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Clarine, Mon rêve

Chapitre unique

Erotique
Clarine. Mon rêve Je m’appelle Adriano, jeune étudiant en deuxième année d’architecture. Je passe la majeure partie de mon temps entre mes cours suivis assidûment et mon logement étudiant, un petit studio, chambre, cuisine, bain de 25 mètres carrés au quatrième étage sans ascenseur sous les toits. J’y étais déjà dès la seconde. Chaud, très chaud l’été et froid, très froid l’hiver, mais c’est mon chez-moi, assez confortable tout de même, le bruit de la circulation arrive à peine jusqu’ici, de plus l’immeuble est calme.
Mes loisirs c’est avec quelques amis de la promotion que je les passe, sorties, cinéma, anniversaires et soirées festives étudiantes, les plus nombreuses. Elles se déroulent en général dans des salles municipales ou privées plus rarement.
J’y retrouve toujours mes amis une quinzaine aussi assidue que moi à ces fêtes. On y trouve aussi bien sûr une bonne partie des étudiants du campus qui se regroupent par année d’études pour la plupart. Il y a aussi quelques personnes qui ne fréquentent ces fêtes qu’occasionnellement. Garçons et filles de ces groupes se retrouvent en petit comité soit au bar ou attablés aux places disponibles. Et c’est mon terrain de chasse de prédilection.
Tout en m’amusant avec mes amis, je jette un œil rapide en direction de ces groupes. Il est rare que je ne repère pas une fille qui me regarde discrètement et qui trouve grâce à mes yeux. Sans me vanter, la nature m’a avantagé physiquement, grand, mince, le sport m’a sculpté le corps, je prends toujours soin de m’habiller correctement, une chemise bien ajustée était un de mes atouts.
Bien évidemment, je tire parti de la situation. Si une fille me plaît et me regarde avec insistance durant la soirée, je m’arrange pour l’aborder, la méthode change, l’objectif est le même, engager une conversation. Évidemment je ne montre pas que je l’ai repérée. Après la séduction vient très souvent la nuit en commun. Mes amis me traitent de « tombeur de ces dames. »
Cette fois-là, je repère une fille qui durant la soirée jette régulièrement un œil vers moi, elle est avec deux autres copines un peu quelconques, mais elle, elle est vraiment belle, un corps de mannequin avec de beaux cheveux blonds cendrés, bouclés naturels, mi-longs. Le visage est un peu enfantin aux lignes pures, avec le nez petit et fin légèrement en trompette. Ses yeux dont je ne distingue pas la vraie couleur sont très clairs, je dirais d’un bleu délavé. Ses pupilles dans l’ambiance peu éclairée de la salle sont dilatées et font comme des gros points noirs ils sont toujours en mouvement quand elle parle.
La soirée tire à sa fin quand elle se lève et se dirige vers les toilettes. J’attends un petit moment et je me poste à la porte, à sa sortie, je la frôle et m’excuse, elle se retourne vers moi, je cherche à engager une conversation.
— Désolé mademoiselle je ne voulais pas vous bousculer.— Ce n’est rien on est tellement de monde dans cette salle que c’est difficile de l’éviter.— Je m’appelle Adriano, puis-je vous offrir un verre pour me faire pardonner.— Merci bien, ça c’est la manière du dragueur impénitent, bonne fin de soirée.

Et elle me plante là, sans autre forme de procès. J’en suis pour mes frais. Elle m’a bien eu et elle a de la répartie ça aussi c’est certain. Franchement elle me plaît bien cette fille. Connaît-elle ma réputation ? Ou est-ce le hasard ? Je fais profil bas et termine la soirée avec les copains. Mais cette fille m’a tapé dans l’œil. Rentré à la maison, j’y repense encore.La vie continue, le temps passe et je cumule les conquêtes. À quelque temps de là, je rentre tranquillement chez moi après les cours, il pleut à verse, sous mon parapluie, je longe les murs, devant moi une grande fille dépenaillée s’abrite sous un porche espérant une accalmie aléatoire. Arrivé à sa hauteur, je m’arrête.
— Bonjour mademoiselle, cette pluie n’est pas près de s’arrêter, je vous propose mon parapluie si vous le voulez bien, je vais rue de Gavarnie.


