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Claudia et Lorenzo

Chapitre 3

La Soirée

Hétéro
— Putain, ils sont relous ces mecs ! T’as beau leur dire quinze fois que t’es marié, ils continuent de te draguer lourdement.— Le fait que tu dises que tu es marié ne va pas les arrêter. Se taper une nana avec la bague au doigt, c’est le fantasme de beaucoup. Et puis regarde-toi, t’es super bonne dans ta petite robe. Ce n’est pas un simple anneau qui va arrêter les beaufs.— Et en plus, ils s’y mettent à cinq. Ils m’ont pris pour une décharge à sperme ou une pute?— Ils voulaient se faire un gang-bang avec une femme mariée. Rigole Clémentine.— Beurk, ça me dégoûte !
Avec ma meilleure amie Clémentine, je suis dans une boite de nuit. On fait une soirée avec des collègues. J’aurais dû être accompagnée par mon cher et tendre, mais il a des articles importants à finir (je rappelle qu’il est journaliste sportif), et qu’il lui arrive parfois de devoir passer une soirée au bureau. Heureusement, ce n’est pas souvent le cas, mais le jour où ça tombe, ça ne m’arrange pas. Mon mari, il est beau. Non, il est très beau. Il a sa part de charme et de charisme, dans de bonnes proportions. Ni trop ni pas assez. Alors, même si ça m’arrive souvent de me faire mater les fesses par des mecs rêvant sûrement de me défoncer dans une puissante levrette, ils ne passent jamais à l’action, sachant que monsieur ne sera pas loin. Mais ce soir, étant donné qu’il n’est pas là, je me suis retrouvée entouré de cinq pauvres types sortant d’un mauvais film de cul qui sont venus me draguer. Bon, l’un d’eux n’était pas moche, je le concède. La jeune célibataire que j’ai été l’aurait sûrement laissé me ravager l’entrecuisse s’il était venu seul. Mais venir pour me sauter à plusieurs, c’était perdu d’avance, même célib’ !Même en leur disant que j’étais marié, ça n’a pas suffi à stopper leur drague. Au contraire, j’ai même aperçu de l’excitation dans leurs yeux. Non, mais sérieux, à quel moment c’est glorieux de sauter la femme d’un autre ?! Le monde part en couilles… Je ne tromperais jamais l’homme de ma vie, qui m’a amené de mal baisée à la femme incroyablement satisfaite que je suis aujourd’hui.Bref, la soirée est à peine commencée, que je suis déjà agacée.
 Physiquement, je suis habillée d’une petite robe noire qui me colle à la peau. Elle descend à mi-cuisses et recouvre mon fessier bien bombé qu’il met divinement en valeur. Je n’ai pas de soutien-gorge, car vu la petite poitrine que j’ai, je ne vais pas me mettre un soutif qui allait me rajouter des nichons que je n’ai pas et qui aurait fait des marques moches. De ce fait, je peux avoir les tétons qui pointent à tout moment et tout le monde le verra. Mais je m’en fiche. Mes cheveux bruns sont lisses et m’arrivent aux épaules.Ma chérie, comme on s’appelle avec Clem, est aussi habillée d’une robe, mais rouge. Elle est très décolletée sur son énorme poitrine et elle aussi n’a pas de soutif. Mais elle, ce n’est pas par souci d’esthétique au niveau de la robe, mais juste parce qu’elle adore montrer sa poitrine quand elle en a l’occasion.
On continue la soirée à danser ensemble. Certaines collègues femmes nous rejoignent avant de danser sensuellement avec leur compagnon. Cela se voit que certaines d’entre elles vont passer à la casserole ce soir. Et j’en ferais de même si mon mari était là. La musique se termine et je vois à son regard que Clem va me congédier…
 — Bon ma puce, tu sais que je t’adore, mais il est temps pour moi de baiser ! — Bien sûr, va te faire plaisir. Moi je sors un instant pour appeler les parents de Lorenzo.
