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Claire, l'ange de ma vie

Chapitre 3

Notre première nuit

Inceste
— S’il te plaît, continue Thomas.
Oui, je viens bien d’entendre ce que j’ai entendu. Claire, la femme que je considère comme ma mère, me demande d’aller encore plus loin dans les caresses, déjà très intimes, que je suis en train de lui prodiguer ! Ma main toujours sur ses fesses, je la regarde alors dans les yeux et j’y vois plusieurs émotions s’y refléter : l’amour, l’envie, mais également de l’appréhension. Je ne sais pas quoi faire : d’un côté, l’excitation a gagné tout mon corps, et une première voix dans ma tête me dit de lui donner ce qu’elle désire. Et elle n’est pas loin de gagner, il suffirait d’un autre mot de la part de Claire, ou d’une simple caresse pour que toute raison disparaisse de mon esprit.
Mais d’un autre côté, je ne veux pas abuser de la situation, et une seconde voix me crie de ne pas faire ça à ma mère adorée. À ce moment-là, une question émerge dans ma tête, et a pour effet de drastiquement diminuer mon envie : ne ferait-elle pas ça uniquement pour me « soulager » de la tension qu’elle pense avoir installée entre nous ?
— Je suis désolé, Claire, mais je ne peux, et ne veux pas te faire ça.— Tu ne fais rien de mal, je t’assure.— Si tu veux m’en convaincre, regarde-moi droit dans les yeux et dis-moi que c’est ce que tu veux.
Elle ouvre alors la bouche, mais aucun mot n’en sort, confirmant ce que je craignais. Elle est tout aussi perdue que moi, et a failli laisser ses pulsions prendre le dessus sur sa conscience. Je mentirais si je disais que tout est limpide dans ma tête à cet instant, je pouvais même entendre la seconde voix dans ma tête me dire : mais bordel, tu es vraiment con ?! Elle te veut, tu la veux, vous êtes adultes et consentants, alors donne-lui ce qu’elle te demande !Claire baisse la tête et se mord légèrement le majeur, une habitude qu’elle a souvent quand elle est dans une période de stress intense. Nos pulsions commencent doucement à se dissiper. Mais alors que je m’attends à ce qu’elle ait la même réaction que sur la plage la veille, elle redresse la tête et me lance un de ses magnifiques sourires qui ont le don de m’apaiser. Je la reprends dans mes bras, sans geste ni intentions déplacés cette fois, et cale ma tête sur son cou.
— Je suis sincèrement désolé pour ce débordement, Claire.— Ne t’en fais pas, nous étions deux. C’est à moi de m’excuser, je suis censé veiller sur toi, et pas te causer des tourments.— Je vais être honnête avec toi : oui, j’en ai eu envie pendant un moment. J’ai eu envie de t’écouter et d’aller plus loin.— Je l’ai sentie, répondit-elle en souriant pour détendre l’atmosphère. Puisqu’on en est aux confidences, puis-je te poser une question ?— Bien sûr.— As-tu déjà imaginé ce genre de scène, et même plus, avec moi ?— Non jamais. Cela n’a commencé qu’hier soir, après... Après la plage. Je te respecte et t’admire beaucoup trop pour avoir de telles pensées envers toi.— Tu es un amour Thomas. J’ai vraiment beaucoup de chances d’être tombé sur un enfant comme toi.— C’est grâce à toi que je suis comme ça.
Pendant quelques minutes, nous restons dans cette position, l’un contre l’autre. Je ferme les yeux en écoutant le cœur de Claire se calmer au fil des secondes, pendant qu’elle me caresse tendrement les cheveux, cela me calme toujours instantanément. Je ne veux pour rien au monde mettre un terme à cette étreinte qui encore aujourd’hui, reste la plus tendre et la plus fusionnelle que nous ayons eue. Mais nous sommes conscients, sans même nous le dire, qu’il y a un risque que tout dérape une nouvelle fois, et nous ne sommes pas prêts à cela.Claire se lève donc après m’avoir déposé un baiser sur mon front, et sort de la chambre. Juste avant de fermer la porte, elle se tourne vers moi.