Elle lève le nez. Oh surprise, c’est la fille qui m’a rembarré l’autre soir. Elle me dévisage avec insistance, me reconnaît-elle ? Dans une moue excédée, elle vient sous mon parapluie et me dit :
— Merci c’est bien gentil, je suis trempée, et j’ai froid, j’habite à deux pas de la rue de Gavarnie dans la rue de Tarbes. Si vous voulez bien m’accompagner jusque-là, ça serait vraiment sympa. Je n’ai pas fait attention à la météo sinon j’aurais pris un kilo Way.— Attendez, retournons sous le porche une seconde.

La fille me suit, je lui tends le parapluie et j’enlève mon caban pour le lui donner.
— Oh non, ce n’est pas la peine ça ira comme ça.— Oui et demain vous aurez un gros rhume au mieux, ce caban est en laine et la laine même mouillée tient chaud. Je n’aurai pas le temps d’avoir froid, avant d’arriver à la maison.— Merci c’est gentil.

Elle enfile le caban et nous voilà repartis. En un quart d’heure, on était au pied de mon immeuble. Elle allait retirer le caban, je lui dis :
— Gardez-le jusqu’à votre logement, je passerai demain soir le récupérer ; dites-moi seulement à quel bouton sonner.— Je suis au dernier étage gauche, je m’appelle Clarine, je serai à la maison après dix-huit heures trente.— Vous avez un joli prénom original, j’aime. Bon à demain alors.

Ce soir-là, j’ai été heureux d’avoir retrouvé celle qui m’avait tapé dans l’œil. Le lendemain passé dix-huit heures trente de quelques minutes, je sonne à l’appartement, elle descend me ramener mon caban.
— Merci beaucoup, me dit-elle, vous avez confiance de me laisser ainsi votre manteau.
Comment l’appelez-vous déjà ?
— C’est un caban un manteau court fait de toile épaisse en laine, même mouillé il tient chaud. Et pour la confiance, je n’ai même pas songé que je risquais de le perdre.— Pardonnez ma curiosité, mais quelles études suivez-vous ?— Je suis en terminale S, avec pour objectif de m’orienter vers la chimie ou la physique, mais je crois que c’est compromis, il va me falloir viser plus bas, je galère en sciences et en maths surtout, il y a des choses que je n’arrive pas à assimiler et je prends du retard.— Je pourrais peut-être vous aider si on peut avoir des créneaux de temps commun disponibles.— Je crois que ce sera peine perdue, je vais droit vers un redoublement.— Écoutez, on se retrouve ici en bas de chez vous demain soir. Amenez vos cours et on ira au bar ‘La Pause’ je vous offre un verre et vous me direz ce qui vous bloque.— Bon c’est d’accord, je n’y crois pas trop, mais je suis prête à tout pour réussir. J’ai beau travailler, je rame.— Eh bien à demain soir, vers dix-huit heures trente comme aujourd’hui, ça vous va ?— Oui à demain, bonne soirée.

