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Claudette, Mathieu......Jean

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
La douche est chaude et Mathieu se détend peu à peu. La semaine a été rude à l’usine. L’été s’annonce chaud et la douche du samedi aux Bains Municipaux est la bienvenue. A la fin de ces années soixante, tous les logements ne sont pas encore très équipés en sanitaires et ce service mis à la disposition de tous par la Ville est très apprécié. Le samedi après-midi l’endroit est donc très fréquenté. Il faut prendre son ticket et souvent attendre qu’une cabine se libère.Marié depuis un an et nouveau dans cette ville, c’est la troisième fois qu’il vient ici. Mathieu aime y venir, la proximité de ces corps nus dans les autres cabines l’excite. Une jeune femme, vingt ans au plus, a pris juste avant lui la cabine voisine de la sienne. Il ne peut s’empêcher de l’imaginer nue, offrant son corps mince et bronzé à la pluie bienfaisante de l’eau. Il l’imagine savonnant son corps parfait à ce qu’il a pu deviner. Ses mains s’attardant un peu trop entre ses cuisses dorées et frôlant sa chatte. Est elle mariée, a t’elle un petit ami, un homme lui fait il l’amour, est-elle comblée? Il est marié avec Claudette depuis une année et depuis n’a jamais approché une autre femme. Sa jeune femme est capricieuse et jalouse et parfois lui reproche de trop regarder les autres femmes dans la rue. Il l’aime, mais du fait de son comportement trop possessif commence à trouver leur mariage un peu trop pesant. Cette séance de douche hebdomadaire est pour lui un exutoire qui lui permet de s’évader un peu de son mariage.Il bande en pensant à cette jeune femme et naturellement se masturbe tout en se savonnant le sexe, sans réel intention d’aller jusqu’à l’éjaculation. Il se caresse lentement, goûte l’instant délicieux de l’excitation qui monte dans son ventre, seulement séparé de cette jeune fille par une mince cloison de briques.
Penché en se savonnant les jambes, il remarque alors une chose qui jusqu’alors lui avait échappée. Des petits trous dans les joints entre les faïences blanches habillant les cloisons. En les examinant de plus près, il en découvre plusieurs de chaque côté de sa cabine. Certains sont obstrués par des petits morceaux de papier. Il ne peut s’empêcher de penser qu’il a été épié lors de ses deux autres visites, une femme, un homme l’a-t-il ainsi observé sans qu’il s’en doute.Dans la cabine d’à côté, l’eau coule toujours sur le corps de sa jeune voisine. Le cœur battant par ce qu’il va faire, Mathieu vient d’ôter un bouchon de papier et colle un œil à l’orifice. Par chance de l’autre côté le trou n’est pas bouché. Son regard plonge avidement dans l’intimité de sa voisine. Il ne voit pas sa tête, mais le bas des seins qu’il devine petits bien ronds et fermes puis plus bas, le ventre légèrement bombé de la jeune femme ainsi que ses cuisses fuselées. Elle est belle et Mathieu en a la gorge sèche. Il ne peut se résoudre à se relever, à mettre fin au viol de l’intimité de sa voisine. Une fine toison brune dissimule à peine la fente de la vulve. Quand elle se retourne, elle lui offre sans le vouloir le spectacle de ses deux fesses. Elles sont petites, rondes, musclées. Cela le change un peu des fesses plus amples de sa petite femme.Instinctivement sa main s’est refermée sur sa verge raide. Pour être mieux, il s’est mis à genoux et l’œil collé à