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le cinéma porno

Chapitre 3

Gay
Après ce qui vient de se passer, je me renseigne et j’apprends que le caissier ne travaille désormais que les week-ends. Je décide donc d’aller au cinéma un samedi. Nous sommes toujours en mai et il fait assez chaud. J’ai donc ma tenue légère. J’emmène un sac en plastique opaque dans lequel je met deux godemichés, l’un court, avec une ventouse, il fait 4 cm de diamètre et 13 de long, l’autre gonflable, avec ventouse et grosses couilles, pouvant atteindre 10 cm de diamètre et 28 de long, des préservatifs, des feuilles d’essuie-tout et du gel. J’arrive vers 16 heures, le caissier est là, il me reconnaît et me sourit. Il y a deux personnes dans le hall qui attendent dans un coin.— Bonjour, tu vas bien?— Très bien merci, une place s’il te plait.— Non je t’en prie, c’est pour moi entre c’est bon. j’espère que tu n’as pas oublié ce que l’on s’est dit le dernière fois.Evidemment que je me rappelle. Je lui dit.— Dis donc tu n’a pas pu te taire, ta collègue était au courant et a voulu en profiter.— Oui, je lui ai raconté l’histoire et quand je t’ai décris, elle t’a tout de suite reconnu et m’a raconté votre rencontre. Elle m’a dit que si elle te voyait elle te demanderait de tenir ta promesse aussi avec elle. Elle l’a fait?— Oui, elle ne te l’a pas dit, tu ne l’as pas revu depuis?— Non, ça fait une semaine que je ne l’ai pas vu.— En tout cas maintenant je ne pourrais pas venir sans m’exécuter. Remarque, ça me plait énormément, j’aime montrer mon cul à tout le monde.— Tu as tout compris, allez exécution.Je pose mon sac sur la caisse et je déboutonne ma chemise au moment ou les portes du hall s’ouvrent. Une personne entre. J’enlève ma chemise, la pose sur la caisse et déboutonne mon short. Les trois personnes dans le hall ouvrent des yeux comme des billes. Je descend mon short doucement, en tortillant bien du cul le pose sur la caisse. Cette exposition risquée m’excite et ma queue commence à se redresser.— A tout à l’heure.Je prend mon sac, me dirige vers les portes et ouvre celle de gauche. Le grincement fait que toutes les têtes se retournent et me voient entrer dans la salle à poil. Je monte au balcon. Là je longe la balustrade de manière à ce que tout le monde me voit. Je trouve une place le long de l’allée centrale et je m’assoie.
Je sort le gode ventouse, le gel pour me lubrifier le cul. Les trois ou quatre mecs présents se sont rapprochées pour mieux voir, ils se masturbent. Je fixe le gode ventouse sur une marche, me positionne et je m’assoie dessus. Je le fait rentrer doucement pour profiter du moment de la pénétration. C’est mon moment préféré, sentir un gode ou un sexe se frayer un passage dans mon tube me procure des sensations bizarres et très agréables à la limite de la jouissance. Je commence des va et vient lents pour bien habituer mon cul au gode, surtout que j’ai décidé d’aller plus loin aujourd’hui. Je me pistonne de plus en plus vite. Une bouche essaie de prendre mon sexe mais mes mouvement l’en empêchent. Ce sera donc ma main qui me finira. Je joui sur les marches, il n’y a personne pour récupérer mon foutre. Je me dégage du gode, le libère et le range dans le sac après l’avoir bien essuyé. Je m’assoie sur un siège pour récupérer un peu. Quand ça va mieux, je descend les marches de l’allée pour venir à la balustrade. je constate qu’il y à beaucoup plus de monde en bas que d’habitude. Je décide de descendre pour en profiter, mais avant j’ai envie de pisser. Je sort de la salle toujours nu, il y a toujours les deux personnes qui attendent et une autre entrain de payer. Le caissier me voit et me fait un signe de la main.