— Une dernière confidence : si nous en étions venus à aller plus loin, sache que je ne me serais pas sentie forcée.
Puis elle ferme la porte, me laissant seul avec cette information. Autant vous dire que le sommeil n’est pas vraiment des plus faciles à trouver, et il me faut attendre que les premiers rayons de soleil se lèvent pour que j’arrive enfin à dormir un peu.
Le lendemain matin, Claire vient me réveiller avec sa bonne humeur et son sourire habituel. J’ai encore la tête dans le cul oui, mais je suis plus qu’heureux de la retrouver comme avant le début de cette histoire. Nous avons ce jour-là un gros planning, nous voulons faire le tour des villages de la région avant de revenir au centre-ville pour profiter des terrasses des restaurants, et des spécialités locales. Je me douche rapidement, et nous sommes partis pour notre excursion.
Tout se passe à merveille, nous sommes réellement emportés par notre visite, et nous intéressons réellement à l’histoire et à la beauté de la région, alors que je ne suis pas le genre de touriste à s’intéresser à ces choses-là en général. Je ne sais pas, peut-être que sa gaieté et son enthousiasme ont finalement déteint sur moi, il n’empêche que cette journée est réellement géniale. La seule ombre au tableau est une violente averse qui nous oblige à faire le tour de l’avant-dernière étape de notre itinéraire en voiture.
Quand le soleil commence à descendre, nous décidons de retourner en ville, histoire de prendre notre temps pour trouver une place de parking proche du restaurant où nous allons dîner. Claire mange avec beaucoup d’appétit, mais moi... Un peu moins. Elle a choisi un restaurant de fruit de mer, et, à cette époque, ce n’est pas trop ma tasse de thé. Mon repas se compose donc principalement de pain, de fromage, d’une part de gâteau et de deux verres de vin blanc.
Quand le soleil commence à descendre, nous décidons de retourner en ville, histoire de prendre notre temps pour trouver une place de parking proche du restaurant où nous allons dîner. Elle a choisi un restaurant de fruits de mer, et, à cette époque, ce n’est pas trop ma tasse de thé. Mon repas se compose donc principalement de pain, de fromage, d’une part de gâteau et de deux verres de vin blanc. Le serveur apporte l’addition, et je sors immédiatement la carte.
— Non, mais tu n’es pas sérieux ?— Bien sûr que si, c’est toi qui as payé tout le reste, alors je te dois au moins ça.— Tu peux être sacrément têtu quand tu t’y mets.— Je me demande bien de qui je tiens ça.— Très bien, alors dans ce cas, laisse-moi au moins te payer ça.
Elle me montre du doigt une grande roue située dans la rue juste derrière, et qui surplombe tout le pâté de maisons. Elle adore cette attraction, c’est d’ailleurs la seule dans laquelle elle accepte de monter encore aujourd’hui, mais pas moi. Disons que plus je reste près du sol, mieux je me porte.Je prends donc sur moi, refoule mon vertige en me disant que cette roue est hyper-sécurisée, et nous montons dans l’une des nacelles. Les premiers instants ne sont vraiment pas agréables pour moi, chaque secousse due à l’arrêt de l’énorme machine pour faire entrer d’autres passagers me fait stresser de plus en plus. Mes jambes commencent à trembler d’elles-mêmes, et Claire est bien amusée.
— Ça, ça s’appelle le Karma mon grand. Tu t’es bien moqué de moi le mois dernier dans les montagnes russes, maintenant, c’est à mon tour de me régaler.— Oui sauf que les montagnes russes, ça passe vite. Là, la souffrance dure pendant plusieurs minutes.— Oh pauvre chérie ! C’est une vraie souffrance d’être enfermé là-dedans en hauteur. Regarde le paysage, ça te calmera.