l’orifice fait aller de plus en plus vite sa main. Elle est belle cette inconnue et il a envie d’elle. Il a envie d’enfoncer son membre dans son petit vagin. Il a envie de lui faire l’amour, envie aussi de connaître le plaisir du contact de ses fesses contre son ventre en s’abimant dans le petit orifice brun qu’elle savonne maintenant devant lui. Sa semence fuse très vite, fuse pour elle en abondance…….et pourtant Claudette se matin avant de partir…….Il s’est relevé un peu honteux de ce qu’il venait de faire. De l’autre côté l’eau a cessé de couler. La jeune femme doit maintenant de sécher avant de se revêtir. Mathieu n’ose pas sortir en même temps qu’elle, affronter son regard. Quand il a joui, n’a-t-il pas laissé échapper une plainte de plaisir. L’a-t-elle entendue?Et soudain il réalise une chose. De l’autre côté, dans la cabine de gauche, l’a-t-on observé, l’a-t-on vu se donner du plaisir en mâtant sa jeune voisine. Cette cabine lui semble silencieux, est elle occupée. Quand il se penche de ce côté et colle son œil à l’unique orifice, il découvre que ce dernier n’est pas obstrué. Son cœur fait un bon dans sa poitrine, comme il le redoutait, là, à quelques centimètres du sien, un œil brille, l’épie. On l’a vu faire le voyeur, on l’a vu se masturber et souiller le mur de sa semence.Vite, très vite il a remis ses vêtements sans trop se sécher. Il faut prendre l’autre de vitesse, quitter les lieux avant pour qu’on ne puisse l’identifier.Ouf! Il est sorti, le couloir est désert. La réceptionniste le salue distraitement en levant à peine les yeux de son journal. Pour cette fois, il s’en sort bien……
-Elle était belle toute nue, bien bandante la gamine?Il ne l’a pas entendu arriver. Un homme l’a rejoint et marche à sa hauteur. Mathieu réalise alors qu’il ne s’en sort pas si bien. Il comprend que l’homme était son voisin de gauche et qu’il a tout vu.-Quoi…de qui vous parlez? Sa voix tremble, il a soudain froid dans le dos.-Fais pas l’idiot, je t’ai vu… elle était belle. Tu t’es branlé cochon….j’ai tout vu!-Vous êtes fou et puis vous aussi vous m’avez regardé, je vous ai vu!-N’ai crainte je ne dirai rien, moi aussi j’aime faire çà quand je viens là le samedi. J’en ai déjà vu plusieurs, des belles et des moins belles. Des hommes aussi!-C’était la première fois. Il y avait des trous, je ne sais pas ce qui m’a pris.-On le fait tous tu sais. Moi je suis entré juste avant elle et toi. J’espérais qu’elle occupe ta cabine pour la mater à poil. Pas de chance, elle était bien foutue la petite avec son petit cul bien moulé dans son jeans. Elle était devant moi dans la rue, je l’ai dépassée et j’espérais qu’elle prenne ta cabine. Dommage, Je me la serai bien mise sur la bite.-Moi aussi! Mathieu est rassuré, cet homme est un voyeur. Sans doute un de ceux qui ont creusé les trous dans les cloisons des cabines de douche. Tout en marchant, soulagé il l’observe. Il a sensiblement le même âge que lui et de la même corpulence. S’il avait dû se battre avec lui pour lui imposer de se taire, il avait une chance d’être le plus fort. -Viens, entrons je t’offre un pot!Mathieu le suit dans le petit café situé non loin des douches municipales. A part le patron qui regagne son comptoir après les avoir servi sur la terrasse. Ils sont seuls pour faire connaissance. Se rassurer aussi mutuellement sur les intentions de l’autre. La ville est petite et une mauvaise réputation y est vite faite.
