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Clara haut en couleur

Chapitre 1

Hétéro
13h10, bientôt l’heure d’y retourner. Quelle vie de merde : métro, boulot, dodo, et le lendemain, ça recommence. La première année de notre mariage, tout était rose, puis ça s’est gâtée, Stéphane est devenu chiant, énervant ... après on a pris nos marques, et c’est redevenu bien ; enfin si on veut. La routine s’est installée, notre couple : on dirait deux vieux.
— Coucou Clara ! Tu vas bien ?— Salut Sylvie. Super et toi ?— Je peux m’asseoir ? T’as fini ?— Pas de souci, tu peux. Je n’ai pas terminé mon café. Alors les news ?— Oh écoute, c’est fou ce qui m’arrive ...
Fais chier la Sylvie, avec ses histoires de cul. Elle lève la patte dès qu’elle voit un beau mâle. Je ne sais pas comment elle fait, mais elle les repère avant même qu’ils entrent dans la boîte. Elle a une réputation de salope, mais elle s’en moque, visiblement ça ne la gêne pas.
— Je t’assure un black tu devrais essayer. C’est vraiment ... une expérience à faire. En plus de ça, ils étaient ... et la marmotte a mis la tablette de chocolat dans mes chaussures.— ...— Hee, dis ! Tu m’écoutes ?— Ben ... oui pourquoi ?— Je ne sais pas, mais j’ai l’impression que t’étais ailleurs.— Non, non je t’assure ...— Je disais quoi sur Julien ?— Qu’il a une grosse bite et qu’il faut à tout prix que j’essaye un black.— Oui ... c’est ça, enfin presque. Ce n’est pas Julien, mais Kévin qui m’a défoncé le cul dans sa voiture.— ... c’est ça, Kévin.— J’t’emmerde avec mes histoires ? Non parce que si je te prends la tête, faut me le dire je ...— Sylvie. Non, je t’assure que je t’écoutais. C’est juste que ... bon mon couple OK c’est pas top, mais Stéphane, je l’aime et je ne l’ai jamais trompé, je n’y ai même jamais pensé. Et franchement c’est vrai, même si ce n’est pas toujours le nirvana, au pieu il est plutôt doué mon Steph.— Il est monté comme un âne ?— Non, il est normal, enfin je ne sais pas ... tout se passe bien.— Non ! Ne me dis pas que ... tu n’as connu que lui ?
— Oui.— Ouaaaa.
Non, mais je rêve ? Elle me regarde comme si j’étais une extra terrestre. Je ne suis pas une salope moi ! Je ne couche pas avec la première queue qui se présente !
— Clara. Si un jour tu te décides... juste une histoire d’un soir, juste pour ... disons une soirée découverte. Juré craché, ce sera notre petit secret, personne n’en saura rien. Fais-moi signe, je te prépare ça et tu ne seras pas déçue ma belle. Avec tout ce que tu as fait pour moi, toutes les fois où tu m’as couvert, les conneries que tu as réparées ou cachées... je te jure, je te prépare ça aux petits oignons.— Non, mais ... je ne sais pas. Et puis, t’es sûre de ton gars ? Je n’ai pas envie de ramener des saloperies à la maison.— Argh ! Mais tu me prends pour qui ? ! Je baise avec pas mal de monde, mais crois-moi, ceux qui passent dans mon lit sont tous « clean » !— Et sur la banquette arrière de ta voiture ? C’était ... « clean » ?— Non, mais ça ... c’était une urgence, ce n’est pas pareil.

Deux semaines plus tard.
On vient de s’engueuler avec Stéphane, je chiale sur mon lit. Encore un truc à la con, une bêtise. Après moult discussions, on est toutefois tombé d’accord sur l’utilité d’un petit « break ». Il doit partir deux jours pour son boulot et quand il rentrera, il a prévu d’aller chez ses parents, il fera du télétravail. Quinze jours sans se voir, je pense que ça nous fera du bien à tous les deux.
— Allo Sylvie ?— Oui, coucou Clara.— Dis voir, tu te souviens de notre petite causerie à la cafet à propos du fameux Julien ?— Julien, Julien ... ah oui ! Mais bien sûr ma chérie ! Bon ce n’était pas Julien, mais Kévin. -. - - Passons. Tu veux savoir quoi ma belle ?— Ben... je ne sais pas. Non ce n’est pas une bonne idée.— Trop tard. Allez, vide ton sac et dis-moi tout !

