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Du cinéma porno à une rencontre sur le net

Chapitre 2

le plaisir d'être féminisée

Travesti / Trans
Après notre rencontre, Henry et moi avions convenu de nous revoir, mais les contraintes professionnelles firent que Henry se vit offrir un poste intéressant à Londres et notre relation finit alors qu’elle venait à peine de commencer... J’avais appris beaucoup de choses avec lui et notamment le plaisir de me féminiser. Hormis l’excitation ressentie lorsque je m’étais légèrement maquillé pour attirer l’attention au cinéma porno, j’avais beaucoup apprécié le fait de porter des dessous féminins et depuis, je m’étais offert soutien-gorge et porte-jarretelles en latex et une petite culotte en vinyle bordée de dentelle. Selon mon humeur et d’abord quand j’étais en congé, j’aimais les porter en toute discrétion.
Seul, il m’arrivait de repasser de temps en temps devant cette petite boutique de modes où tout avait commencé avec l’achat de mon imper et quand j’apercevais Catherine, la patronne et qu’elle n’était pas occupée avec une cliente, je lui faisais un signe amical.
M’apercevant, elle ne manquait jamais de me répondre par un geste, un sourire. Un matin, alors que je passais, revêtu de mon trench devant sa boutique, elle me fit signe et, ouvrant sa porte : «Venez en début de semaine prochaine ; je vous montrerai la nouvelle collection d’impers que je vais recevoir ! » Fine mouche, elle ajouta : J’aurai toutes les tailles, du 36 au 50 et pas mal de noirs !
En disant cela, Catherine était sûre de me revoir... Son magasin était fermé le lundi et ce lundi, jour où je ne travaillais pas, je décidai de passer devant son magasin pour le plaisir de voir si la nouvelle collection était en vitrine... Le temps n’était pas terrible, un temps gris et pluvieux à mettre un imper et, sur ma peau, je sentais mon soutien-gorge à armature qui pointait légèrement sous mon pull et mon porte-jarretelles qui tenait mes bas. Alors que je passais devant le magasin, surpris, je vis arriver Catherine en ciré noir et bottes vernies !
Surpris de la voir un lundi matin dans cette tenue qui lui allait à ravir, elle me dit avoir souhaité porter un des nouveaux trenchs de la collection et finir sa vitrine.Ne voulant pas la déranger, je lui dis que je passerais un autre jour de la semaine, mais Catherine tint à me faire entrer et à m’offrir un café, me faisant remarquer que nous ne serions pas dérangés, bien au contraire, le magasin étant fermé !
Je ne pouvais guère refuser, mais j’étais quelque peu gêné me rendant bien compte que lorsque j’ôterais mon imper, elle remarquerait les légères protubérances sous mon pull !Alors que je ne l’avais toujours pas enlevé, elle-même me l’ôta et me tendit un modèle de la nouvelle collection. Connaissant ma taille, elle avait pris un 48 et me le faisant endosser, elle me frôla le torse et s’exclama interrogative: « Tu t’es fait pousser des seins ? »
Embarrassé, je lui avouai que j’aimais porter de temps en temps un soutien-gorge quand je ne travaillais pas... et c’était le cas ce matin.Nous passâmes dans l’arrière-boutique à l’abri d’éventuels regards extérieurs et Catherine me demanda de lui faire voir : ne pouvant refuser, je me déshabillai et elle me vit en soutien-gorge, porte-jarretelles et petite culotte, le sexe tout recroquevillé de honte. Avec un grand sourire, surprise sans plus, pensant sans doute qu’un jour, après avoir acheté un ciré de femme, je franchirais le pas, elle me parla au féminin : « Tu sais que tu pourrais être mignonne en femme ma chérie ! Laisse-moi faire ! »
Elle me fit asseoir dans un fauteuil et sortit sa trousse de maquillage. Elle commença par m’appliquer sur le visage un fond de teint qui cacha heureusement une petite coupure que je m’étais faite le matin en me rasant ; après avoir laissé reposer ma peau, elle me maquilla les yeux (fard, eye-liner, mascara), un moment toujours très délicat et encore plus lorsque vous maquillez quelqu’un ; elle en profita d’ailleurs pour m’épiler les sourcils qui en avaient besoin. Restait à choisir un rouge à lèvres qui serait assorti à la perruque auburn, mi-longue avec frange qu’elle m’ajusta sur la tête, une perruque qu’elle avait dans un tiroir et qu’elle portait quand elle se jugeait mal coiffée avant un rendez-vous chez le coiffeur ; un peu défraîchie, un coup de brosse lui redonna de l’ampleur.
Un peu de blush sur les joues et me regardant dans la glace, je vis une fille plutôt mignonne avec laquelle j’avais un vague air de famille.Catherine regretta toutefois que je n’aie pas de faux-seins en silicone pour remplir mon soutien-gorge, manque auquel je lui promis de remédier dès que possible.Restait à m’habiller : il n’y avait que l’embarras du choix dans le magasin d’autant qu’il y avait beaucoup de grandes tailles pour sa clientèle. J’optai pour un chemisier rouge et une jupe droite noire en agneau à défaut de jupe en vinyle avant de mettre des escarpins noirs vernis qui me serraient un peu, étant normalement prévus pour le mannequin en vitrine... et je mis un trench de la nouvelle collection. L’illusion était parfaite ! J’avais belle allure, un peu aguicheuse !...
Satisfaite de son travail, Catherine me caressa la joue avant de m’effleurer les lèvres d’un baiser qui déclencha chez moi une irrésistible envie de la serrer dans mes bras et de l’embrasser.Elle se prêta au jeu et sa main glissa dans mon dos, me caressa les fesses avant de me saisir le sexe qui avait bien grandi depuis tout à l’heure.A défaut de lit, elle s’allongea sur le vieux canapé installé dans l’arrière-boutique et écartant les jambes, elle me murmura : « Aime-moi ! Je n’ai jamais fait l’amour avec une femme ! »L’embrassant à pleine bouche, je lui caressai et mordillai les seins dont les tétons s’étaient durcis et je glissai ma tête sous sa robe. Lui ayant baissé sa petite culotte de dentelle, j’embrassai les lèvres de son sexe chaud et humide et titillai son clitoris avant de le sucer et d’introduire ma langue dans son sexe qui mouillait.
Catherine, habituellement réservée, gémissait et, très excitée, me colla la tête contre son pubis pour que ma langue la pénètre au plus profond de son sexe !... Pour décupler son plaisir, j’eus alors l’idée un peu folle de lui titiller l’anus et d’y introduire un, puis deux doigts, ce qui déclencha chez elle un orgasme incontrôlable !...
Un peu fatiguée, mais voyant mon sexe dépasser de ma petite culotte, elle le prit dans sa main, commença à me branler avant de le mordiller, l’engloutir et me sucer à fond... Les mois suivants, il sembla aux voisins que Catherine venait de temps en temps ouvrir son magasin le lundi matin, mais qu’il restait fermé à la clientèle...
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