Jean, il s’appelle Jean a 25 ans et vit seul. Sa jeune femme a été accidentée il y a plus d’un an dans un accident de voiture et depuis est hospitalisée pour de longues années dans un centre de rééducation. Il lui confie qu’il est cadre administratif dans une petite entreprise et Mathieu découvre alors qu’il s’agit de celle où travaille sa femme. Sans doute connaît il Claudette, la boite est petite?Mathieu lui parle de son mariage, de Claudette et comme il le pensait, Jean la connaît de vue. Comme lui il aime aussi la pêche. Dans leur petite ville à part le cinéma et le foot, il n’y a guère d’autres distractions.Jean lui confie alors que depuis l’accident de sa femme il est privé de sexe. Par timidité pour les aborder, il n’a jamais eu d’aventure avec une autre femme. C’est comme cela qu’il s’est rabattu sur les cabines de douches de la ville.-Tu fais comme moi tout à l’heure? Tu te…… Mathieu est excité par leur conversation. Il aime parler de sexe et Jean lui semble comme lui.-Oui! il faut bien que je me soulage. J’en peux plus de pas baiser. Tu as de la veine toi, ta femme, ta Claudette est belle….. Que Jean fantasme sur Claudette ne le blesse pas, étrangement cela l’excite encore plus. Comme lorsque ado il la faisait se frotter contre ses copains.-Tu l’as mâtée mon salaud? -Aux douches, je ne sais pas, à l’usine oui….. quand elle passe….humm !-hum…quoi?-Son cul…!-Tu lui mettrais bien mon cochon….! Mathieu bande maintenant, heureusement la table masque son état.-Un peu oui. Cà ne te vexe pas au moins, que je te dise çà?-Non, je sais qu’elle fait envie aux hommes. Et la tienne était comment?-Elle avait un cul… comme ta Claudette! Je la baisais tout le temps. Et toi avec Claudette?-Deux à trois fois par jour… on n’arrête pas de le faire! -Oui, elle est bandante ta chérie ……. je te comprends, moi aussi, je n’arrêterais pas avec elle… Ca me manque tu sais!-Je te comprends, cela ne doit pas être drôle.-Bah tu sais maintenant je me suis habitué, je suis trop timide pour aborder une femme. C’est le manque de sexe le plus dur. Il y a des jours ou je baiserai avec n’importe qui. Même avec un garçon….!-Tu l’as fait?-Non, mais des fois aux douches … quand c’est un homme,……-Quoi?-Ben je me branle aussi en le mâtant… comme toi tout à l’heure…..!-Tu l’as fait en me mâtant par le trou,-Oui, de te voir le faire j’ai eu envie! Tu étais beau et si excitant ta bite dans la main. Dis-toi tu l’as fait avec un garçon?-Non, mais ……au pensionnat j’ai…….-Quoi. Des branlettes avec un copain?-Oui…..!-C’était bien?-Moins bien qu’avec les filles. Mais j’aimais bien…. on a jamais été plus loin…. A l’armée il a failli plusieurs fois aller plus loin. -Moi aussi des branlettes mutuelles avec un copain….C’était bien… alors tu sais sans femme pour me soulager les couilles je suis prêt à tout. J’ai tout le temps envie de baiser. La petite aux douches j’aurais bien aimé la voir et me la faire. Je pense à son petit cul…la cochonne je l’aurais bien baisée…..rien que d’y penser je…..-Tu bandes?-Oui! Toi aussi? Et ce soir, tu vas baiser ta petite chérie en pensant à elle!-Oui sans doute…et toi?-Moi tu devines…..ma main et moi. Il me reste que çà, quand je lui rends visite ma femme ne peut rien me faire. Elle a les deux jambes paralysées.-Même pas une branlette?-Si on le fait parfois, mais s’est pas facile, il y a toujours du monde. Elle m’a branlé deux fois à la sauvette lors d’une promenade au jardin. Elle est en fauteuil, c’est tout et moi je peux pas y toucher.-Tu te branles comme çà, en pensant aux femmes que tu mâtes dans la rue ou au boulot?-Pas toujours, j’ai aussi des bouquins de cul, des revues aussi avec des filles à poil. Ça aide tu sais, elles sont bandantes!-Moi je ne peux pas, ma femme tomberait dessus et alors ce serait ma fête. J’ai pas eu l’occasion d’en lire depuis mon mariage. Avant moi aussi j’aimais bien me branler en les regardant. Tu en as beaucoup des livres?-Oui une vingtaine et des drôlement cochons. Tu veux les voir, tu as le temps?-Oui ma femme est partie ce midi chez sa mère, elle revient tard ce soir.