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Claire ma nièce

Chapitre 7

Inceste
Elle se saisie de ma main et m’entraine vers sa chambre. Je dois tout laisser tomber.-Dis donc, je trouve que pour une débutante tu as une sacrée faim de sexe, ne deviendrais tu pas un peu nymphomane ?-Et quand cela serait, ce doit être ma nature, on ne peut rien faire contre sa nature, il faut s’y plier, c’est la règle. En tout cas, je découvre l’amour sous toutes ses formes, enfin presque, et j’aime ça. Tu es un excellent professeur.Elle me pousse sur son lit, se jette sur ma ceinture, enlève mes chaussures, mes chaussettes et tire sur mon pantalon. Le me retrouve cul nu en une seconde. J’enlève ma chemise, elle me pousse pour me mettre sur le dos et se jette sur moi. Elle me chevauche comme un cheval. Sa vulve fait ventouse sur mon ventre, elle est déchainée, elle a retrouvé la forme et en profite. Je me laisse aller à cette furie délicieuse. Et puis, je sens une gaine chaude et ruisselante m’envelopper le sexe. Elle s’active sur moi. Je suis face à elle. Je lui pince doucement les tétons. Elle se cambre, elle aime ça.-Encore, plus fort.Je serre un peu plus, elle secoue sa tête violemment, je ne l’ai jamais vu comme ça, mais ça ne fait que deux jours que nous sommes si intimes. Très vite elle se raidi et jouit en silence, intérieurement, en hochant la tête. Je sens son sexe palpiter autour du mien, mais je ne jouis pas et j’en suis heureux, je pressens une autre séance après le diner. Claire se détend et vient se coucher sur moi.-Je suis heureuse tonton. Je sais que ça ne va pas durer, mais je suis très heureuse avec toi. Quoi que tu en dises, je t’aime.-Je sais, moi aussi je t’aime.Elle se redresse.-C’est vrai, tu ne dis pas ça pour me faire plaisir.-Non, je suis obligé de reconnaitre que je t’aime différemment qu’un oncle peut aimer sa nièce, mais cela n’empêche pas que samedi ce sera fini, c’est inexorable.-Je sais et je l’ai intégré.-Tu as de la chance, moi ce n’est pas encore fait.Nous nous levons et retournons à la cuisine. Elle me caresse les fesses pendant que je m’affaire en cuisine.-Beau petit cul, mon tonton a un beau petit cul et j’aime le lui caresser.-Arrête un peu, mets la table sur la terrasse, nous allons manger.-Dis donc, on n’a pas vu les photos, on le fera après manger ?-Oui, d’accord, mais il faut que je les transfère sur ton ordinateur, je vais le faire tout de suite, comme ça va prendre du temps, on pourra manger tranquillement.Je vais faire le transfert des photos pendant que Claire met la table. Nous mangeons dans la bonne humeur, elle nous a placé côte à côte de manière à pouvoir me faire des bisous plus facilement. Elle se comporte comme une gamine qui a un beau jouet. Ça ne me dérange pas, bien au contraire. Le repas terminé, nous allons dans son bureau, le transfert est terminé. Je commence à faire défiler les photos, au début elles sont assez soft, puis l’atmosphère devient de plus en plus sensuel, voir érotique pour terminer à la limite de la pornographie. Sur la majorité des photos, elle regarde l’objectif avec un regard perçant et sensuel. De la voir se donner comme ça à l’objectif, sensuelle, provocante, libre, je ne peux rester indifférent. Je la prends dans mes bras et l’embrasse fougueusement. Elle répond à mon baiser avec passion. Mes mains parcourent son corps, s’attardent sur ses fesses rondes et fermes. J’adore cette sensation d’une peau douce sous la paume de ma main. Ses mains parcourent mon corps, elles aussi s’attardent sur mes fesses. Nous sommes debout serrés voire imbriqués l’un contre l’autre, nos corps ne font qu’un et mon sexe raide fini par trouver le chemin du sien. Elle pose un pied sur une chaise et je la prends debout au milieu de ce petit bureau devant un défilé de photos d’elle se masturbant face à un objectif. Le plaisir arrive vite et nous jouissons ensembles en nous serrant le plus possible l’un contre l’autre pour sentir nos corps vibrer à l’unisson. Nous n’avons pas cessé de nous embrasser. Je suis épuisé, et je vois qu’elle aussi. Je reprends mes esprits, arrête le défilé du diaporama et éteint l’ordinateur. Elle est encore dans les vaps.-Au lit.-Avec plaisir.Nous nous allongeons l’un à côté de l’autre, elle pose sa tête sur mon épaule. C’est un geste qu’elle fait souvent, ça doit la rassurer. Je pose mes lèvres sur son front.-Bonne nuit ma chérie.-Bonne nuit mon chéri.