Je rentre à la maison, heureux de cette entrevue. Cette fille-là a une douceur dans la voix et dans le regard qui me touche et c’est sans doute ce qui m’a poussé à lui proposer mon aide pour ses cours. Elle avait l’air soucieuse de son avenir incertain.
Le lendemain, donc je suis au pied de son immeuble bien avant l’heure du rendez-vousJ’en profite pour voir son environnement, sa rue et les commerces qui s’y trouvent. Cela me plut de voir cette rue bordée d’arbres sur un côté, avec une contre-allée et de nombreux stationnements. Il y a aussi, une boulangerie, une épicerie de quartier et un bar-tabac PMU journaux. Je repère même un cabinet médical. À l’heure dite la porte s’ouvre et ma jolie blonde apparaît sourire aux lèvres.
— Bonjour, me dit-elle. Au lieu d’aller au bar ‘La Pause’ on pourrait aller au tabac, juste a coté si vous le voulez bien. C’est un bar tranquille avec un coin au fond où on ne sera pas dérangés.— Va pour le tabac. Maintenant qu’il est interdit de fumer à l’intérieur, c’est mieux, j’ai horreur de la fumée de tabac.— Côte à côte nous allons au bar. On s’installe au fond après avoir commandé nos boissons diabolo menthe pour les deux. Je me lance craignant sa réaction.— Voilà avant toutes choses, je m’appelle Adriano, que je dois à mon arrière-grand-père italien. Je fais des études en deuxième année d’architecture. C’est peut-être aussi un vestige des compétences de mon aïeul qui était maçon.

Je m’attendais à une réaction à l’énoncé de mon prénom.
— Eh bien je m’appelle Clarine, je suis en terminale S où je galère avec mes cours de physique et de sciences. Mais ce prénom, ce n’est pas vous que j’ai croisé il y a quelques jours dans une soirée ? Pour une fois que j’ai voulu me changer les idées, je me fais draguer.— Oui c’est bien moi le dragueur maladroit et mal poli, mes plus plates excuses, l’euphorie d’une bonne soirée m’a rendu entreprenant. Votre répartie m’a refroidi illico.— Vous vous êtes bien rattrapé depuis.— Bon les présentations sont faites, si on passait aux choses sérieuses, dites-moi tout.

Clarine sort de sa besace ses cours et on se met au travail. On reprend tout depuis le début de l’année et point par point on avance. Chaque fois qu’un problème se posait, je le revoyais avec elle jusqu’à ce qu’elle ait compris. Au bout de deux heures de travail intensif, la faim s’est fait ressentir.
— Dis Clarine, tu n’as pas faim ? Le tutoiement est venu naturellement.— Si maintenant que tu le dis.— Je te propose un Mac Do, on commande et fait livrer ici et on reprend une boisson, à moins qu’il soit possible d’avoir un sandwich ici, je vais voir.

Au comptoir on me répond qu’il n’y a plus le nécessaire pour des sandwichs et que ça ne posait pas de problème pour le Mac Do. Je commande les boissons et retourne à table passer commande au Mac Do.Nous reprenons le travail, vingt minutes plus tard avec la livraison du Mac Do, c’est pause casse-croûte. On prend notre temps et la conversation s’engage sur nos vies respectives.
Clarine me raconte sa famille, son jeune frère et ses gamineries, elle est soulagée d’en être séparée, mais ses parents lui manquent. Je lui raconte ma vie, mes études, dès la seconde ici et jusqu’au bac, et mes jumeaux de frère et sœur. Une chance ils passent leur temps à se chamailler gentiment entre eux et me laissent tranquille.
Une routine s’est établie, nos cours, dans la journée, et deux soirs par semaines, les lundi et jeudi, on se retrouve au tabac du coin pour les révisions, jusqu’au jour où le patron nous annonce qu’il ferme pour congés quatre semaines. Clarine me regarde, nous sommes contrariés, ces rendez-vous en lieu neutre, on en avait pris l’habitude.
— Je te propose de venir chez moi, lui dis-je.— Non viens chez moi, après tout c’est moi qui ai besoin de toi, mais ce sera en tout bien tout honneur.— Bien sûr, j’aime bien te voir régulièrement et t’aider pour tes cours.— Et je t’en remercie beaucoup, le soutien que tu m’apportes donne des résultats, mes notes remontent, mon prof de maths m’a félicité.— J’en suis ravi, il ne te reste plus beaucoup de retard à rattraper, je pense. Bientôt on pourra cesser ces soirées studieuses. Il te suffira de m’appeler si tu as un problème, à jeudi donc, je viendrai sonner à ta porte.

