A la pêche. La semaine est passée. Au cours de celle-ci Mathieu a revu Jean, il lui a parlé de son envie de voir sa femme prise par un autre homme. Comme il le pensait Jean a envie de sa femme. Ils ont convenus d’un plan. Ce samedi matin quand ils se sont rendus aux douches municipales, Jean dissimulé derrière un buisson de la cour attendait leur arrivée. Mathieu est entré dans la dernière cabine et sa petite chérie dans l’avant dernière. Jean s’est introduit dans la suivante comme cela avait été convenu avec Mathieu. A cette heure-là, les lieux sont peu fréquentés et les deux hommes avaient de grande chance de réussir leur plan.Pendant une demi-heure Jean en voyeur, s’est régalé pour la premire fois de la nudité de Claudette, de son petit corps aux formes rondes. Il a vu ses fesses amples, ses seins opulents, ses cuisses rondes et blanches, sa chatte surmontée d’une abondante toison brune. Il l’a vue se savonner le ventre, s’attarder un peu sur sa vulve à l’intérieur rose foncé. Il a vu avant se dévêtir, puis remettre ses vêtements, une mignonne petite culotte rose, ce qui l’a excité au plus haut point. Tout en mâtant Claudette, il savait que Mathieu dans l’autre cabine regardait aussi par un trou de la cloison. En plus il n’ignore rien des odeurs intimes de la jeune femme. Comme prévu Mathieu est passé le voir un soir et lui a remis une petite culotte que Claudette venait de quitter après une journée de travail. Elle encore était toute humide, imprégnée de la cyprine sécrétée par la jeune femme.Il sait que demain dimanche il va retrouver le jeune couple à l’étang. Après le mari, il a bien l’intention de coucher avec Claudette. Elle lui semble accèssible avec son regard de petite cochonne. Il a bien vu comment elle le regardait en passant devant son bureau. Il fait de plus en plus chaud, mais l’air est respirable près du petit étang. Ils sont arrivés les premiers, comme cela avait été convenu avec Jean, Mathieu n’a pas prévenue Claudette sur la présence de Jean. Etendue sur sa serviette de bain Claudette se laisse bronzer par le soleil. Son petit bikini lui sied à ravir et elle le sait. Mathieu pêche et se tourne souvent vers elle pour regarder son petit corps. Il va être tout excité son chéri ce soir, ça va être ma fête songe-t-elle. Dans un demi- sommeil, elle a vu arriver Jean et a reconnu le responsable du contrôle qualité de son entreprise. Il s’est installé près de Mathieu et pêche maintenant lui aussi. Ils semblent se connaître car ils se parlent, sans doute se sont-ils rencontrés une autre fois à la pêche. Il fait trop chaud pour qu’elle cache sa semi nudité sous un paréo. Elle connait Jean, à l’atelier elle a souvent remarqué, qu’il la suivait des yeux quand elle passe devant la vitre de son bureau. Fine, elle le soupçonne de mâter ses fesses et celles des autres filles à ces occasions. Aujourd’hui, elle est presque nue devant lui, il va en profiter pour la mâter le cochon. Elle décide cependant de ne rien faire pour lui masquer ses petits trésors. Elle sait qu’il vit seul et cela l’a toujours excitée de se sentir désirée par les hommes. « Celui-là, il ne doit pas baiser souvent. Il doit se branler le soir en pensant aux filles de l’atelier, nos petits culs l’excitent le cochon ». Avec ses copines de travail, elles parlent parfois des hommes, et Jean est un de leurs sujets favoris en raison de sa timidité et de son célibat forcé. Ces conversations ne sont pas toujours très chastes et les capacités sexuelles des hommes de l’atelier font souvent l’objet de leurs évaluations aux moments des pauses. « Celui-là, il doit bien baiser – celui-là il doit tirer trop vite… et l’autre là le vieux, il doit plus bander». Elles ne sont pas tendres avec les hommes les coquines. Pas aussi chastes cependant, que leurs maris semblent le croire et Mathieu comme les autres.Les yeux mi-clos elle a remarqué les regards que Jean lancent vers elle à la dérobée. Il se repait de ses formes