Je descend l’escalier qui mène aux toilettes et me positionne devant la pissotière du milieu. l’homme qui payait me suis, s’installe à ma gauche et pose une main sur ma fesse gauche. Il va vers le centre et constate que je suis lubrifié. Lui aussi porte un short, mais de sport. Il le baisse, enfile une capote et se présente derrière moi. Il a une belle queue et bande comme un taureau. Je me penche un peu en avant et je sent son sexe entrer dans mon cul. Il m’agrippe les hanches et se déchaîne. ses va et vient sont rapides et saccadés mais en définitive pas très efficaces. Il joui très vite me laissant sur ma faim. Il me donne une petite tape sur l’épaule et s’en va. Je reste frustré. Je vais me laver les mains au lavabo. Il y un angle avec deux lavabos devant une grande glace et une autre glace sur le mur en angle. Suivant une certaine position, on peut voir son image de profil sur la glace de côté. Cela me donne une idée. Je sort le gode gonflable et le ventouse à la hauteur de mon cul sur la glace de côté. Je me lubrifie et présente mes fesses. En les écartant je me colle au gode et commence à me le faire pénétrer. Je l’ai gonflé juste assez afin qu’il soit suffisamment rigide pour entrer dans un cul sans se déformer. Une fois bien au fond je commence les aller-retours. Je gonfle le gode petit à petit tout en continuant mes va et vient. Une personne descend les escaliers. Ces escaliers tournent à angle droit pour les quatre dernières marches, ce qui fait que l’on voit au dernier moment ce qui se passe en bas. Me voyant légèrement penché en avant et constatant mes va et vient, il comprend tout de suite ce qui se passe. Il vient se mettre devant moi, défait sa ceinture, baisse son pantalon et commence à se masturber. Il n’ose pas me toucher. Je me baisse un peu plus et gobe son sexe. Il se laisse faire. Je continue mes va et vient tout en le pompant. Il joui assez vite en me prévenant de l’imminence de sa jouissance. Il est étonné que j’avale tout mais se laisse faire avec plaisir. Il se retire, je rajuste et s’en va. Je continue à ma pistonner mais je réalise que ça ne va pas me mener très loin. Je range tout et je remonte. Arrivé dans le hall, les deux hommes sont toujours là, il y en a trois autres qui fument et surtout un couple jeune qui est entrain de payer. Les couples sont rares mais il y en a de temps en temps. je rentre dans la salle en ouvrant la porte gauche. Tout le monde regarde qui arrive. Je fait le tour sur le côté, le film est clair et la luminosité de l’image éclaire bien la salle. Tout le monde me regarde et je vais m’asseoir sur la deuxième rangée de siège. Je vois le couple qui me suit et vient s’asseoir à côté de moi. L’homme s’assoie à ma droite mais la femme me passe devant en me frôlant et vient s’asseoir à ma gauche. Elle porte une robe courte avec une fermeture éclair sur le devant à peine fermée jusqu’au niveau de ses seins. en s’asseyant, elle fait descendre la fermeture et ouvre sa robe. Elle est nue dessous. Elle est un peu ronde, avec de jolis sein pas très gros mais bien hauts, et juste un trait de poil sur le pubis. Je regarde vers ma droite, l’homme à tombé son pantalon et ouvert sa chemise. Il se caresse la bite, qui est de taille moyenne, mais lui n’a pas de poil. Il n’a d’ailleurs aucun poil nul part.. Il finit par enlever complètement son pantalon et sa chemise. La femme enlève aussi sa robe. Nous sommes tous les trois complètement à poil au deuxième rang d’une salle de cinéma. Inutile de dire que tout le monde rapplique. Ce que j’aime dans ce genre d’endroit, c’est qu’en général les gens sont respectueux des autres. Ils attendent que l’on soit d’accord pour intervenir. Ce jour là, tout le monde respecte cet accord tacite. La femme se penche vers moi et me glisse à l’oreil.— J’ai envie de ta bite.— Désolé mais quand je met une capote je débande immédiatement et je ne peux pas baiser ni une femme ni un homme. Ceci dit j’ai amené un suppléant. — A bon?— Oui, j’en ai même deux.— Ou ça?Je sort mes deux godes et lui montre. Elle désigne le gode gonflable et me dit.— Celui là il me plait bien.
— Ok mais ici ça ne va pas être pratique, allons dans la petite pièce.— La petite pièce? quelle petite pièce?Je me retourne et lui montre la petite pièce au fond de la salle.— Ok on y va. Elle se lève, ramasse sa robe, fait signe à son compagnon de la suivre, je récupère mon sac et nous allons vers la petite pièce.— Attendez moi, j’arrive.Je sort de la salle, traverse le hall et demande la clé de la petite pièce au caissier. Il me la donne avec un large sourire.— Bonne bourre.— Merci.Je retourne dans la salle, ouvre la pièce, allume les lampes douces, fait entrer le couple et referme. La femme étale sa robe sur le divan et se couche sur le dos. Son compagnon doit avoir l’habitude de ce genre de situation car il suit sans rien dire. Je pense qu’en fait, il est là pour la sécuriser.
