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Claire, l'ange de ma vie

Chapitre 4

Le fantasme de Claire

Inceste
J’ai énormément de mal à me réveiller ce matin, le soleil est déjà haut dans le ciel, mais Claire dort encore à côté de moi. En même temps, nous avons eu une grosse journée, me réveiller nu dans le même lit qu’elle me prouve que c’est bien réel. C’est vraiment une très belle femme, et je ne peux m’empêcher de la prendre dans mes bras pour sentir de nouveau sa chaleur. Je tente de résister, mais sa peau douce me donne envie de lui donner de petites caresses dans le dos, ce qui ne manque pas de la réveiller.
— Bonjour mon grand, me dit-elle avec un doux sourire. Tu as bien dormi ?— Je ne pouvais que bien dormir après ce que nous avons fait hier soir.— C’est vrai que c’était intense. Tu m’as vraiment donné beaucoup de plaisir.
Elle se colle à moi et m’embrasse en glissant sa langue dans ma bouche. Je reprends immédiatement la même vigueur que la veille, mais étant nu, je n’ai aucun moyen, et aussi aucune envie, de la cacher.
— Oh, on dirait que tu es de nouveau prêt.— Excuse-moi, ce n’est sûrement pas ce que tu veux.— Et si c’était le cas ? Que ferais-tu ?
Claire descend sa main droite jusqu’à mon sexe et commence à lentement le caresser. Je n’ai pas pris le temps de le remarquer hier soir, mais la peau de ses mains est tout aussi douce que celle de cou. J’ai l’impression de fondre ! Ne voulant pas être le seul à avoir du plaisir, je commence à caresser sa douce toison avec ma main, mais elle m’arrête aussitôt.
— Tu t’es réellement bien occupé de moi hier soir, alors c’est mon tour maintenant.
Elle me couche sur le dos, et me mordille l’oreille avant de murmurer :
— Je vais te donner plus de plaisir que tu n’en as jamais reçu dans toute ta vie.
Elle ne s’arrête que quelques secondes, histoire de prendre une des pilules de sa plaquette, située dans la table de nuit. Oh putain la pilule ! J’avais complètement oublié ce détail ! Heureusement, au vu de l’état de la plaquette, elle semble la prendre de manière régulière. La voir l’avaler me rassure sur deux points : premièrement, il n’y a pas de risque que notre écart d’hier ait entraîné un évènement imprévu ; deuxièmement, il m’est possible de me déverser entièrement en elle une nouvelle fois.
Immédiatement après avoir rangé la plaquette, Claire me chevauche et colle son sexe déjà bien humide contre ma verge bien dure. Elle se frotte dessus lentement, très lentement, profitant de chaque centimètre de ma chair qui vient se frotter contre la zone la plus sensible de son anatomie. Ses lèvres sont épaisses, et je peux facilement sentir son clitoris sur moi. Chaque mouvement l’excite davantage, si bien qu’en quelques instants, mon sexe est complètement recouvert de cyprine.
— Hum, tu aimes donc vraiment m’entendre gémir petit coquin ?
— Oui, j’adore. Tes gémissements sont tellement excitants.— Hum, alors profites-en bien. Ils ne sont que pour toi.
Tout en me regardant dans les yeux, elle ouvre grand la bouche pour laisser sortir de longs et doux gémissements. Je ne perds pas une miette ni aucune note de ce magnifique spectacle, et prends ses deux seins à pleines mains pour pincer ses tétons, les faire rouler sous mes doigts, et augmenter le volume de ses gémissements. Mais ce qui m’excita le plus, et me fait bander encore plus fort, c’est son regard. Un regard à la fois tendre, mais également rempli de désir qu’il me faut absolument combler. Le regard de la mère a définitivement disparu pour laisser place à celui d’une femme. Je fais donc également des mouvements avec mon bassin pour accentuer nos caresses intimes, et Claire s’effondre sur moi, me donnant accès à son plus grand point faible : son cou.
Je l’embrasse et le lèche plus intensément que la veille, tout est bon pour la faire gémir de plus en plus fort. Mes mains font des allers-retours entre ses fesses et sa nuque, en insistant comme la veille sur la colonne. Elle se redresse difficilement pour de nouveau être assise sur mon sexe.
