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Clarisse remonte le temps

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Clarisse cumulait les fonctions d’actionnaire principale, de  réalisatrice et d’actrice de« Clarisse Studio »,  société fondée trois ans auparavant. Elle avait 68 ans mais paraissait  plus jeune. Son visage émacié s’était pas mal ridé, ses cheveux en brosse avaient viré du gris au blanc mais son corps était toujours aussi svelte.
Elle continuait à entretenir sa maigreur, conservant cette allure mannequin à la limité de l’anorexie.  Ce côté androgyne, cette absence  de poitrine et de formes en général étaient sans doute la raison  principale de son succès dans le  milieu SM.
Clarisse  savait également que son public, à la différence des amateurs de porno classique, recherchait sans cesse des images nouvelles, le plus souvent violentes. Elle soignait  donc la variété des lieux et des personnages dans ses mises en scène et surtout  ne craignait pas de donner d’elle même.
Ses fans l’aidaient dans cette démarche, lui envoyant des requêtes ou carrément des scénarios.
Ce jour là, justement, elle trouva dans sa boite à lettres une enveloppe épaisse. C’était assez original.  la plupart du temps elle recevait, par mail,  des synopsis avec quelques suggestions rapides. Elle trouva ici une histoire complète, originale, avec un script précis et fort détaillé, agrémenté de dessins et de références documentaires.
C’était un vrai travail d’historien puisque la scène se déroulait au Moyen  Âge. Ainsi naquit « Le jugement de Clarisse». La préparation réclama quelques temps car il fallait un lieu adéquat, des costumes et des accessoires. Ce fut sa production la plus chère et la plus complexe. Trouver un château médiéval  en état, que  le propriétaire acceptait de louer fut délicat.
Elle tricha largement sur la nature de son film, prétendant réaliser un documentaire historique, et finit par trouver un accord avec un amoureux de vieilles pierres qui possédait une ferme fortifiée du XIII ème siècle, patiemment rénovée.
Le tournage prit deux jours et réunit sept acteurs et trois techniciens, ce qui était exceptionnel pour ce type de production. La suite de ce récit propose ce que virent les spectateurs mais aussi ce qu’ils ne virent pas... (Entre parenthèses, précédé d’un astérisque  dans le texte)
Dans la première scène, Clarisse, apparaît, chevauchant  en armure, sur un chemin isolé. Un groupe de quatre fantassins munis de lances l’entourent puis la désarçonnent. Clarisse lutte mais doit s’avouer vaincue. Elle est rapidement enchaînée et emportée sans ménagement.
Le plan suivant s’ouvre sur la place empierrée du bourg. Là, les soldats dénudent Clarisse qui se débat toujours, ne lui laissant que sa chemise fort courte. Ils la conduisent ensuite au pilori. Sa tête et ses mains sont placés dans un joug de bois qu’un des gendarmes cadenasse. La vieille se retrouve alors bloquée, le torse penché en avant à hauteur des hanches. La chemise de bure découvre sa croupe.
Tandis que la soldatesque monte la garde, des manants s’approchent et la souillent tout d’abord d’immondices puis une paysanne s’enhardit et déchire le fin vêtement qui protégeait la captive des regards. On voit maintenant le corps décharné de Clarisse soumis aux mains calleuses des manants.L’un d’eux se place derrière elle et mime l’acte sexuel en se frottant contre ses fesses, puis il sort son sexe  et  pisse abondamment sur ses reins.
Changement de décor. Clarisse toujours avec sa liquette en lambeaux, maintenue par deux gardes,  est présentée à ses juges dans la grande salle du château. Ils la pressent d’avouer qu’elle est un suppôt de Satan, ce qu’elle refuse. Sur un signe, elle est emmenée brutalement par ses gardiens vers les geôles.
La salle, une cave voûtée,  est faiblement éclairée par quelques torches. Il y a l’inquisiteur en robe pourpre et ses deux assesseurs, masqués par des cagoules. Le moine demande que Clarisse, prostrée dans un coin soit purifiée. Elle reçoit alors plusieurs seaux d’eau glacée. Trempée, elle est conduite vers un chevalet et attachée bras et jambes en croix.
Le chevalet est ensuite placé à l’horizontale sur deux tréteaux. La femme regarde le plafond au dessus d’elle, l’air terrifiée, un collier bloque maintenant sa nuque. Un des assesseurs lui ouvre la bouche pendant que l’autre fait glisser entre ses dents ce qui se révèle être un écarteur. Clarisse gémit mais doit céder. L’objet une fois en place, l’assesseur fait tourner une molette qui écarte progressivement les mâchoires  de la femme.
