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Clara et le dogging

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Cela faisait plusieurs mois que je pratiquais le dogging avec Olivier, mon compagnon. Nous avions eu ce fantasme commun et durable, persistant, puis on s’était décidés à franchir le cap du réel. Tout s’était bien passé et nous avions recommencé sans tarder.
Nous fréquentions deux spots : un parking aux abords d’un lac et un autre près d’une gare de marchandises. Olivier aimait me voir sucer des bites d’inconnus par la vitre de la voiture, et moi j’aimais qu’il me mate en train de le faire. J’aimais aussi me retrouver à poil sur le siège passager et me faire tripoter par des mains pendant que je me prenais des giclées de sperme dans la figure ou au bord de la langue.
Olivier se branlait en observant, mais il était fréquent qu’il me touche le cul pendant que je taillais des pipes, que des doigts malaxent mes nichons et caressent ma chatte. En revanche, nous nous étions bien mis d’accord sur ce point dès le départ : il n’y aurait jamais de pénétration. Les hommes avaient le droit d’éjaculer où ils voulaient, y compris sur mon pubis en cas de giclées suffisamment puissantes, mais c’était tout.
Pas de relation sexuelle.
Dans les deux endroits où nous nous rendions, il y avait toujours au moins trois hommes, mais il est arrivé qu’une dizaine se bousculent autour de notre voiture. Je les ai tous sucés, et tous ont éjaculé tôt ou tard, sur moi ou juste en voyant un autre homme en train de le faire dans ma bouche.Deux autres couples s’adonnaient à la pratique, mais ils venaient moins souvent que nous. Il nous est arrivé de bavarder avec eux. Il est aussi souvent arrivé qu’Olivier aille se faire sucer la bite par les femmes en question, pendant que j’en suçais de mon côté sur le même parking. Je n’y ai vu aucun inconvénient, au contraire, car j’avoue avoir ressenti une autre forme de plaisir à le faire dans le dos d’Olivier. Un plaisir encore plus intense.Et c’est ce qui a fini par poser problème, un beau jour.
J’avais 31 ans.Olivier avait une très bonne place dans une société d’informatique, et moi je travaillais à mi-temps dans une librairie. J’allais souvent me promener en ville avec des amies et avec ma sœur, mais il m’arrivait aussi d’y aller seule pour faire les magasins.C’était le cas ce jour-là. J’étais à la recherche d’une robe de printemps dans les vitrines lorsqu’un homme s’est approché de moi pour me saluer. Son visage ne me disait rien.
— Vous ne vous souvenez pas de moi ? m’a-t-il demandé.
J’ai répondu non et il a dit :
— Le parking du lac.
J’ai fait :
— D’accord, je vois...
Il a souri et précisé :
— Je n’y vais pas souvent, mais je vous y ai vue deux fois.
J’ai répondu :
— Je suis désolée, je regarde peu les visages. — Vous avez regardé le mien, la première fois, je m’en souviens très bien. Si je puis me permettre, j’étais en train d’éjaculer dans votre bouche et vous m’avez fixé du regard dans ces secondes.
Je lui ai répété que j’étais désolée et il a ajouté :
— Vous étiez toute nue, c’était un très bon moment.
Confuse, j’ai regardé autour de moi, les piétons qui passaient, sans doute pour m’assurer que je ne connaissais personne.Puis je suis revenue à l’homme en disant :
— Ces moments sont des parenthèses dans notre vie, à mon compagnon et moi. On fait en sorte de ne rien mélanger. — Je comprends, m’a dit l’homme. A chaque fois que je me rends au lac, je fonctionne de la même façon. Je suis à la retraite, je suis marié et j’ai des enfants. Et vous, en avez-vous ? — Non, dis-je.
Il a hoché la tête et regardé autour de lui à son tour.Il a dit :
— Me permettez-vous néanmoins de vous offrir un café ou un verre ?