Je tourne la tête en direction de la vitre, et un joli spectacle s’offre en effet à nous. Le soleil se couchant donne au ciel et aux bâtiments une belle lueur orangée, les lampadaires dans les rues s’allument les uns après les autres, traçant le chemin des routes et des trottoirs. Et surtout, Claire, le visage presque collé contre le verre, qui arbore un grand sourire. Jamais je ne m’en laisserais de ses sourires. Même les rafales de vent qui faisaient légèrement trembler la nacelle ne suffisent pas à me faire détacher les yeux d’elle.
C’est à ce moment que je remarque un détail auquel je n’ai absolument pas prêté attention depuis ce matin : sa tenue. Elle porte un ensemble noir constitué d’un fin chemisier à longue manche ample, et une longue jupe de la même couleur sur laquelle est imprimée la même vague que sur la célèbre estampe d’Hokusai. Cet ensemble, c’est moi qui lui ai offert pour son anniversaire il y a deux ans, et elle m’avait alors dit qu’elle le mettrait pour des occasions spéciales, comme des soirées d’anniversaire, ou même plus récemment, l’obtention de mon bac.
Après plusieurs minutes de contemplation silencieuse, Claire brise finalement le silence.
— Tu sais pourquoi j’aime autant monter aussi haut dans ces roues ? — Non.— Parce que cela me permet de faire le point. Voir d’où je suis partie, où j’en suis actuellement, et où je veux aller. Réfléchir à quoi faire par la suite.
Doucement, mais sûrement, je comprends finalement pourquoi elle portait cette tenue, et pourquoi elle voulait tant monter dans cette roue. Elle a fait son choix.
— Et donc, que vas-tu faire maintenant ?
Elle détourne la tête de l’horizon pour plonger son regard dans le mien, et m’adresse un sourire que je n’ai encore jamais vu chez elle. Je peux toujours y voir sa bienveillance, mais il y a quelque chose d’autre, quelque chose qu’il m’est très difficile de décrire, mais qui, en cet instant, fait de Claire la plus belle femme que je n’ai jamais vue.
— Tout dépend de toi, dit-elle d’une voix douce.
Il ne s’écoule que quelques secondes entre sa dernière phrase et le moment où les portes de notre nacelle s’ouvrent pour nous laisser sortir, mais cela m’a semblé durer une éternité. Une éternité durant laquelle je pèse le pour et le contre de ce que nous nous apprêtions à faire. Mais il y a un problème : je ne trouve pas un seul point qui me ferait retrouver le chemin de la raison. En guise de réponse, je ne peux dire qu’un mot :
— Rentrons.
La nuit commence à tomber quand nous arrivons finalement dans notre location. Aucun de nous n’a osé dire quoi que ce soit durant le chemin de retour, pour ma part, c’est l’appréhension, mais surtout l’excitation de ce que nous nous apprêtons à faire qui m’a empêché d’ouvrir la bouche.
Il ne me faut pas longtemps pour sauter sur Claire une fois la porte d’entrée fermée. Je saisis son visage dans mes mains et colle immédiatement ses lèvres sur les miennes. Contrairement à hier soir, il n’y a plus aucune hésitation, j’assume complètement mon désir pour elle, et je lui montre par de fougueux baisers. Notre magnifique journée a brisé en moi les dernières limites qui ont retenu mes pulsions de la veille. Tout a été parfait jusqu’à là et, étrangement, l’accompagner dans cette expérience est pour moi la suite logique des choses.
Je la plaque doucement contre le mur en continuant mes baisers, tandis que mes mains commencent à descendre vers ses hanches, en effleurant délicatement sa poitrine. Elle ouvre plus grand la bouche pour laisser passer sa langue, à la recherche de la mienne, que je lui concède immédiatement. Nos corps sont collés l’un à l’autre, sa poitrine contre mon torse, mon sexe dressé à travers mon pantalon contre sa longue jupe. Nous en voulons plus. Ma main gauche passe alors sous son haut pour effleurer son soutien-gorge, mais...