Je la laisse sur la piste de danse, pour trouver chaussure à son pied… et je sors. Un rapide appel à mes beaux-parents qui gardent souvent mes enfants qui passent beaucoup plus de temps chez leurs grands-parents paternels que maternels, car mes parents sont repartis vivre au Portugal. Les parents de mon chéri ne semblent pas pressés de retourner en Italie. Ils ont d’ailleurs légué leur superbe villa à Pescara à leurs deux enfants ! Tout s’est bien passé pour mes petits anges qui sont couchés depuis une heure.Je retourne dans la boite de nuit et me pose au bar. Je sirote doucement quelques verres en attendant que ma chère Clémentine finisse de baiser avec le ou les mecs qu’elle a choisis pour se faire limer la fente, et pouvoir continuer ma soirée.
 — Excusez-moi mademoiselle, cette place est libre ?
Je me tourne, surprise, et je vois un homme vraiment très beau. Une allure et un charisme qui feraient mouiller plus d’une femme de cette soirée !
 — Madame. Je lui réponds en montrant mon alliance, avec un petit sourire. — Oh, j’imagine alors que c’est la place de votre mari ? — Non, du tout. Il n’est pas à mes côtés ce soir. 
Il s’assoit sur le siège libre et me regarde de la tête au pied. Il semble beaucoup apprécier ce qu’il a sous ses yeux.
 — Comment un homme peut-il laisser une femme aussi belle et sexy toute seule à une soirée. — Je vois que monsieur est un dragueur. — Non, je suis juste doté de deux yeux. Mais je serais ravi de vous draguer, si ce vilain anneau n’est pas un problème pour vous. — Muuummh… Je ne sais pas. Je suis une femme fidèle. Mais je ne dirais pas non si vous m’offrez un verre. — Vos désirs sont des ordres chère Madame.
Il nous commande quelque chose à boire. On se regarde, comme un jeu, on flirt gentiment ensemble. Il a vraiment ce petit quelque chose en plus. Il est si beau, peut-être même plus que Lorenzo. Je commence même à sentir ma petite chatte s’humidifier. On se fait presque l’amour en se regardant, les yeux dans les yeux. Je me sens étrangement connecté à lui, à ses désirs.J’ai une furieuse envie de baiser qui me donne des frissons dans tout mon corps. Après tout, on a qu’une vie, non ?
 — Vous vous rendez-compte ? Mon mari m’a fait faux-bond ce soir. Je n’en reviens toujours pas. — Et pourquoi vous a-t-il laissé tomber ? — À ce qu’il m’a dit, il a trop de travail. Mais moi, je pense surtout que c’est en rapport voir avec la blonde aux gros seins qui lui sert d’assistante. — (Il me sourit avec tant de charme…) Personnellement, j’ai toujours préféré les femmes latines brunes aux petits seins. — Humm, flatteur… je suis votre type alors ? — Absolument. — C’est intéressant… — Laissez-donc cet idiot avec sa blonde, et laissez-moi prendre sa place pour ce soir, juste une fois… dans votre vie. — Pourquoi pas… et tant pis pour lui, il n’avait qu’à être là…
Il approche sa tête de moi, et nos nez se frôlent. Tout mon corps se tend. Mes poils se hérissent. Mes tétons durcissent. Je craque, ferme les yeux. Et mes lèvres viennent tendrement donner un petit smack aux siennes.
Il se lève et m’invite à faire de même. Il m’amène aux toilettes et je le suis sans rien dire. Une fois dans la cabine pour handicapé, on se saute dessus et nos lèvres s’unissent. Je perds toute retenue et nous partons pour un long baiser plein de passion. En l’embrassant, je tiens son visage entre mes mains et je gémis doucement sous sa langue qui valse de droite à gauche. Sa bouche, grande ouverte, recouvre totalement la mienne et me dévore ! Sa langue tourne vite, très vite, et s’enroule autour de la mienne !! Il m’excite tellement que mon corps se colle au sien, je me frotte sur lui et je sens qu’il bande déjà.Il malaxe mes fesses avec tant de fermeté, que ça fait couler ma chatte frémissante.Il baisse une de mes bretelles pour libérer un de mes petits seins et le lèche d’un coup sec. Il le prend dans sa main et gobe le téton bien dur avant de le mordiller et me faire gémir.Je déboutonne son pantalon et je glisse ma main sous son slip. Il a une belle bite que je serre dans ma main pour constater qu’elle est de bonne taille et bien dure.
