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Claire et sa tendre Mamie

Chapitre 5

Inceste
Le matin, je me suis levée, et bien sûr je suis allée retrouver mes grands-parents dans leur lit, mais je n’ai pas osé y aller nue, j’ai gardé ma petite chemise de nuit, Papy dormait encore et Mamie somnolait. Quand je suis rentrée dans la chambre, Mamie m’a souri et m’a fait signe de me glisser contre elle, de son côté pour ne pas réveiller Papy, elle était restée nue, et elle m’a pris dans ses bras contre elle, j’avais la tête sur sa poitrine, et j’ai glissé ma jambe gauche entre ses cuisses, elle a entrouvert ses cuisses pour me laisser passer, j’ai senti le renflement de son sexe contre le haut de ma cuisse, j’ai pressé son minou avec ma cuisse, elle s’est encore plus ouverte, j’ai senti la chaleur humide de sa vulve, elle m’a caressé les cheveux, et le dos, et soudain, elle a serré très fort ses cuisses emprisonnant la mienne, puis elle a contracté tous les muscles de ses cuisses, puis relâché, puis recommencé à serrer, tout en ondulant son pubis contre moi, elle était maintenant trempée, et m’a demandée à l’oreille de la téter.
J’ai immédiatement obéi, et elle a continué à serrer ses cuisses par saccades, tète moi plus fort! J’ai accentué ma succion, alors elle a donné des coups plus forts avec son pubis, bloqué contre ma cuisse, et elle alors contracté ses cuisses si fort qu’elles tremblaient, puis soudain elle s’est relâchée complètement, en libérant ma jambe, elle était inondée de son plaisir. C’est bon me dit-elle en chuchotant.
Papy s’est réveillé doucement, sûrement que les soubresauts de Mamie avaient secoué le lit! Il s’est approché de Mamie, et l’a tendrement embrassée sur les lèvres, tout en glissant une main sur les seins, et son ventre. Je me suis poussée pour lui laisser le passage, et il a été bien surpris de trouver le minou de Mamie bien mouillé! Mamie elle aussi est partie en exploration, et elle a trouvé le sexe de Papy sûrement en bonne forme, car elle lui a dit en riant, à quoi as-tu rêvé, sûrement des cochonneries, car tu m’as l’air bien en forme ce matin après tes exploits de la nuit dernière. Papy voulait glisser ses doigts dans la fente de Mamie, mais elle lui a dit qu’il ne devait pas forcer son talent à son âge, et qu’il devrait mieux aller préparer le petit déjeuner, car elle mourrait de faim. Papy s’est levé en riant, assez fier de lui, le sexe battant la mesure, quand il marchait, il a mis alors son traditionnel pyjama, et il est descendu dans la cuisine.
Mamie, m’a dit qu’elle ne comprenait pas ce qui nous arrivait, elle se sentait rajeunie, heureuse et comblée, par tous les événements qui s’étaient enchaînés depuis mon arrivée, mais qu’elle ne voulait pas abuser de la situation vis à vis de moi. Que j’étais jeune, et je n’avais pas à me préoccuper des problèmes des vieux!
Je lui ai confié que j’avais une médiocre opinion de moi, que depuis que je suis petite, ma sœur Cécile, plus âgée que moi, m’a toujours utilisée comme un jouet, et qu’elle m’a donné de l’amour et de la sexualité une image plutôt reliée à la soumission, elle m’a toujours répété que je n’étais qu’une petite pisseuse, et elle m’a surtout fait découvrir de la sexualité par les fessées et les sévices. J’ai bien sûr passé de merveilleux moments avec elle, et je ne regrette rien, mais quand je vois le couple de mes grands-parents, je suis heureuse de voir toute la tendresse, l’amour qui les animent, et que enfin, devant tous les moments intimes que j’ai passés avec eux, j’avais envie d’apprendre à faire l’amour avec la même tendresse, le même confiance.
Mamie, m’a dit, qu’un jour, je rencontrerai un beau jeune homme qui saura me donner tout cela! Je l’ai embrassée, et je lui ai dit que pour l’instant je n’avais qu’eux avec qui je me sentais bien, qu’avant de chercher à rencontrer le Prince charmant, je devais faire des études, alors j’avais bien le temps.