Je ne réagis pas, je sais qu’elle l’a fait volontairement, elle en a trop envie, mais je ne veux pas la priver de ce plaisir. J’éteins la lumière et nous nous endormons presque instantanément.Je me réveille le matin, elle n’est pas là, mais je sens l’odeur du petit déjeuner. Sa tête apparait dans la porte.-Tu es réveillé mon tonton chéri, il était temps, tu as vu l’heure, je commençais à m’ennuyer.Il est plus de neuf heures, je suis étonné de me réveiller à cette heure, je suis en général très matinal. Il faut croire que la veille a été une journée fatigante. Je me lève et l’enserre dans mes bras en l’embrassant. Elle se colle à moi et répond à mon baiser. Nous allons prendre le petit déjeuner enlacés. Suit la séance de lavage dans la baignoire. Elle aime que je la lave, elle aime sentir une main étrangère parcourir son corps. Cette fille est une sensuelle, sa peau est truffée de capteurs sensoriels, surtout sur la colonne vertébrale, elle réagit à la moindre sollicitation. Elle est sur sa chaise spéciale, ses jambes par-dessus les bords, le sexe ouvert et offert. Je suis agenouillé devant elle ma tête entre ses cuisses à lui brouter le minou. Elle bascule en arrière et me libère ses fesses. Je lui écarte pour poser ma langue sur son anus. Je le titille avec ma langue.-Oui, j’adore, continu, continu, j’aime cette sensation de bien-être que me procure ta langue.Ma langue en pointe, je force sur le sphincter. Elle entre un peu, mais je ne vais pas plus loin, je n’ai pas envie de la sodomiser. Je la lèche, la titille avec un doigt, elle ondule du bassin. Ma bouche remonte, titille le périnée, s’agite dans la vulve pour atterrir sur son clitoris au moment où elle jouit en me plaquant la tête sur son sexe. Je m’abreuve de sa cyprine qui gicle dans ma bouche. Une fois redescendus des nuages et séchés, nous retournons dans la cuisine. Elle a envie d’une tasse de café. Je la regarde s’affairer dans la cuisine, nue et très à l’aise, comme si cette tenue était naturelle pour elle.-Tu te sens bien nue ?-Je suis comme toi, je sais que tu n’aimes pas les vêtements et que tu es toujours nu chez toi. Toi tu es naturiste, je n’ai jamais pu essayer, papa et maman n’étant pas très chauds, mais j’ai toujours adoré être nue et ici je suis très souvent nue quand je suis seule ou avec mon copain du moment.La matinée avance, il faut aller chercher le pain. Je m’en charge pendant que Claire s’occupe de ranger un peu la maison, l’infirmière venant à quatorze heures. Nous préparons tous les deux le repas, en se caressant, s’embrassant comme des gosses. Le repas terminé, il est presque l’heure de l’infirmière et Claire décide d’aller se coucher nue comme elle me l’avait dit. Dix minutes plus tard, on sonne, c’est l’infirmière. Aujourd’hui, elle est en jupe plissée pas très longue, avec un haut ample décolleté rond. Je remarque qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, et toujours ces yeux extraordinaires.-Bonjour mademoiselle.-Bonjour monsieur.-Claire est dans sa chambre.-Ok.Elle se dirige vers la chambre avec sa démarche chaloupée qui fait valser sa jupe d’un côté à l’autre. La piqure dure plus longtemps que la dernière fois, j’entends l’infirmière pester contre je ne sais quoi. Au bout de dix bonnes minutes, elle ressort avec un large sourire. -Nous nous somme mises d’accord pour dimanche, je viendrais vers midi. Vous serez là ?-Non, Claire sera rétablie je pense et de toute manière si ce n’est pas le cas, c’est sa mère qui sera là.-Très bien, au revoir monsieur.-Au revoir mademoiselle.Je vais rejoindre Claire, elle est toute joyeuse.-Tu ne devineras pas.-Quoi ?-Elle m’a fait du rentre dedans d’une manière éhontée.-Qu’est-ce qu’elle a fait ?