En fait j’avais hâte de découvrir où elle vivait et j’étais en avance. Clarine m’a trouvé assis sur les marches du perron.Elle fait son code et me dit :
— Comme tu vas venir régulièrement, je te le donne, c’est 3945 le même pour tous les gens de l’immeuble. Mon logement est à droite au quatrième et dernier étage. Je la suis dans les escaliers. Elle ouvre et je découvre un petit séjour cuisine tout net tout propre, un tout petit couloir et d’un côté le bloc cuisine frigo et de l’autre la table et deux chaises adossés au mur.— Voilà mon chez-moi, me dit-elle, derrière la porte à droite c’est la chambre et la salle bain avec WC.— Quand je vois ça, j’ai honte en pensant à là où je vis, c’est le foutoir complet, heureusement que je ne t’y ai pas emmenée, tu serais repartie en courant et tu as même une plante en fleur, c’est magnifique.

Je jette un regard par la fenêtre.
— En plus c’est bien orienté et tu n’as pas de vis-à-vis. Bon ce n’est pas tout, mais au boulot.

On s’installe à table et Clarine sort ses cours. La soirée fut studieuse, ensuite Clarine a sorti du frigo une salade maison délicieuse, avant que je ne rentre à la maison.Il ne reste que très peu de cours à revoir, Clarine m’avait annoncé que ses notes étaient dans la moyenne. Les premières chaleurs sont venues avec le printemps, certains soirs on entend l’orage tonner dans les contreforts de la montagne. Mais ce soir des nuages noirs et déchiquetés annoncent quelque chose de plus violent. Le premier coup de tonnerre éclate dans la vallée au moment où je frappe à la porte. Puis les éclairs déchirant les nuages, suivis du tonnerre, se rapprochaient suivant la vallée, les roulements se répercutant longuement.
— Entre vite, me dit Clarine, j’ai une peur panique de l’orage.— Ne t’inquiète pas, je suis là et il n’y a pas grand risque ici au fond de la vallée.— C’est plus fort que moi, j’ai peur.

Clarine avait fermé ses volets. Dans l’instant un éclair fuse, illuminant toute la pièce, un cataclysme tonitruant éclate sur toute la ville, les vibrations de l’air se ressentent dans l’appartement. Clarine affolée se jette dans mes bras. Je lui ceinture les épaules et elle cache sa tête dans mon cou, elle tremble, elle est tellement pâle que je crains une syncope.
— Ça va aller Clarine, ça va aller viens on va s’asseoir à table et reprendre les cours.

Je voulais la distraire, mais rien à faire, les éclairs et le tonnerre se suivaient sans discontinuer, les années passées, j’avais connu des épisodes orageux, mais celui-ci dépasse tout en violence. Assis sur une chaise, sur une autre collée à moi, Clarine ne me lâche pas, cramponnée a mes épaules, je la tiens par la taille et à chaque éclair elle sursaute et met la tête dans mon cou.Une heure puis deux l’épisode orageux semblait être ancré sur la ville. Clarine finit par me dire :
— Je vais me coucher, s’il te plaît reste avec moi j’ai trop peur.— Mais je n’ai rien, je n’ai pas de pyjama.— Ça ne fait rien, reste.

Dans un petit répit, elle se précipite dans sa chambre laissant la porte ouverte et en deux temps trois mouvements, se met en chemise de nuit. Par discrétion je me tourne et attends la suite, quelques secondes et elle m’appelle.
— Viens je suis couchée.

Je rentre dans la chambre, jette un œil sur la pièce Clarine se fait pressante.
— Viens vite.

