00h : Elise et moi arrivons dans la salle de bain main dans la main, dégoulinants tous deux de sueur, de cyprine et de sperme. Nous sommes véritablement sales après notre heure de baise délicieusement incestueuse. Ma grande soeur me lâche alors la main et vient fermer la porte, comme pour rester en privé alors que nous sommes les seuls dans la maison. Elise se retourne alors vers moi et me lance un regard de braise, tandis que je la reluque de haut en bas, admirant son divin corps trempé. — Mmhmm, nous sommes un peu sales p’tit frère, me dit-elle en s’avançant doucement vers moi en roulant du cul. Voire même très sales.— J’ai remarqué aussi grande soeur, lui répondis-je en m’avançant à mon tour vers elle en la regardant droit dans les yeux.— Tu es vraiment doué pour satisfaire une femme Louis, je t’assure. Mais je crains de ne pas encore être rassasiée p’tit frère.— Mhm, il faut donc que je remédie à ça. Je ne voudrais surtout pas te décevoir après tout ce que je viens de te faire. À force d’avancer chacun vers l’autre, nous finissons par nous retrouver en face à face avec seulement quelques centimètres d’écart entre nous. Mais après notre baise incesteuse et avec notre fatigue commune, nous sommes comme plus délicats l’un avec l’autre. Nous collons nos corps l’un contre l’autre, ma peau humide caressant la sienne et ma bite en érection se frottant contre sa chatte encore chaude, mais sans la pénétrer pour autant. Je viens carresser ses bras et son dos de mes mains tandis qu’elle vient caresser mon visage du bout de ses doigts. Là, cet instant calme et doux entre nous deux semble figé dans le temps, comme une accalmie entre deux tempêtes de baise bestiale. — Mmhm, et si on prenait une douche p’tit frère ? me dit-elle alors tout doucement. Une bonne douche bien chaude, rien que pour nous deux ?— Mmhm, je ne demande que ça grande soeur, lui répondis-je. Une douche rien que pour nous deux, c’est tout ce que je demande. Nous nous embrassons alors, doucement et tendrement, mais toujours avec la même passion. Nous lions nos langues dans notre baiser, les faisant danser comme dans un balet. Nous nous frottons et nous caressons l’un contre l’autre dans notre long et langoureux baiser. Et nous sommes tous deux tellement bien en cet instant qu’il nous semble suspendu dans le temps. 00h10 : Finalement, après cinq bonnes minutes de pur plaisir, nous mettons un terme à notre brûlant baiser. Nous nous démélons l’un de l’autre et Elise me reprend par la main pour m’emmener sous la douche. Nous nous enfermons alors tous les deux dans la spacieuse cabine. Je me sens tellement bien là, entièrement nu avec ma bombe sexuelle de grande soeur, aussi complètement dénudée et aussi dingue puisse-t-elle être. — Je veux que tu me fasses des choses p’tit frère, me sussure-t-elle alors à l’oreille. Des choses taboues et interdites. Je te veux p’tit frère.— Et je te veux aussi grande soeur, lui répondis-je dans un doux murmure. Je te veux plus que tout au monde, plus que quiconque.— Mmmmhhhmmm, c’est merveilleux p’tit frère. Voilà une véritable relation frère-soeur comme je les aime, mmhmmm. Je ne suis pas idiot. Malgré cet instant plus tranquille, je sais excatement ce que veux Elise. Une baise sous la douche, c’est une évidence. Et je comptes bien la lui offrir cette baise. Elle le mérite. Elle est peut-être folle, mais c’est ma grande soeur, et je me dois de la chérir comme elle le mérite, qui plus est après notre baise dans la salle à manger où elle a été divine.
