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Claudia et Lorenzo

Chapitre 6

La Saint-Valentin

Erotique
Le quatorze février est un jour merveilleux. La fête des amoureux. Une fête surtout commerciale pour que les couples s’achètent plein de fleurs, de bijoux et du chocolat. Mais ça permet surtout d’organiser de bonne grosse baise !Bon, on n’a pas vraiment besoin de cela vu notre énorme libido, mais toute occasion est bonne à prendre pour vider les couilles de son mari, non ?

Bien évidemment, ce soir, je compte en avoir pour mon compte. Je vais crier de plaisir tellement je vais jouir. Et pour n’avoir absolument aucun problème à faire résonner ma jolie voix, mes enfants seront chez leur tante. Dès la fin de leur école, ce sera à elle de venir les chercher et je serais alors toute seule chez moi à la fin de mon boulot pour tout préparer.

Mais en attendant, je suis en train de faire mon boulot de secrétaire. C’est alors que ma meilleure amie et collège Clémentine arrive dans mon bureau.

— Salut ma petite Latina.— Salut la Polak. (Clem a des ascendances polonaises du côté de sa mère) T’as plus rien à faire ?— Si, mais le son m’empêche de me concentrer.— Le son, quel son ?— Mon bureau est collé à celui du boss.— Oui, et ?— Madame est venue se faire baiser sur le bureau de son mari. Alors j’entends tout.— Te connaissant, tu adores écouter ou regarder des gens baiser.— Oui. Mais elle fait des vocalises vraiment cheloues. On dirait de petites chiennes agaçantes. Donc j’ai préféré venir parler avec toi.— Ah, je vois. Tu veux savoir ce que j’ai prévu pour ce soir.— Oh que oui !— Eh bien, je vais te décevoir. Je n’en sais rien. Je laisse mon Lorenzo décider de notre partie de sexe. L’année dernière, c’est moi qui ai eu le cadeau sexe. 

Chaque année, on se donne un ‘cadeau sexe’. On est très pervers entre nous. La preuve, lors de notre lune de miel, on a fait un combat de sexe : le premier à jouir à gagner. Après quelques Saint-Valentins passées ensemble, on a décidé de se faire un cadeau sexe, qui change chaque année. Celui qui a le cadeau sexe doit donc offrir un cadeau à l’autre, qui découlera sur une superbe partie de sexe.

— Rappelle-moi les dernières années ?— L’année dernière, c’était chantilly et chocolat fondu. J’en avais plein les seins et la chatte et il m’a littéralement dévorée. Quant à moi, j’avais pompé sa bite pleine de chantilly.— Ah oui c’est vrai. Tu t’étais rasé la chatte en intégralité pour la première fois depuis le lycée.— Oui. Mais avec le recul, ce n’est pas ce qu’on a aimé le plus.— Sexe et bouffe. Ouais, c’est space… Mais il faut tout tenter. Moi, j’aimerais juste me faire bouffer les seins recouverts de chocolat fondu.— T’as vu la taille de tes seins ? Moi, je fais du A, c’est vite fait. Toi, ça va te coûter une fortune.— Ah, ah , pas faux ! Il y a deux ans, c’était lui qui offrait le cadeau.— Ouais. Une baise ‘sensitive’ avec bandeau et tout.— Quel romantique. Et l’année d’avant, c’était toi ? Laisse-moi me souvenir, ce n’était pas votre première année de cadeau sexe ?— Ouais, la première.— Du coup, tu avais un costume de lapine ?— C’est ça. C’était cool. Et toi, tu vas faire quoi ?— Je vais aller dans un club libertin et je trouverais un beau petit couple pour un plan à 3.— Tu fais toujours la même chose. T’en as pas marre ?— Oh non. Les plans à trois avec les couples c’est toujours incroyable. Et chaque couple est différent alors ça promet à chaque fois d’être super !

 La journée se termine et je rentre chez moi. Je me fais bien belle, bien sexy. Maquillée bien comme il faut, chevelure brune lisse coiffée et arrivant sous mes épaules. J’ai une petite jupe noire moulant mon superbe fessier. Un chemisier blanc avec pas mal de boutons pas boutonnés au niveau de mon décolleté. Pas de soutien-gorge pour que mon chéri a le bonheur de voir ma poitrine à de très nombreuses reprises durant le repas, que je vais préparer avec beaucoup d’amour.

Lorsque mon mari rentre, on s’embrasse. Je finis mes préparations, pendant que monsieur me câline. Durant l’apéro, on se dévore du regard, on mange, on se fait l’amour du regard, on prend le désert, on se baise avec nos yeux.Monsieur a bien compris que je n’ai qu’une envie : c’est de baiser avec nos sexes et non avec nos yeux. Et une baise bien particulière, car il me tarde de voir qu’elle est le cadeau sexe.Il me fait languir en me disant que je suis belle, très attirante, sexy au diable, que mon repas est super bon, que les décorations de la table à base de pétales de roses sont très romantiques.Des ‘merci mon amour’ sont mes seules réponses. La lueur dans mes yeux lui montre très clairement ce que j’attends.

