C’est Noël ! La fête que tout le monde attend, enfants comme adultes. L’atmosphère festive, les cadeaux, les repas en famille. Le meilleur moment de l’année pour beaucoup, et je ne suis pas une exception. Avec mon mari Lorenzo, on organise Noël à la maison. Ce n’est pas une première, mais cela fait quelques années qu’on n’a pas été les hôtes de ce réveillon du 24 au soir. Décoration de la maison, préparation du repas, préparation de la table où l’on va manger, préparation des chambres à coucher. Pas mal de boulot pour nous. Ma meilleure amie Clémentine est à la maison pour nous aider à tout préparer. Bien évidemment, elle sera de la partie. Elle est de la famille. Et je suis bien contente qu’elle préfère rester avec nous plutôt que d’aller chez ses parents et leur famille. Même si elle aime beaucoup ses parents, elle ne s’entend pas forcément super bien avec les autres. Alors au lieu de passer du temps à s’ennuyer avec eux, elle s’amuse avec nous. Bon point pour nous.Du coup, au niveau des invités, nous aurons mes parents (Joao et Avelina), mes beaux-parents (Alberto et Francesca), mon petit frère Pedro et ma belle-sœur Eleonora. En plus de nous, nos deux enfants et Clémentine déjà présente à la maison.Ni mon frère ni la grande sœur de Lorenzo n’ont encore d’enfants. Pour Pedro, il n’en veut pas forcément, pour Eleonora, elle est célibataire et n’a pas, pour le moment, trouvé l’homme parfait.Mes enfants seront donc les seuls ‘petits’. Je pense à cette soirée et je me demande comment ça va se passer. Mon petit frère va surement draguer Clémentine et Eleonora. Comme il en l’habitude… Avec Clém, c’est depuis son adolescence. Il a deux ans de moins que nous. Quand il a eu l’âge où les kikis des garçons se réveillent et commence à sortir leur lait, Clémentine était déjà bien ‘femme’. Elle a de gros nichons qui n’ont pas mis longtemps à faire de mon frère un accro de ses formes. Plus le temps passe et plus il a tenté sa chance, essuyant de nombreux refus. J’ai demandé il y a bien longtemps à Clem de ne jamais répondre favorablement à ses avances. Ensuite, avec l’arrivée de la belle Eleonora, il n’a pas vraiment dragué l’Italienne de manière très claire, mais il fut plus que charmant. Cette petite technique de drague en finesse. Mais il ne me semble pas que cette belle brune de six ans de plus que lui, ai envie d’avoir une aventure avec lui.Je pense à mes parents aussi. J’ai hâte de les revoir, mais je sais que mon cher papa va me faire chier sur certains points…Mes parents sont totalement portugais, immigré en France avant de repartir au pays il y a une dizaine d’années. Contrairement aux parents de mon amour qui sont toujours en France. Seul son père est italien de nationalité et il est venu en France pour ses études. Sa mère est comme nous, une enfant d’immigrés. Et comme nous, elle se sent bien plus française qu’autre chose.Voilà une des choses qui va être sujet sensible avec mon père. Je suis française et je ne me vois pas portugaise, même si je suis contente de mes origines et mes enfants, sont français également. Mon père me rabâche en boucle qu’il faut apprendre le portugais à mes enfants, le plus tôt possible, etc.… Et clairement, je ne compte pas le faire. À part des bonjours, au revoir, ils ne savent pas dire autre chose. Je ne sais même pas si ma petite Gabriella a compris le concept de nos origines. Elle est juste contente quand on mange des pizzas. Ah! ça aussi ça peut poser problème. On a tendance à manger plus italien que portugais. Et l’été quand on va au Portugal chez mes parents, il nous en fait bouffer des plats traditionnels…Mais le pire, c’est que mon Luciano commence à parler un peu italien. Et mon papa ne comprend pas pourquoi je laisse mon mari apprendre l’italien à mon fils et que je n’y mets pas à mon tour. Mais c’est mon fils qui a demandé à apprendre à parler italien parce qu’il regarde les matchs de foot de l’AC