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Claire ou Sandra

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Je vais vous raconter l’histoire qu’il m’est arrivée il y a un an. Je me prénom Paul et j’ai 35 ans. Cela fait 20 ans que je vis avec ma femme Claire.Ma femme est très belle, sans être un mannequin. Elle mesure 1m65 et pèse environ 60Kg. Cette morphologie l’a doté des plus beaux atouts: des seins fermes et imposants (95D) et un joli postérieur. Et même avec ses 31 printemps, elle ferait pâlir plus d’une jeunette. Elle a une peau mâte et un visage arrondi, disposant des plus belles lèvres qu’une personne peut avoir. Vous savez le genre de lèvres à la fois charnues, mais très bien dessinées. Bref cela fait 20ans que je connais ma femme et j’ai toujours autant envie d’elle. Toutefois, je suis quelqu’un de très actif sexuellement. Et lorsqu’on ne fait pas l’amour avec ma femme, je me masturbe plusieurs fois pas jour. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai découvert ce site. Moi je ne suis pas un top modèle non plus. Je mesure 1m85 pour 80Kg de muscles et de poignées d’amour. Je n’ai jamais eu des abdos très dessinés.Revenons à cette histoire. Claire à une sœur, Sandra. Elle est plus jeune que claire de 10ans. De ces 21 anniversaires, elle a su conserver un côté innocent qui peut avoir le don de m’étourdir. Elle est plus grande que Claire. Elle mesure 1m68 et doit peser environ 58Kg. De nature plutôt sportive, elle a un corps bien sculpté et de jolies rondeurs. Héritage génétique maternel aidant, elle porte fièrement un 90C pour une taille 40. Nous devions avec Claire passer des vacances chez ses parents. Habitant non loin de Biarritz, un retour sur Paris, nous permettait de voir à la fois ses parents, sa sœur mais aussi de se balader dans une des villes les plus romantiques du monde. Le matin, tout le monde se lève à l’heure qu’il veut. Moi de nature plutôt couche tard lève tard, je me lève sur les coups de 10h. Je croise Claire finissant son déjeuner avant de remonter au premier étage de la maison se préparer. Je m’installe et commence mon petit déjeuner. J’entends la voiture des parents de Claire dans l’allée de la propriété. Il est vrai qu’à cette heure ci, ils vont rendre visite à un oncle en maison de retraite à quelques kilomètres de chez eux. C’est à ce moment là que Sandra descend. Elle est en pyjama, on ne peut plus simple. Elle porte un T-shirt et un bas de pyjama long. Elle s’approche de moi et me fait la bise. Quelle fut ma surprise lorsque je vis que le col de son T-shirt était détendu, sans doute à cause des nombreux lavages en machine. Au travers du col j’aperçus le galbe du haut de ses seins. J’avais déjà vu Sandra en maillot de bain, mais là c’était différent : la touche d’innocence. Elle se posa en face de moi et on petit-déjeuna ensemble. J’étais étourdi, je n’étais obnubilé que par ce galbe de sein, je cherchais au travers de son T-shirt des marques évidentes de seins, de tétons, sans réussite. C’est alors qu’elle se leva pour ranger ses affaires. Sa serviette tombe par terre, sans réfléchir, elle se pencha, ses seins étaient tout à ma vue, dans leur globalité, de la base aux pointes. Des seins en forme de pommes, avec un cercle rose pastel surmonté d’un téton d’un demi-centimètre. Elle se releva et alla se préparer. J’étais dans tous mes états. Je n’avais jamais eu envie de ma belle sœur comme cela. C’était à la fois l’interdit et l’innocence de ce geste si banale. Je m’empressais de monter me préparer aussi. Ma femme m’annonça qu’elle partait acheter du pain. J’entendis la porte claquer. J’étais seul avec Sandra. Elle rentra dans la salle de douche. La chambre d’amis des parents de ma femme à une fenêtre qui donne sur une avancé de toit, et la salle de douche a elle aussi une fenêtre donnant sur cette même avancée. Je ne réfléchis pas, j’enjambe cette fenêtre et me dirige discrètement vers la salle de bain. Sandra était là, elle enlevait le haut de son pyjama. Je redécouvrais ses seins pour la deuxième fois. Puis elle se pencha pour enlever son bas. Pour moi ce passage dura une éternité. Mes yeux parcourraient chaque centimètre de ses fesses : Du creux des reins au début des cuisses, en passant par sa fente entièrement épilée. Je bandais très fort. Elle rentra dans la cabine de douche. Je rentrai dans la maison par la fenêtre de la chambre. J’attendis de ne plus entendre l’eau couler, et j’ouvrir la porte de la salle de bain. Morte de gêne, cette gamine de 20 ans était là devant moi, rouge comme une pivoine, une main sur ses seins, l’autre sur son bas ventre. Je me confondais en excuse. L’eau qui ruisselait de ses cheveux passait entre ses seins, donnait un reflet à sa peau qui paraissait déjà si douce. Je sortis de la salle satisfait. Sandra se dirigea dans sa chambre pour s’habiller. Je n’en pouvais plus, je la suivis, et je me mis dans l’axe de l’ouverture de sa porte. Elle me faisait dos et était encore nu. Une Envie énorme me pris. Je retournai dans la chambre de ma femme, m’allongea sur le lit et commença à me masturber. Je fermai les yeux en revoyant ces deux moments de la matinée. Quand soudain une main froide, me pris le membre et remplaça ma main. Je n’osais pas ouvrir les yeux, je restais focalisé sur mes visions la main allait de plus en plus vite puis une chaleur humide entoura mon sexe. A ce moment là, je ne savais pas si c’était ma femme ou sa sœur. Il n’y avait pas d’importance, et ce pour la première fois de ma vie. Une langue passait du bout du gland jusqu’à mes testicules, s’attardant sur ma verge de long moment. Cette fellation était salvatrice, faite par une bouche d’experte, de légères aspirations me faisaient littéralement perdre le contrôle. Une chevelure longue et mouillée vient me toucher les cuisses. Cette sensation me fit décharger dans mon hôte. J’ouvris les yeux je vis Claire, me souriant, les lèvres brillantes, avec du sperme sur le menton qu’elle essuya du dos de sa main. J’étais à la fois satisfait et déçu, j’aurais tellement voulu que ce soit Sandra.
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