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Claire ma nièce

Chapitre 6

Inceste
Il est presque dix-huit heures, elle a dormi plus de trois heures. Je vais la rejoindre.-Pipi.Je lui souris, l’aide à se relever, et l’amène aux toilettes en lui enserrant la taille. Elle passe un bras au-dessus de mon épaule et se colle à moi. Je sens son sein contre mon flan, ses hanches contre mes hanches. Je ne peux empêcher mon sexe de se redresser. Evidemment elle remarque la bosse qui grandi dans mon pantalon.-Et tu dis que je ne te fais pas d’effet ?-Arrêt, tu connais très bien l’effet que tu me fais, seulement je n’en suis pas très fier.Je l’assoie sur les toilettes et quitte la pièce. Très vite elle me rappelle pour l’amener dans le salon, elle veut voir une émission sur le satellite. Je l’installe confortablement sur le divan, tire les rideaux, elle est toujours nue et ne veut pas s’habiller. Je commence à préparer le diner, Claire, sachant que je cuisine très bien, m’a demandé de lui faire un saumon à l’oseille, et il faut préparer la sauce qui demande un certain temps de cuisson.Le repas se passe bien, elle a pu se mettre à table et je n’ai pas eu besoin de l’aider. Ça va mieux. Après le repas, je l’allonge sur le divan pour qu’elle puisse regarder la télévision. Elle est vite lassée des différentes émissions disponibles et me demande de l’amener dans son lit. Je la fais patienter pour le retaper un peu. Je l’allonge sur le drap, elle me prend par le cou et m’attire à elle, elle est insatiable. Je me laisse entrainer et tombe sur sa bouche pour un long baiser. Je fini par réussir à me libérer.-Viens te coucher tonton.-J’arrive ma chérie, juste un petit problème à finaliser sur mes mails. Je suis là dans cinq minutes.-Pas plus ou je cri.-Ne t’en fais pas.Je règle très vite le petit problème et viens dans sa chambre ou je me déshabille tout de suite.-Tu as compris ce que j’attendais de toi.-C’est facile, tu n’attends qu’une chose de moi, te faire jouir.-Oui, et c’est parce que tu le fais très bien. J’aurais appris en trois jours avec toi plus que je n’aurais pu espérer apprendre avec tous ces petits merdeux qui ne savent que tremper leurs vits dans ma vulve, comme tu dis, et se faire jouir sans penser à moi. Toi au moins, tu sais me faire jouir, quitte à te priver de plaisir, tu t’occupes de ta partenaire.-C’est l’expérience, d’un autre côté, avec mon âge, je n’ai plus cette capacité à me régénérer aussi vite qu’eux.-C’est peut être égoïste, mais je te préfère à tous ces imbéciles. Viens contre moi, j’ai envie de sentir ta peau contre la mienne.Je m’allonge à côté d’elle, peau contre peau. Elle ferme les yeux, pose sa tête contre mon épaule et je sens qu’elle est très calme, en pleine zénitude. Sa respiration ralentie, je suis moi aussi envahi par une sorte de lassitude et je fini par m’endormir contre elle. Quand je me réveille, elle à moitié sur mon torse, une jambe sur ma cuisse et un bras autour de mon cou, elle dort à point fermé. Je remarque qu’elle a suffisamment récupérer de force dans les jambes pour pouvoir en monter une sur ma cuise. C’est une excellente nouvelle pour elle. Je ne peux bouger de peur de la réveiller. Je reste un moment immobile jusqu’à ce qu’elle bouge et me dégage la cuisse. Je réussi à le lever sans la réveiller et vais faire ma toilette et le petit déjeuner, il est un peu plus de huit heures du matin. Je suis dans la cuisine quand je la vois soudain nue dans l’encadrement de la porte.-Tonton, mes jambes sont revenues, je peux marcher à peu près normalement, regardes c’est super.Je viens vers elle et elle se jette dans mes bras pour poser ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un baiser passionné, mes mains parcourent ce corps enfin libre de ses mouvements. Quand ma main descend le long de sa colonne vertébrale, elle se raidi et m’embrasse avec encore plus de passion. Elle sent mon sexe se redresser contre son ventre. Tout en continuant à m’embrasser, elle recule vers sa chambre en m’entrainant avec elle. Nous basculons dans son lit, elle se débrouille pour me mettre sur le dos, et, dans le même mouvement, mon sexe s’enfonce dans le sien. Elle est à califourchon sur moi, maintenant qu’elle a retrouvé l’usage de ses jambes, elle dirige la manœuvre. Elle monte et descend sur mon sexe, les yeux fermés, le souffle court, je vois pour la première fois ses narines palpiter. Elle a ses mains sur ma poitrine et se défonce la chatte sur ma bite. Je la sens se crisper, elle se raidi, son ventre se crispe, son sexe se contracte et elle jouit dans un grand grondement sourd en m’inondant le ventre par petits jets.-Viens tonton, viens.Je n’ai pas joui, cela a été un peu trop rapide pour moi. Elle finit par se calmer, se penche pour m’embrasser et se dégage de mon sexe. Elle descend vers lui en embrassant toutes les parties de mon corps qu’elle rencontre jusqu’à mon ventre. Elle lèche sa cyprine.-C’est vrai que le goût d’une femme est super, ça me plait de plus en plus.Une fois bien nettoyé, elle continue sa descente et fini par gober mon sexe. Sa langue s’active autour de mon gland. Sa technique s’améliore au point de me faire jouir assez vite. Je me vide dans sa bouche, je la sens avaler le tout avec plaisir.-Le goût d’une femme est super, mais le tien est super super. J’adore.