Je lui ai aussi confié que je ne savais pas si en réalité j’aimais plus les hommes ou les femmes, car j’ai un immense plaisir à être dans ses bras, à la toucher, et à sentir ses mains sur moi, je sais que ce n’est pas bien d’être avec une autre fille, mais j’aime bien aussi voir et toucher un homme, je lui avoué ma petite séance avec Papy le matin dans la cuisine, elle a ri, et m’a dit que Papy lui avait raconté la scène, et qu’elle lui avait répondu que c’était de sa faute à se trimballer avec son pyjama ringard, qui ne cache pas grand chose!
Elle s’est assise dans le lit, et m’a pris les mains, et m’a dit avec beaucoup de sérieux et de tendresse, que l’important en amour, et dans les relations sentimentales, de faire selon son cœur, de respecter toujours l’autre, et de ne jamais accepter de faire quelque chose que l’on n’a pas envie de faire.
En Amour, on peut tout faire, tout subir, si s’est librement consenti, que c’est agréable de lécher le sexe ou le cul de la personne que l’on aime vraiment, alors que c’est désagréable d’être embrassé sur la joue par quelqu’un que l’on aime pas !
J’ai sauté au cou de Mamie, et je l’ai remerciée pour ses conseils, et je lui ai déclaré, que pour l’instant, les seules personnes pour qui j’ai de l’amour, c’était elle et Papy, que ainsi, je n’avais pas à choisir entre homme et femme, et j’ai demandé à Mamie, si elle et Papy pouvaient m’apprendre et partager avec moi leur Amour! Et à devenir une vraie femme comme elle car avec eux, j’étais en sécurité, je ne risquais pas de tomber amoureuse de quelqu’un qui me ferait du mal, qui ne penserai qu’à lui.
Mamie, STP, pendant le reste des vacances, fait que Papy et toi soyez mes professeurs d’amour, de plaisir, je ferais tout ce que vous voudrez, tout ce que je veux, c’est vous donner de l’amour et du plaisir, en échange, occupez-vous de moi, faites de moi une femme épanouie et comblée comme toi.
Ma chérie, ce n’est pas notre rôle, mais si tu le veux, je veux bien partager avec toi mon amour pour Papy, je ne peux rien t’offrir de plus. Oh, merci Mamie!! Je t’aime!!

Nous sommes descendues dans la cuisine, Papy nous attendait, et il commençait à s’impatienter, car nous avions étés bien longues à descendre.
Mamie à demandé à Papy s’il voulait bien m’apprendre à bien faire l’amour, en m’associant à leurs ébats, et à mettre en commun les désirs de chacun. Il avait l’air embêté, un peu dépassé par les événements, que c’était trop beau pour être vrai, mais il a accepté à condition que ce soit Mamie qui dirige notre relation.
Chacun de nous a accepté de révéler ses fantasmes et ses désirs, les deux autres pourront soit les réaliser, soit évidement les refuser, s’ils ne sont pas d’accord.
Mamie a commencé, et a demandé que désormais Papy ne mettrait plus ces horribles pyjamas, mais soit il ne mettrait rien pour dormir, soit il mettrait un pyjama moderne et plus correct.
Papy a demandé que Mamie et moi ne mettions plus de pantalons, que des jupes.
Moi, j’ai demandé que dans la maison, Mamie ne mettre plus de soutien-gorge sous son T-shirt ou son chemisier, et que Papy laisse ouverte la porte de la salle de bain pendant qu’il fait sa toilette, car je rêve de le voir se raser, et faire sa toilette.
Les trois points ont étés acceptés par tous.
Nous sommes montés faire notre toilette, aussi, en solidarité avec Papy, nous avons tous laissé la porte ouverte, Mamie a pris sa douche en premier, et pour la sécher, Papy et moi, nous sommes venus l’essuyer avec tendresse, et j’ai brossé ses longs cheveux. Papy m’a demandé de me mettre aussi nue, pour brosser les cheveux de Mamie, il trouvait notre tableau très tendre et joli.
Je me suis douchée à mon tour, pendant que Mamie est allée s’habiller. Papy m’a regardée me laver, il bandait comme un jeune homme, et il m’a dit que tu es belle!! il m’a prise dans ses bras et il m’a embrassée très doucement dans le cou, juste à la base de mes cheveux, là où c’est si doux.
