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Clarys salope

Chapitre 1

Divers
BonjourJe m’appelle Clarys, j’habite à Luynes, un petit village à côté de Tours. J’ai 25 ans et sans être un canon de beauté, on me dit mignonne. Je ne suis pas très grande avec mon petit mètre 60. J’ai les yeux bleus, je suis blonde, les cheveux raides, une coupe au carré et une frange sur le front. Sans être grosse, j’ai quelques petites formes généreuses, des petits seins et de jolies fesses, fermes et rebondies.
En découvrant ce site, j’ai eu envie moi aussi de vous faire découvrir mes aventures sexuelles, nombreuses et coquines, pour ne pas dire très hard. En effet, je suis une accro au sexe et je me qualifie moi même comme nympho, salope, vicieuse, et tous les autres termes que vous pourrez me trouver en découvrant mes récits. Malgré mon jeune âge, j’ai pratiquement tout fait et essayé en sexualité. J’ai baisé avec des hommes, des femmes et même autre, que je vous dévoilerai plus tard. J’ai fait des partouses mixtes, des gang bangs, des glory holes, des séances BDSM. J’ai goûté ou voulu goûter à tous. Rien ne me laisse froide, tout me fait mouiller. Hormis la scatophilie, ça je n’aime pas, et encore, je vous raconterais quelques anecdotes où nous n’en étions pas loin.
Autrement, l’âge et le physique de mes partenaires m’indiffèrent. J’aime bien sûr les hommes beaux et les belles femmes, mais j’aime aussi des partenaires beaucoup plus âgés que moi. J’ai couché avec des hommes et des femmes qui auraient pu être mes grands-parents. Ce qui me plaît chez une personne âgée, c’est le fait que de caresser, d’embrasser, de lécher, de baiser une jeune, ils sont excités au plus haut point. J’en ai eu certains qui étaient comme des fous avec moi. Chose qui arrive plus rarement, avec des partenaires de mon âge. Et j’avoue que j’aime sentir une peau ridée, caresser des couilles pendantes, sucer des seins flasques. Je suis également très sensible aux odeurs. J’aime qu’une bite sente la bite, un cul le cul, une chatte la chatte. Voilà, je me suis décrite du mieux possible sur mon physique et mes goûts en matière de sexe.
En écrivant ces quelques lignes et me en remémorant ces histoires vécues, je suis toute humide. Car de plus, tout en écrivant, je me caresse un sein. J’ai posé de la salive sur mon index et je le passe sur mon mamelon droit. Ah oui j’ai oublié, je suis hyper-sensible des seins. Le simple fait de les caresser, de pincer mes tétons, je suis prête aux pires bassesses demandées. Pour l’heure, je suis vêtue d’une chemise en jeans, pas de soutien-gorge et d’une culotte blanche, qui commence à être bien mouillée. Mais bon, reprenons nos esprits et commençons par mes aventures torrides.
Par où commencer ? Comme toutes jeunes filles, j’ai eu un petit copain, Marc, du même âge que moi, à qui je suçais la queue régulièrement, pour l’avoir vu faire dans des films x. Il n’avait pas une très grosse bite, mais j’aimais la sentir gonfler dans ma bouche et j’avalais son sperme dès le début de nos rapports.
Quand mes parents étaient absents ou pas encore rentrés du travail, nous nous retrouvions dans ma chambre. Comme je ne voulais pas baiser à l’époque, c’était toujours le même rituel. Aussitôt la porte de la chambre fermée, il me mettait toute nue, me suçait les seins, caressait ma chatte et mes fesses très rapidement, puis s’asseyait sur mon lit, il aimait que ce soit moi qui lui dégrafe son pantalon et baisse son slip. Je passais ma langue sur sa tige et quand elle prenait un peu de volume, je l’engloutissais entièrement. Après quelques va-et-vient de ma bouche, étant précoce, il éjaculait un foudre épais et odorant, d’où ma sensibilité pour les odeurs certainement, que j’avalais jusqu’à la dernière goutte.