Nous restons un bon moment l’un contre l’autre, mon bras autour de ses épaules, sa tête sur ma poitrine. Nous finissons par nous lever.-Tu viens me laver ?-Dis donc tu peux le faire toi-même maintenant.-Oui, mais je n’en ai pas du tout envie. Je veux qu’une main experte passe sur mon corps pour en enlever toute la crasse.-Amis de la poésie, bonjour.-Oui, tu peux rire mais je veux que tu me lave, tu m’a bien dis que tu ferais tout ce que je veux.-Oui et je me rends compte maintenant que c’était une bêtise.-Peut-être, mais pour l’instant allons-y.Je retrouve ma Claire dynamique, volontaire, limite autoritaire. Elle se lève, m’attrape par la main et m’entraine vers la salle de bain. Elle marche pratiquement sans entraves. Cette maladie est surprenante, elle te terrasse en un instant, ça peut durer un jour comme quinze, et tu récupère en une nuit. Je suis étonné mais soulagé et heureux que Claire puisse se déplacer comme elle veut. La séance de lavage se termine par un cunnilingus en règle qui la fait hurler de plaisir, heureusement qu’on est dans la salle de bain. Je commence à bien la connaitre et savoir ce qui la fait exploser, d’un autre côté elle se libère de plus en plus et n’hésite plus à exprimer son plaisir, même si ça doit être bruyant. Je refuse qu’elle me fasse une fellation, je ne veux pas jouir tout de suite, je veux me réserver un peu, je n’ai plus les mêmes ressources. Elle râle un peu mais y consent. La matinée se passe à récupérer des données sur internet et à faire quelques photos pour la famille. Elle consent à s’habiller pour cela. Une fois les photos prisent, elle s’empresse de se mettre à poil prétextant la chaleur torride. Je transfère les photos dans son ordinateur et reformate la carte, il est temps de manger. Je prépare rapidement un repas de saison, salade et steak grillés sur la terrasse. Nous mangeons sur la terrasse sous un grand parasol. Claire est toujours nue, elle est radieuse, elle se sent mieux, et s’amuse à m’allumer. Je la laisse faire, trop heureux de cette amélioration de son état. Le repas fini, elle veut rester un peu sur la terrasse se prélasser un peu au soleil. J’installe des coussins sur lesquels elle se couche pour bronzer un peu. Elle insiste pour que je reste avec elle et me demande de me déshabiller. Je m’exécute et m’allonge à côté d’elle, peau à peau. Après un petit moment sans bouger, elle se retourne vers moi.-Et si tu prenais des photos de moi maintenant, au soleil.-Nous y voilà, je savais bien que la séance de ce matin allait être insuffisante.-Tonton, je suis belle, c’est toi qui n’arrête pas de me le dire. Je finis par en être convaincue. Je vais vieillir, m’enlaidir, je veux pouvoir me voir tel que j’étais aujourd’hui dans trente ans, me voir intégralement, voir ce corps que tu aimes tant.-C’est un peu narcissique tout ça.-Oui, mais toi aussi tu voudras voir ces photos dans trente ans.-Ok, je vais chercher l’appareil.Je prépare l’appareil, met un filtre polarisant pour le soleil et retourne sur la terrasse. Claire est toujours allongée sur les coussins les yeux fermés. Je me positionne pour bien la cadrer et je prends une bonne trentaine de photos tout autour d’elle. Elle a de temps en temps les yeux fermés, ouverts, elle me regarde tendrement ou d’une manière provocante, le tout dans une ambiance bonne enfant. Mais petit à petit ses attitudes deviennent de moins en moins chastes. Elle devient provocante. Je la laisse faire, je veux voir jusqu’où elle peut aller. Ses mains commencent à caresser son ventre, ses jambes, ses seins, le tout avec un regard provocant voire provocateur. Sa main droite se promène sur son corps, descend le long de son ventre pour finir sur son sexe. Elle se caresse langoureusement. Je la bombarde de photo. J’ai une capacité de plus de deux mille photos avec la carte mémoire que j’ai mis dans l’appareil, je peux assurer.Claire continue de se masturber devant