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cinq à sept chez Claudia

Chapitre 1

Trash
BZZZZZZZZ BZZZZZZZZZZZ, En pleine réunion de direction, mon portable se met à vibrer. Discrètement je le sors de ma poche sans me faire gauler. Je découvre un SMS de Claudia…
CLAUDIA : miam miam!FELIX : tu veux manger quoi ?CLAUDIA : Ta bite je la veux toute entière dans ma bouche
Hola ! je suis immédiatement traversé par une bouffée de chaleur. Je relève le nez de mon portable et regarde furtivement autour de moi. Tout le conseil d’administration a les yeux rivés sur mon directeur financier qui poursuit au tableau son long exposé sur le Besoin de Fond de roulement et nous avertit de la catastrophe à venir si nous ne gérons pas mieux nos stocks. Ouf ! personne n’a remarqué mon teint rouge tomate, je continue d’échanger des mails salaces avec ma maîtresse.
FELIX : t’es vraiment qu’une cochonne !CLAUDIA : Huink Huink ! et toi tu n’es qu’un chien !FELIX : Ouaf Ouaf ! le chien il va bouffer ta chatte !CLAUDIA : Miaou ! viens vite la bouffer, elle est déjà toute mouillée, je la caresse un peu pour la faire patienter.
Je suis tout excité, je transpire de partout et ça gonfle sacrément dans mon froc. Merde ! Mon directeur a bien vu que je n’étais plus concentré sur la conférence, il me regarde en fronçant des sourcils. Je range tout penaud mon portable dans ma poche.

BZZZZZZZZ BZZZZZZZZZ, Celui-ci continue de vibrer, plusieurs fois. J’essaie de me concentrer sur la réunion, mais ce n’est pas facile tellement je bande déjà comme un taureau. Enfin ! La conférence prend fin. Je quitte la salle précipitamment, je ne dis même pas au revoir à mes collègues, je ne passe même pas par mon bureau pour regarder mes e-mails. Je cours tout droit vers ma voiture. Je sors du parking comme une trombe. Je conduis vite et mal, je suis fébrile et j’ai du mal à me contrôler. En fait je ne me contrôle plus, c’est ma bite qui commande. Je ne pense qu’à une chose, rejoindre ma cochonne de maîtresse au plus vite. Sur la route, je prends juste le temps de lancer deux sms.
A ma femme :FELIX : La réunion n’est pas prête d’être finie ! Ne m’attends pas ! Embrasse les petites.
A ma maîtresse :FELIX : gare à ton Q salope tu vas prendre cher !

