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Claudia et Lorenzo

Chapitre 8

Anniversaire de Mariage bien chaud !

Hétéro
18 avril, grande journée pour moi et mon mari. Il y a six ans, notre relation de couple a pris un tournant, en se mettant la bague au doigt.Deux enfants en héritage, une bonne situation financière, une belle vie de famille dans une belle maison.Mais plus que tout, une incroyable vie sexuelle.De la baise, de la bonne baise, de la grosse baise, de la petite baise amoureuse. Ma chatte est remplie d’amour, de jouissance (et de sperme) quasiment tous les jours, grâce à ce beau mariage.

 Dans ma salle de bain, je me prépare bien comme il faut. De l’eyeliner noir pour mes jolis yeux noisette. Du rouge à lèvres et un peu de mascara pour bien me faire sexy. Je me parfume bien, sèche mes cheveux bruns, car je sors de la douche, taille les poils de ma petite chatte pour que ce soit bien esthétique. C’est important quand on ne se rase pas la chatte intégralement, on ne doit pas non plus avoir la forêt amazonienne. Les poils bien taillés, ma petite chatte est magnifique !Je passe aux habits. Un string en dentelle blanche. Une robe blanche et bleu ciel. Cette robe est faite de deux manières différentes. À partir de la taille, jusqu’au mollet, c’est un tissu tout à fait classique. De couleur bleu ciel, donc. Pas collé au corps, le tissu est léger et valse quand je marche. Ensuite, pour le haut, qui recouvre mon ventre et mes seins, avec des bretelles sur les épaules : c’est de la belle dentelle blanche. J’ai de petits seins, donc je n’ai pas mis de soutien-gorge. Mais le contact de la dentelle avec mes tétons les fait rapidement réagir. Cette robe est vraiment sexy et très élégante, sans être vulgaire.Je termine mon apparence en coiffant ma chevelure brune et lisse, arrivant sous mes épaules. J’hésite entre les laisser lâcher ou relever en queue-de-cheval, car c’est plus pratique pour les tirer quand je me fais prendre en levrette et que généralement, la partie sexe de la célébration de notre mariage est assez chaude.Mais je me trouve trop belle comme cela et je laisse mes cheveux lâchés et bien coiffés par les soins de ma brosse.

Je descends toute prête et toute belle. Mon cher et tendre pose les yeux sur moi, et je peux assurer, sans aucune hésitation, que je lui fais envie. Ses yeux vont de haut en bas, puis font le chemin inverse pour me scanner intégralement et apprécier mon corps.Et j’en fais de même. Qu’il est beau mon mari. Et pourtant, les hommes ont beaucoup moins de possibilités que les femmes. Nous, on a plein de trucs pour nous rendre bien élégantes, sexy, voire carrément bandante.Pour mon homme, ça passe généralement par une belle chemise, un jean classique, mais mettant ses jambes bien en valeur. On peut voir son côté sportif. Et aujourd’hui, il y a même une petite veste.Le dernier bouton de sa chemise n’est jamais fermé pour montrer la belle pilosité de ses pectoraux.Et que dire de son visage ? Des traits masculins parfaits. Son nez droit, ses yeux marron. Et sa chevelure. Autrefois court sur les côtés et plus long au-dessus pour être mis sur un côté, elle est aujourd’hui mi-longue, coiffé en arrière. En vrai italien. Cela allié avec sa pilosité faciale, moustache et bouc relié entre eux. A la ‘parrain’ de la Mafia napolitaine.Mais il n’a pas une tête de méchant. Cela le rend incroyablement sexy. Comme l’acteur magnifique de notre série préférée, ou a l’acteur porno super beau-gosse qui trempe nos culottes quand on découvre notre sexualité…Bref, j’ai envie de lui…

 On emmène nos enfants chez leur Tata Clem. Vu qu’elle est comme ma sœur, ils l’appellent ‘Tata’.  
Ce qui est bien, c’est qu’avec la grande sœur de Lorenzo, mon petit frère et ‘Ma Chérie’ Clémentine, vivant dans la même ville que nous, il est très facile pour nous de faire garder les petits quand on a besoin de fêter quelque chose et de, comme vous vous en doutez, baiser comme des bêtes !Une fois fait, il m’emmène dans un beau restaurant. Italien, bien évidemment. Le côté bien élégant, la séduction à l’italienne.