Quand le mécanisme atteint sa butée, un entonnoir est enfoncée dans la gorge de la victime impuissante. Un tonnelet d’eau vinaigrée de 5 litres est alors amené. Sur un signe de tête du maître de cérémonie, les laquais commencent à remplir l’entonnoir. Clarisse suffoque mais doit ingurgiter le liquide. Elle vomit fréquemment.
Petit à petit, le tonneau se vide et le ventre fort creux de la suppliciée commence à gonfler progressivement, jusqu’à atteindre la taille de celui d ’une femme en fin de gestation. Là, elle s’évanouit.
*[Cette scène nécessita un trucage. Pendant que la caméra filmait à hauteur de chevalet le corps allongé, un compresseur placé au dessous envoyait de l’air dans le ventre de Clarisse, par le biais d’un mince tube de caoutchouc, enfoncé dans l’anus de celle-ci. Ce qui eut pour effet de dilater largement le ventre de Clarisse et lui coûta ensuite une heure de flatulences ininterrompues. Par ailleurs Clarisse n’absorba en tout et pour tout qu’un demi-litre d’eau, le tonneau n’en contenant pas plus. L’utilisation de deux caméras, positionnées sous des angles différents et filmant l’une en plan large et l’autre en gros plan, permit de multiplier les images de la même scène, donnant ici l’illusion d’une séquence plus longue.]
Pour la deuxième fois, Clarisse devant ses juges nie être une sorcière. Elle est remmenée à la salle de tortures.
Une corde à nœuds a été tendue entre les deux murs de la pièce. Elle est placée à une hauteur supérieure de quelques centimètre au niveau de l’entrejambe de Clarisse. Celle-ci, les bras liés dans le dos, est forcée de l’enjamber à une extrémité. C’est sur la pointe des pieds qu’elle doit avancer, aidée en cela par les coups de martinets qu’un aide bourreau assène sur ses fesses. La corde a été enduite de mélasse pimentée.
Quand le sexe de Clarisse arrive au niveau du premier nœud on voit ses grandes lèvres s’écarter le la corde grasse s’immiscer dans sa vulve. Elle tente de faire machine arrière mais les coups redoublent. La traversée de la pièce dure plusieurs minutes. La vieille chancelle, les muscles de ses cuisses tremblent et elle pleure abondamment. La peau de son dos est striée de zébrures rougeâtres. Ayant  atteint son but elle s’effondre dans les pognes de ses geôliers.
* [Là, il  fallut de la vaseline et un peu de confiture pour la corde. Les lanières en caoutchouc souple du martinet avaient été préalablement enduites de rouge à lèvres carmin, ce qui créa des traces du meilleur effet.]
Toujours pas d’aveu lors de la troisième comparution et donc retour à la question.
Cette fois-ci, Clarisse apparaît, pieds et poings liés sur une croix de Saint André , face contre terre, la croix pendue à deux mètres du sol, retenue au plafond par une poulie qui la laisse tourner sur elle-même en cas de mouvement de la captive.
Un brasero brûle sous elle. Un des acolytes s’approche, saisit une torche et la promène sur le corps de la fille, qui se tortille dans tous les sens en hurlant. La flamme lèche successivement la poitrine, le ventre puis les cuisses, va et vient. Sur un signe de l’inquisiteur, l’homme s’arrête. Son camarade a saisit de longues pinces à bout plats et les pose dans le foyer.
Une fois chauffées, sous l’œil complaisant du moine, le tortionnaire écrase successivement les deux tétons de la malheureuse qui perd conscience. Des traces noires et rouges, épaisses, marquent les mamelons. Un seau d’eau pour la réanimer et l’opération reprend sur l’intérieur des cuisses, puis la vulve de Clarisse. L’officiant éprouve un malin plaisir à vriller son outil, tordant les grandes lèvres de la vielle dans tous les sens. Nouvel évanouissement.
C’est un S majuscule, soudé au bout d’un tisonnier, rougi  par  les flammes, que le bourreau brandit pour ce  dernier supplice. Celui qui va marquer  la captive dans sa chair, la désignant à la populace comme la sorcière qu’elle refuse d’être. Lentement le fer incandescent  s’approche de l’épaule gauche puis  s’enfonce  au dessus du maigre sein. Léger crépitement, fumée âcre, le métal se retire et laisse voir une plaie profonde et violacée. Clarisse urine tout son saoul et s’évanouit à nouveau.