et Claudette décide de l’exciter encore plus. Sous le prétexte de mieux bronzer, elle a baissé la ceinture de son slip de bain à la limite des poils bruns de son pubis, certains dépassent même un petit peu. Baissé aussi son soutien-gorge qui masque maintenant à peine les aréoles brunes de ses seins. Elle a une belle poitrine 95B et le sait cela attire les hommes.Mathieu trop occupé sans doute par sa friture n’a rien remarqué. Il a cependant pris le temps de lui présenter Jean, comme un camarade de pêche. Elle lui a dit qu’elle le connaissait pour travailler dans la même entreprise, mais sans s’être cependant parlés auparavant. Les deux hommes pêchent maintenant côte à côte non loin d’elle.
Quand allongée sur le ventre pour se bronzer le dos, elle regarde vers Jean, elle surprend plusieurs fois ses yeux rivés sur ses fesses à demi-dénudées. « Régale toi mon cochon, ce soir tu vas te branler en pensant à mon petit cul. Et l’autre mon Mathieu, il dit rien, il voit rien. Il a envie de me baiser ton copain depuis une heure qu’il me mâte, grand couillon chéri!». -Il fait trop chaud, ça mord pas, je vais me baigner. Vous venez!L’invite de Jean a tiré Claudette de son demi-sommeil.-Oui vous avez raison on y va! C’est vrai qu’il fait chaud, un peu d’eau fraîche lui fera du bien. Il y a une petite plage avec du sable derrière les arbres là-bas!-Allez- y, moi je surveille les lignes! Claudette est déçue, elle pensait que Mathieu allait venir, mais il préfère pêcher. Pensive, elle guide Jean vers la petite plage. Elle sait que l’homme en profite pour mâter ses fesses en la suivant. Pour se venger du peu d’intérêt que lui prête son mari, qui lui préfère la pêche, elle ne fait rien pour soustraire aux regards de Jean le balancement voluptueux de sa croupe à peine dissimulée sous un étroit et très léger slip de bains blanc. « Tout à l’heure il va être fou, je sais que quand je sors de l’eau on voit ma touffe et on devine ma petite chatte au travers de mon slip mouillé » La situation l’amuse, demain elle racontera aux filles de l’atelier comment elle l’a allumé le Jean.L’eau, comme elle escomptait est fraîche. Ils ont nagé vers le milieu de l’étang, fait un signe de loin à Mathieu captivé par ses gaules et ses gardons. Puis rafraîchis, ils sont revenus vers la petite plage. A cet endroit l’eau est peu profonde propice aux jeux. Elle adore jouer içi dans l’eau avec Mathieu, adore le faire tomber, lui mettre la tête sous l’eauIl l’agace un peu ce Jean qui n’ose pas trop lui parler. C’est Claudette qui par Jeu a lancé de l’eau dans les yeux de Jean. C’est Claudette qui pour jouer l’a poussé dans l’eau pour lui faire « boire une tasse ».Jean enfin s’est un peu décoincé a enfin réagi. Ils ont joué un moment à se bousculer, à se faire tomber à l’eau. Un moment dans le jeu, il était derrière elle, elle a senti ses mains frôler ses seins, senti aussi le contact de son ventre sur ses fesses et deviné son sexe d’homme si près d’elle. Cela l’a troublée, il est le premier homme à l’approcher de si près depuis son mariage. Il lui a même semblé qu’il restait un peu trop contre elle avant de la faire choir dans l’eau. Quand ils sont sortis de l’eau, il lui a semblé qu’il tentait de lui masquer le devant de son maillot. Elle a compris ce qui se passait, le trouble du jeune homme, « Le salaud, il bande, je l’ai fait bander. J’en suis sûre, il bandait tout à l’heure derrière moi, j’ai senti sa bite sur mes fesses, elle était presque raide.» Claudette est encore exaltée par le jeu, par le contact du corps de cet homme qui n’est pas son mari. Mathieu n’avait qu’à venir avec eux. Et puis, jouer un peu dans l’eau avec un homme, même en se frottant un peu par hasard, c’est pas tromper. « T’es folle ma vieille, t’es sûre de rien, tu fantasmes t’as rien senti » voilà à quoi pense notre Claudette en suivant Jean pour rejoindre son mari. Toute à ses pensées elle ne peut s’empêcher de fixer ses yeux sur les fesses de