-Viens j’habite ici près du café, tu pourras en lire un.Mathieu sans hésiter a suivi son nouvel ami. L’appartement est petit, bien rangé, soigné comme son locataire.Assis sur le lit en compagnie de Jean, il parcourt divers bouquins. Les histoires racontées son chaudes. Il porte son choix sur un livres nommé « Canasta ». Le bouquin raconte les aventures sexuelles d’un jeune couple et de leurs invités d’un soir, un autre jeune couple. Ils jouent aux cartes et se retrouvent vite à poil. Les couples échanges des gages, se mêlent, ont des rapports en échangeant leur femme. Le livre et très érotique et tout en lisant Mathieu se masse nerveusement le sexe. Il bande et retrouve ses envies de jeune homme. Jean regarde des revues où des hommes et des femmes font l’amour, parfois deux femmes ensemble. Deux hommes aussi, il a l’air d’aimer çà. Lui aussi se masse nerveusement le sexe. Mathieu devine que lui aussi a envie de se masturber. Cela lui rappelle les dimanches à l‘Armée dans la chambrée presque déserte. Il lisait dans son lit, la plus part du temps un livre cochon. Il se masturbait lentement pour faire durer son plaisir. Il savait que dans les quelques copains présents, certains en faisaient autant et il aimait cette ambiance. A la fin il déchargeait en évitant de faire du bruit pour ne pas être remarqué et recueillait son sperme dans un mouchoir. Il se procurait ces livres à la ville voisine lors de ces rares sorties et les échangeait avec un camarade de chambre quand il les avait lus. Il lui était arrivé de se masturber soit aux douches, soit dans les toilettes avec lui. Ce garçon, un maghrébin l’attirait. Il était gentil avec lui.Dans les douches cela s’était produit alors qu’ils étaient seuls, ils s’étaient mutuellement donnés du plaisir avec la main, puis ensuite en se suçant le sexe et en se caressant les fesses. Il avait refusé de se laisser sodomiser comme le voulait son copain. Non pas qu’il n’en avait pas envie, mais par peur d’être surpris. Le dimanche suivant, il se souvient qu’il s’était isolé pour lire tranquillement. Il avait découvert ce petit bosquet derrière le poste de secours incendie du camp comme le lui avait indiqué son copain. Le lieu était isolé, propice aux amours. Avant de trouver plus loin, un petit coin ou étendre sa serviette de bains, en traversant le bosquet il avait surpris deux amis. L’un à genoux devant l’autre, qui le pantalon baissé sur ses cuisses blanches se faisait sucer la verge et caresser les fesses. Troublé il était passé non loin d’eux sans qu’ils cessent. Ils l’avaient vu et lui avait souri le prenant pour l’un des leurs. Il faisait chaud comme aujourd’hui. Excité par son livre et par ce qui se passait non loin de lui, il n’avait pas été surpris de l’arrivée de son copain. Lui aussi avait une serviette et un livre. La suite il s’en souvient, comme aujourd’hui. Ils étaient seuls, le lieu isolé, ils n’allaient être dérangés. Les deux autres plus loin n’allaient pas dire qu’ils les avaient vus. Et puis Mathieu était puceau, les filles lui faisaient un peu peur et il préférait se caresser en pensant à leurs culs. Il avait envie de sexe et l’autre l’avait compris, son copain savait qu’il allait venir. Ils étaient seuls et ne pouvait se refuser plus. Son amant l’avait pris dans ses bras, l’avait bécoté, il lui avait caressé les seins, les cuisses, les fesses en l’appelant ma chérie, ma gazelle. Puis il l’avait mis sur le ventre et s’était couché sur lui. Il l’avait dépucelé en douceur, après lui avoir bien ouvert son petit cul avec ses doigts enduits de salive. Il l’avait enfin pénétré lentement, sa verge était assez fine, mais si longue. Il lui avait pris sa petite rondelle d’un coup de reins nerveux et avait mis son foutre dans ses reins après l’avoir longuement besogné. Peu après son beau maghrébin avait déserté. Lui avait été libéré et il avait rencontré Claudette et oublié tout au fond de sa mémoire ce qu’il avait fait. Claudette l’avait mis à l’aise, avec elle il avait perdu son autre pucelage et l’avait épousée.
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