— Attends Thomas.— Qu’est-ce qu’il y a ? Tu as changé d’avis ?— Non, ce n’est pas ça. J’aimerais juste prendre une douche avant.— Maintenant que tu le dis, j’en aurais besoin moi aussi.— Tu... Tu veux qu’on la prenne ensemble ?
Elle ne me laisse même pas l’occasion de répondre. Ses mains m’enlèvent mon tee-shirt, tout se frottant contre mon torse au passage. Pour la première fois, je vois dans son regard du désir, et contrairement à hier soir, elle ne cherche même pas à le cacher.Une fois mon haut par terre, elle me prend la main et m’emmène dans la salle de bain. À l’intérieur, elle me tourne le dos pour se déshabiller, retirant en premier sa longue jupe pour me dévoiler une magnifique culotte noire en dentelle, qu’elle fait aussitôt tomber pour que je puisse admirer ses fesses : petites, mais fermes et appétissantes. Elle retire ensuite son débardeur pour laisser apparaître un soutien-gorge dans la même matière. Je ne me prive pas pour m’approcher d’elle, lui enlever moi-même son soutien-gorge, et prendre sa poitrine pleinement dans mes mains tout en couvrant son cou de baisers.
— Déshabille-toi et rejoins-moi sous la douche.
Elle me repousse d’un léger coup de fesses, et fait couler l’eau tout le long de son corps. Ni une ni deux, mon pantalon se retrouve également par terre, et je rentre dans la douche, admirant la beauté qu’y s’offre à moi. De beaux tétons marron dressés par l’excitation, ses petits poignets d’amour et son sexe entretenu me donnent l’une des plus grosses érections de ma vie. Finalement, je laisse mon corps parler à ma place.Je la plaque contre la paroi de la douche, avec plus de fougue que tout à l’heure. Ma langue lèche avidement ses tétons, qui se dressent encore plus dans ma bouche, et ma main gauche va directement caresser son intimité. Ses lèvres sont déjà bien humides, elle doit penser à cet instant depuis un bon moment. Ma langue suit l’eau coulant le long de son corps, et arrive jusqu’à son entrejambe où je goûte à son jus. Je la vois alors fermer les yeux pour pleinement se concentrer sur ma langue, et laisse échapper quelques gémissements.
— Tes sons sont tellement mignons Claire.— Tais-toi idiot, dit-elle à moitié amusée et à moitié gênée. Continue.
J’obéis, et prends rapidement en bouche son clitoris déjà gonflé. Ses mains appuient sur ma tête pour mieux sentir ma langue et ses gémissements, d’abord discrets, se font de plus en plus fort au fur et à mesure de mes coups de langue. J’entre d’abord un doigt en elle juste par précaution, mais j’avais grandement sous-estimé l’excitation dans laquelle elle se trouvait. C’est comme si mon doigt était aspiré ! Alors je ne me prive pas pour en introduire un deuxième, puis un troisième. Plus les secondes passent, plus sa mouille coule le long de ma main, et plus ses jambes tremblent sous le plaisir toujours plus intense.
— Plus vite s’il te plaît ! Prends-moi plus vite !— Tes désirs sont des ordres.
J’accélère la cadence et je la doigte comme jamais je n’ai doigté une femme. Il ne lui faut pas longtemps avant qu’elle ne commence à crier son plaisir, jusqu’à ce qu’elle laisse échapper l’expression de sa jouissance. Son sexe se contracte autour de mes doigts, et elle est obligée de s’appuyer contre la douche pour ne pas tomber.
— C’est à mon tour maintenant, dit-elle en reprenant sa respiration.