 - Il me semble que vous êtes bien excité, monsieur. Je vous plais vraiment ? - Oh oui ma belle, vous avez un cul superbe ! Une vraie bombe sexuelle ! Fais moi voir ta chatte !
Je souris, me recule un peu et soulève ma robe au-dessus de ma taille. Il ne me donne même pas le temps de l’enlever qu’il déchire presque mon string en le tirant brutalement. Nous en rions et il revient sur moi pour sucer mes tétons tout en fouillant ma chatte trempée avec son majeur et l’annulaire... Je grogne et je me dandine autour de ses doigts qui fouillent profondément mon sexe...
 — Tu mouilles vachement.. Tu m’as l’air bien excitée toi aussi...
Oui, il m’excite tellement que ma mouille ruissèle le long de ses doigts et sur sa main. Il me roule encore une pelle avant de me retourner brusquement et me pousser contre le lavabo. Je me cambre bien pour lui offrir mon cul bien rebondi... J’entends très rapidement le son d’une boucle de ceinture qui se défait et je sens sa queue bien dure qui tape rapidement contre mes fesses, avant qu’elle me pénètre d’un coup sec pour s’enfoncer entièrement dans ma chatte en feu. Mon vagin se contracte sur son pieu de chair et je presse mon cul sur son pubis en grognant de plaisir.
 — AAAAHHHHHH ! — Elle est bonne ma bite ? Tu la sens bien ! — AH ! AH ! Oh oui, elle est si grosse ! Mon mari n’en a pas une comme ça ! AHHH ! HANNN ! AHHH ! HANNN !
Il rigole et commence à pistonner ma chatte comme un enragé. Il fait claquer ses couilles contre mon clitoris gorgé de sang, et déchire ma chatte à grand coup de bite. C’est sec, fort, profond, limite brutal… Et si jouissif ! Je sens ses mains me tenir par la taille et me serrer avec force. Quelques claques viennent frapper bruyamment mes fesses de temps à autre.‘PAF ! PAF! PAF ! Claque ! PAF ! PAF ! PAF ! Claque !’ Le claquement de sa fessée sur la chair de mes fesses résonne telle une mélodie, mélangé à mes cris de jouissance.Je lève la tête pour voir une femme se faire vulgairement tringler. Voir la femme infidèle que je suis actuellement. Mais en plus d’affreusement m’exciter, ça me donne envie de plus.
 — HANN ! AHHH ! Tire mes cheveux ! — Tu veux que j’te baise comme une salope ! — Oh oui, baise-moi comme une salope ! j’en ai marre d’être une petite épouse modèle ! HANNN ! AHHHH ! OOOOH ! OUIIII !
Il prend mes cheveux, les enroule autour de sa poigne incroyablement virile et me les tire sans ménagements. Cela m’excite au plus haut point et avec mon vagin gluant écrasé sur sa verge, je me cambre au maximum en donnant des coups de reins inverses aux siens pour m’enfiler sur sa queue le plus profondément possible. ... et mélangé à ses énormes coups de bite, je finis par jouir comme une folle.
Il se retire de ma chatte et tire sur mes cheveux pour me mettre à genoux. J’emprisonne sa belle queue pleine de cyprine dans ma main et je guide sa bite bien dure vers ma bouche gourmande entrouverte. Son gland glisse entre mes lèvres puis c’est sa queue toute entière qui remplit ma bouche. J’accentue la pression que ma bouche exerce sur son pénis… je remonte avec ma langue déployée sous sa hampe pour lécher toute sa longueur jusqu’au gland avant de tourner autour de la corole... Je suce son gland de sa base au méat que je gratifie d’un bon coup de langue pour goûter le jus qui s’en échappe.... — Putain ! Tu suces tellement bien ! Ne t’arrête pas ! Vas-y, suce-moi encore ! Je redescends sur sa bite, ouvrant plus grand mes lèvres au passage de son gland violacé, de plus en plus gonflé. Il repousse mes cheveux sur le côté pour profiter pleinement du spectacle de ma bouche allant et venant sur sa longue queue…
 - Putain, je vais tout lâcher !! Tu suces trop bien !