Pris alors d’une fougue nouvelle après ce petit instant de tranquillité, je plaque sans violence ma grande soeur contre le mur en pierre froid de la cabine, le contact froid de sa peau contre la roche la faisant frémir et gémir en même temps. J’actionne alors le robinet d’eau chaude et quelque peu celui d’eau froide, et un torrent d’eau à la parfaite température s’abat sur nous telle une cascade. Instantanément, nous sommes tous les deux arrosés et trempés par la douche, et cela provoque chez moi de nouvelles pulsions envers ma soeur. Ma bite entre à nouveau en éréction tandis que je saisis les deux cuisses d’Elise pour les plaquer contre mes hanches. Ma grande soeur se retrouve prise en sandwich entre le mur et moi-même, alors qu’elle ressere légèrement ses jambes autour de moi et que je la soutiens par ses cuisses aussi douces que fermes. — Fais-moi jouir p’tit frère, me dit-elle. Fais-moi l’amour, baise-moi p’tit frère !— À tes ordres grande soeur, lui répondis-je. Je vais te baiser comme personne auparavant. Alors que nos corps subissent déjà la pluie d’eau chaude qui s’abat sur nous, j’enfonce en un seul coup ma verge chaude au fin fond de la chatte brûlante de ma grand soeur qui gémît bruyamment sur le coup. En même temps que je la pénètre à un rythme soutenu, nous nous embrassons fougeusement et passionnément, en nous roulant des pelles et en se suçant nos langues et nos lèvres. Le corps de ma soeur est assailli de toute part entre l’eau de la douche qui ruisselle et caresse tout son corps, sa bouche qui embrasse la mienne et son sanctuaire humide pénétré par ma bite chaude et pleine à craquer. Quel moment délectable. 00h30 : Notre baise sous la douche dure ainsi pendant plus de quinze minutes, jusqu’à ce nous sommes tous deux emportés par l’orgasme. Nous hurlons ensemble à l’unisson tandis que j’expulse tout mon sperme au fond du vagin de ma soeur, vagin qui de son côté déborde littéralement de cyrpine et de sperme qui viennent se mélanger à l’eau de la douche. Nous reprenons nottre souffle tandis que nous regardons à nouveau dans les yeux. — Putain t’arrête pas p’tit frère, me dit ma soeur. Lèche-moi, bouffe-moi la chatte, j’en meurs d’envie.— Tout de suite ma grande soeur, lui répondis-je lachant ses cuisses et en la déposant par terre. Je m’abaisse et me met à genoux face à la chatte brûlante et sentant encore le sexe de ma soeur. Jamais mon visage n’avait été aussi proche de cet partie si désirable de son corps, elle est parfaite. Je lève mon regard vers Elise et je la vois hocher légèrement la tête tout en se mordant la lèvre inférieure. J’ai son feu vert. Sans attendre plus longtemps, je m’élance et vient plaquer ma langue contre la vulve d’Elise, provoquant chez elle un gémîssement de plaisir à peine étouffé. J’enfonce ensuite ma langue dans la chatte chaude et toute mouillée de ma grande soeur et je viens titiller et lécher tout l’intérieur. Elise commence déjà à se cambrer de tout son être, et vient s’agripper à moi en me tenant fermement la tête de ses mains aussi sauvages que délicates. Visiblement, je suis en train de lui faire un bien de fou furieux. 00h45 : Au bout d’une grosse dizaine de minutes, je parviens à offrir un nouvel orgasme à ma grande soeur, qui mouille alors tellement qu’elle éjacule des flots de cyprine directement dans ma bouche. Je tâche de ne rater aucune goutte de son délicieux jus incestueux, de même que quelques gouttes restantes de mon sperme. Elise finit de se cambrer et de gémîr, se mordant la peau de son bras sous ses élans de plaisir et de jouissance. Je me relève et revient embrasser ma soeur plus sauvagement que jamais, tandis qu’elle arrête l’eau de la douche. Trempés par l’eau et usés par le sexe, nous nous embrassons sauvagement et langoureusement comme jamais auparavant. — Mmmhhmmm, que c’était putain de divin p’tit frère ! proclame-t-elle dans un grande rire d’euphorie. J’adore baiser avec toi Louis.— Et moi, j’adore baiser avec toi Elise, lui répondis-je. Je ne voudrais jamais baiser avec qui que ce soit d’autre que toi toi grande soeur.— Mmhhhmm, ravie de l’entendre p’tit frère, vraiment. Tu baises comme un dieu.— Et toi donc grande soeur, tu es une véritable déesse du sexe, une vraie Aphrodite. Nous nous embrassons une dernière fois avant de sortir tous les deux de la cabine. Nous faisons la concession de nous séparer le temps d’enfiler chacun une serviette et de sécher. J’admire alors ma soeur se frotter le corps et les cheveux, tandis qu’elle en fait de même avec moi. Une fois complètement secs, à l’exception de nos cheveux qui prennent naturellement plus de temps, nous sortons de la salle de bain toujours entièrement nus et main dans la main. — Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? demandai-je à Elise en lui souriant.— On va faire deux choses, me répond-elle. Nettoyer toute trace encore présente de nos ébats et aller nous coucher ensemble dans le canapé.— Nous coucher pour continuer à baiser grande soeur ?— Non p’tit frère. Mais pour simplement discuter de tout cela. À suivre dans le dernier chapitre.
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