Je m’approche de la femme, la caresse un peu lui suce la chatte. Elle se cambre.— Je ne suis pas là pour ça, sort moi ton petit monstre.Je sort le gode gonflable, y met un préservatif et le lubrifie. Elle écarte bien les cuisses et se cambre. J’approche l’engin vers sa vulve et le fait aller et venir verticalement sur sa chatte, du clitoris à l’anus. Elle se cambre encore plus en donnant des coups de rein à chaque fois que le gode passe devant l’ouverture de plus en plus béante. D’un seul coup je m’arrête et lui plante le gode dans le con. Elle pousse un petit cri de plaisir et va au devant du gode. — Vas y, enfonce le moi, encore, gonfle le, vas y gonfle le.Le donne deux ou trois coup de pompe et continu mon va et vient.— Encore, gonfle le, il n’est pas assez gros, vas y.Je donne encore des coups de pompe, je continue mon va et vient tout en gonflant de temps en temps le gode. Il commence à prendre des proportions gigantesques.Elle me regarde et me dit en désignant son compagnon.— Tu sortir ton deuxième gode pour son cul?— Oui bien sûre.Je sort le deuxième gode. Elle lui dit.— Tiens prend le et met le toi dans le cul devant moi.Il se saisit du gode, je lui donne du gel et un préservatif pour le gode. Il l’encapuchonne, le lubrifie et vient se mettre devant la tête de la femme. Il s’accroupie un peu et présente le gode devant son cul. Elle lui dit.— Vas y, je veux le voir rentrer.Il pose le gode sur un angle du divan qui comporte une partie un peu plus ferme et s’enfonce l’engin dans le fion. Il va jusqu’au fond. Elle le regarde et dit.— Ca c’est du spectacle. Toi mon baiseur gonfle moi ce gode encore un peu, je veux me sentir prête à éclater.Le gode doit être tout proche des 10 cm de diamètre et je lui dit.— Non je ne vais pas plus loin, il risque d’éclater si on insiste.— Ok mais fait marcher la pompe. Je la pistonne de plus en plus vite en rajoutant du lubrifiant car le gode est énorme. Elle renverse sa tête en arrière, porte sa main sur son sexe et part dans une jouissance démente. Elle crie.— Putain que c’est bon, je joui, je joui, je m’éclate le con, c’et bon, encore, encore.Tout les spectateurs ont entrain de se branler et je vois des gouttes de sperme arriver sur les vitres. Son compagnon commence à montrer des signes de jouissance et je me penche sur son sexe. Trop tard, elle m’a devancé en plongeant dessus et c’est elle qui reçoit le jus de son compagnon.Après un moment de repos, elle me regarde et me dit.— Tu voulais son foutre, mais il est à moi et il n’y a que moi qui peut le boire.— Ici, tout le monde peut boire tout le monde à condition d’être correct.— Je trouve cet endroit plus agréable que je ne pensais, j’avais très envie de venir mais j’avais un peu peur. C’est pourquoi je suis venu avec lui. Je me sentais plus rassuré. Il a été long à convaincre.Je récupère mon gode, le dégonfle un peu, le suce et me prépare à, le ranger.— Pourquoi as tu amené ces deux godes?— Pour me les mettre.— Et tu te les ai mis.— Oui le petit mais j’ai utilisé l’autre aux toilettes mais comme j’était seul, j’ai arrêté.— E bien tu n’as qu’a reprendre là ou tu t’été arrêté.— D’accord mais c’est toi qui manœuvre. — Ok, en position.Je lui donne le gode, y met un préservatif et le lubrifie. Je lui donne le lubrifiant.— Rajoutes en de temps en temps sinon ça peut devenir insupportable quand il est gros.Je me met à plat ventre en repliant mes jambes. Je les écartes pour laisser le plus de place possible. Elle présente le gode à l’entrée de mon cul et pousse doucement. Le gode est toujours gonflé à 6 ou 7 clm de diamètre. Je sais que je peux le supporter et je laisse aller. Elle est très délicate et pousse doucement en surveillant bien mes réactions. Enfin le gode arrive à fond. Elle attend 30 secondes et commence ses aller-retours. Quand elle sent que le mouvement est de plus en plus fluide elle pompe un peu et ajoute du lubrifiant. C’est une experte.— Tu as fait ça toute ta vie?— Non c’est la première fois.— et bien, tu es sacrément douée, continu, tu peux encore le gonfler.Elle pompe un peu, ajoute du gel et pompe encore.— Récupère son foutre et garde le moi dit elle à l’homme.L’homme se couche sous moi et me gobe le sexe. Je sent le plaisir monter de plus en plus.— Je vais y aller, vas y gonfle un peu ça va être bon.Elle donne deux coup de pompe et accélère le mouvement. Ce coup ci, c’est parti, je sent mon ventre se nouer, mes pieds s’électriser, mon cul se liquéfier et mon cerveau aux abonnés absents. tout explose dans ma tête. Je joui. Je largue tout dans la bouche de l’homme et je m’effondre sur lui. Elle continu doucement son mouvement en ralentissant. Décidément c’est une pro.Elle me libère le cul, relève l’homme et lui roule une pèle d’enfer. En fait, elle récupère mon foutre que l’homme lui a gardé dans la bouche.— Putain c’est bon. Quelle fin d’après midi.Je regarde la montre de l’homme, il est 18 heures 30. je ne suis pas pressé et je m’allonge sur le divan. Elle se redresse, m’embrasse fougueusement et me dit.— C’est pas tout ça, mais il faut qu’on rentre, on avait qu’une petite heure à perdre. En fait elle n’a pas été perdu.Elle enfile sa robe monte la fermeture éclair au minimum, c’est à dire que l’on peut voir ses seins dans l’entrebâillement de son décolleté.Je lui ouvre la porte, et elle s’en va avec son compagnon, rhabillé, qui la suit comme son chien.
