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Claude, cette femme en moi.

Chapitre 7

Travesti / Trans
Voilà maintenant plus de dix semaines que je suis mon traitement hormonal.
Nous avons rencontré assez rapidement le médecin d’Aude, un type génial, ouvert.Il m’a longuement expliqué les conséquences d’un tel traitement.— Perte du volume musculaire.— Qu’avec la prise d’hormones, les graisses se répartiront de façon plus harmonieuse sur le corps et peuvent féminis­er les cuisses, les fesses, le bassin, le ventre, les bras, etc.— La pilosité corpo­relle diminuera. La barbe n’en sera que quelque peu affectée : mais je n’en ai jamais eus.— La thérapie hormonale pourra revigorer la chevelure.— La peau du visage et du corps s’affineront et la taille des pores de peau réduira.— La fréquence des érections, leur durée et leur fermeté en seront diminuées. Le sperme n’atteignant pas sou­vent sa maturité, ceci pourrait causer l’infertilité de moy­en à long terme.— Les hormones permettent le développement des seins, mais comme toutes femmes, pour celles qui sont insatisfaites de leurs seins une fois la croissance ter­minée, des options non-chirurgicales et chirurgicales seront disponibles afin d’obtenir la poitrine désirée.
Bref, en sortant de son cabinet, ma décision était prise.Nous préparâmes un dossier avec un psychologue complaisant qui nous avait été recommandé, l’ordonnance arriva bien vite, et bonne nouvelle la sécurité sociale remboursait.
C’était délicieux comme sentiment, chaque matin je prenais mes comprimés et me passais du gel sur le corps.Je scrutais ma poitrine pour y voir l’évolution, au bout de quelques semaines, mon corps tout entier changea.Mes hanches s’affirmèrent, ma taille se creusa, ma peau s’adoucit et son grain changea, plus fin, plus doux.Les seins apparurent ensuite, d’abord petit, enfantin, comme les nénés d’une adolescente, puis il grossirent peu à peu, atteignant une taille acceptable, une jolie forme excitante, ronde et harmonieuse.
Aude ne pouvait plus guère satisfaire ses envies dépilatoires, mes poils peu nombreux, avaient presque tous disparus, à part ceux sur mon sexe, Aude enlevait alors à la cire ce petit duvet disgracieux, pour laisser épilé mon petit kiki... son délicieux clitoris, comme le surnommait Ma Tendre Chérie.
J’atteignais des sommets plaisant lors de l’essayage de mon premier soutien gorge.La douceur du tissus sur mes seins, l’étreinte de la lanière dans le dos, les caresses des bretelles sur les épaules, tout était volupté.Ma poitrine était remontée haut, un joli décolleté formé par un sillon serré enluminait ma silhouette.
Je me délectais de ces globes merveilleux, petites pommes délicates aux reflets rose nacré.
Aude, n’arrêtait pas de m’offrir de la lingerie, nous avions trouvé des coupes de culottes, de string qui mettaient en valeur ma petite croupe rebondie et qui dissimulait parfaitement les attributs du reste de ma virilité.Le tout était assortis de merveilleux soutiens gorges, pigeonnants, à balconnets, de soie, brodés de dentelles, avec ou sans perle...Ainsi parée, je me sentais femme, belle, désirable, j’étais aux anges... Aude également.
Je pris la décision de me mettre définitivement en accord avec moi même, sur la page de mon site, je n’avais jamais renseigné de civilité.Je rajoutais Mademoiselle Claude X, et féminisais mon C.V..Je décidais aussi de parler de moi au féminin; cela malgré quelques lacunes en orthographe, en particulier sur les accords des participes passés, et demanda à Aude d’effacer de son langage toutes considérations masculines à mon endroit.
J’étais maintenant Sa Chérie, Sa Beauté, Sa moitié, mais toujours aussi Son Amour...Nous passions beaucoup de temps à prendre soin de nous, régime, ballades, sport.Aude m’enseignait l’art du maquillage, de la coiffure.Le week-end nous sortions sans difficultés, pour faire les boutiques, aller au restaurant...J’assumais totalement ma nouvelle apparence, fière, heureuse même, toutes deux nous étions magnifiques.
Le soir venu, Aude me faisait l’amour, avec tout les accessoires dont elle disposait, plus de nouveaux qui augmentait sa collection.Elle me prenait en levrette, les mains rivetées sur mes seins, elle me donnait parfois de petites tapes sur les fesses, j’appréciais d’être fessée.
Puis, le premier coït atteint, elle me couchait sur le dos, moi les jambes relevées, en adorable soumise, je la laissais faire, m’enculer de son gode-ceinture, me défoncer l’anus, me posséder de tout ses toy malicieux.Dans cette position, Aude dévorait gloutonnement mes mamelons durcis ou mes nichons merveilleux. Au petits jeux délicatement pervers de ma maîtresse d’une nuit, je répondais sans faillir, suçant avec délectation les jouets introduits, me régalant du goût de mon cul, jouissant sans vergogne jusqu’au bout de la nuit.
