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Claire et sa tendre Mamie

Chapitre 10

Inceste

Pendant le voyage de retour, Colette, se demandait bien comment présenter Maud à Papy, elle était dépassée par les événements, mais était très excitée! Elle ne savait pas comment se comporter avec cette Maud, que l’on ne connaissait que depuis quelques heures. J’ai rassuré Colette, et je lui ai promis de continuer à la lui donner des ordres, et que je comptais sur son obéissance! Mamie, n’était pas trop rassurée, mais elle m’a dit qu’elle me faisait confiance.


Quand nous sommes arrivées, suivies par Maud, nous avons trouvé Papy dans son jardin, et nous lui avons présenté Maud, et nous lui avons annoncé qu’elle dînerait ce soir avec nous. Marcel, nous a répondu que plus on était de fous, plus on riait!


Nous sommes montées avec Maud, pour prendre une douche, et j’ai proposé de nous déshabiller, que nous étions entre filles, et que nous n’allions pas faire de chichis! Une fois toutes les trois nues dans la salle de bain, j’ai demandé à Colette de vérifier si Maud et moi n’avions pas de sable dans la fente, alors que je passais ma main dans la sienne, Maud m’a regardé mettre mes doigts dans le sexe de Colette, et a déclaré que nous ne devions pas nous ennuyer chez nous.


Colette a avancé sa main vers l’entrecuisse de Maud, qui a aussitôt écarté ses jambes, Colette a passé ses doigts dans la fente ouverte, elle allait se diriger vers moi, et je lui ai dit : n’oublie pas son petit cul!

Alors Colette a passé la main entre les fesses bronzées de Maud, qui s’est penchée vers l’avant, Colette a glissé ses doigts de haut en bas de la raie des fesses, j’ai alors précisé, regarde bien en profondeur! Et elle s’est baissée à son tour, pour enfoncer un doigt dans l’anus de Maud.


Moi, j’ai profité que Colette soit penchée, pour lui mettre à mon tour un puis deux doigts dans son petit cul!


J’ai mis fin à cette petite séance, en donnant une petite claque sur une fesse à Mamie, et je lui ai demandé de regarder aussi toute ma fente, je me suis penchée à mon tour, en écartant largement mes jambes, Colette s’est mise à genoux derrière moi, et a caressé toute ma fente, puis m’a mis deux doigts dans l’anus, puis s’est relevée en me mettant une bonne claque sur les fesses, et a déclaré que nous pouvions prendre nos douches.


Elle a pris sa douche en premier, sous le regard attentif de Maud et moi. Puis ce fut Maud, enfin moi.


J’ai dit à Colette de s’habiller élégamment pour le diner du soir, et j’ai demandé à Maud de choisir les sous-vêtements que devait mettre Mamie, nous sommes allées dans la chambre de Colette, et elle a été très gênée quand Maud a fouillé dans ses petits vêtements pour sortir un beau soutien-gorge et la plus mini des culottes en dentelles! Colette s’est habillée devant nous, puis Maud a mis ses vêtements, mais elle n’avait pas de soutien-gorge, mais elle avait un string. Moi j’ai mis aussi un string, et un soutien-gorge noir.


Mamie a préparé pour le repas une grande salade niçoise, et en dessert nous aurons des pêches du jardin que Papy avait cueillies cet après-midi.


Nous avons pris l’apéritif dehors, dans le salon de jardin, et j’ai ordonné discrètement à Colette de garder les cuisses ouvertes quand elle était assise, afin que chacun puisse profiter de la vue. Maud était très à l’aise, et plaisantait avec Papy! Mamie, devait être un peu jalouse.


Puis nous sommes passés à Table dans la maison, j’avais allumé des bougies qui donnaient une lumière très chaude et romantique. J’étais à côté de Marcel, Colette à côté de Maud. Nous parlions des charmes de la région, quand j’ai dit qu’il faisait bien chaud dans la pièce, et j’ai retiré mon chemisier. J’ai dit à Colette de mettre notre invitée à l’aise, et de faire pareil! Colette a regardé Papy, qui était resté surpris, la fourchette en suspend dans la main! Colette et moi étions en soutien-gorge et Maud les seins nus.


Maud était un peu gênée, aussi au bout d’un moment, j’ai demandé à Colette de me retirer mon soutien-gorge et aussi le sien, elle s’est retrouvée debout, les seins nus qui ballottaient alors que nous étions restés assis. Je lui ai dit que tout le monde autour de la table avait sûrement envie de téter ses beaux seins, et qu’elle devait faire le tour de la table pour nous faire les honneurs de sa poitrine.