Je gare ma voiture comme un sac je sors en courant dans la rue et j’atteins enfin l’immeuble où vit cette salope de Claudia. Je n’attends pas l’ascenseur, je cours dans l’escalier, j’arrive au 4e essoufflé. J’appuie comme un forcené sur la sonnette sans reprendre ma respiration.
La porte s’ouvre aussitôt, cette chienne m’attendait. Elle se tient devant moi, elle est magnifique. Claudia est une femme noire, de taille moyenne, certains diraient qu’elle est grosse. Moi je trouve qu’elle a un énorme cul magnifique, une gigantesque paire de nichons, une taille bien marquée, des jambes bien droites et bien ciselée malgré ses cuisses adipeuses. Une belle Vénus noire tout en rondeur, pleine de sensualité. Pour le coup, elle porte une petite robe rouge vif, bien moulante, soulignant harmonieusement les courbes rebondies de son corps. Sa superbe poitrine, bien dégagée par un décolleté vertigineux. Des bas-nylon et porte jarretière couleur blanc ivoire pour bien contraster avec sa peau noire ébène. Des escarpins aux talons et semelles démesuré, eux aussi de couleur blanc ivoire.
La salope ! Elle me connaît bien ! Elle sait ce qui me fait bander. Elle se tient sur le palier de la porte, le corps bien cambrée pour souligner davantage sa silhouette. Elle me regarde avec son grand sourire coquin, elle me laisse la contempler dans toute sa beauté.
D’une main adroite, elle m’attrape la cravate, de l’autre elle saisit la boursouflure au niveau de ma braguette et tire le tout avec énergie, me faisant entrer dans son petit studio. Elle claque la porte d’un coup de pied et écrase mes lèvres sur les siennes. Elle m’embrasse langoureusement entrant bien sa langue dans ma bouche. Je ne suis pas en reste, je caresse ses flancs, sa croupe je la serre fort contre moi tandis qu’elle passe ses mains dans mes cheveux, griffant mon cuir chevelu.
Elle prend ma tête et l’enfonce dans son décolleté. J’ouvre sa robe et libère ses gros nichons. Je les masse, je les caresse, Je les lèche, je les déguste, je me régale. je recouvre consciencieusement ses seins de ma bave, en laissant lentement traîner ma langue. Je suce consciencieusement ses tétons, faisant claquer mes lèvres d’un bruit de sucions sonore. Pendant ce temps, elle déboutonne ma chemise, déboucle ma ceinture, zipe ma braguette, et de ses doigts experts, elle extrait ma bite de mon slip qui aussitôt se raidit tout droite. Elle l’astique un peu, le bout en est déjà tout violacé et humecté d’une fine couche de sperme. Je dois me retenir d’éjaculer tellement je suis excité.
Elle me repousse un peu violemment. Avec son grand sourire dominateur, elle attrape ma queue et m’attire vers le salon. Moi, la chemise ouvert débraillée, le pantalon baissé sur mes cheville, tout penaud et claudiquant comme un pingouin, je la suis jusque vers son canapé
Là ; elle me jette violemment sur le canapé. Face à moi, elle remonte son jupon, me montrant sa petite culotte blanche toute trempée.
« Tu en a mis du temps à venir sale cochon ! regardes ma chatte, elle est toute mouillée d’impatience ! Tu vas me la bouffer maintenant»
Je mets ma main sur sa culotte pour vérifier. Le fin tissus est en effet tellement trempé qu’il en devient transparent et révèle l’abondance de sa touffe ainsi que l’ouverture de la fente de ses lèvres.
Elle se recule, enlève sa culotte et me la jette à la figure d’un habile coup de pied. Elle pose la pointe de son talon aiguille sur ma poitrine et d’une douce mais ferme pression de son pied, elle m’allonge. Elle monte à son tour sur le canapé et enjambe mon visage. Ses deux pieds calant bien ma tête, je fixe vers le haut et contemple ses deux jambes droites bien tendues. Elle passe sa main sur sa chatte qu’elle caresse généreusement. Quelques gouttes tombent sur mon visage. Elle s’assoit brusquement et pose son gros postérieur, sur mon nez, recouvrant tout mon visage. J’ouvre tout grand ma bouche pour la lécher avidement.
« BOUFFE MA CHATTE COCHON ! BOUFFE MA CHATTE ! ELLE EST TOUT A TOI GROS DEGUEULASSE ! FAIT MOI JOUIR ! » elle me hurle dessus la vilaine, elle fait tournoyer son bassin lentement pour bien faire pénétrer ma bouche affamée dans son vagin
C’est délicieux ! Le goût de la chatte de Claudia est très âcre, très acide, son odeur est très forte, je m’en régale. Je la lape avec délectation, ses fluides dégoulinent sur mon menton et dans ma gorge. Mes mains libres en profitent pour peloter et claquer ses grosses fesses dodues. Parfois un de mes doigts entre timidement dans son anus et titille l’ouverture de son fondement. Cette salope en est toute à sa jouissance, j’entends ses gémissements rauques de plaisirs ondoyer au fur et à mesure de mes mouvements de langues et de doigts.
« Rôôôôôooooh Mon salaud ! Vas-y mon salaud ! Bouffe ma grosse chatte ! Rôôôôôôh, vas y mon salaud, enfonce bien ton sale petit doigt dans mon cul ! Tu aimes la bouffer la chatte à Claudia ? Hein ? Tu aimes la bouffer ?! »
Bien sûr que j’aime la bouffer ta chatte salope. mon sexe est tendu tout droit, mais il se languit de son inaction. Ma jouissance est telle qu’un rien suffirait à le faire cracher sa semence à l’air libre. Mais j’étouffe aussi ! Coincé entre ses fesses, mon nez a du mal à respirer et si elle continue à m’écraser, elle va finir par m’asphyxier ! Quelle mort délicieuse ce serait ! Je pousse son postérieur pour reprendre un peu d’air. Claudia en profites pour se retourner et pouf ! Elle écrase son corps tout du long du mien et d’un coup de langue, elle attrape ma queue en position du 69. Sa masse comprime ma poitrine et je pousse un hoquet de douleur. Mes mains en profitent pour caresser doucement ses courbes harmonieuses, mes lèvres et ma langue parcourent consciencieusement son vagin et son anus et tandis qu’au fond de moi, tout en bas, c’est le paradis ! Ma queue est immergée dans un océan de miel et de douceur ! Sa bouche parcourent toute la longueur doucement, insiste bien sur mon gland violacé prêt à exploser…
« Hooooo ! C’est trop Bon, trop bon Claudia ! Tu es la déesse des bouches à bite ! La reine des suceuses…. »
Claudia comprend, que je ne vais pas tenir longtemps et que je vais cracher dans sa bouche si elle n’arrête pas. Elle se relève, m’enjambe de nouveau et s’accroupit sur mon bassin, ses doigts agiles attrapent ma bite et la glisse bien vite dans sa fente. Ses mouvements verticaux de va et vient font tressaillir l’ensemble des replis de son corps, surtout ses énormes nichons qui rebondissent comme des ballons. Elle accélère le rythme, ses claquement de fesses sur mes cuisses est de plus en plus fort, de plus en plus sonore, je sens qu’elle est en train de monter, elle va bientôt tout lâcher. Moi, Je jouis du spectacle de Claudia qui s’abandonne à l’orgasme. Sa tête dodeline, ses yeux roulent, sa bouche reste ouverte, elle halète de plus en plus vite et se met à gémir de plus en plus fort.
« oui oui oui oui OOOOUUUUUIIIIIII OUUUUUUIIIIIII !!! Je JOUIS JE JOUUUUUUIIIIIIIS ! HAAAaaaaaa ! »
Elle se retire et s’assoit misérablement sur la canapé. Mais moi je n’ai pas finit, je me relève très vite, je lui écarte les jambes et tout debout, j’enfonce mon petit biscuit dans son gros matou. Ca ne dure pas bien longtemps, quelques vifs mouvements de reins et c’est à mon tour d’exploser. Tout en lâchant un gémissement rauque, je lui envoie dans le fond de son ventre trois puissantes giclées bien chaudes.
Je m’écroule bien vite sur elle. L’instant d’avant j’étais tout raide, me voilà transformé en mollusque inanimé. Elle m’enlace, me caresse tendrement le dos et les fesses tandis que je sombre dans le sommeil. Je resterai bien toute la nuit avec elle dans la douceur de ses bras, pour la baiser encore une ou deux fois.
Hélas, bien vite je dois me relever, me doucher me préparer car si je ne rentre pas bien vite, ma femme va finir par soupçonner quelque chose. J’embrasse tendrement ma maîtresse pendant qu’elle me tape sur les fesses.
« Reviens bien vite gros cochon, la Claudia elle a encore faim de ta bite ! »
Ca se passe comme ça, les cinq à sept chez Claudia.
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