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Cinq heures seul avec ma soeur

Chapitre 4

23h - 00h

Inceste
23h :
      Je viens d’entendre ma bombe sexuelle de grande soeur m’appeler dans le salon. Ça y est, c’est maintenant. J’y suis, je vais satisfaire l’un de mes plus grands fantasmes, réaliser un de mes rêves les plus honteux : avoir un rapport sexuel incestueux et complètement immoral avec ma bonasse de soeur aînée. Comme elle l’a dit, aux chiottes les tabous et les conventions ! Qu’importe si nous sommes frères et soeurs, si on est du même sang. Nous le voulons tous les deux, et la tentation est beaucoup trop forte pour ne pas la laisser s’exprimer.
      Je renfile en vitesse mon caleçon et mon pantalon dans l’optique de les enlever devant Elise et sors de ma chambre en direction du salon où ma soeur m’offrit son magnifique spectacle de branlette. Arrivé dans la pièce, je tombe des nues quand je vois ce que je vois : Elise, ma déesse de grande soeur, se tient debout devant moi et entièrement nue. Elle a cette fois troqué son sweat-shirt rose contre littéralement rien. J’ai ainsi la plus parfaite des vues sur son corps de déesse du sexe : sa peau claire et douce, ses formes sculptées comme dans du marbre, sa chatte imberbe et chaude, sa poitrine généreuse aux seins bien ronds et fermes, son visage d’ange plein de grâce et de fougue, ses longs cheveux qui tombent en cascade dans son dos et sur ses épaules. Je ne peux rêver d’un meilleur instant que celui que je vis actuellement. Je me sens prêt à baiser ma soeur, mais étant vierge, j’ai évidément peur de la décevoir.
— Mhm, tu apprécies la vue p’tit frère ? me demand-t-elle alors avec un sourir charmeur en coin.— Oh, tu ne peux pas savoir à quel point, lui répondis-je en m’avançant doucement vers elle.— Tu sais, ce n’est pas grave si tu es vierge, tu peux en être sûr. Car je fais ça autant pour toi que pour moi.— Ça vrai, ça ne te dérange pas ? J’ai tellement peur de te décevoir tu sais, de pas être à ta hauteur.— Ne t’en fais surtout pas p’tit frère, tu vas assurer. Je le sais, j’en suis persuadée.
      J’arrive juste en face d’elle, à une trentaine de centimètres de son corps. Je la regarde de tout son long, de tout son être et je ne peux qu’être admiratif de son incommensurable beauté. La voir entièrement nue face à moi me fait bander sévère, ma bite devant très vite chaude et énorme dans mon caleçon qui devient ainsi trop étroit pour elle. Je regarde alors Elise dans les yeux, et elle me regarde dans les miens en retour.
— Grande soeur, me feras-tu l’honneur d’être ma première ? lui demandai-je.— Mhhmmm, je serai honnorée et fière d’être ta première, me répond-elle alors.
      À peine finit-elle de parler qu’Elise s’élance vers moi pour m’enlacer dans ses bras, venant les rejoindre dans mon cou comme pour m’étreindre de tout son amour. Elle m’embrasse alors fougeusement, enfonçant sa langue dans ma bouche. Je l’accueille avec plaisir et excitation, liant ma langue avec la sienne dans notre baiser volcanique, tandis que mes mains explorent et carressent le corps tout entier d’Elise.
23h10 :
      Après cinq minutes de roulage de pelle et de carresses, je décide de passer aux choses sérieuses. J’empoigne les cuisses de ma grande soeur et la soulève pour la ramener sur mon torse, avant de l’emmener dans la salle à manger et de la déposer sur le bord de la grande table au milieu de la pièce. Je me sens alors pousser en moi la force et l’énergie d’un dieu pour baiser ma soeur adorée. J’ôte tous mes vêtements et finit à mon tour entièrement nu face à Elise qui me dévore alors du regard, insistant sur ma bite en éréction.
— Mmhhmm, tu es prêt p’tit frère ? me demande-elle en se pourléchant.— Oh, plus que jamais grande soeur, lui répondis-je confiant et souriant.

      Ma soeur s’allonge alors de tout son long sur le dos sur la table de la salle à manger, tandis que je lui grimpe dessus pour me retrouver couché juste au-dessus d’elle. Nos visages sont face à face, et il en va de même pour nos sexes. Sans prévenir, je fais pénétrer ma bite en éréction dans la chatte chaude de ma soeur, ce qui la fait alors gémir sur le coup. Baisant enfin véritablement ma bombe de grande soeur, je commence mes mouvements de va-et-vient dans son sanctuaire, d’abord lentement et tendrement pour pas trop la brusquer.
— Mmmhhmmm, que c’est bon p’tit frère, me dit-elle en fermant les yeux et en profitant du plaisir que je lui offre.
      Je m’accroche d’une main à la table et de l’autre au cul de ma soeur, tandis qu’Elise me tient par le dos et les épaules. J’accélére mes pénétrations, allant à chaque mouvement un peu plus loin, un peu plus vite et un peu plus fort. Nous gémîssons tous les deux ensemble et cambrons aussi nos corps tandis que nous baisons fougeusement et passionnément.
23h30 :
      Après presque vingt minutes de baise, nous arrivons enfin tous les deux à l’orgasme. La jouissance nous envahit en même temps, nous faisant hurler de plaisir tandis que j’éjacule des flots entiers de sperme dans sa chatte brûlante et débordante de jus incestueux.
— Oh putain, mhmmm, gémît-elle. Maintenant, encule moi p’tit frère.
      Je m’éxécute sans poser de question, m’avouant être complètement soumis et sous les ordres d’Elise. Elle se met en position, se relevant et se mettant à quatre pattes sur la table, m’offrant la vue sur son magnifique cul bien rond et bien ferme. Je fais de même et vient me positionner face à son fessier, prêt à la faire jouir de nouveau.
— Vas-y putain, encule ta pute de grande soeur Louis ! me hurle-t-elle alors.
      D’un seul coup, j’enfonce alors ma verge en érection au plus profond de son cul et commence à l’enculer avec force et fougue. Je me penche dans son dos pour me mettre plus à l’aise et pour venir l’embrasser dans le cou pendant ma sodomie. Elle cambre tout son corps sous les coups puissants de ma bite dans son cul bien dilaté. Je me cramponne ensuite à ses seins bien ronds tandis que je redouble d’effort dans ma pénétration, ce qui fait encore plus gémîr ma grande soeur qui prend véritablement son pied.
23h55 : 
      Ainsi, ma sodomie dans le cul chaud de ma soeur continue pendant plus de vingt minutes jusqu’à ce qu’à nouveau, l’orgasme et le jouissance nous emporte. Je libère un vrai raz-de-marée dans l’anus d’Elise, anus qui déborde très vite de mon sperme délicieux. Elise hurle d’un intense plaisir dans toute la maison, tandis que j’embrasse tout son dos, ses épaules et son cou.
— Putain de bordel, que c’était bon p’tit frère, me dit-elle le souffle coupé.— Je suis ravi que ça t’ai plu, lui répondis-je en venant lui mordiller le lobe de l’oreille. Et je suis soulagé aussi.— Je t’avais dit que tu assurerais, que tu y arriverais. Maintenant, suis-moi jusque dans la salle de bain.
      Elise, dégoulinante de sueur, de cyprine et de sperme, se défait alors de mon étreinte et descend de la table de la salle à manger. J’en fais de même et ma soeur me prend alors par la main, avant de m’emmener vers la salle de bain.
      À suivre...
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