— Buongiorno, réservation pour Massaro.— Buongiorno. Monsieur et Madame Massaro, veuillez me suivre, je vous prie. Nous dit-elle avec un très bel accent italien. »

Tel un gentleman, il me fait passer devant et je suis cette belle serveuse. Italienne donc, surement immigré si on se fie à son allure bien plus que sexy. Sa chevelure est noire et au carré, un visage très joli avec des yeux marrons. Je lui donne 25 ans au max. Soit presque cinq ans de moins que moi.Sa peau est mate et je pense qu’elle doit venir du sud. Bon l’Italie est de base au Sud, mais vous avez compris ce que je veux dire.Je mate aussi son cul. Bien rond et bombé. Je me dis que ça doit être une tuerie de la prendre en levrette. Je jette un coup d’œil à Lorenzo pour voir s’il a également fait ce constat, mais c’est mes fesses à moi qu’il mate… Il est déjà chaud !Je retourne alors à la jolie Italienne pour évaluer sa poitrine à un C. Elle en a des gros, mais qui ne sont pas non plus énormes. Et assez ronde. Le style de paire de seins que j’aurais aimé avoir, même si je me suis mise à beaucoup aimer mon petit gabarit.Après avoir fini de mater notre serveuse (oui, j’adore analyser les corps des jolies femmes que je croise…), on arrive à notre table. On s’assoit et la belle serveuse nous donne à chacun, un menu.

— Je reviens dans quelques minutes pour prendre vos commandes.— Grazie mille. Réponds mon mari.— Prego. 

On lit nos menus, et au lieu de prendre le côté où c’est écrit en français, je regarde la partie en italien. De de fait, je lui demande à chaque fois ce que ça signifie. Ce qui l’amuse.

— Je ne trouve pas mon plat préféré. Dis-je d’une moue boudeuse.— Ah oui ?— Oui. Comment dit-on en italien : je veux manger ta bite ?— (Il sourit) ‘Voglio mangiare il tuo cazzo’.— Alors, ‘Voglio mangiare il tuo cazzo’.— E io, voglio licchiare la tua piccola figa.— Humm, et ça veut dire quoi ?— Je veux lécher ta petite chatte.— Tu as des goûts parfait mon amour. 

La serveuse revient quelques minutes plus tard, comme elle l’a dit. Puis, nous apporte notre commande une fois prête. Des lasagnes pour moi et des pâtes au Pesto pour monsieur.On mange notre repas en se faisant l’amour des yeux. Ma jambe est venue rapidement se coller à la sienne. On s’est fait du pied durant quasiment toute la soirée.On prend un Tiramisu en dessert, avant que monsieur n’aille payer l’addition, tel un gentleman, je l’ai déjà dit.Mais juste avant de partir, je lui susurre à l’oreille : ‘rejoins-moi aux toilettes…’ 