Notre histoire a duré quelques mois, puis j’ai rencontré Lillian, de trois ans mon aîné. Un grand mec musclé, une belle gueule, rien à voir avec mon p’tit Marc. Lillian m’emmenait faire des tours de moto et nous nous arrêtions en bordure de forêt où nous pratiquions des jeux de doigtage, de branlette et de fellations. Peu de temps après, il m’emmena chez lui. Travaillant comme menuisier, il avait un petit studio en centre-ville. Avec lui, j’ai eu la particularité de me faire dépuceler la chatte et le cul le même jour.
Nous nous sommes donc retrouvés dans son studio où il y avait un canapé-lit. Après quelques roulages de pelles, il a fait passer ma petite robe d’été par-dessus ma tête, fait sauter mon soutien-gorge, et baissé ma culotte. Il m’embrassait partout, léchait mes seins, mordillait et pinçait mes tétons. Je me tortillais d’excitation et avais la chatte trempée, ce qu’il m’a fait remarquer en enfonçant deux doigts dedans.
— T’es trempée ma salope.
Ses mots m’ont surprise, mais terriblement excitée aussi.
— Oh oui, insulte-moi, lui dis-je en rougissant.— Mets tes mains derrière la tête et écarte bien tes jambes connasse.
Je me mettais en position et il me branlait la chatte et le cul en même temps de chaque main tout en mordant mes seins. J’avais deux ou trois doigts devant et un doigt dans le derrière.Je me tortillais dans tous les sens, j’étais aux anges.
— Ah oui c’est bon, encore, branle plus vite, suce mes seins oh oui je jouis, je jouis.
Il m’a prise dans ses bras, m’a posée sur le canapé, retiré chemise, pantalon, caleçon. Il était nu devant moins, me présentant un sexe beaucoup plus gros que celui de Marc et en pleine érection. Je l’ai pris dans ma main, j’ai avancé la tête, et mis son gland dans ma bouche. Je passais ma langue autour tout en le branlant. Lillian m’a prise par la nuque et s’est enfoncé dans ma gorge. Surprise, je l’ai recraché et l’ai repris en bouche pour le sucer à ma convenance. Après un long moment de suçage.
— Arrête salope, tu vas me faire jouir, viens.
Il m’a allongée, écarté mes cuisses, s’est mis à genoux et m’a pénétrée d’un coup. Je n’ai ressenti aucune douleur, car je me masturbais depuis longtemps avec divers objets. Il me baisa ainsi un moment et quand j’ai senti la jouissance venir, il m’a retournée et m’a prise en levrette. Cette fois, j’ai jouis pour la seconde fois. Tout en me baisant, il massait mon anus avec le pouce.
— T’es vraiment une pute, tu mouilles même du cul.
Sans prévenir, il s’est retiré, a craché sur mon trou de balle et m’a enfoncé sa bite dans le cul. Là par contre, je l’ai senti.
— Aïe ! Ça fait mal, arrête, arrête.— Attends, après quelques va-et-vient tu vas aimer.
Effectivement, sa bite allant et venant dans mon cul, je sentais la douleur disparaître et une chaleur monter en moi. Je me branlais le clito pour accélérer la jouissance qui n’a pas tardé à arriver. Lillian après de longs va-et-vient s’est retiré, m’a retournée et présenté sa bite devant ma bouche.Mais devant mon mouvement de recul, il dit:
— Vas-y, suce, tu ne l’as pas salie.
J’ai pris sa queue à pleine bouche et tout en me branlant, j’ai sucé cette pine qui avait l’odeur de mon cul. Lillian a joui dans ma bouche en même temps que moi sur mes doigts.Je me suis relevée et ai voulu l’embrasser, mais il m’a repoussé de la main.
— Ça va pas non, tu veux me rouler une pelle alors que tu avais du foutre plein la bouche.
J’étais déçue par son attitude, mais je lui pardonnais, car il m’avait tellement bien fait jouir. J’étais accro à lui, mais lui n’en avait rien à faire de moi. Je m’en suis aperçue plus tard, lorsqu’il m’a mise à disposition de ses potes.Mais ça, c’est une autre histoire que je vous raconterai prochainement.Bisous
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