Milan avec son père et que mon chéri met les commentaires en Italien. Mon mari ne compte pas faire de mon fils un bilingue et la maitrise du français est importante pour nos enfants, le reste, c’est du secondaire et pas obligatoire.Bref, tout ça pour dire que j’espère que mon père ne va pas faire de vagues. Car quand il veut, il peut être très con… On voit souvent le physique de rêve des beaux gosses latinos et des bombes latines, mais il ne faut pas oublier le caractère de merde qui va avec ! Je me réveille avec un ‘toc, toc’ sur mes cheveux. C’est Clémentine qui vient de taper sur mon crâne pour me faire sortir de mes rêveries. — Allo… ici la terre, ma chérie.— Oui, oui, je suis là.— Tu pensais à comment le papa Noël va te baiser toute la nuit ? Me demande-t-elle malicieusement.— Non, ah, ah. Je pensais à cette soirée.— En parlant de soirée, ta belle-sœurette est arrivée.
— Ah, super. Je me dirige vers la porte d’entrée en criant ; — Les enfants, tata est arrivée. Je vais lui ouvrir et on se salue. Eleonora est une très belle femme. Âgée de 33 ans, elle est l’ainée de Lorenzo de deux années. Donc quatre ans de plus que moi, car mon mari a deux ans de plus que moi.Pour couronner le tout, je suis plus âgé de deux ans par rapport à mon petit frère. Et en plus de cela, mon fils à deux ans de plus que ma fille. Incroyables coïncidences… La même taille que moi, c’est à dire 1m70. Une jolie poitrine bien ronde d’une grosseur moyenne, un bonnet B à mon avis. Un beau fessier rebondi qui va bien avec sa taille fine. Sa chevelure longue et brune est nouée en queue-de-cheval. Bien maquillée, avec une belle petite robe. Elle est sublime.Une fois entrée, elle fait de gros câlins à ses neveux avant que Clémentine entre en jeu. Elles se font la bise avec quelques petites étoiles dans leurs yeux. Il y a quelques années, à la fête d’anniversaire d’un an de Luciano, au Portugal, elles ont fait l’amour ensemble. Et j’ai maté une partie de leurs ébats…Lorenzo arrive et salue sa sœur avant de l’aider à prendre ses affaires et les cadeaux qu’elle a apportés. Vu qu’on fait le réveillon le 24 et qu’on ouvre les cadeaux le 25, nos invités vont dormir chez nous. On a une chambre d’amis (généralement pour Clémentine quand elle dort ici. Mais aussi quelques fois, mais plus rarement, pour Eleonora ou Pedro). Une pièce qui sert de bureau à Lorenzo (une pièce de plus au cas où on aurait un troisième enfant, on ne sait jamais.) Et une salle de jeux pour nos enfants. Mes enfants vont dormir ensemble, donc une chambre en plus sera libre. La chambre d’amis sera pour mes parents, la salle de jeux (qui a un canapé qui se change en lit) pour mes beaux-parents. Pedro dans le bureau où on a installé un matelas. Eleonora dans la chambre de Gabriella. Quant à ma Clémentine, elle a voulu dormir sur le canapé. Mes beaux-parents arrivent une vingtaine de minutes plus tard. Puis quinze minutes plus tard, ce sont mes parents qui arrivent avec mon frère qui les amène ici. Vu qu’ils sont chez lui depuis leur arrivée en France hier.De gros câlins de retrouvailles, mon père qui me parle en portugais comme je l’avais prédit. Mais j’ai aussi mon caractère et je lui réponds en français. Heureusement que ma maman est là pour adoucir tout ça, car sinon, avec mon père, on peut jouer à ça pendant des heures !Heureusement, tout se passe bien pour la suite. Mes parents s’entendent très bien avec ceux de Lorenzo et j’en suis super contente. Je me rappelle des repas de famille étant petite. Assez rare et difficile à organiser, car mes grands-parents ne pouvaient pas se blairer. La faute aux parents de mon père. Car même si mon papa peut être très chiant et ne pas hésiter à venir nous emmerder avec son patriotisme portugais qui va un peu à l’encontre de notre éducation française, il reste un homme très bon et je l’aime énormément. Je sais qu’il ne pense pas à mal. Par contre, ses parents étaient