Une heure plus tard, Sylvie m’a enfin persuadé de sauter le pas. Après demain, on a rendez-vous chez elle puis on va en boîte pour retrouver deux beaux gosses qu’elle connaît bien.

C’est long deux jours. Je me ronge les ongles et ne cesse de me dire que je fais une connerie. J’ai déjà appelé trois fois pour lui dire qu’on arrête tout et à chaque fois, Sylvie a trouvé les mots pour me remettre sur les rails.
Habituellement, nous sommes complices, mais pas vraiment intimes toutes les deux. Ce soir, je ne sais pas, c’est différent. Sylvie a su me mettre à l’aise. A peine arrivée chez elle, j’ai droit à un scan. J’ai l’impression qu’elle s’est transformée en mec, limite elle a la langue qui sort et la bave qui coule.
— C’est bien ce que je pensais, ça va pas ma chérie. Va dans ma chambre, je t’ai préparé un petit quelque chose. Ne pose pas de questions, tu te fous à poil et tu mets tout ce qu’il y a sur le lit. Rien d’autre.
Une demi-heure plus tard, nous sortons de chez elle. Je suis rouge écrevisse. Jamais je n’ai mi de lingerie aussi ... moi je dirais perverse et Sylvie dirait sexy.
Quand Sylvie se gare, je suis surprise, je ne reconnais pas les lieux. Ce doit être une boîte que je ne connais pas. Pas de bruit dehors. Je commence à stresser quand elle me met un bandeau sur les yeux.
— Tu me fais confiance ?— He oui.— T u...— Tu es certaine ?— Oui Sylvie !— Bon alors on y va.

Dédale de portes, de bonsoirs, de la chaleur, de la musique, les yeux bandés mes autres sens sont exacerbés malgré tout je suis perdue.
Elle me retire le bandeau...
Oh putain bordel ! Je suis rouge de honte. On est toutes les deux assises à une table, l’ambiance est feutrée, tapissé d’une moquette rouge aux murs, il y a des statuettes grecques antiques un peu partout ... toute réflexion faite, je doute sur la provenance des œuvres d’art. Rien de tout cela au Panthéon. Bref. On sirote un cocktail, Sylvie est toute excitée et moi morte de honte. Je picole à mort !
Quelques minutes seulement puis deux beaux gosses ébènes torses nus font leur apparition. Une peau bien huilée, quelques tatouages, des pectoraux saillants et les tablettes de chocolat bien dessinées. C’est sûr, ce n’est pas mon Stéphane.
Après quelques échanges, je comprends que Sylvie les a dégottés dans un club de sport, ils passent leurs loisirs à sculpter leur corps et baiser. OK c’est un peu simpliste, mais je pense bien résumer leurs journées.
Nous nous retrouvons plus tard dans un petit salon. Je dois être à deux grammes, il me fallait bien ça pour oser passer le pas. Adrien est allongé et me regarde. Ma main sur son torse, je tâte la bête et essaye de me forcer. Il est très doux, Sylvie l’a mis au parfum et il lui a promis d’y aller en douceur.
Sylvie est à côté avec Kévin. Je l’entends roucouler ... on dirait plutôt miauler. Je n’en suis pas là. Adrien force ma bouche et nos langues se mélangent. C’est râpeux et doux à la fois. Il est doué le gaillard. Ma respiration s’accélère, nos doigts aussi se frôlent et s’apprivoisent petit à petit. Adrien me guide et je ne cesse de progresser dans la découverte de ce corps. Tout est nouveau pour moi, j’ai l’impression d’être une gamine qui découvre l’amour.
Ma voisine dans le box d’à côté semble bien plus rapide en besogne. Elle gémit et lance des jurons. La coquine semble bien s’amuser. J’ai la tête d’Adrien entre les cuisses et sa langue fait des miracles. Je pense à Stéphane ... Adrien doit être télépathe, il vient de se venger en me mordant le clito.
Je suis perturbée par les bruits provenant du box d’à côté. Je n’ai jamais entendu ça. Si, dans un film porno peut-être. Oui j’avoue en avoir vu quelques-uns avec Stéphane. Mais ... elle est vraiment en forme la coquine. Parce que là, c’est des vrais cris ! Il lui fait quoi Kévin ?
Premier orgasme de la soirée. C’est officiel, Adrien a une langue en or. Putain que c’était bon ! Il m’a sucée comme un Dieu. Une belle jouissance. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises. Il remonte le long de mon corps, j’ai encore les jambes fragiles et le ventre qui danse la salsa. Il monte à l’assaut de mes seins, s’y attarde un peu, juste ce qu’il faut pour bien les exciter et vérifier qu’ils sont bien gonflés de plaisir avec des tétons tout durs qui pointent.

