Le matin je me réveille en sueur. Je me dirige vers la salle de bain encore troublé de cette visite nocturne. La douche finie, je sors, prends une serviette et commence à me sécher. A ce moment là, Sandra ouvre la porte. Elle me regarde, je ne bouge plus, gêné, je repense à cette nuit. Je bande. Sandra sans dire un mot s’avance, se baisse, me prend la verge et la glisse directement avec beaucoup d’attention dans la bouche. Je n’avais même pas remarqué qu’elle portait la même chemise de nuit que la première fois où j’ai fantasmé sur elle. Sa langue est douce, experte elle passe sur le gland, le long de ma verge, elle aspire de manière saccadée mon sexe qui ne demandait que ça depuis bientôt une semaine que Claire est partie en voyage.je passe ma main dans ses cheveux, ils sont doux, mes yeux viennent se porter sur son décolleté. Je vois ses superbe sein, ses mains font de lents va et vient sur la verge qui est prête à exploser. Je vois ses tétons, je baisse la main et la glisse dans son encolure. Je pose la main sur son sein droit. Il est chaud et son téton est fièrement dressé. Je le pince entre mon pouce et mon index. Je le fait rouler entre mes doigts. Ses va et vient s’accélèrent, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Elle aspire deux grandes fois mon sexe au fond de sa gorge. Je n’en peux plus et à ce moment lui déverse ma semence au fond de la gorge par deux grandes saccades. Les lèvres brillantes, elle se relève, et comme si rien ne venait de se passer, elle me demanda: « la place est libre? ». je lui fis signe que oui et sorti de la salle de bain. Midi passe, nous mangeâmes sans même nous regarder. A la fin du repas, elle m’annonce qu’elle va aller se reposer. La chaleur de ce mois de juin aidant, je la vis en passant devant sa chambre nue. Sans hésiter, je rentre dans cette chambre, le sexe à la main, déjà tendu. Je monte sur le lit me glisse au niveau de ses jambes, et commence un merveilleux cunni. Ma langue fouille son intimité, mon index lui titille le clitoris qui commence à se dresser. Je rentre un doigt dans cette fente étroite. Je fais des va et vient lui arrachant des soupirs qui m’excitent encore plus. Soudain je me redresse, lui écarte les cuisses et sans même lui demander lui présente mon gland à l’entrée de sa fente. Sa fente est toute humide, à la fois de sa cyprine et de ma salive. Je m’arrête net. Je viens de voir le visage de Claire à la place de celui de Sandra. Mon esprit semble brouillé quand soudain, je sens Sandra s’empaler sur mon sexe. Après quelques minutes dans cette position, je la prends en levrette. Je m’accroche à ses seins comme si ma vie en dépendait. De mes deux index, je lui titille les tétons. Elle jouit, je jouis. Je me retire, me lève et comme si de rien n’était, je sors de sa chambre.