Je retourne sur le divan sans fermer la porte. je m’allonge sur le ventre et je ferme les yeux. Je commence à somnoler quand je sent deux mains sur mes fesses. Elles me caressent en allant du haut des fesses jusqu’aux cuisses. Une autre main parcourt mon dos. Je sent un doigt qui se glisse entre mes fesses et vient titiller mon anus. Il est lubrifié. Le doigt s’en va et deux mains me prennent par les hanches et me soulèvent. Je me retrouve le cul pointé vers le ciel. Les mains me badigeonnent de gel entre les fesses. Soudain un doigt ganté s’insinue entre mes fesses. Un deuxième, un troisième, un quatrième. Il se mettent en pointe et se positionnent sur mon cul. Je commence à comprendre. La main pousse doucement et les doigts commencent à pénétrer dans mon anus. Le sphincter se dilate petit à petit, après ce qu’il vient d’accepter, il n’y a aucun problème. Petit à petit le doigts avancent dans mon fion qui ne résiste pas beaucoup. Je sent une légère douleur compensée par le plaisir que me donne cette main. De plus, une tête s’est glissée sous mon ventre et une bouche s’occupe de mon sexe. D’un seul coup, le sphincter se resserre sur le poigné, la main est entrée. Il fait pivoter le bras de droite à gauche, c’est une sensation inouï, jamais je ne l’avais ressenti. Il ouvre ses doigts dans mon antre, me chatouille les parois et je part dans un délire jouissif. Mon corps se liquéfie, je suis parcouru de spasmes violents qui m’électrisent. Je m’effondre sur la tête qui me pompe le dard. Je me vide dans la bouche qui avale tout. Je suis anéanti de plaisir et de fatigue. Je fait signe que je suis au bord de la rupture et tout le monde quitte la pièce à part un homme qui s’allonge à côté de moi. Ce coup ci, je m’endort. Je suis réveillé par le caissier. Il est minuit!! La salle est éclairée et tout le monde est parti.— Alors, ça c’est bien passé?— Super, c’était super. Je ne sait pas combien de fois j’ais prie mon pied, mais c’était super.— Je t’attend à la caisse pour te rendre tes affaires.— Ok, j’arrive.Il sort.Je me redresse, sort de la pièce, ferme la porte à clef et je sort dans le hall du cinéma. Là surprise il y a plusieurs personnes qui attendent. Elle sont toutes habillées de manière spéciale. Micro jupes pour les femmes, corsages très transparents et pantalons à pressions sur le côté pour les hommes avec une chemise légère.— C’est lui dit le caissier.tout le monde me regarde et je doit avouer que pendant un bref instant, je me sent un peu gêné. — Il y a une soirée spéciale ce soir dans la salle, ça t’intéresse d’y participer?Toujours partant quand il s’agit de cul je répond.— Pourquoi pas?— Ok, je ferme la porte d’entrée. Tu récupérera tes affaires après, d’accord?— Pas de problème.Je me retourne et ouvre la porte droite de la salle pour laisser passer tout le monde. A chaque fois qu’une personne, homme ou femme, me passe devant, je sent une main me soupeser les couilles.Le caissier arrive après avoir fermé les portes d’entrée et éteint la lumière du hall. Lui aussi me soupèse les couilles. Ils ont dû se donner le mot.Je les suis pour une nuit mémorable.
Mais ceci est une autre histoire.
zooph34@gmail.com
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