J’ai réfléchi.J’ai eu une pensée pour Olivier et pour l’accord qu’on avait passé tous les deux au départ. Mais j’ai aussi pensé au plaisir que je ressentais à chaque fois que je taillais des pipes, tandis qu’Olivier se faisait sucer par la nana d’un autre couple qui faisait du dogging comme nous. Le plaisir de le faire sans qu’il me voie.Mais j’ai pensé à autre chose aussi : à cette envie secrète qui m’avait traversée à plusieurs reprises, sur les parkings, d’aller jusqu’à la pénétration à certains moments, tout simplement parce que j’étais excitée, que j’avais une bite dans la bouche et qu’une main était en train de me caresser le clitoris.Alors je me suis tournée vers cet homme et je lui ai répondu :
— Pourquoi pas...
Et nous avons cherché un bar discret.
C’était en pleine après-midi et il faisait un temps radieux. Le bar que nous avons choisi se trouvait dans une ruelle. Nous nous sommes installés à l’intérieur et on a commandé deux demis.L’homme ne me quittait pas des yeux, et je ne pouvais évidemment pas m’ôter de la tête le fait que je l’avais sucé et qu’il m’avait vue à poil. Il avait éjaculé dans ma bouche et je ne me souvenais pas de lui. J’ai supposé qu’il pensait à la même chose, et je ne lui en ai pas voulu, dans ce petit bar, que son regard se porte souvent sur l’échancrure de la robe que je portais ce jour-là. Elle était blanche, très sobre.Il m’a dit :
— Je dois vous avouer que je suis ravi de vous avoir croisée dans la rue de cette façon.
Je ne me suis pas sentie autorisée à lui répondre que moi aussi j’étais ravie. On nous a livré nos bières l’instant suivant, puis on a trinqué.Ensuite, il m’a dit :
— Avez-vous prévu de vous rendre au lac prochainement ? — Oui, probablement vendredi. — Vers quelle heure ? — Comme d’habitude, à 21 heures. Vous y serez ?
Il a secoué la tête en souriant :
— Je pense que je vais me débrouiller pour venir, même si cela risque d’être compliqué avec ma femme. J’aurai grand plaisir à vous retrouver dans cette parenthèse de la vie.
Il y eut un silence, puis il ajouta :
— Même si au fond, ces expériences restent parfois frustrantes. — Frustrantes ? ai-je répondu. — Oui. Vous sucez et on vous caresse, mais nous en restons là. — Je comprends, dis-je.
Il prit une gorgée de bière et continua :
— C’est une règle fixée entre vous et votre compagnon ? — Oui. — Et il ne vous est jamais arrivé d’avoir envie d’aller plus loin qu’une fellation et des caresses ?
Nous y étions.Nous touchions le sujet brûlant.J’ai pris quelques secondes avant de répondre :
— Deux ou trois fois, ça m’est arrivé. — Avec des hommes en particulier ? — Non. J’avais juste envie, c’est tout. — Envie de quoi au juste ?
Un peu embarrassée, j’ai regardé ailleurs. Un client m’observait dans un coin du bar.Et, voyant que je ne répondais pas, l’homme m’a précédée en disant :
— Envie de vous faire pénétrer la chatte par un inconnu ?
Je me suis tournée vers lui, puis j’ai pris une gorgée de bière.J’ai répondu :
— Oui.
Il a souri et dit :
— Cela vous ennuie-t-il d’en parler de cette façon, dans ce bar ? — Non, ça ne m’ennuie pas. — Dans ce cas, puis-je vous poser une question indiscrète ?
Je l’ai regardé dans les yeux et répondu :
— Non, allez-y.
Il a vidé son verre et dit :
— Vous arrive-t-il de vous masturber en imaginant que des hommes vous pénètrent sur le parking, sous les yeux de votre compagnon ? — Oui, en effet, ça m’arrive. — Vous en avez donc envie, contrairement à lui ?
J’ai réfléchi quelques instants, puis j’ai répondu :
— Oui, mais je doute que nous y venions. La pénétration représente autre chose à ses yeux qu’une simple fellation et des caresses. C’est quelque chose de beaucoup plus intime qui fragiliserait notre couple. — J’entends très bien cela, dit-il. Et je suis ravi d’apprendre que vous vous branlez en imaginant que des hommes vous baisent sous les yeux de votre compagnon. Cela vous fait-il jouir ? — Oui.
