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Cinq heures seul avec ma soeur

Chapitre 6

01h - 02h

Inceste
01h05 :
      À la demande d’Elise, nous finissons de nettoyer toute trace restante de nos ébats amoureux et incestueux dans le salon, la salle à manger et la salle de bain. La moindre trace de cyprine ou de sperme est méticuleusement enlevée pour que notre mère ne remarque ni ne sente rien à son retour à la maison. Après quoi, nous rangeons tout le matériel de nettoyage et nous nous retrouvons tous les deux dans la cuisine.
— Voilà, c’est terminé, proclamai-je en reluquant ma grande soeur. Et maintenant ?— Maintenant, direction le canapé p’tit frère, me répond-elle en venant me saisir la main.
      Elise m’emmène ainsi jusqu’au canapé et me pousse alors dedans, me faisant tomber à la renverse. Ma grande soeur en fait de même et se laisse tomber sur moi, la rattrapant dans mes bras. Nous nous mettons alors à l’aise et nous nous couchons sur le canapé, elle allongée sur le ventre et de tout son long sur moi, sa peau contre ma peau et sa chatte contre ma bite. Je viens alors lui carresser les cheveux et la peau de son visage, tandis qu’elle en fait de même avec mon cou et mon torse.
— Tu voulais qu’on discute Elise ? lui demandai-je alors, curieux.— Exactement Louis, me répond-elle sur un ton étrangement sérieux.
      Je ne l’avais encore jamais vu comme ça. Ça ne lui ressemble vraiment pas d’être aussi sérieuse, d’autant vouloir faire les choses de manière posée et réfléchie. Quelque part, cela me donne une certaine excitation, mais j’ai déjà compris qu’elle ne voulait plus de sexe, du moins pour la soirée. Je me demande ce qu’elle a en tête.
— P’tit frère, nous venons d’avoir plusieurs rapports sexuels incestueux, me dit-elle droit dans les yeux.— Oui, en effet, et c’était absolument divin, lui répondis-je en continuant de la carresser. Tu as adoré Elise.— Oui, tellement. Tu as été parfait, nous avons été parfaits. Mais cela a aussi tout changé dans nos vies.— Qu’est-ce que tu veux dire par-là ?— Que nous ne sommes plus seulement frères et soeurs.
      Ce constat que fait ma grande soeur envahit mon esprit et je ne cesse d’y réfléchir. Oui, nous avons couché ensemble en étant frère et soeur. Oui, nous avons bravé les tabous et violer les interdictions. Mais nous restons frère et soeur, n’est-ce pas ? Enfin, je pense.
— Qu’entends-tu parler grande soeur ? lui demandai-je.— Que nous sommes devenus amants ce soir, me répond-elle en se relevant légèrement sur moi.— Car on a couché ensemble. On a franchi la limite en ayant un rapport sexuel, c’est bien ça ?
— Exactement p’tit frère, d’autant plus qu’il était non protégé et que tu étais vierge. Pour une première fois, c’est unique en son genre.— J’imagine, oui. J’imagine que peu d’hommes peuvent se vanter d’avoir perdu leur virginité avec leur bombe sexuelle de grande soeur.
      Nous prenons tous deux alors le temps de réfléchir à la situation. Un frère et sa grande soeur, qui ont couché ensemble d’une manière si sauvage et bestiale, franchissant ainsi les conventions et les tabous, qui plus est sans protection et dans le plus grand des secrets. C’est sûr, c’est peu commun comme situation. Mais ni elle ni moins ne pouvons cacher le fait qu’on a adoré ça.
— Louis, sache que j’ai vraiment adoré, me dit-elle me carressant le visage. Je te voulais depuis pas mal de temps déjà, je te l’avoue. Et tu me voulais aussi, tu fantasmais sur moi. Nous nous sommes donnés l’un à l’autre, et nous ne devons pas avoir honte.— Tu as entièrement raison Elise, lui répondis-je. Nous ne devons pas avoir honte. Nous avons même eu raison de le faire, j’en suis convaincu. C’était là l’acte ultime représentant l’amour entre une frère et une soeur.— Exactement p’tit frère. Mais nous devons en rester là pour l’instant.
      Je suis bouche-bée. Ma soeur, ma folle dingue de soeur qui ne demandait qu’à me baiser il y a à peine quelques heures, vient de se métamorphoser complètement pendant qu’on baisait ou quoi ? Je ne la reconnais plus du tout. On dirait qu’elle a grandi, qu’elle a muri. Est-ce seulement possible ? Coucher ensemble lui aurait-elle fait prendre conscience et qu’elle aurait muri ? Difficile à croire la connaissant, et pourtant, on dirait bien.
— Comment ça on doit en rester là ? lui demandai-je.— On le refera à nouveau, promis, me répond-elle. Mais je ne sais pas encore quand. Maman ne doit rien savoir, rien du tout.— Jamais je ne pourrai lui dire quoique ce soit sur nous deux, je te le jure. Ça restera entre nous, pour la vie grande soeur.— Pour la vie p’tit frère. On baisera ensemble à nouveau, un jour. Maintenant, embrasse-moi une dernière fois.
      Et nous nous embrassons une dernière fois. Nous entâmons un long, lent, langoureux et passionné baiser alors que nous sommes couchés entièrement nus dans le canapé, comme le jeune couple d’amants que nous sommes devenus.
01h30 :
      Nous mettons un terme à notre ultime baiser de la soirée et nous nous relevons du canapé. Nous partons alors chacun de son côté, allant dans nos chambres respectives pour enfiler nos pyjamas avant de revenir dans le salon. Là, nous reprenons nos places du début de la soirée. Je retourne m’affaler dans le canapé tandis qu’Elise reprend possession du fauteuil relaxant. Ma soeur prend alors la télécommande et allume la télévision. Nous la regardons alors ensemble, non sans nous envoyer des regards furtifs, mais lourds de sens.
01h55 :
      Notre mère rentre finalement de son rendez-vous de la soirée, faisant un bruit pas possible en passant la porte et en débarquant dans le hall de la maison. Elle arrive alors dans le salon et dépose son sac à main sur le buffet.
— Bonsoir mes loulous ! proclame-t-elle alors. Alors, ça a été ce soir, vous avez pas fait de bêtises ?— Non, rien à signaler maman, répondons-nous ma soeur et moi en même temps.
      FIN
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