Je miaule de plaisir et je repars, en haut, en bas, de plus en plus vite, je lèche, j’aspire son gland, je bouffe sa bite ! Pour ne pas qu’il jouisse trop vite, je ralentis. Mes mains sur ses hanches, ma tête va de droite à gauche et je l’avale entièrement, son gland est dans ma gorge. Il me prévient qu’il va éjaculer. Je retire son gland de ma gorge et je garde sa si belle bite en bouche sans bouger. Je ne le branle même pas de mes mains, elles sont posées sur ses cuisses. Puis je fais aller et venir ma tête sur sa bite pour le sucer comme une actrice porno. Les bruits sont bien suggestifs et je bave plus que de raison. Je finis ensuite ma pipe en le branlant d’une main, et en malaxant ses couilles de l’autre.
Il me fait arrêter de lustrer sa queue pour me mettre en appui sur le lavabo.
 — Je vais te gicler là où aurait dû le faire ton cher mari !
Je rigole, j’écarte largement mes cuisses, et je reprends encore une fois sa queue dans ma chatte, d’un seul coup. Ça me fait sursauter et un de mes seins sort même de ma robe.Il prend mes jambes, les resserres et les poses sur une seule de ses épaules. Dans cette position, ma chatte est alors incroyablement étroite pour lui et sa queue me parait énorme. J’ai l’impression que c’est Rocco Siffredi qui défonce ma chatte ! Je gémis très fort et je sens bien qu’un second orgasme ne va pas tarder à exploser dans mon corps.Une de ses mains vient prendre mon sein sorti de ma robe, et il le malaxe, ses doigts jouant avec le téton. En effet, cet homme aime les petits seins ! Je ne peux m’empêcher de jouir une nouvelle fois en poussant un long cri de jouissance tout en écrasant sa bite avec mon vagin qui n’arrête pas de se contracter sur sa queue. Le souffle coupé et les yeux mi-clos, je sens de fortes et longues giclées de sperme chaud remplir ma petite minette en feu.Monsieur est venu avec les couilles bien pleines, et je les ai bien vidées !
 Il reste collé contre moi plusieurs secondes et lorsque que les palpitations de nos sexes s’arrêtent, il sort lentement sa bite encore dure de ma chatte qui essaye de la retenir et il me regarde reprendre mes esprits. Je lui souris en sautant par terre et j’attrape des essuie-mains pour les presser sur ma chatte dégoulinante de sperme mélangé à ma cyprine.Je m’essuie le mieux possible et je baisse ma robe, pour ne plus être à moitié nue avant de l’enlacer et de l’embrasser tendrement, nos tensions sexuelles se dissipant doucement.
 — C’était si bon. Muumh. Comment tu as fait pour te libérer au dernier moment ? — En vérité, je me suis libéré il y a une semaine déjà. Mais je voulais te faire cette petite surprise. — Tu es si vicieux… Mais si efficace ! — Cette expérience fut très bonne.  — Tu as rendu cette tromperie très agréable. Je n’hésiterais pas à te recontacter. — Avec plaisir. Me répond-il en m’embrassant.
On retourne à la soirée et j’abandonne un moment mon amant pour retrouver Clémentine, cette dernière me saute presque dessus dès qu’elle me voit.
 — Claudia ! Tu étais où ? Je t’ai cherché pendant un quart d’heure. — Oh, j’étais aux toilettes, dans la cabine handicapée. — Pendant autant de temps ? — J’étais occupé à tromper Lorenzo avec… Lorenzo. — Quoi ?! Tu as trompé Lorenzo avec… Attends, qu’est-ce que tu me racontes ?
J’éclate de rire avant de lui expliquer ce que nous avons fait. Elle en rigole à son tour et me traite de grande perverse. Ce qui est, disons-le clairement, l’hôpital qui se fout de la charité. Elle me raconte ensuite sa partie cul, où elle a fini par se faire baiser par le leadeur du groupe de mecs qui m’a dragué en début de soirée. Sous les yeux de ses potes qu’elle a branlés et sucés avant de prendre la bite du meneur dans sa chatte malmenée par les doigts des mecs en rut. Selon ses dires, je n’ai rien raté, car sa bite n’était pas super bien en termes de dimensions et que le côté utilisation laisse aussi à désirer.
Dommage pour ma Clem, mais moi, j’ai pris sacrément mon pied ce soir !
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