— C’est maintenant à moi de te montrer comment je fais l’amour. Profite bien mon chéri.
Claire s’empale alors sans aucune difficulté sur ma verge jusqu’à la base tellement elle mouille. Son bassin ondule doucement, profitant du contact de chaque centimètre de mon sexe en elle. Je n’ai jamais ressenti cela en faisant l’amour. Ça dépasse le simple plaisir de pénétrer une femme, c’est comme si, à cet instant précis, nous étions en train de fusionner Claire et moi. Je profite de cet instant, je veux qu’il soit à jamais gravé en moi, avant de laisser nos instincts sauvages reprendre le dessus.
Ma sublime partenaire décide subitement d’accélérer les choses, et commence alors de puissants va-et-vient sur moi. À chaque aller-retour, ses fesses claquent contre mes jambes, et nous pouvons entendre le bruit indécent de mon sexe qui entre et sort de son jardin secret. Sa mouille coule abondamment le long de mon engin, qui se met à durcir encore plus, pour le plus grand plaisir de Claire.
Ses gémissements se transforment en râles, qui à leur tour font rapidement place à des cris. Des cris de plaisir intense qui n’ont absolument rien à voir avec ceux de la veille. Ses forces finissent par l’abandonner, et ses mains se posent sur mon torse pour lui servir d’appui. Elle continue ses mouvements, mais je vois bien que l’orgasme est proche, et que ses jambes commencent à la lâcher.
— Han, fais-moi jouir Thomas !— Et comment on dit ?— S’il te plaît !— S’il te plaît quoi ? Je n’ai pas bien entendu.
Oui, j’avoue, je prends du plaisir à la taquiner si proche de l’orgasme, mais son regard et ses gémissements sont tellement excitants que j’ai envie d’en profiter le plus possible.
— S’il te plaît, Thomas, fais-moi jouir ! Je sens que ça vient !
Je m’agrippe à ses fesses et commence à la pilonner de toutes mes forces, tout son corps tremble sous l’impulsion de coups de reins. Je ne me retiens absolument pas, je suis une bête, et elle est ma proie ! Mes derniers mouvements de bassins sont violents et, comme hier soir, je viens au plus profond de son intimité afin d’éjaculer tout ce que je peux. Elle tombe alors dans mes bras et nous restons ainsi, l’un dans l’autre, pendant une bonne dizaine de minutes.C’est Claire qui se lève la première, légèrement chancelante après ce que nous avons fait.
— Même si l’envie est là, nous n’allons pas passer toutes nos vacances dans ce lit pas vrai ?— Cela ne me dérangerait pas non plus.— Mais il nous reste encore pas mal d’activités à faire et de lieux à visiter. J’ai longtemps attendu ces vacances, alors tu te lèves, on déjeune et on se bouge. Allez !
Bien que je sois plus qu’heureux d’avoir découvert une nouvelle facette de Claire, je suis tout de même content de voir que cela n’a rien changé à sa façon d’être en temps normal. Le programme ne change pas lui aussi, nous suivons toujours les envies touristiques de ma mère, et passons une grande partie de nos journées dehors. Il y a bien deux choses qui changent : la première est comment nous nous montrons en public ; nous n’hésitons pas à nous prendre la main, ou à nous tenir vraiment très près l’un de l’autre. Personne ne nous connaît ici, nous pouvons donc nous montrer sans crainte. La deuxième chose qui a changé par rapport à nous deux premiers jours est le petit jeu auquel nous nous adonnons pour exciter l’autre sans se faire prendre.
Une caresse sur les fesses au moment de rentrer ou sortir de la voiture, quelques baisers bien appuyés dans le cou durant une visite guidée, ainsi que des sous-entendus, tout est bon pour donner à l’autre l’envie de se sauter dessus dès l’instant où nous serons rentrés. Oui, nous ne passons pas une journée sans faire l’amour au moins deux fois. Plus nous le faisons, plus Claire se lâche et laisse ressortir tous ses désirs sexuels qui n’ont pas été comblés depuis longtemps. Car oui, Claire reste une femme avant d’être ma mère, et c’est une femme qui peut être très gourmande, pour mon plus grand plaisir.