moi en fixant l’objectif. Sa main recouvre son sexe, elle monte et descend lentement. De temps en temps, elle porte sa main à sa bouche pour sucer ses doigts puis retourne à son sexe. Son majeur s’insinue dans son sexe, il titille le clitoris. Je vois Claire de plus en plus soumise à ce doigt qui lui fait du bien. Je n’existe plus, elle est totalement à l’écoute de son corps, elle ne me regarde plus. Sa main s’agite de plus en plus frénétiquement sur son clitoris et elle explose dans un profond soupir de bien-être, son corps tendu comme un arc au-dessus des cousins qui ont volé en éclat. Sa respiration est saccadée, ses narines palpitent. Elle finit par retomber sur le reste des coussins, détendue, apaisée, heureuse. Elle reste longtemps ainsi et j’en profite pour fixer sur la carte les images de ce corps merveilleux sous tous les angles. Elle ouvre les yeux pour me sourire.-Tu as pris des photos.-Pourquoi crois-tu que je suis là. Bien sûr que j’ai pris des photos, à peu près six-cent. -Six-cent ?-Oui, j’ai pris certaines séquences en rafales. Ça va vite.-Tu as apprécié le spectacle j’espère. Viens m’embrasser.-Tu n’as pas besoin de faire ça.-Je sais, mais j’avais envie de me donner devant toi. -Tu ne deviendrais pas un peu exhibitionniste ?-Non, c’était exclusivement pour toi. Et je pourrais recommencer si tu me le demandais. Je vois d’ailleurs à la forme de ton short que ça t’a beaucoup plu. Viens.Je m’agenouille près d’elle, elle se saisi de mon short et me le fait descendre sur les genoux. Mon sexe se dresse juste devant sa bouche. Elle s’en empare pour faire virevolter sa langue autour de mon gland. Je suis tellement excité que je ne résiste que quelques minutes avant de me vider au fond de sa gorge. Elle avale tout sans broncher. Décidemment, elle fait d’énorme progrès, cette fille sera une reine du sexe et je suis heureux d’y être pour quelque chose.-Toujours aussi bon. J’ai envie de dormir un peu, tu viens avec moi dans le lit ?-Non, tu sais, il faut que j’aille au bureau une ou deux heures. Je dois régler un problème assez urgent, ce n’est pas très grave, mais il faut le faire le plus rapidement possible.Elle a l’air un peu contrariée mais accepte. Je l’accompagne jusqu’à son lit, lui fait un baiser et je m’habille pour le boulot. Avant de quitter son appartement, je jette un œil dans sa chambre, elle dort déjà. J’ai remarqué qu’à chaque fois qu’elle jouit intensément, elle dort. Je reste au bureau à peine une heure, le problème réglé, je retourne chez Claire, j’ai hâte de la retrouver, je déraille complètement. Cette adorable fille me hante, je sais que c’est de la folie, c’est ma nièce, la chair de ma chair, je ne peux pas continuer comme ça. J’ai beau essayer de me raisonner, tout me ramène à elle, toute mes pensées sont pour elle. J’arrive à son appartement sans même m’en rendre compte. Je vais voir dans sa chambre, elle dort toujours. En la voyant, endormie sur le dos, l’air heureuse et apaisée, j’ai des larmes qui me montent aux yeux, mon cœur s’emballe, mon ventre se noue. Je suis accro, mais je sais que dans deux jours maintenant ce sera définitivement fini. J’ai du mal à l’intégrer, mais je le sais, ça ne peut être autrement. Il est presque vingt-deux heures, il faut que je prépare le repas. Je m’active dans la cuisine quand deux mains viennent se poser sur mes yeux.-Qui c’est ?-Je ne sais pas, qui cela peut-il bien être ?Elle se plaque contre mon dos, ses seins sur mes omoplates, son sexe lisse sur mes fesses.-Et là, tu reconnais.-Oui, là je reconnais ces adorables seins et ce merveilleux petit sexe lisse et doux comme un abricot. C’est Claire. -Bravo tu as gagné un tour de manège.-Et c’est quoi un tour de manège ?-Imagines que le manège soit mon abricot que tu trouves si doux et si lisse et que tu fasses un tour dedans, tu vois ce que je veux dire ?-farpètement.-Viens.
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