— On s’échange nos cadeaux ?— Lesquels ?— Je vois que tu meurs d’impatience…— Pas toi ?— Tu ne peux pas imaginer comme j’en ai envie. Mais te faire languir m’excite beaucoup.— T’es un salaud… 

Il me sourit puis se lève. Il contourne la table et prend la chaise la plus proche de moi, pour s’y assoir. Maintenant, nous ne sommes plus face à face. Il décale les pans de mon chemisier pour regarder ma petite poitrine à l’air libre. Pas la peine de vous dire qu’elle est dure et gonflée avec des tétons dressés depuis longtemps.Il baisse sa tête pour commencer à me les lécher. Il mordille un téton puis va donner un simple coup de langue au second.

— Humm, bébé… J’ai trop envie.— Avant, ouvre ça...

Après avoir quitté mes seins, il me donne un cadeau. Je l’ouvre et découvre un magnifique bracelet. Je lui dis à quel point il est beau. En lui offrant mon cadeau de mon côté. Une montre.Je vois qu’il met ça de côté assez précipitamment. Finalement, on dirait bien qu’il ne peut plus attendre.

 Il finit par se décaler et prendre un paquet qu’il me tend. Il est carré et pas très haut. Je défais le joli nœud qui se trouve dessus. Une fois retiré, j’ouvre la boite et je reste muette de stupéfaction. Je n’en reviens pas.Il s’agit d’une laisse, une laisse de chien !Avec un petit martinet !Mais ce n’est pas tout. Je la prends en main et je découvre une plaque dorée sur ce qui va au cou, avec quelque chose de gravé d’une magnifique écriture : Claudia.

Je n’en reviens pas. Il l’a fait ! Ou plutôt, je n’en reviens pas de ne pas l’avoir vu venir. Lorenzo est pourtant un dieu en ce qui concerne la réalisation de mes fantasmes. Et l’un d’entre eux c’est qu’il me baise comme une chienne ! Il est même allé jusqu’à customiser la laisse de sa chienne de femme…

— Alors ?— Et bien… Je… Je ne l’ai pas vu venir. Je n’aurais pas pu prévoir mieux.

Il vient m’embrasser avec beaucoup de tendresse, avant que l’on continue dans une autre direction.
— Maintenant, finis le romantisme, je veux prendre cher.— C’est le but mon amour, c’était le but. Mets-toi à poil ma chérie.

 Je me lève et retire mes vêtements. Très rapidement, je suis toute nue et il me contemple avec admiration. Il vient attacher le collier de la laisse à mon cou et il me fait mettre à quatre pattes. Lui, il s’assoit sur une des chaises, faisant tourner entre ses doigts, le manche du petit martinet.Il fait un mouvement avec sa main qui tient la laisse et la tire sur un côté. Je comprends le message et je me tourne pour lui présenter ma croupe.Il prend le martinet et pose les lanières en cuir sur mes fesses : petites, mais bien rebondies. Les lanières les caresses, passent d’une fesse à l’autre. Puis, il les fait doucement sauter sur ma peau. Le contact n’est absolument pas violent.Mes poils se hérissent, mes tétons se durcissent encore plus, ma chatte coule et ma respiration commence à être saccadée.Il me donne alors son premier coup de fouet. Un ‘slash’ se fait entendre suivie d’un ‘Aaah !’ de ma part. Il recommence trois fois. 2 coups sur chaque fesse.Ce qui est super dans ce moment, c’est que je n’ai pas à dire quoi que ce soit à mon mari. Je n’ai pas à le guider. Il sait exactement qu’elles sont mes limites. Il ne va pas me faire trop mal, ni même me faire saigner. Il joue juste avec cette domination, cette petite douleur et augmente cette excitation qui fait vibrer ma chatte et mon cerveau.

 Un autre mouvement de la laisse me fait comprendre que je dois me retourner. Étant à quatre pattes, je fais un rapide volteface pour me retrouver devant Lorenzo, toujours assis sur sa chaise.De sa main libre, il déboutonne son pantalon pour sortir sa belle queue bien raide d’un bon dix-huit centimètres. Il tire doucement sur ma laisse pour me faire comprendre de me mettre à table. Je pose mes mains, sagement, sur ses cuisses. Il pousse avec son pouce sa queue vers moi et je n’ai seulement qu’à ouvrir ma petite bouche pour gober son gland.Je le suçote tendrement avant d’en prendre plus dans ma bouche. Ma pipe est très douce, mais je le fais exprès. Je suis sa chienne et je le laisse me dominer et me donner la marche à suivre.C’est ce qu’il finit par faire après m’avoir laissé sucer tendrement le début de son sexe. Il passe sa main sur ma chevelure brune et commence à appuyer sur mon crâne. Il le pousse très lentement, pour pouvoir admirer ma bouche descendre doucement le long de sa belle queue. Il s’agrippe ensuite à mes cheveux pour faire monter et descendre ma bouche en contrôlant ma fellation. Il me fait sucer sa bite durant de longues et bonnes minutes. Dès qu’il me fait prendre son gland en gorge profonde, je sors ma langue pour venir lécher ses couilles.Il stoppe cette fellation assez douce, pour continuer sa domination d’une autre façon.