-Je dois dire que je m’étais caressée en l’attendant et que j’avais la chatte un peu brillante et bien humide. -Tu voulais la provoquer.-Oui je voulais voir jusqu’où elle pouvait aller. Bon, d’abord elle a posé sa valise sur la chaise en me tournant le dos et en se penchant. Avec sa jupe, je n’ai rien perdu de ses magnifiques fesses justes couvertes d’une ficelle de string et entre nous bien bronzées. Ensuite elle s’est penchée sur moi en m’offrant une magnifique vue sur ses seins nus tout aussi bronzés. Quand elle a tiré le drap, à la vue de mon corps nu, et de mon sexe luisant, j’ai vu que ça la secouait, elle s’est mise à trembler un peu. Ses yeux allaient sans cesse de mes seins à mon sexe. Ensuite, elle a cassé une aiguille en voulant remplir sa seringue. Ça l’a énervé. -Oui, je l’ai entendu.-Et pour finir, comme elle doit me piquer dans la cuisse, elle a posé sa main juste sur mon pubis, son pouce à la limite de mon clitoris. Je me suis laissé faire, je dois dire que j’ai aimé ce contact sur ma peau. Quand elle a retiré l’aiguille, elle a frotté plus que normal en allant à la limite de mon sexe. J’ai eu une petite réaction de plaisir. Elle s’en est sûrement rendu compte. Je pense que si elle avait été plus loin, je me serais laissé faire. J’ai eu l’impression qu’elle en crevait d’envie, je crois que j’ai un super ticket, on verra ça dimanche.-Tu ne deviendrais pas un peu lesbienne ?-Et alors, tu m’as fait comprendre que le bonheur se trouve partout. Si c’est une femme qui doit me rendre heureuse, alors j’accepte et je fonce. Tu sais dans les différentes hypothèses de ma maladie, il y en a deux qui, si elle s’avérait être ce que j’ai, ne me laisse pas beaucoup de temps à vivre.-Je t’interdis de dire ça.-Tu as beau m’interdire, c’est un fait et je l’ai intégré. Dis, je dois rester au lit au moins un quart d’heure sans bouger, viens me rejoindre.-Ok, sans bouger.-Bien sûr.Je me déshabille et viens m’allonger à côté d’elle. Elle se blotti contre moi et nous restons là, immobiles pendant vingt bonnes minutes.-Tu sais tonton, je pense toujours à cette fille. Je sens encore la chaleur de sa main sur mon ventre.-Ou lala, je sens que je vais être vite oublié.-Ne dis pas ça, tu sais que je ne t’oublierais jamais.-Bien sûr je resterais toujours dans une petite partie de ton cœur, mais le reste de ton cœur ira à quelqu’un d’autre, et c’est tant mieux. Je n’aimerais pas que tu restes seule, tu dois être heureuse avec qui que ce soit, homme ou femme, et ça le plus vite possible.-Ça ne te fera rien de me voir avec quelqu’un d’autre.-Non, si tu es heureuse, je le serais aussi. C’est très bien que tu penses à cette fille, cela prouve que tu restes ouverte aux autres. Au fait, comment s’appelle-t-elle ?-Je ne sais pas, mais j’ai sa carte sur la table de nuit.Je trouve la carte.-Tamara xxx. Ces parents devaient être fans de Serges Laforest.-A bon pourquoi tu dis ça ?-Serges Laforest était un écrivain d’une série de romans d’espionnage que lisaient mes parents dans les années soixante, ses héros faisaient partie d’une agence de renseignement américaine et étaient mariés. Lui, c’était Gonce et elle Tamara. C’étaient plutôt des tueurs, des exécuteurs des basses œuvres.-Tamara, c’est très beau comme prénom, ça me plais. Tamara, Tamara, oui décidemment ça me plais beaucoup.-Bon je crois qu’on peut se lever maintenant.-Pourquoi, on n’est pas bien dans mon lit ?-Oui, mais je sais comment ça va finir, et j’ai d’autres projets, que dirais-tu d’une petite balade à la campagne. Il fait chaud, je connais un coin dans une forêt ou nous serons bien.-Ok, j’enfile quelque chose.
A suivrezooph34@gmail.com
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