Il prend ma main et la pose sur sa queue. Mes yeux s’agrandissent ... ronds comme des billes, ils vont sortir de leurs orbites !
— T’es surprise ? Je suis vraiment ton premier black ?— Tu ... Tu ... tu comptes faire quoi avec ça ?— T’enfiler et te pilonner jusqu’à te faire oublier tout ce que tu as déjà connu ma belle.— Non, mais tu rêves ? Jamais ça ne va rentrer !— Hihihi t’inquiète pas Clara, j’ai toujours réussi à faire rentrer le matos. Une femme, c’est très élastique. Crois-moi.— Oui, oui peut-être, mais là !
Adrien est très doux, patient et très habile. Passé un petit picotement, quelques froncements d’yeux et quelques grimaces, il me rentre son engin ... sorte de croisement entre une grosse courgette et une matraque de CRS. Je déguste puis c’est mon tour de feuler et de gémir. Je ne vois pas le temps passer, je ne reconnais plus mon corps qui accepte tout et qui m’abandonne. Mes cuisses s’écartent à chaque intromission et ma bouche ne cesse de lancer des jurons, des gémissements et autres râles de plaisir...
Je ferme les yeux et m’abandonne.
— Tu te sens bien Clara ?
C’est Sylvie qui me tapote la joue. Je crois m’être un peu évanouie.
— Putain, tu nous as fait peur bichette. T’as gueulé comme un animal sauvage puis plus rien. Extinction des feux. Tu fais toujours ça quand t’as un orgasme ?

A vrai dire, je n’en sais trop rien, je n’avais jamais ressenti un plaisir aussi intense. Quand ta respiration s’emballe, que tu perds petit à petit tout contrôle de ton corps, de ton esprit, quand tes jambes se mettent à vibrer deux fois plus vite que les coups de boutoir de l’armoire à glace qui te déglingue la chatte, quand t’as l’impression d’avoir une main entière dans ton vagin et que le type s’amuse à le faire sortir puis rentrer entièrement, ne s’arrêtant que quand ça cogne au fond ... ton ventre et ta poitrine ne cessent de monter et descendre de façon désordonnée et... ; et après je sais plus. La tête disjoncte, les bras partent dans tous les sens, donnant des coups de poing, de pieds dans le vide ... je sais plus. Je suis vidée.
Adrien est toujours en moi, souriant de ses belles dents blanches. Sylvie me regarde et me caresse la joue affectueusement.
— Je te laisse ma puce, j’ai repéré un type pas mal au bar ... il est trop mignon et tout seul le pauvre. Je te laisse avec Adrien et mon petit Kévin. Il est encore en forme le petit salop ! Hein mon grand ?

Elle l’attrape par le cou d’une main et la bite de l’autre. Aussi énorme que celle d’Adrien. Putain, mais c’est quoi ces types ? Des monstres ?
— Prenez soin d’elle, messieurs. Soyez des gentlemen et n’oubliez pas les petits élastiques !

Oh putain. Je viens de comprendre. Kévin est déjà en train de me tripoter les nichons et Adrien reprend ses va-et-vient.
Mon copain est très doux Clara. N’aie pas peur. Lui, ce qu’il aime, c’est les petits trous des blanches.
Mon cœur s’arrête. Je n’ose m’attarder sur les images qui défilent dans ma tête. Un gourdin pareil il veut me le mettre dans le cul ? ! Même Stéphane avec sa petite bite a du mal à entrer !
Je stresse...
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