 Environ cinq minutes plus tard, mon mari est présent. Je lui fais un ‘chut’ de mon doigt posé sur ma bouche, pour lui dire qu’on doit garder le silence. Il s’approche de moi, et pose ses lèvres sur les miennes. On s’embrasse doucement après qu’il ai pris soin de fermer à clé avant de venir vers moi. Il y a dans ces toilettes deux parties : une petite pièce avec de quoi faire ce qu’on doit faire, et une petite partie avec lavabo et miroir.On reste dans celle-ci. On s’embrasse et rapidement, je m’agenouille devant lui. Je défais sa ceinture, descends la fermeture de son jean. Ce dernier tombe, le caleçon prend le même chemin. Son beau sexe est à présent devant moi.Beau, long, dur, brulant.Ce dont pourquoi je lui ai fait du pied toute la soirée.Je le prends en main et commence à le masturber doucement. Mon autre main caresse ses couilles. Puis, je baisse ma tête pour aller les embrasser. D’abord la droite, ma préférée, car sa boule droite est un peu plus grosse que la gauche. Un bisou, une léchouille, je l’embouche, la suçote puis la recrache. Et si la vie m’a appris quelque chose, c’est qu’il ne faut pas faire de jaloux. Alors ma tête bascule de l’autre côté et j’offre le même traitement à sa boule gauche.Ma langue lèche ensuite toute la tige dressée, pour arriver en haut en prenant soin de ne pas toucher le gland. Je fais courir ma langue dans le sens inverse avant de remonter une nouvelle fois. Plusieurs allers-retours sont réalisés par mes soins.Je vois bien que son gland gonfle de désirs à chaque fois que je remonte, et sans m’en occuper…Je finis par le soulager en posant ma langue sur son gland bien gonflé et je l’enroule autour. Il grogne de plaisir et de soulagement que je mette enfin un terme à sa frustration.Ma main le branle rapidement, ma bouche le pompe avec énergie et mon mari gémit de plaisir en posant sa main sur ma chevelure brune. Il commence à onduler des hanches pour enfoncer de plus en plus sa bite dans ma bouche.Je finis par malaxer ses couilles, avec l’intégralité de sa bite dans ma bouche. Dans ma gorge, son gland envoie de grosses giclées de foutre chaud directement dans mon estomac.Sa main, auparavant sur le dessus de mon crâne, termine derrière pour bien me maintenir dans cette gorge profonde afin que je prenne tout son sperme, sans en perdre une goutte.

Il me laisse enfin respirer et on se rhabille pour quitter ces toilettes. On a dû y passer un bon quart d’heure. On sort et traversons le restaurant pour sortir et rentrer chez nous.On repasse, avant la sortie, devant notre très belle jeune serveuse. Son regard et son sourire en disent long. Comme si elle sait parfaitement ce que nous venons de faire.Je ne suis probablement pas la première femme à vider les couilles de son mari avec sa bouche dans ce restaurant…

— Arrivderci. Dis mon mari.— Arrivederci, buonasera.

En nous répondant, elle passe une mèche derrière son oreille en nous lançant un regard pétillant. On dirait bien qu’elle a compris la suite de notre soirée et qu’elle aimerait en vivre autant…

 Une fois rentré à la maison, on s’embrasse comme des fous. On se déshabille petit à petit en parcourant notre maison pour arriver dans notre chambre.

— J’ai envie que tu me fasses des trucs un peu hards, huumm.— Huumm, ah oui ? Avec la laisse ?— Euuhhh, non, je ne veux pas me faire baiser comme une chienne ce soir. Mais je veux me sentir soumise quand même. Hmmm, hmmm.— Je sais quoi faire, mmmh ! 

Il me pousse pour que je m’allonge sur le lit. Il cherche quelque chose dans une boite dans un placard à vêtements. Il sort un bandeau qu’il me lance et je joue le jeu pour le mettre autour de mes yeux. Il vient ensuite vers moi, mais je ne peux pas voir ce qu’il fait.Ma main est prise et : ‘Shlack’, puis la seconde et encore : ‘Shlack’.Il a menotté chacun de mes poignets à un barreau du lit. Puis il manipule mes jambes pour les attachés ensemble, au niveau des chevilles.

Il m’enjambe au niveau de la poitrine et je sens sa bite sur mes lèvres. Je les ouvre et embouche sa queue pour le sucer de nouveau. Je le pompe du mieux que je le peux et une fois qu’il estime sa queue suffisamment dure, il se retire.Il prend mes deux jambes collées l’une contre l’autre avec les attaches aux chevilles, et il les met sur une de ses épaules.Son gland rentre au contact de mes lèvres et commence à forcer l’entrée de ma chatte. La porte franchie entre mes lèvres vaginales heureusement bien mouillées, il s’enfonce dans mon vagin et me pénètre jusqu’à ce que sa bite de dix-huit centimètres soit bien logée dans mon sexe. Cela me fait lâcher un gros ‘OUH !’.Sa bite est bien longue, mais pas super épaisse. Je la qualifie de normale avec, un petit plus. Ce qui ne m’a jamais dérangé, bien au contraire. Mais quand il me baise comme ça, avec mes jambes et mes cuisses bien serrées, j’ai l’impression qu’elle fait le double de sa grosseur. Et ça fait son effet. Je ne pourrais pas le supporter très longtemps, mais ça fait son effet.Il me baise bien tout en me caressant mes jambes et je suis bien proche de partir.