En tenant la laisse, il balade sa ‘chienne’ au milieu de salon. Avec sa main libre, il prend mes cheveux pour me faire une queue-de-cheval. Il s’accroupit un peu pour que sa longue bite soit bien à la hauteur de ma petite bouche. Il met sa bite une nouvelle fois dans ma bouche largement ouverte et il commence à faire des mouvements avec ses hanches. Ses coups de bite dans ma bouche deviennent de plus en plus rapides, de plus en plus fort. Des petits ‘blop’ se transforme en gros ‘Glorsppp’.Je sens ma chatte trempée comme pas possible pendant que mon maître me baise la bouche avec énergie.

 Dès qu’il retire sa bite, je prends une grosse bouffée d’air. Il lâche ma queue-de-cheval improvisée par sa main. Mes cheveux sont donc de nouveau lâchés et valsent le long de mon cou, sur le côté droit. Et d’un coup, ma tête est tirée en arrière et je lance un petit ‘ah !’ de surprise. Lorenzo vient de tirer sur la laisse. Puis je crie :

— AAahhhhhh !

Ma chatte est défoncée par un gros coup de bite. Ça aussi, je ne l’avais pas vu venir. Je me fais baiser vigoureusement en haletant à grands coups de ‘Han ! Han ! Han !’ quand tout à coup :

— PAF ! PAF ! PAAAF !— AH ! OH ! OUUUH !

Trois fessées viennent de s’abattre sur mes fesses. La première sur la fesse droite, la seconde sur la fesse gauche. Et la dernière, c’est deux mains qui viennent claquer mes deux fesses en même temps. Mais ce qui est vraiment étrange, c’est que la laisse de chienne à mon cou tire toujours ma tête en arrière.Mais vu que je suis en train de me faire copieusement défoncer, je ne peux pas vraiment réfléchir.

— T’aimes ça ma salope ?! T’aimes te faire défoncer comme une chienne ?!— OH OUIIIIII ! OOOHHH ! AHHHH !

C’est trop fort.C’est trop intense.C’est trop bon.

— AAAAAAHHHHHHHH !

Un énorme et puissant orgasme fait vibrer toutes les fibres de mon corps, mais dès que je commence à jouir, je sens une sensation de vide dans ma chatte.Je jouis de longues secondes, mes jambes en tremblent. Je me serais écroulée si la laisse ne me tenait pas.Un jet de cyprine est même éjecté de ma chatte pour aller éclabousser le sol du salon.

 Mon corps se détend et je reprends doucement mes esprits. Lorenzo est juste à côté de moi. Il me caresse les cheveux. Je prends donc conscience qu’il a retiré sa queue dès qu’elle m’a fait jouir, pour ne pas venir à son tour.En me tirant par la laisse, il me fait marcher à quatre pattes dans la maison, pour m’amener dans notre chambre.Il tape sur le lit avec sa main, pour faire comprendre à sa petite chienne obéissante que je dois m’y installer.

Une fois allongée sur le dos, il me pénètre de nouveau, cette fois en missionnaire. Que c’est bon de retrouver sa belle queue dans mon vagin encore frémissant. Mais alors que je me fais baiser tranquillement allongée sur mon lit, monsieur ne semble pas satisfait. Il tire d’un coup sur la laisse pour que je me redresse. Je suis alors en appui sur mes coudes pendant qu’il laboure ma chatte avec sa bite toujours aussi énergique depuis le début.Il tient toujours la laisse pour me faire sentir sa présence, tout comme le fait que je suis à ses ordres et qu’il est le maitre. Il lime ma chatte avec force et son pouce vient masser mon clitoris pour me donner encore plus de plaisir.Je gémis de plus belle et je sens un nouvel orgasme arrivé à grands pas.  

 Mes cris sont spéciaux, ils sortent de mes entrailles. Je finis par jouir une nouvelle fois dans un plaisir jouissif en me sentant chienne, soumise à mon mari qui me baise puissamment. Mon orgasme est cependant moins incroyable que le précédent. Ce qui permet à Lorenzo de ne pas remplir ma chatte sous des contractions trop importantes des parois de mon vagin. Il se retire de mon antre dégoulinant de cyprine et saute sur moi.

— Tire ta langue ! Ouvre les yeux ! Aaaaarrrrrgh !

Je m’exécute avec joie et reçois six gros jets de sperme sur ma figure pour souiller la petite chienne que je suis ce soir et qui tire sa langue pour récupérer tout ce qui coule sur ses levres.

 Ainsi se termine cette formidable partie de sexe de Saint-Valentin.
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