Il se remit à sourire en disant calmement :
— Je ne vous cacherai pas que je me suis branlé à plusieurs reprises en me remémorant vos nichons et votre chatte sur le siège de votre voiture. En me remémorant aussi votre façon de sucer des bites en série par la vitre. Vous êtes une belle salope et j’en ai joui aussi. Assez violemment, d’ailleurs. Je ne sais pas ce qui me retient de tendre la main vers vous pour vous tripoter un nichon, espèce de salope.
Je mouillais. Je n’avais qu’une envie : me branler en continuant à parler de cette façon avec cet homme que j’avais sucé un soir, sans en garder le souvenir. Le client qui buvait un verre tout seul dans un coin du bar me regardait toujours. Le patron aussi, par moments, derrière le comptoir.J’ai répondu à l’homme :
— Faites-le. — Vous êtes sérieuse ? — Oui. Allez-y. Tripotez-moi.
Sur ces mots, j’ai entrouvert ma robe blanche.Sa main n’a pas mis deux secondes à passer par-dessus la table et à se poser sur mon nichon gauche. Puis il s’est mis à le tripoter, tandis que moi je me tournais vers le client seul dans son coin.
— Salope, me dit l’homme.
Je ne répondis pas. Je regardais à présent le patron du bar qui n’avait pas manqué une miette de la scène.
— Espèce de petite salope, insista l’homme en passant à mon nichon droit, tandis que le patron venait vers nous.
Il s’arrêta près de notre table et dit :
— Il y a une arrière-salle, si vous voulez bien.
Une minute plus tard, dans l’arrière-salle en question, je me suis mise à poil devant l’homme qui était en train de sortir sa queue. Ensuite, je me suis assise sur une table, j’ai écarté les cuisses et j’ai regardé son gland venir vers ma chatte. Sans capote. Il m’a pénétrée et, dans la minute suivante, le client qui ne m’avait pas quittée des yeux précédemment est entré. Il est venu vers nous, puis, à un mètre de la table, il a sorti sa queue et s’est mis à se branler en regardant tantôt la pénétration, tantôt mes nichons que l’homme qui me baisait était en train de tripoter en répétant :
— Petite salope.
Puis le patron se joignit à nous. Pas longtemps. Le temps de me tripoter les nichons, de sortir sa bite, de prendre la place de l’homme, de me pénétrer pendant moins de deux minutes, puis de décharger sur mon ventre.Ensuite, ce fut le tour du client d’enfoncer sa bite dans ma chatte, tandis que je léchais les restes de sperme restés pendus au bout du gland du patron.L’homme me regardait me faire baiser en se branlant et en répétant :
— Salope.
Il me touchait un sein. Sa queue était raide, mais il attendit que le client ait déchargé à son tour sur mon ventre pour revenir me l’enfoncer profond. Pas bien longtemps.La décharge de sperme qui suivit atteignit mon sein gauche. La deuxième échoua sur les deux spermes précédents que je me mis alors à étaler sur mon ventre. La troisième chuta sur les lèvres de ma chatte. Puis je suis allée me rincer le ventre dans les toilettes.
A mon retour dans la salle principale du bar, le patron, l’homme et le client discutaient entre eux au comptoir. Ils m’ont offert un autre verre et je suis rentrée chez moi. J’ai pris une douche et Olivier fut de retour. Nous nous sommes fait une pizza et un film ce soir-là. Puis nous avons baisé et on s’est endormis.
Le vendredi suivant, j’ai sucé huit bites sur le parking. Cinq d’entre elles ont déchargé dans ma bouche ou sur mes nichons. Une seule atteignit ma chatte.
Le samedi, neuf bites.
Le dimanche, Olivier et moi sommes allés au cinéma.
Le lundi, je suis revenue me faire baiser dans le petit bar secret. Cinq bites m’ont pénétrée cette fois-ci.
Le lendemain, en pleine après-midi, trois bites.
Hier, je ne sais plus combien.Demain, allez savoir.
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