de vrais cons pour le coup ! (Désolée les grands-parents…) Une demi-heure plus tard, tous les invités sont éparpillés dans le salon. Mon père parle foot avec mon beau-père. Ma mère et ma belle-mère s’occupent de ma fille comme si c’est une princesse, enfin non, car c’est une princesse ! Et en plus elle est trop craquante dans sa petite robe ! Mon fils regarde les dessins animés de Noël à la télé à côté de ses grands-pères. Clémentine, Eleonora et Pedro se retrouvent en trio devant la cheminée à discuter. Je vois rapidement que les deux femmes se regardent d’une certaine façon, délaissant même vachement mon petit frère. Et ce pauvre Pedro ne semble pas remarquer qu’il dérange un peu. Mais bon, il est bien trop occupé à passer son regard d’une paire de seins à l’autre. Les deux femmes ont de jolies robes qui mettent leurs formes en valeur et de manières élégantes. D’ailleurs, Eleonora remarque bien vite ses regards, mais ne s’en offusque pas. Elle en sourit même. Il faut dire qu’elle est également de la partie, à regarder subtilement le décolleté de Clémentine. Je pars dans la cuisine et je prépare l’apéro. Mon beau mari me rejoint. Il est sexy comme un dieu avec sa chemise dont les derniers boutons ne sont pas fermés pour laisser la naissance de son torse avec sa belle pilosité visible. Il vient se coller à moi. — T’es incroyablement désirable ma chérie… Me dit-il en embrassant mon cou.— Ah ouais ? Je te donne envie ?— Comment répondre non à cette question ? Il faut dire qu’il a raison. Ma tenue me met bien en valeur. Une jolie petite robe rouge collée au corps. Elle moule parfaitement mes belles petites fesses rebondies que mon mari caresse en ce moment. Ma robe m’arrive à mi-cuisse. Je suis bien maquillée, mes cheveux bruns sont lâchés et arrivent sous mes épaules. Vu que je n’ai pas trop de poitrine, je n’ai pas de décolleté.Je passe une de mes mains dans les cheveux de mon mari en tournant la tête pour l’embrasser. Ce moment est très doux et il devient très excitant quand ses mains passent sur le devant de mon corps pour parcourir mon ventre et finir par se poser sur mes seins. Ce malaxage commence à bien me faire mouiller, mais on ne va pas baiser dans la cuisine avec tous les invités dans le salon… Même si techniquement, on l’a déjà fait lorsque j’ai rencontré ses parents. Une baise dans la salle de bains assez risquée et très excitante. Une partie de moi n’attend cependant qu’une chose : qu’il relève ma robe et me foudroie sur le champ !Mais des pas dans notre direction nous font nous décoller l’un de l’autre. C’est Clémentine qui nous rend visite dans la cuisine. Lorenzo nous laisse entre amies pour aller voir nos invités. — J’ai pensé à un truc. Me dit-elle.— Quoi ?— On est cinq à être super sexy ce soir. Et t’es la seule planche à pain. Dit-elle en rigolant.— Ah. Ah. Ah. Vraiment très drôle… Je lui réponds en souriant. Toujours à me charrier celle-là. Mais elle n’a que trop raison dans ce qu’elle vient de dire. Elle a une massive paire de seins de taille F sur le buste et la sœur de mon mari à une poitrine moyenne, mais qui tient bien en main. Quant à nos mamans à mon chéri et à moi, elles ont été gâtées par mère Nature. Je me rappelle, il y a une douzaine d’années, quand j’avais rencontré les parents de Lorenzo. Francesca m’avait vraiment tapé dans l’œil. Encore bien conservée et super élégante. Je le dis clairement : méga bonne !Quant à ma maman, je ne vais pas aller jusque-là, c’est ma mère tout de même. Mais elle a toujours été une très belle femme et ses formes ne sont pas innocentes en cela.Ces deux femmes ont minimum un bonnet D. C’est drôle quand on y pense, elles ont de gros seins et leurs filles (moi pour ma mère et Eleonora pour Francesca) n’ont pas reçu leurs majestueuses poitrines… — Par contre, tu as vu Avelina ? Je n’avais jamais vu ta mère aussi sexy.