l’homme qui la précède sur le sentier. Deux petites fesses musclées à peine cachées par un mini slip de bains rouge, qui bougent agréablement devant elle. «Il a un petit cul de pédé. Et ce qu’il baise bien au moins, il ne doit pas baiser souvent, pas du tout même depuis l’accident de sa femme. Il doit se branler en pensant aux filles de l’atelier le cochon, à moi comme les autres » ne peut- elle s’empêcher de penser peu avant de retrouver son homme. Ces idées grivoises ont mis un peu d’humidité dans sa vulve et cela l’émeut. Ils sont rentrés maintenant et Mathieu lui a fait l’amour avant de s’endormir. Malgré elle Claudette a pensé à Jean pendant que Mathieu s’agitait sur elle. Elle n’a pu s’empêché de l’imaginer se caressant en pensant à elle, à sa chatte qu’il fixait sous son maillot quand elle est sortie de l’eau, « il voyait tout le salaud ». Claudette sait qu’elle lui plait, elle a deviné qu’il avait envie d’elle, de lui faire des choses cochonnes. Quand Jean….(voilà qu’elle se trompe) non Mathieu l’a prise tout à l’heure. Elle était ouverte, trempée du désir, qu’elle avait inspiré à Jean. Demain quand elle va passer devant la fenêtre de son bureau ouvrant sur l’atelier, elle sait qu’il va suivre des yeux le balancement de sa croupe. Le salaud, il connait mon corps maintenant, tantôt il m’a vue presque nue. Il va encore bander pour moi. Sur la plage pendant qu’on se séchait au soleil, il m’a raconté pour sa femme. Le pauvre, c’est triste il n’a personne pour faire l’amour. Il ne me l’a pas dit, mais je l’ai deviné….elle s’endort enfin. Au cours de la nuit, elle est de nouveau sur la plage près de Jean, sous Jean qui la prend et à qui elle se donne pour se consoler de l’absence de sa femme. Le plaisir la réveille, son cœur bat la chamade. Près d’elle Mathieu dort et ne se doute de rien. Elle vient de le tromper en rêve et c’était si bon, si tendre. Il ne se doute de pas grand-chose le Mathieu. L’autre Samedi elle a bien rendu visite à sa mère, mais aussi à son premier amant, le jeune et vigoureux paysan, qui savait si bien lui faire l’amour avant son mariage. Il est toujours aussi performant au lit le cochon. Cela s’est fait par hasard, elle l’a rencontré dans le bourg en allant faire une course pour sa mère. Ils se sont parlés et elle l’a suivi dans sa ferme pour acheter les œufs qu’il lui avait proposés. Sa femme était absente. Il lui a fait visiter sa maison, et dans la chambre le désir les a repris et ils ont fait l’amour. Le dimanche matin au retour, elle a fait aussi l’amour avec Mathieu, mais ne l’a pas trouvé très motivé. Il ne pouvait cependant se douter du motif de son retard. La veille elle avait loupé son train car elle avait quitté trop tard le lit de son amant. Celui-là elle l’a laissé la sauter pour se venger de sa femme. Elle ne le reverra plus malgré son coup de reins qui sait toujours lui donner autant de plaisir. Claudette se doute que son mari se masturbe lors de ses absences en lisant des revues cochonnes. Elle sait où il les cache et lui fait des scènes quand elle les découvre. Ce soir, alors qu’épuisé il dort après lui avoir si mal fait l’amour, elle a trouvé dans sa cachette des toilettes une revue avec des hommes nus se faisant des cochonneries et aussi un livre nommé « canasta » qu’elle a parcouru. Elle a pu le compulser un peu et ce récit d’amours à plusieurs l’a émoustillée au point qu’elle s’est caressé le sexe jusqu’à se faire jouir. C’était la première fois que depuis son mariage elle se donnait seule du plaisir. Dans le lit conjugal, Mathieu repu ronflait à son retour des toilettes. Elle a profité des absences de Mathieu au cours de la semaine pour renouveler ses plaisirs solitaires. Elle a bien remarqué que le livre et la revue n’étaient pas neufs. Où avait-t-il pu se les procurer, un copain les lui aurait-il prêtés, Jean peut être. Ils semblaient bien se connaitre ses deux-là en se retrouvant ce dimanche au bord de l’étang. A la fin de la