Puis cela a été à son tour, il s’est mis nu, s’est rasé puis il a pris sa douche. Ensuite, il est sorti tout mouillé, et je l’ai séché avec une grande serviette, en essuyant très doucement son sexe qui avait repris des proportions plus réduites.
J’avais compris à ce moment, que l’Amour, c’était bien plus qu’un acte sexuel, qu’il y avait plus de plaisir dans un petit geste tendre, que dans un coït furieux!
Mamie et moi avions mis comme promis des jupes, Papy s’était rasé avec plus de soin que d’habitude, Mamie avait un corsage blanc avec des dentelles, dessous, sa poitrine était libre, et balançait doucement quand elle bougeait, c’était superbe, En bas elle avait mis une culotte en coton bien sage, car celle en dentelles était à la machine, moi, j’avais mis aussi un petit chemisier largement décolleté, laissant bien deviner mes seins et un string noir. Papy a passé sa main sur nos seins avec un grand sourire, et son air coquin, puis il a soulevé nos jupes, il a trouvé que la culotte de Mamie était trop sage, mais que mon string mettait bien en valeur mon pubis.
Nous avons convenu d’aller cet après-midi acheter un complément de lingerie pour Mamie, et des pyjamas pour Papy.
La matinée s’est passée à faire le ménage, et à préparer le repas de midi, j’étais émue de voir les seins lourds de Mamie en liberté, quand je passais à côté d’elle, je passais la main sur sa poitrine. Mamie, m’a confiée qu’elle se sentait nue malgré son chemisier, et elle pensait que si quelqu’un venait à la maison, elle ne saurait plus où se mettre, mais elle a convenu que ce sentiment de gêne était aussi très excitant.
Après le repas, pas de sieste, et nous sommes partis faire nos emplettes, 2 autres soutiens-gorge et 6 petites culottes très sexy pour Mamie, et 2 pyjamas « très classe » pour Papy, dont un en soie.
Pour faire nos courses toutes les deux, j’avais obtenu de Mamie, qu’elle ne remette pas de soutien-gorge sous son chemisier. Elle était très gênée, et avait l’impression que tout le monde la regardait, surtout que ses pointes très foncées, étaient bien visibles à travers le mince tissu blanc!, elle avait mis un châle sur ses épaules, qui lui permettait de masquer un peu le spectacle.
Après nos achats, nous sommes allées dans une brasserie, pour boire un coup, nous étions en terrasse, à regarder passer les promeneurs, quand j’ai demandé à Mamie de retirer son châle, elle m’a obéit en rougissant, et se tenait en croisant les bras, alors, je lui ai demandé de se tenir droite, pour que je puisse l’admirer. Elle s’est mise droite dans son fauteuil, et m’a regardée droit dans les yeux, et m’a dit, tu me fais faire des bêtises, tu te rends compte à mon âge! Il y avait un air de défi dans son visage, elle m’offrait le plus tendre des spectacles, je voyais bien qu’elle ne faisait cela que par amour pour moi. A mon tour, je me suis mise bien droite, et j’ai déboutonné un bouton de plus à mon chemisier, comme cela Mamie pouvait voir une bonne partie de ma poitrine.
Quand nous sommes parties pour reprendre la voiture, Mamie comme un défi s’est levée, et a gardé son châle à la main, et elle m’a prise par le bras, et en marchant, je sentais le côté de son sein contre ma main, il était tout chaud.
Arrivée à la voiture, j’ai pris Mamie dans mes bras et je l’ai remerciée pour cette fantaisie au café, elle m’a dit qu’elle avait eu très honte, mais que cela l’avait terriblement excitée! C’est la première fois qu’elle acceptait de se donner en spectacle, que sous mon regard, elle se sentait plus jeune, et que maintenant, elle trouvait de nouveau de la beauté dans son corps, qu’elle n’avait plus l’impression d’être une vieille dame décatie.
J’ai glissé une main entre ses cuisses, je m’attendais à un refus, mais elle m’a laissée faire, j’ai caressé de renflement de son pubis, et je lui ai donné un long baiser.
Nous sommes rentrées ensuite retrouver Papy, qui lui avait dû faire une bonne sieste à l’ombre dans son jardin.
A suivre …........................................
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