— C’est vrai. J’ai mis un soutif justement pour ne pas avoir les tétons voyants parce que la connaissant : prude et chrétienne, cela ne lui aurait pas plu. Je me retrouve donc avec des traces sur ma robe alors qu’elle n’a même pas de soutien-gorge elle ! Depuis quand est elle aussi libérée ?— Je ne sais pas, mais elle se dévergonde la ’portos’. Rigole-t-elle.— Hey, doucement la perverse, c’est ma mère.— Oh ça va, je rigole.— Au lieu de rigoler, aide-moi à apporter les plateaux ! Elle me fait une moue boudeuse avant de venir m’aider à porter l’apéro aux invités. La soirée se passe à merveille. On passe un incroyable réveillon. De la bonne humeur, des rires, de l’amour, que demander de plus ?Les enfants se retrouvent vites à regarder les dessins animés de Noël.Je passe du temps avec mes parents que je ne vois plus beaucoup à l’année vu qu’ils habitent au Portugal.Je questionne aussi mon frère sur ses histoires amoureuses, surtout pour l’embêter, car je sais qu’il n’est pas ‘romantique’. Et j’apprends qu’il voit peut-être quelqu’un ! Il reste très évasif sur cette personne et la nature de leur relation. Mais je pense qu’il doit s’agir d’un plan cul plus qu’une relation sérieuse.Cela me fait alors penser à Eleonora. Il y a quelques semaines, elle m’a dit avoir rencontré un mec dans une soirée. Elle m’a confié avoir fini celle -ci en levrette sur le capot de la voiture. Alors qu’elle s’attend à être un simple vide-couille d’un soir, elle eut la surprise d’avoir un appel de cet homme pour qu’ils se revoient. En pensant à cela et au fait que je n’ai pas eu de suite à cette aventure, étant curieuse, je veux savoir !Mais quand je regarde autour de moi, je ne la vois pas. Je regarde à plusieurs reprises, mais l’Italienne d’origine n’est pas là. Je me dis alors que je vais demander à Clémentine si elle ne l’a pas vue, mais… Elle aussi a disparu. Mais elles n’ont quand même pas…Je ne peux pas rester ici sans en avoir le cœur net. J’ai bien remarqué qu’elles se bouffent du regard depuis le début et il y a plusieurs années en arrière, elles ont couché ensemble. Mais au moment d’une grande fête.Aujourd’hui, c’est chez moi et il n’y a pas beaucoup d’invités ! Le risque est beaucoup trop grand.Je pars alors discrètement à leur recherche. C’est dans ces moments-là que je me rends compte que Clémentine m’a bien pervertie depuis notre adolescente, car j’espère quand même jouer les voyeuses ! Je fais une rapide visite de ma propre maison et j’arrive devant la porte de la cuisine. Des bruits humides se font entendre. J’entre-ouvre la porte en étant très discrète et je regarde. Eleonora et Clémentine sont en train de s’embrasser avec beaucoup de tendresse contre le mur. C’est Clem qui est collé au mur et qui tient Eleonora contre elle, par les hanches. Une de ses mains remonte pour se poser sur ses cheveux noirs, en dessous de sa queue-de-cheval.Eleonora se détache de la bouche de Clémentine et se baisse vers sa poitrine. Je constate que ma meilleure amie a déjà ses nichons de sortie. Ma belle-sœur commence à embrasser ses mamelons. Elle crache sur la chair d’un de ses très gros seins et utilise sa langue pour jouer avec sa salive et la faire parcourir ce joli sein. Elle pose ensuite chacune de ses mains sur un côté de cette énorme boule, pour bien la maintenir, et elle emprisonne tout son mamelon dans sa bouche pour s’en occuper comme il se doit. A en croire la réaction de Clem, son téton doit être bien stimulé. Elle ferme les yeux en gémissant de plaisir. Eleonora lâche ensuite ce sein pour s’agenouiller. Elle commence à bouffer la chatte de son amante avec beaucoup d’envie en écoutant les ‘ouhhh, ooohhhh’ qu’émet la léchée. C’est drôle, car c’est exactement la même position qu’elles ont réalisée il y a quelques années quand je les ai vu baiser. Je me rappelle aussi le sperme de l’amant précédent de Clem qui a coulé de sa chatte sur la bouche de l’Italienne…Bref, Clémentine a de nombreux mouvements de recul et de