Quelques jours plus tard, ma poitrine ayant atteint sa taille définitive et avec l’accord du chirurgien, je me fis poser des prothèses mammaires, bonnet 90 D, elles comblèrent encore plus Ma Dulcinée.
J’écrivais beaucoup à ma mère, que je n’avais pas vue depuis des mois.Notre relation épistolaire me rassurait, j’avais terriblement peur qu’elle ne me vit.Je lui faisais de longues lettres, écrite à l’encre violette, comme pour lui avouer ma nouvelle vie, sans oser le faire.J’ornementais par d’adorables petits cœurs les "i " sur les petits qualificatifs que je lui donnais dans mes écrits, (ma maman chérie, mon aimée...).
Je prétextais un planning chargé, des rendez-vous important que je ne pouvais remettre.Je me cachais d’elle, en souffrant chaque jour un peu plus... Nous en parlions souvent avec Aude, elle de son côté, l’appelait, lui rendait souvent visite, comme pour combler cette absence qui me pesait.
Un vendredi soir, on sonna à la porte, Aude alla ouvrir, et fit rentrer son invitée.
Maman était là, debout face à moi, sa valise à la main.Elle s’effondra en larme, j’étais pétrifiée, mais mêlé aux sanglots, je l’entendis me dire :" - Comme tu es belle ma chérie, comme tu es belle ! ".Elle se jeta dans mes bras, pris mes mains et se recula en les serrant, pour mieux me voir, mieux me regarder." - Comme tu es magnifique... " soupira t-elle, heureuse, les yeux mouillés de son bonheur.
Aude arriva avec une bouteille de champagne, il fallait dignement fêter nos retrouvailles.Chantal, ma mère se débarrassa de son manteau, et s’assit près de moi sur le confortable canapé.Nous restâmes silencieuses un long instant, ma mère me dévorait de son regard si doux, un merveilleux sourire enluminait son visage.Elle était aux anges... cela se voyait, elle me fixait, me souriait sans cesse.
Aude m’expliqua, elle avait sentit ma tristesse, et avait peu à peu préparée ma mère au fur et à mesure de ses visites, de ses appels.Maman me pria de pardonner à Aude cette petite révélation pour ne garder que la joie de nos retrouvailles. Nous dînâmes ensemble, Aude prépara la chambre de maman, elle passerait le week-end avec nous...Nous parlions de tout, de ma rencontre avec Aude, de son attachement pour moi que ma mère avait décelée.Je lui racontais mon initiation, ma transformation progressive, jusqu’à ce cap que j’avais franchie, ma féminisation poussée, mes seins, mes désirs, mes envies.
Nous primes le dessert au salon, Aude alla chercher une troisième bouteille de Champagne.Je finis par m’installer, allongée la tête sur les genoux de maman.Elle me caressait le visage, le front, les cheveux, mon nez, mes lèvres... et puis, elle se mit à tout me dire.
Sa grossesse, ses envies d’une petite fille, la volonté de papa d’avoir la surprise du sexe à la naissance d’où le choix de mon prénom androgyne, puis sa déception de ne pas avoir été exhaussée... un fils et non une princesse... et puis sa tristesse d’apprendre un matin, qu’elle ne pourrait plus enfanter.
Elle me raconta, qu’elle m’habillait toujours en fille, mais qu’il avait fallu que papa se fâche pour qu’elle arrête enfin, au bout de deux ans.Mais je restais toujours sa petite chérie dans son cœur, et dans le secret des changes, de la chambre à coucher, des toilettes, quand mon père était absent, elle reprenait alors discrètement ses envies: les tenues roses, les robes, les nœuds dans la coiffure de mes longues mèches, qu’elle laissait volontairement pousser.
Elle m’avoua que s’il n’avait tenu qu’à elle, elle m’aurait habillée de la sorte jusqu’à au moins ma majorité, voir beaucoup plus, l’espoir au ventre.Elle s’extasiait de me voir jouer à la poupée avec mes cousines, et chaque jour qui passait, elle voyait mon physique évolué, rester si féminin, et pleurait toutes les larmes de corps de tant de gâchis.
Je l’écoutais, silencieuse, en pleurant. Je caressais son bras, ma figure sur son ventre chaud." - Ne pleure pas ma princesse. ", me dit-elle soudain.Moi j’étais émue par son histoire, mon histoire, notre histoire, Aude, de son côté, avait aussi bien du mal à dissimuler ses yeux mouillés.