Elle se met à son tour à genoux devant moi, le jet d’eau coulant de ses cheveux jusqu’à ses fesses, puis commence à me sucer sans hésiter une seule seconde. Alors ça, je ne l’avais pas prévu ! Sa langue joue d’abord avec mon gland, et elle sait y faire. C’est trop bon ! Claire me prend entièrement dans sa bouche en alternant soit des va-et-vient lents et sensuels, soit de manière rapide, faisant ressortir toutes ses envies les plus secrètes... Et interdites. Mais le plus fou dans cette fellation déjà géniale, c’est le regard de ma partenaire : me fixant droit dans les yeux, elle me fait comprendre sans rien dire que ce n’est que le début.Le problème, c’est qu’elle est vraiment douée, et comme je n’ai rien fait avec une fille depuis plusieurs mois déjà, il ne me faut pas longtemps avant d’arriver au bord de la jouissance.
— Je vais jouir, tu devrais arrêter.
Mais elle ne m’écoute pas, au contraire. Elle me pompe encore plus vite, et me fait jouir dans une explosion de plaisir sans arrêter de me sucer. Sa bouche ne se sépare de mon sexe qu’après qu’elle s’est assurée d’avoir tout bien avalé. Elle m’embrasse ensuite de manière très sensuelle, puis coupe la douche en tendant bien ses fesses sur mon sexe. Décidément, j’adore cette nouvelle facette de Claire.Nous prenons quand même le temps de nous essuyer, puis partons nus dans sa chambre. Aussitôt à l’intérieur, je l’allonge sur le dos et grimpe sur elle pour l’embrasser de manière assez bestiale. Mon sexe de nouveau prêt, je m’introduis en elle très facilement, la coquine étant extrêmement humide, et elle me fait vite comprendre de ne pas la faire attendre.
— Han putain c’est bon ! Prends-moi Thomas, montre-moi l’homme que tu es devenu.
Je ne me fais pas prier et la pilonne de plus en plus fort. Le sexe chaud et humide de Claire de plus en serré autour de moi, le contact de nos corps chauds collés l’un à l’autre, et ses gémissements qui se transforment rapidement en cri de plaisir. Tout est absolument parfait ! Je n’ai pas honte de le dire : je prends le plus gros pied de ma vie à coucher avec elle ! Ses seins sont secoués à chacun de mes coups de reins et ma bouche, comme attirée par un appât, s’empresse de venir les sucer l’un après l’autre.
— Plus fort ! Prends-moi encore plus fort, han oui !
Mes hanches claquent contre ses cuisses, et je m’enfonce de tout mon long en elle à chacun de mes coups. Ses jambes se ferment alors autour de ma taille, me montrant qu’elle me veut moi tout entier. Je compte bien lui donner satisfaction. Après encore quelques minutes de cet intense traitement, je n’en peux déjà plus, et j’éjacule tout ce qu’il me reste en elle. Son sexe chaud comprimant le mien, ses jambes m’emprisonnant dans une étreinte torride, et ses cris résonnant comme une musique à mes oreilles font que je ne cherche même pas à me retirer. Je veux éjaculer tout ce qu’il me reste en elle, et je ne me prive pas pour le faire.
Épuisés, mais pleinement satisfaits, nous passons ensuite une bonne dizaine de minutes sans rien dire, cherchant à reprendre notre souffle, blottis dans les bras de l’autre. Mes impressions de départ ont finalement été les bonnes : cette journée a été parfaite, et faire l’amour avec Claire a été tout simplement extra. Nous ne nous sommes pas trompés, nous avons bien fait de nous laisser aller dans cet interdit qu’est l’inceste.
— Merci, Thomas, me dit-elle en me caressant le visage. Merci pour aujourd’hui, pour ce soir. Merci pour tout.— Je t’aime Claire, plus que tout.— Moi aussi.
Nous nous embrassons tendrement une dernière fois avant de nous endormir nus dans notre étreinte. Il nous reste encore une vingtaine de jours de vacances, et je compte bien en profiter au maximum.
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