*[Les scènes où les pinces rentrent en contact avec les chairs de Clarisse furent réalisées bien entendu "à froid". Pour le marquage, un moulage large en latex du sein de Clarisse  fut réalisé et c’est celui-ci qui hérita du fer brûlant. Les stigmates  sur le corps de Clarisse furent réalisés au maquillage dans les deux cas.]
Après une dernière entrevue, les juges n’arrivant toujours pas à décider Clarisse, finissent par la condamner au châtiment suprême.
La dernière scène se déroule à nouveau sur la place. Un échafaud y est dressé. Les gardes emmènent Clarisse, en chemise, entravée par des fers aux chevilles, les mains enchaînées. Au dessus  de l’estrade a été érigé un portique haut de plus de quatre mètres. Le bourreau et son assistant reçoivent la victime Pendant que l’un la maîtrise, l’autre envoie une corde  autour de la poutre qui les surplombe. Il en récupère un bout et le noue fermement à la chaîne qui unit les poignets de la fille.
La corde se tend et Clarisse se retrouve sur la pointe des pieds, ses bras joints tendus vers le ciel. Le bourreau suspend sa traction le temps que son aide fixe entre les fers des chevilles une barre qui   tient les jambes largement écartées. Le vêtement est arraché révélant la marque indélébile. Les traces des coups de fouets parsèment le corps de stries violettes.
Sur un signe du seigneur des lieux, Clarisse est tractée dans les airs, jusqu’à ce que ses mains rencontrent la poutre. Le bourreau attache la corde à un  arrêt et le corps frêle tournoie sur lui-même quelques instants avant de s’immobiliser. Une terreur intense se lit dans le regard de la femme.
Les deux bourreaux se saisissent alors de l’objet du supplice, un pal de bois épais muni d’un pied, effilé en son bout. Ils le placent verticalement sous le ventre de Clarisse. Le dard pointu s’établit à quelques centimètres de son entrejambe. Le lien est dénoué et pendant que le bourreau donne un peu de mou, son apprenti prend fermement les cuisses écartées de la vieille et guide son entrecuisse vers l’épieu.
Clarisse hurle quand la pointe prend contact avec son sexe. L’aide bourreau la maintient fortement et centimètre après centimètre le dard pénètre dans sa vulve. Du sang se met à couler le long des cuisses de la femme. Les spectateurs regardent fascinés la pénétration fatale s’accomplir. Aux hurlements succède le silence, Clarisse vient de défaillir sous l’intense douleur qui broie son bas-ventre. Son corps tressaute tandis que le pal poursuit son passage destructeur
Le corps continue lentement à descendre sur l’énorme broche. Le sang coule abondamment. Clarisse trépasse au moment où ses pieds touchent le sol. Un dernier plan la montre tête en arrière, la pointe du pal dépassant de ses mâchoires grand ouvertes. Justice est faite, la sorcière a rendu son âme au Diable.
*[La scène finale est celle qui a demandé le plus de travail. Le pieu a été moulé dans du latex. Une poche d’hémoglobine a été placée dans le vagin de Clarisse. Quand la pointe du pal la rencontre, elle se vide, simulant ainsi l’hémorragie. La prise s’arrête là. On remonte alors Clarisse et l’épieu artificiel est coupé à environ 20 centimètres de sa tête. Ce moignon, récupéré, sera placé pour le plan final dans  la bouche de Clarisse pour faire croire à son empalement complet. Puis Clarisse est replacée sur l’embout tronçonné, avec une nouvelle poche d’hémoglobine dans le vagin. Par la suite son corps ne coulisse jamais sur le pal. Un trou du diamètre de celui-ci, percé dans l’estrade de l’échafaud permet d’escamoter le pieu, en même temps que le bourreau fait descendre la suppliciée. On ne voit, bien entendu, jamais le dessous de l’échafaud et les plans de coupe sur les autres personnages (seigneur, inquisiteur, bourreau ,...) permettent d’effectuer les différents manipulations.] Clarisse fut fort satisfaite du tournage et lorsque tout le matériel se trouva rangé, elle réunit l’équipe et remercia chacun. Puis elle fit un petit speech conclu par ces derniers mots: "Sans vouloir m’empaler,  je pense que cette production connaîtra un franc succès!"
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