Alors maman déboutonna son chemisier et l’ouvrit, elle dégrafa son soutien-gorge, qui se fermait par le devant, dégagea son sein de l’étoffe et le pris dans sa main.Son autre membre me releva la tête, elle l’approcha de son mamelon, tout près, jusqu’à le poser sur le bout de mes lèvres, et d’une voix si douce elle me dit :" - Maman n’a plus de lait, mais elle peut encore te donner la tétée... Ma chérie, ma princesse d’amour ! "Alors je tétais le sein de maman, ma main posée sur l’autre, je me régalais de son téton proposé avec tant de candeur.Je la bu sans m’arrêter une seconde. Sa poitrine était chaude et douce, je sentais son cœur battre la chamade à chacune de mes succions, collée contre elle.Elle me tenait dans le réconfort de ses bras, m’embrassant, me câlinant, me chantant une berceuse, comme pour rattraper ce temps si bêtement perdu...Je jouis sans retenue, débordé par le plaisir de ce câlin qui m’était si délicieusement.Rien ne comptait plus, la joie de notre réunion, la volupté des cajoleries l’avait emporté sur la honte de ma culotte souillée, poisseuse de toute ma jouissance... puis encore et encore, je crachais ma semence par longues saccades.. tout au long de ce festin qui dura une bonne partie de la soirée.
Nous montèrent nous coucher, dans notre chambre, maman entrepris de me déshabiller, comme quand j’étais enfant. Elle enleva mon haut, ma petite jupe, mes bas et ma guêpière, et en baissant ma culotte, elle découvrit mes émois.
Alors doucement, elle fit descendre mon penty maculé, avec mille précaution, laissant sur l’étoffe ma précieuse semence.Je soulevais mes pieds pour dégager mon dessous, et Chantal, ma mère, le tendit l’œil luisant à Aude.Elles se fixèrent un instant du coin de la prunelle, et Aude commença à laper le tissus, comme pour lui signifier, l’attachement particulier qu’elle avait pour la chair de sa chair.
Maman me coucha sur le lit, j’étais entièrement nue et commença de sa bouche à me faire ma toilette, d’abord hésitante, par de petit bisous sur mon ventre, puis sur mon nombril gorgé de foutre, qu’elle finit par pénétrer de sa langue.Elle me couvrit de baisers, me bu, et me lécha toute entière, je l’entendais déglutir.Une fois terminé, maman nous demanda la permission de pouvoir dormir avec nous... ses prunelles nous suppliaient, puis s’ensoleillèrent lorsque nous acceptâmes sans hésitation.
Allongées toutes trois, entièrement nues, collées contre maman au centre du lit, je repris son mamelon en bouche, Aude en fille adoptive goba le deuxième, nous les suçotâmes sans retenue.
Ma main descendit sur le ventre de ma mère, celui même qui m’avait porté neuf mois, et je le caressais de langoureux attouchement.Sa peau était brûlante, câline et Aude vint alors joindre sa main sur la mienne.
Chantal nous laissait faire, alors, mes doigts s’aventurèrent plus bas encore, sur ce mont d’où j’étais sorti vingt huit ans plus tôt.Je sentais son sexe s’humidifier par mes flatteries digitales.Déjà je flattais ses poils, ses lèvres intimes, puis son orifice maintenant détrempé.Aude accrochée au sein de ma génitrice, me rejoignit bientôt de ses doigts et mêla sa caresse à la mienne.J’avais lâché le divin mamelon, et en couvrant de bisous sa gorge, son ventre, je glissais doucement vers son sexe inondé.
Je me grisais de son odeur musquée ou flottait quelques relents de pisse.Maman passive, écarta ses cuisses pour mieux me laisser la goûter.Je dégustais son clitoris, ses commissures, son vagin et m’abreuvais de son jus délicat le visage détrempé. Ma bouche était collée sur ce trou merveilleux et sur les phalanges d’Aude.Je flattais son méat dilaté de la pointe de ma langue, quelques gouttes d’urine aiguisèrent ma soif, puis je m’enfouis dans les tréfonds de sa vulve grande ouverte, le visage collé comme si je voulais y rentrer de nouveau.
Aude avait lâché le téton, et galochait allègrement Chantal, s’étaient à toutes deux leur première véritable expérience saphique, ma mère au diapason, répondait gloutonne à cette embrassade.
Alors, maman jouit dans ma bouche, et m’inonda de mouille et de pisse mêlées.Elle maintenait de ses deux mains mon visage sur sa chatte.Comme pour revivre à nouveau, l’émoi de ce premier jour ou je vins au monde, quand je sortis d’entre ses cuisses.
Ce fut fabuleux, nous passâmes toute la nuit ainsi, dans de doux attouchements.A nous occuper d’elle, Aude et moi, à l’ouvrir à nos jeux, la gâtant de mille délices.L’aube se levait quand nous nous endormîmes enfin, harassées, enlacées toutes trois, moites et collantes.
Tout le week-end nous n’eurent d’autres occupations que de recommencer, encore et encore.
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