descente de son bassin et ses jambes tremblent beaucoup. À ce que je vois, Eleonora est assez douée pour s’occuper d’une moule. Comme son frère d’ailleurs… Ce qui doit donc arriver arrive, et Clem jouit en serrant les dents pour ne pas faire trop de bruits. Elles n’ont pas fini pour autant. Eleonora vient se poser directement sur l’ilot central de ma cuisine : là où je me suis souvent fait baiser moi aussi. Et Clem la suit. Elle chope un fouet de cuisine en inox et commence à le frotter sur le clitoris de ma belle-sœur, une fois que cette dernière a ajusté sa robe pour le lui permettre. Elle grogne de plaisir lorsque Clem l’embrasse avant de sortir son bonnet B, bien rond et bien ferme, pour le dévorer. Alors que son amante halète, elle retourne le fouet pour, avec le manche, la doigter avec force. Si Clem a su maitriser ses cris de plaisir, je ne peux pas en dire autant d’Eleonora. Ses gémissements deviennent bien audibles avec des ‘OH !’, ‘AH !’ et encore ‘OUUH !’. Clem doit lui prendre sa bouche pour l’embrasser. Mais au moment de jouir, elle commence à taper sur l’ilot, obligeant Clem de lui chopper la main pour l’empêcher de faire encore plus de bruits. Et elle retire le manche du fouet au bon moment, pour que je voie ma belle-sœur, squirter sur mon frigo.J’en ai assez vu et je doute que cette baise sauvage continue. Moins d’une dizaine de minutes plus tard, je vois les deux coquines revenir discrètement dans le salon, à tour de rôle. Clémentine a l’air normale tandis que je vois bien une tête changée du côté d’Eleonora. Je trouve un moment pour parler à Eleonora de ce que je voulais lui demander. C’est-à-dire son flirt du moment. J’apprends alors qu’ils se sont vus à deux reprises depuis. Je n’ai pas d’indices s’ils ont remis le couvert ou non, mais ils sont toujours en flirt. Et elle n’est pas totalement fidèle dans ce flirt quand je vois ce qu’elle vient de faire avec Clem… La soirée continue et se termine avec beaucoup de bonne humeur et d’amour. Mes enfants étant endormis depuis déjà longtemps sur le canapé, on les couche puis on salue tout le monde. Il est bientôt minuit et on a encore un repas demain midi après les cadeaux. Il faut se reposer.Tout le monde va au lit et on se retrouve seul avec mon mari dans notre chambre. Lorenzo se pose dans le lit en short de pyjama. (C’est comme ça qu’il dort). Quant à moi je vais dans notre salle de bain pour me changer.Je garde mon joli maquillage de cette soirée, ma chevelure, toujours lâchée pour arriver en dessous de mes épaules, est attrapée pour être attachée en queue-de-cheval. Je retire ma petite robe, ainsi que mes sous-vêtements. Toute nue, je ne vais pas le rester longtemps. Une superbe nuisette ultra sexy de mère Noël (salope) vient recouvrir mon joli corps tonique. Elle est en dentelle, et de couleur rouge. Sur les extrémités des bonnets qui recouvrent mes petits seins se trouve de la petite fourrure blanche. Idem pour l’extrémité du bas de la nuisette. Je quitte la salle de bains pour voir mon mari qui m’attend en souriant sur le lit. Il caresse doucement son sexe dans son short, histoire de se faire bien bander. Dans son autre main, une boite rectangulaire dans un papier cadeau. Visiblement, il a aussi prévu notre nuit.Je viens sur le lit et arrivant vers lui, il me regarde avec une excitation grandissante. Je pose mes lèvres sur les siennes et on commence à s’embrasser. Un premier baiser très amoureux, langoureux, avant de se dévorer la bouche.On se décolle et il me tend son cadeau. Je le prends avec un grand sourire. Aucun mot n’est échangé pour le moment. Seuls nos yeux criant ‘sexe’ communiquent entre eux.J’ouvre le paquet et découvre avec joie un vibromasseur. Blanc et long, comme on en voit dans les pornos avec un long manche arrivant sur la partie qui nous masturbe.Je l’embrasse en posant notre nouveau jouet à côté de nous et on se positionne l’un sur l’autre, en 