Je m’assois sur le bord du lit heureusement à deux places, enlève mes chaussures, mes chaussettes, mon pull et enfin mon pantalon, en boxer et tricot de peau je me glisse près d’elle sous les draps, lui tournant le dos. Clarine, couchée sur le ventre, a carrément la tête sous l’oreiller.Peu à peu l’orage s’éloigne, il a duré plusieurs heures. Je n’ose pas bouger de crainte qu’elle découvre mon état d’excitation.Il est minuit passé et les éclairs ont disparu, les roulements du tonnerre ne sont plus que des roulements de tambour au loin.Dans sa précipitation Clarine ne s’en est pas rendu compte, mais sa chemise de nuit quand elle est rentée dans le lit lui est remonté sous les bras, tout le bas de son corps est dénudé.Elle sort enfin la tête de sous son oreiller et murmure.
— Ça commence à aller mieux l’orage s’éloigne enfin, j’ai eu très peur, heureusement que tu es là.

Je me tourne un peu vers elle et lui réponds :
— Personnellement je suis content d’être près de toi pour te rassurer.

Elle se retourne et dit :
— Maintenant je vais pouvoir dormir, ça ne te dérange pas si je dors avec la veilleuse allumée ?
Je me tourne vers elle, elle se colle dos à moi, mon excitation est toujours présente, je n’y pensais plus. Soudain elle passe la main entre nous et découvre mon sexe en érection et s’exclame :
— Adriano je te fais tant d’effet ?— N’en tiens pas compte, à ton contact ce truc-là s’est réveillé subitement.

C’est là qu’elle se rend compte qu’elle est pratiquement nue contre moi, mon sexe à travers mon boxer lui caresse le ventre. Elle pique un fard, me regarde dans les yeux, se colle à moi et câline me dit :
— Adriano tu te souviens, je t’ai rembarré, et puis plus tard, sous la pluie, tu m’as secourue sans rien demander, tu m’as aidée à remonter mon niveau dans les études ces derniers mois, toujours sans rien tenter, je te considère comme un vrai ami, mais je constate vu ton état, que c’est bien plus que ça.
Maintenant je vais t’avouer une chose, depuis que tu as commencé à m’aider dans mes études, j’ai appris à te connaître et t’apprécier, j’espérais que tu tentes de me séduire, mais tu as été respectueux. Je pense être un peu amoureuse de toi. J’aimerais que l’on se fasse du bien, si tu veux bien.
Elle se colle franchement et me tend les lèvres, les yeux fermés. Je dépose un baiser sur ses lèvres, puis l’émotion me gagne, si j’ai une larme au coin de l’œil, c’est celle du bonheur, je sens la vigueur de ma verge se renforcer. Avant de poursuivre, je lui dis :
— Tu sais Clarine ce soir-là, où tu m’avais envoyé promener, j’ai cru que tu me regardais discrètement, j’ai pensé que je te plaisais et c’est pour cela que j’ai tenté ma chance. Tu m’as fait comprendre illico que ma manière ne te plaisait pas.
Aussi quand on s’est rencontré sous la pluie, je me suis contenté de t’aider, je t’ai de suite reconnue et il n’était pas question que tu me rejettes quitte à rester frigorifiée. D’autant que je t’avais trouvée vraiment belle. J’ai été heureux quand tu as accepté mon caban, puis j’ai sauté sur le prétexte de tes cours pour te revoir. Après ça, je n’attendais qu’une chose, que tu montres de l’intérêt pour moi, mais rien que d’être en ta compagnie me suffisait.
Après cette tirade, Clarine se frotte contre moi et m’attire sur elle, elle écarte les cuisses, et me ceinture le dos de ses jambes, elle se contorsionne recherchant le contact de ma verge. Tant bien que mal je me contorsionne pour enlever mon boxer. Elle me susurre à l’oreille :
— J’ai envie de toi, de suite, viens.