Un après-midi, après m’avoir laissé dormir toute la matinée, elle nous emmène sur un des quais de la ville pour louer un bateau pendant trois heures. Il ne faut pas longtemps au moniteur pour nous apprendre comment nous servir d’un de ses bateaux, puis nous nous éloignons un peu de la côte. Nous pouvons entendre au loin les échos des baigneurs sur la plage et le cri des mouettes, mais nous sommes bien isolés et c’est justement ce que Claire veut.
— Je reviens, je vais me changer, dit-elle en coupant le moteur du bateau.
Elle revient de la cabine deux minutes plus tard, et c’est seulement en voyant sa tenue que je comprends son petit jeu. En temps normal, elle porte un maillot de bain deux pièces qui couvrent bien sa poitrine et son bassin, mais là, elle ne porte qu’un petit maillot extrêmement court qui ne laisse que très peu de place à l’imagination. Elle s’approche de moi avec un déhanché très sexy, colle sa bouche à mon oreille.
— Est-ce que je t’ai déjà dit que le faire sur un bateau est mon plus grand fantasme ?— Non Claire, tu ne me l’as jamais dit.— Ici, je ne suis pas Claire, mais ta capitaine !
Elle me couche alors violemment contre le plancher du bateau, et se positionne en 69 au-dessus de moi. J’ai alors une magnifique vue plongeante sur son sexe à peine caché par le string noir.
— Alors, qui suis-je matelot ? demande-t-elle d’une voix sensuelle et autoritaire.— Ma capitaine.— C’est exact ! Et ta capitaine a grandement besoin de compagnie. Alors, occupe-toi de moi.— À vos ordres mon capitaine !
Je suis le plus heureux des hommes ! Nous passons une grande partie de l’après-midi dans ce jeu de rôle très excitant, où Claire laisse ressortir toute son autorité. Missionnaire, levrette, amazone, nous pratiquons plusieurs positions partout sur le bateau, sans retenir nos cris et nos gémissements. Nous sommes assez éloignés de la côte pour ne pas nous faire attraper, et même si on nous entendait, nous sommes trop loin pour être vus.
J’aime à penser que je suis un homme résistant, qui tient la cadence et donne beaucoup de plaisir à sa partenaire. Mais là, Claire est tout simplement en train de me mettre KO. Elle m’a déjà fait jouir deux fois en elle, mais elle en veut encore. Elle est déchaînée aujourd’hui ! Au bout de la troisième éjaculation, je craque. Je m’affale sur le plancher et me laisse bercer au rythme de vagues qui secouent le bateau. Je suis incapable de continuer, mais heureusement, Claire est à bout elle aussi. Elle s’allonge à côté de moi, une quantité non négligeable de sperme coulant le long de sa jambe.
— Bravo matelot, tu as fait du très bon travail, dit-elle satisfaite et amusée. Tu as quartier libre pour le reste de la journée.
Nous nettoyons rapidement le bateau, allons le rendre au moniteur une fois les trois heures écoulées, et rentrons profitons d’un verre bien frais. Nous ne faisons rien d’autre ce soir-là, ni sortie ni sexe, je suis trop crevé !
Puis finalement, ce qui devait arriver arriva, et nous voilà déjà le dernier jour de nos vacances entre mère et fils, et pour ce dernier jour, Claire ne veut pas sortir. Elle veut que nous passions cette dernière journée avec moi uniquement, dans « notre petite bulle » comme elle aime si bien l’appeler. Nous jouons à des jeux, discutons de tout ce que nous avons vu jusqu’à présent, et évidemment, préparons nos affaires pour partir tôt le lendemain.
Le soleil est déjà couché, cette journée est vraiment passée trop vite. Nous n’avons rien fait au lit, mais j’ai adoré passer juste un moment tranquille avec Claire, ce genre de moments pour lesquels nous sommes partis à la base. Je range la dernière vaisselle, puis je monte rejoindre ma compagne dans son lit. Elle sort tout juste de la douche, et m’attend nue en dégageant une délicieuse odeur, mais les préparatifs du retour nous ont tellement épuisés que nous nous contentons d’un simple câlin avant de nous endormir.
Le lendemain, nous partons tôt le matin, mais je ne m’attendais pas à ce qui allait arriver une fois rentrer.
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