Colette a offert ses seins à Marcel, qui lui a léché les pointes, tout en glissant la main sous sa jupe.

Puis ce fut le tour à Maud, qui a réuni les deux pointes gonflées et les a mises ensembles dans sa bouche puis les a tétées avec force tout en malaxant les seins. Colette me regardait avec des yeux affolés, elle devait se sentir humiliée, d’être tétée par une étrangère devant son mari!

Quand ce fut mon tour, j’ai pris un sein dans chaque main, et je les fais sauter, ils faisaient «floc» «floc»! Puis je lui demandais d’aller s’asseoir, et j’allais aller chercher le dessert.


Papy était très excité, il ne savait plus où donner du regard. Je l’ai traité de petit cochon, qui se rinçait l’œil, alors qu’il était tout habillé! J’ai alors demandé à Colette de venir retirer les vêtements de Marcel, que nous aussi avions le droit de le voir.


Colette a déshabillé son mari, elle lui aurait bien laissé le slip, mais Maud et moi avons insisté, et Marcel n’était pas mécontent de nous exhiber son sexe qui avait déjà une belle taille, même s’il n’était pas encore bien dur. J’ai dit à Colette, que pour être à l’unisson, elle devait aussi retirer le reste, et d’aider Maud et moi à faire de même.


Nous étions tous nus, nous avons mangé les pêches délicieuses du jardin, puis nous sommes passés au salon pour prendre une liqueur. Chacun était dans un grand fauteuil, et j’ai rappelé à Colette, qu’elle ne devait pas oublier de garder ses cuisses ouvertes, et que je lui avais déjà dit, cette désobéissance méritait une punition!


Je lui ai demandé d’aller prendre en bouche le sexe de Marcel, elle s’est mise à genoux devant lui et a commencé à le lécher. Marcel était aux anges!


Je me suis approchée de Maud, qui était aussi très excitée, mais qui devait se demander comment tout cela allait finir. Je me suis mise à genoux entre ses cuisses, et j’ai passé ma langue dans sa fente, qui était bien encombrée de poils noirs! Elle s’est avancée sur le bord du fauteuil pour que je puisse mieux accéder. J’avais très envie de goûter cette autre femme mûre, et pour voir si elle réagirait comme Mamie à mes caresses.


Sa chatte était très humide, bien ouverte mais ses petites lèvres étaient toutes petites, par contre son clitoris était très long, et sortait déjà de son petit capuchon. Je l’ai aspiré, il était rouge et tout gonflé, j’ai accentué ma succion, Maud a pris ses pointes de seins entre ses pouces et ses index, et les a faites rouler en les serrant, j’ai alors mis trois doigts dans sa fente, qui était beaucoup plus étroite que celle de Colette! Au bout d’un moment elle a joui dans ma bouche. Je me suis relevée, et j’ai embrassé Colette sur la bouche, avec le jus de Maud plein les lèvres! Puis j’ai dit à Maud de lécher à son tour Marcel qui maintenant avait une belle érection.


Pendant que Maud dégustait Marcel, j’ai ordonné à Colette de se mettre derrière Maud, et de lui mettre un maximum de doigts dans le cul et que moi je ferai pareil avec elle.


Maud tortillait des fesses tout en pompant Marcel, Mamie avait réussi à mettre trois doigts dans l’anus de Maud, en lubrifiant avec de l’huile, et elle avait aussi pris possession de sa vulve. Moi aussi avec de l’huile, j’ai mis trois doigts dans le cul de Colette, mais devant, à force, j’ai réussi progressivement à mettre toute ma main dans son vagin et j’ai commencé à faire des va-et-vient, tout en tournant ma main sur elle-même. Avec le bout des doigts, j’étais vraiment au fond, la dilatation était maximale! Je sentais tout son vagin bouger autour de ma main, elle mouillait comme une fontaine, son jus coulait le long de ses cuisses! Et elle a joui en criant.


Marcel n’en pouvait plus, aussi j’ai demandé à Colette de se mettre à quatre pattes, et à Papy de prendre le petit cul qui lui était si généreusement offert. L’anus était déjà bien dilaté par mes caresses, aussi Marcel n’a pas eu de mal à pénétrer. Il a commencé à donner de grands coups de rein en tenant Mamie par les hanches, le cul tapait sur ses cuisses, par derrière je voyais avec Maud les couilles bouger au même rythme! Bientôt, Marcel ne pouvait plus attendre, et il a joui en donnant de grands coups de boutoir et en criant des mots grossiers.