Un ou deux mouvements de rein et je sens ma verge plonger en elle, pubis contre pubis je fais une pause, je la regarde, elle me sourit, sur son beau visage je lis le bonheur, elle me dit :
— Continue, Adriano c’est bon. Et elle ferme les yeux toute à son plaisir.

Je commence par de lents va-et-vient, sortant et entrant mon sexe sur toute sa longueur puis le plaisir montant, j’accélère mes mouvements, Clarine la bouche ouverte et son souffle suit le rythme imposé. Elle pousse des petits cris. Au bout d’un moment, je sens que je vais venir, j’arrête net et me retire. Clarine ouvre les yeux, interrogative.
—-­- As-tu un préservatif Clarine ? Elle secoue la tête, réfléchit un instant puis me dit :—-­- Je dois être indisposée dans trois jours il n’y a rien à craindre.

Là-dessus elle saisit ma verge et la présente face à son sexe puis ressert ses jambes dans mon dos, je me laisse aller à d’amples mouvements. Clarine pousse de petits cris chaque fois que je suis au fond d’elle. Enfin je me lâche, la verge plongée dans toute sa longueur, je laisse le premier jet partir du fond de mon ventre et gicler en elle, Clarine aussi l’as senti et jouit en vocalises, les yeux révulsés, cramponnée à moi, j’ai accompagné les autres jets de poussées écrasant mon pubis contre le sien, les onomatopées mêlées à son prénom expriment ma jouissance.Il nous fallut plusieurs secondes avant de réaliser tout le plaisir que l’on venait de se donner. Clarine dessert son étreinte et je peux me coucher près d’elle, nos jambes croisées, nos corps ceinturés par nos bras. Nous sommes restés ainsi de longues minutes à apprécier le bonheur qui nous arrivait puis nous avons recommencé les embrassades.
—-­- C’était trop bon, heureusement que c’est la bonne période.

Je recommence à lui caresser le dos, elle me prend le visage dans la main et m’embrasse goulûment. Sa poitrine, les tétons durcis caressent le duvet de ma poitrine, son ventre ondule contre le mien et ma verge flaccide reprend de la vigueur.
Clarine se retourne, me présente son dos et colle ses fesses contre mon ventre, levant une jambe elle me saisit le sexe et le glisse dans sa fente, c’est un délice. Couchés tous deux sur le côté, imbriqués l’un dans l’autre, nous profitons doucement de notre union, effectuant un minimum de mouvements pour faire durer le plaisir.
Sans nous désunir je pousse doucement Clarine sur le ventre, les fesses cambrées le nez dans l’oreiller, je continue de lui labourer le vagin consciencieusement, puis me redressant sur les genoux, dans le mouvement, je la tire à moi et c’est en levrette que je poursuis mes investigations, voir ses fesses rebondies, son dos cambré, et ma verge entrer sortir entre ses jolis globes m’excite terriblement, mais en changeant de rythme je parviens à me retenir.
Soudain Clarine s’est mise à trembler de tout son corps, un son grave sort du fond de sa gorge. Elle est dans l’extase d’un orgasme. Moi-même je sens les contractions de son sexe qui me pompe la verge, je tente encore de tenir un peu de temps, mais c’en est trop, dans une fulgurance je jouis en elle en jets saccadés. Clarine me sentant et m’entendant jouir repart de plus belle. Cette fois épuisés tout deux on se laisse tomber sur le côté, deux ou trois bisous affectueux et l’on s’endort avec un sentiment d’apaisement.
Avant de m’endormir je me fais la réflexion
—-­- Le tombeur de ces Dames est tombé amoureux.

À la suite de cette nuit mémorable, nous avons fait des projets pour nous deux. Ce dont je suis le plus fier, c’est que Clarine a obtenu son bac avec mention bien. Son avenir elle le voit en fac à faire des études de physique.Le plus de tout ça c’est que l’on pouvait se mettre en colocation. Pour ma part, ma troisième année je devais la faire en alternance avec une rémunération bienvenue.
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