semaine les deux livres n’étaient plus là. La revue était destinées aux homosexuels, Jean c’est possible, il vit seul sans sa femme, mais Mathieu…….Il était puceau quand elle l’a rencontré, elle en est certaine, il se savait pas comment faire avec elle. Il sortait de l’Armée, mignon il devait plaire aux hommes……L’innocent il croit avoir été le premier à l’avoir, s’il savait…. Elle n’a eu qu’un amant à la prendre dans sa chatte avant leur rencontre. Mais son petit cul……un homme marié l’a visité et s’en était régalé. Elle avait dix-huit ans, et était vierge. Elle était très attirée par un homme qui se montrait très gentil avec elle. Elle travaillait alors chez un couple de pharmaciens, le soir elle logeait parfois chez eux pour garder leurs deux enfants. L’homme était prévenant, gentil avec elle contrairement à sa femme qui la réprimandait sans cesse. A cette époque elle avait découvert la masturbation et s’y adonnait pratiquement chaque soir. Elle avait envie de découvrir le plaisir avec un homme, mais avait aussi peur d’être enceinte.Un soir redescendant au salon après avoir couché les enfants, elle a trouvé son patron effondré, sa femme était partie passer la soirée avec des amis. Il se doutait qu’elle allait retrouver son amant. Ce soir-là, elle avait eu pitié de cet homme et pour le consoler, assise près de lui sur le canapé, l’avait laissé pleurer sur son épaule en lui racontant l’inconduite de sa femme qui le trompait avec le notaire du village. Cela l’avait émue, elle avait refermé ses bras sur lui et il avait commencé à l’embrasser dans le cou. Il l’avait appelée son ange, sa petite chérie. Elle lui ne lui avait pas refusé sa bouche quand il avait voulu l’embrasser. L’homme l’avait caressée partout, elle l’avait laissé faire excitée par ce qui lui arrivait. Serrée contre lui, elle sentait contre ses cuisses et son bas ventre, le contact de sa verge. Il bandait, avait envie d’elle. Il caressait bien, cela la changeait des pelotages impatients de ses petits amis, qu’elle repoussait de la main pour leur interdit l’accès sous sa jupe. L’homme savait être doux et cela c’était terminé dans sa petite culotte. Il lui avait caressé les fesses, puis sa petite chatte. Elle avait dit oui, quand il lui avait demandé si elle voulait faire l’amour avec lui. Il l’avait alors emportée dans ses bras vers la chambre conjugale et lui avait retiré sa robe et ses sous-vêtements sans qu’elle lui résiste, malgré la peur qu’elle avait de perdre sa virginité. Il l’avait longuement caressée, embrassée et mis sa langue partout sur son corps. Quand il avait voulu la pénétrer elle avait cependant dit non de peur d’être enceinte. Mais elle voulait tant le consoler, elle voulait être à lui. C’est là, qu’elle lui avait offert ses fesses après qu’il lui ait longuement enduit son petit trou de salive avec sa langue. A quatre pattes sur le lit et lui derrière, il avait poussé son sexe contre sa petite rondelle. Elle était tendue en arrière en s’ouvrant. Elle n’avait pas eu trop mal. Il l’avait prise longuement tout en lui caressant la vulve de son doigt. Il savait s’y prendre, avait déniché son petit bouton d’amour, le lui avait malaxé avec douceur, une douceur qui l’avait amenée très vite à son premier orgasme sous un homme. Plusieurs fois par la suite, elle s’était donnée à lui de cette façon.Après elle avait rencontré son jeune et fougueux paysan. Lui avait su lui faire oublier la crainte d’avoir un enfant. Elle s’était donnée à lui avec passion avant qu’il la quitte pour épouser l’autre salope.Depuis son mariage avec Mathieu, elle joue la prude. Avec ce puceau qu’elle aime cependant tendrement c’était plus prudent. Mais puisque maintenant il la pousse à se dévergonder, pourquoi ne pas en profiter. Son aventure l’autre jour avec son ex lui a été bénéfique, elle était un peu endormie depuis son mariage cela l’a décoincée et aussi quel pied, quelle vengeance vis-à-vis de la cocue voleuse de petit ami.