Marcel, s’est retiré, avec le sexe luisant de sperme, j’ai aussitôt demandé à Maud de lécher cette belle verge, qui avait comblé Mamie! J’ai aussi demandé à Colette de garder la pose, j’ai passé ma langue dans son petit cul maintenant largement ouvert, puis j’ai mis les doigts et j’ai caressé doucement la peau si fine et si sensible à l’intérieur de son cul, et avec l’autre main, j’ai pincé sa petite lèvre gauche, là où c’est si bon! Je l’ai pincé une fois, puis un autre un peu plus fort, puis encore de plus en plus fort, tout en murmurant tu as vu comment on traite les vicieuses qui ne sont pas obéissantes! Elle m’a dit dans un souffle: oh oui! Et elle a joui plusieurs fois avec une force incroyable!


Nous nous sommes relevés, un peu étourdis par tant de plaisirs partagés, et avant de nous asseoir pour enfin boire notre petite liqueur, Mamie, s’est dépêchée de mettre des serviettes de toilettes sur les coussins des fauteuils, elle avait peur des taches!


Nous avons discuté, et Maud nous a raconté sa vie, et qu’elle n’avait pas eu d’enfant, ce qui expliquait l’étroitesse de sa fente. Jusqu’à son veuvage, elle n’avait connu que son mari, qui apparemment n’était pas un foudre de guerre! Depuis, elle avait enchaîné quelques expériences surtout avec des femmes, car elle avait été trop déçue par les hommes. Mais c’était la première fois qu’elle participait à ce que nous devons bien appeler une orgie! Elle était désireuse de nous revoir, car elle restait encore deux semaines dans la région, et que la prochaine fois, nous pourrions aller la voir dans son gîte. Nous avons échangé nos téléphones, et nous allions la laisser partir, quand j’ai dit à Colette, qu’elle ne devait pas laisser partir notre invitée sans lui avoir bien léché la fente! Que nous savions tous combien elle aimait cela, qu’elle était une cochonne, qui devait se dépêcher d’obéir!


J’ai dit à Maud de l’allonger sur l’épais tapis du salon, et de faire un 69 avec Colette et que la première, qui réussirait à faire jouir l’autre, aurait le droit de me bouffer la chatte!


Maud et Colette se tortillaient sur le tapis, chacune essayant de prendre l’avantage sur l’autre, elle s’insultaient en se branlant comme des furies, Marcel devant le spectacle rebandait, et se branlait avec les yeux fixés sur nos deux furies en chaleur! Enfin Colette a réussi à provoquer un orgasme à Maud en lui mordillant le clitoris tout en fourrageant dans sa vulve! Puis elle a frotté sa fente sur le visage de Maud, sans s’occuper si elle pouvait respirer! En donnant de grands coups de bassin, et elle a joui à son tour!


Maud a commencé à se relever, luisante du jus de Colette, alors Marcel est venu décharger sur son visage, elle en avait partout. Je l’ai aidée à se relever, toute essoufflée, et j’ai léché le sperme et le jus de Colette sur son visage, Colette, m’a aidée, elle voulait sa part du sperme de son mari.


Maud s’est habillée, puis nous nous sommes quittés en promettant de bientôt nous revoir.


Nous sommes montés dans nos chambres, épuisés par cette soirée. Quand Colette est sortie de la salle de bain, je l’ai appelée de ma chambre, elle s’est assise sur mon lit, et m’a dit : je suis morte de fatigue, de tels efforts, ce n’est plus de mon âge! Je l’ai enlacée très tendrement, et je lui ai demandé comment elle avait trouvé sa journée?


Ma Claire chérie, je suis épuisée, mais je n’ai jamais autant joui de ma vie! Merci, sans toi je n’aurais jamais connu cela, je ne sais pas où cela va nous mener, mais ma chérie, tu me rends folle, mais si heureuse! Tu ne peux pas savoir, quand tu me fais faire toutes ces bêtises, quand tu me punis en public, combien j’en retire de plaisir! Je serai toujours ta petite Mamie obéissante, tant que tu voudras bien de moi! J’ai peur que tu te lasses vite d’une vieille femme comme moi. Mais je t’aime, et je suis prête à prendre tous les risques!


Après un dernier baiser, elle est repartie rejoindre Papy.



A suivre …....................................................................................................................

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