69. Je le suce langoureusement puis je le pompe allègrement. Je varie ma pipe et n’hésite pas à faire des bruits bien suggestifs en le suçant. De son côté, il pétrit mes fesses en me donnant une petite claque de temps en temps, tout en me dévorant l’abricot. Ma nuisette m’habille toujours et il a pris soin de la relever pour bien s’occuper de moi.Ses préliminaires sont très bons, mais ne durent pas longtemps. Il est déjà tard et on a déjà atteint un très grand niveau de libido. Je me redresse et je m’empale sur sa belle queue bien dure. Mais pas face à lui. C’est en reverse cowgirl que je me pose. Ma position préférée est la cavalière, mais j’aime bien aussi faire sa variante, de dos. Je le fais généralement en me penchant vers l’avant pour qu’il puisse mater mon beau cul rebondi remuer pendant que ma chatte s’occupe de sa bite. Mais cette fois si, je veux le faire différemment. Je me penche en arrière, mes bras tendus avec mes mains en appui sur le matelas. Mes jambes bien écartées avec mes genoux qui se fléchissent pour que je puisse réaliser les mouvements de notre accouplement. Je dois cependant avouer que cette façon-là m’empêche de tout donner. Mon Lorenzo comprend que je ne suis pas des plus à l’aise et décide de m’aider. Il pose ses mains sur ma taille, sur ma nuisette, plie ses jambes pour se mettre sur ses pieds, et envoie son bassin en haut pour que sa bite me ramone le plus loin possible quand je redescends mon cul sur lui. On gémit tous les deux de cette pénétration que l’on ne réalise pas souvent. Il fatigue bien vite, ce qui nous donne une parfaite occasion de changer de position. Un petit missionnaire bien classique, mais tout aussi bon. Surtout qu’on en profite pour utiliser le vibromasseur. Il commence à me baiser et je halète franchement à coups de ‘han, han, han,’ quand il finit par allumer le joujou. Un ‘Bzzz’ se fait entendre avant un gros ‘OOOOH !’ de ma part. L’intensité des vibrations du sextoys est bien présente et cela me fait un effet de dingue dans ma petite chatte.Coups de bite pour ma minette, massage pour le clitoris, pétrissage pour mes nichons… Que demander de plus pour jouir ? — Hannnnnn ! Oooooohhh ! Aaaaaahhhhh ! Oh bébéééé, je viennnnnnnnns !!!!!!! Mon orgasme est sublime et il dure. Je broie le sexe de mon chéri avec les contractions de mon vagin. Il m’a toujours avoué que mes orgasmes sont vraiment violents et qu’il est horriblement difficile de résister de cracher son foutre. C’est alors sans surprise que je sens mon utérus se remplir de son jus préféré ! *********** — Hummm… gémit Clem sur le canapé. Je suis réveillée depuis peu. Après avoir bu mon café matinal avec mon mari, je suis allé déposer quelques cadeaux supplémentaires sous le sapin. Je regarde avec amusement ma meilleure amie se réveiller doucement dans le canapé. — Oh putain… Je suis K.O….— Il est 9h30. Tu as eu le temps de dormir malgré qu’on se soit couché tard.— Je n’ai pas fait que de dormir…— Ah oui ? Moi, mère Noël a rendu une petite visite à mon mari. Et toi, qu’est-ce qui t’a empêché de dormir ?— Dison qu’alors, cette nuit, il y avait trois mères Noël salopes… sourit Clem.— Trois ? Attends, tu as rebaisé avec Eleonora ?— Oui, et une bonne partie de la nuit.— La cuisine ne vous avez pas suffi ?— Oh non, ce n’était qu’en entrée ça… Attends, t’es au courant pour ?— Et oui. Lui dis-je en lui coupant la parole.— T’es trop forte ma chérie. Mais bon, ce n’est pas étonnant. On s’était envoyé en l’air il y a plusieurs années. Bref…— Au fait, la prochaine fois que tu te sers d’un de mes ustensiles de cuisine pour défoncer la chatte de quelqu’un, pense à le laver.— Oups… désolée ma chérie… On rigole puis elle se lève. Doucement, dans la demi-heure qui suit, tout le monde se réveille notamment les petits, surexcités. On finit par ouvrir nos cadeaux et passer un super repas de Noël !
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