— HAANN ! AAAHH ! OHHHH, HANN, je vais jouiiiirr ! OH OUIIIIIIIIII !

Je jouis, on peut le dire, comme une salope : je crie, je ne me maitrise pas, je tremble, je contracte les parois de mon vagin avec violence, forçant mon mari à se retirer pour ne pas gicler immédiatement dans notre partie de baise.

Une fois remise de mes émotions, je remarque que j’ai changé de position. Lorenzo a détaché mes chevilles et mes mains. Il m’a positionnée pour une levrette, cul en l’air, fessier relevé. Mes mains sont attachées ensemble avec les mêmes cordelettes, qui sont elles-mêmes fixées au lit.

Dans un premier temps, il lèche ma chatte avec tendresse. Quand il voit que je suis prête pour la suite, il me bouffe la moule avec entrain et je suis proche de jouir à nouveau, mais il fait exprès de ne pas me faire venir pour me frustrer. Il se redresse et masturbe sa queue entre mes deux fesses avant de la replonger dans ma chatte dégoulinante de plaisir. Il débute les vas et viens en me tenant bien par les hanches.Ces coups de bite s’accélèrent doucement, mon cul se fait pétrir et je gémis de plaisir. Une première claque s’abat sur ma fesse droite. Je me sens chaude, ma chatte est brûlante.Je suis complètement en trans.

— Han, han, Lorenzoooo, oh oui, han !Oohh mon cœur, hann, haaannn, baise-moi ! Baise-moi Lorenzo ! Oh je t’aime, oh tu me baises siii biennnnn ! Oh oui ! Oh oui ! Oh oui ! T’es un dieu de la baise ! Oh ! Ah ! Ah ! Baise-moi plus fooorrrrt !— Tu veux que je défonce ta chatte ! Tu veux que je te baise comme une salope !— Oh oui ! Je suis ta petite salope ! Je suis ta pute ! Défonce-moi ! OH ! OH ! OH ! AHHH !— Qu’est-ce que t’es chaude Claudia !

De plus en plus violemment, il me baise salement, comme une pute qu’il vient de ramasser dans la rue. Je mouille comme une folle et ma chatte dégouline en encaissant ses gros coups de reins. De grosses claques martyrisent mon joli petit cul.Mes mains s’accrochent aux barreaux du lit, je finis même par mordre le drap en grognant et en bavant.

 De nouveau amenée à l’orgasme, je sens, cette fois-ci, le fond de ma chatte se faire abondement arroser par son sperme chaud et épais. Il reste de longues secondes en moi, avant de sortir son sexe inondé de cyprine et de sperme mélangé. Je sens de grosses gouttes de cette mixture de foutre s’échapper de ma chatte, signe qu’il m’a bien remplie.— Putain, t’étais crue ce soir. C’est bien la première fois que tu dis être ma pute.— Pfiou… J’ai dit ça ?— Ouais, en plus du ‘salope’ habituelle.— Tu m’as vraiment mis en trans alors, ah, ah. Je peux retirer le bandeau ?— Je te fais ça ma belle.

Il retire mon bandeau et je retrouve la vue. Il admire un petit moment mon cul et en me disant que j’ai un fessier magnifique, il me libère de mes entraves et je m’allonge sur le dos, en face de Lorenzo qui s’installe à son tour contre mon corps. Caressant ma petite poitrine et mes tétons encore érigés il me fait frémir et me dit.

— Bon anniversaire de mariage, Claudia.— Je t’aime Lorenzo.

 Nos lèvres, attirées l’une par l’autre se joignent et une nouvelle fois on s’embrasse amoureusement. Sa main va se poser sur ma chatte et la mienne sur sa bite un peu molle. Je me demande qui de nous deux va le premier nettoyer le sexe de l’autre, avant de s’endormir, ou peut-être, fêter de nouveau cette date inoubliable.
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