence à prendre une dimension très importante. Il doit friser les dix centimètres de diamètre.— Oui, encore, encore.— Non, je ne veux pas le faire exploser dans ton cul.— On s’en fou, encore, encore.Je le gonfle encore d’à peu près un centimètre. Elle a sa tête renversée, les yeux fermés et se branle le con avec le gode des deux mains.— OOOOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHHHHElle jette son ventre en avant, maintient son gode enfoncé au maximum dans son sexe.— Pistonne moi, oui, je veux le sentir me défoncer.Son corps se cambre, elle ouvre et ferme ses jambes en l’air. Elle bave de plaisir. Je la sens se calmer doucement, j’arrête de la pistonner. Elle abandonne son gode qui sort de son sexe doucement au fur et à mesure que celui ci se referme. Je lâche le gode gonflable mais il ne bouge pas, il reste en place. J’enlève les coussins et elle se retrouve sur le divan à plat les jambes ouvertes. Je récupère le gode sorti, son pubis est très rebondi, j’adore ça. Je pose mes lèvres dessus. Elle se saisi de ma tête et la plaque contre son sexe.— Calme moi en me léchant le sexe s’il te plait.Bien sûre qu’il me plait. Je sort ma langue et entreprend de lécher ses lèvres. Elle ondule légèrement des hanches, je l’entend pousser des petits soupirs, elle ronronne. J’en profite pour sortir le gode gonflable. Elle resserre ses jambes et se retourne, elle me présente son cul. Je remarque qu’il n’est pas tout à fait refermé, je pose mes lèvres dessus.— Oh oui, ça fait du bien, continus.Je lui lèche le fion jusqu’à ce qu’il soit bien refermé. Elle se retourne de nouveau pour me présenter son sexe, elle ouvre les jambes.— Fais moi jouir une dernière fois.Je prend son sexe dans la bouche, le suce, l’aspire, le lèche, mordille son clitoris jusqu’à ce qu’elle parte dans un violent orgasme. Elle se raidie, se cambre, m’écrase la tête sur son sexe, le tout en silence, pas un son, pas un bruit. Elle joui de l’intérieur.— Oh que c’était bon, vivement que tu reviennes. Mais il est très tard, il faut partir maintenant.Nous sortons de la pièce, elle la ferme à clef, et je récupère mes affaires à la caisse. Elle me présente mon short devant les pieds. Elle le fait remonter doucement en embrassant mes jambes de bas en haut. Arrivée en haut.— Au fait, je ne t’ai pas fait jouir.— Non mais ce n’est pas très important, j’ai bien joui cet après midi.— Pas question que je jouisse et pas toi.Elle se penche sur ma bite et l’enfourne, elle me titille le gland avec sa langue, me soupèse les couilles, et avec sa technique, je ne tarde pas à jouir. Elle avale tout ce que je lui donne. Elle se redresse, se lèche les babines et me regarde en souriant.— Très bon après midi. Je souhaite en vivre encore beaucoup comme celui là. Tu reviens quand tu veux.— Ne t’en fais pas je reviens régulièrement.Je fini de m’habiller, elle aussi et nous sortons ensemble.— Je te paye un pot?— C’est pas de refus.Nous allons boire un pot dans un des bar de la place à côté. Là j’apprend plein de chose sur elle qui me font comprendre son attitude.
Je l’ai revu souvent mais ceci est une autre histoire.
zooph34@gmail.com
Diffuse en direct !
Regarder son live