— Joyeux anniversaire maman !!!— Oooh, merci mes amours !
Mes deux enfants sautent dans mes bras, dans la cuisine, pour me faire des bisous et des gros câlins.Nous sommes le 9 juin, et aujourd’hui, je suis officiellement une trentenaire ! Mon mari a déjà passé ce cap vu qu’il va sur ces trente-deux ans en août prochain. C’est fou comme le temps passe vite. Je n’ai que 23 ans quand je le rencontre. Et je suis une petite nana toute mignonne, mal-baisée, qui vient de commencer sa vie professionnelle avec son premier boulot. (Que j’ai toujours au passage, mais en ayant gravi les échelons.)Dès que j’ai senti sa queue prendre possession de ma chatte, moins de quinze minutes après notre rencontre, j’étais sûre que ce serait mon homme.Et voilà cinq ans de mariage et deux enfants à la clé !
J’arrive au boulot, j’ai plusieurs messages d’anniversaire de la part de la famille.Je suis dans mon bureau quand Clémentine débarque pour me le souhaiter à son tour. Elle n’hésite pas à me coller contre son corps, plaquant sa majestueuse poitrine contre la mienne.On se met au travail, et Clémentine n’arrête pas de venir toutes les cinq minutes me rendre visite. Elle est surexcitée aujourd’hui, ce n’est pas croyable !
La journée est longue tellement je veux la terminer. Mais enfin, je suis de retour chez moi. Je peux parler au téléphone avec mes proches, et passer une soirée en famille pour mon anniversaire. Je mange un super repas, ouvre mes cadeaux, etc.… Tout est parfait, sauf une petite part d’ombre : l’absence de ma meilleure amie qui n’a pas pu venir…
Je passe la soirée avec mon beau mari. Devant la télé, il m’embrasse, me lèche ma petite poitrine. Deux doigts viennent dans mon vagin pour me masturber. Je gémis tendrement avant qu’il ne se mette entre mes jambes et commence un bon cunni. Sa langue parcourt mes lèvres bombées et ouvertes. Elle passe un coup à l’intérieur avant de me donner de grands coups sur toute ma fente, de bas en haut. Puis, il s’attaque au clitoris. Sa langue tourne autour, ses dents viennent très doucement le mordiller, ce qui me fait gémir de plus belle en grinçant des dents.Il fait monter mon excitation merveilleusement, mais il ne veut pas passer la seconde pour autant. Il ne veut pas me faire jouir.Je vois bien qu’il prend un malin plaisir à me frustrer.Alors que j’ondule mon bassin contre sa bouche, pour le forcer à me bouffer la chatte pour de bon, il stoppe ces préliminaires.
— On va continuer dans la chambre mon amour.
Il me porte comme une princesse et me dépose sur le lit. Il vient ensuite me donner mes sous-vêtements léopards. Cela fait un bail que je ne l’ai pas mis. Porte-jarretelles et tout le tralala qui va avec.
— Habille-toi sexy mon amour, et met ça.
Il me met un bandeau sur les yeux. Je ne vois absolument rien. Mais, j’ai comme l’impression que je ne porte pas ce bandeau pour baiser sans rien voir, mais plutôt parce qu’il a une surprise pour moi.Je reste à genoux sur mon lit et l’entends ouvrir la porte.
— Je reviens tout de suite, ne bouge pas ‘amore mio’.— Dépêche-toi… dis-je d’une petite voix bien en manque.
Je dois attendre très peu de temps avant de l’entendre revenir. Je sens qu’il monte sur le lit, et qu’il est face à moi.Je suis toute contente, ma chatte est en flamme. On va pouvoir commencer.
— Je vais t’embrasser ma chérie.
Bizarre qu’il me prévienne, je n’attends que ça ! Il vient poser ses douces lèvres sur les miennes. Elles remuent doucement et elles s’ouvrent pour que sa langue rentre dans ma petite bouche pour venir danser avec ma langue.Huumm, ce baiser est tellement bon, mais à la fois tellement différent que d’habitude. Je sais qu’avec le bandeau sur les yeux, on perd la vision et ça entraine une augmentation et le changement des autres sens, mais là, c’est la première fois que ça me chamboule autant.J’ai l’impression que son nez, qui caresse le mien, est plus petit. Tout comme sa langue qui valse autour de la mienne d’ailleurs. Et ses lèvres me paraissent différentes aussi et tiens, il s’est rasé ? C’est pour ça qu’il s’est absenté ? Pourquoi il a fait ça ? J’adore sa pilosité faciale moi.
Bref, je suis un peu chamboulée, mais je suis trop excitée pour m’en offusquer. Je veux plus de ‘physique’ dans notre baiser alors je pose mes mains sur les pecto… Heu… sur les gros seins de mon mari ?Oui, des seins, des nichons, des nibards ! Je suis en train de palper une paire de gros nénés !Je malaxe de mes deux mains chaque sein, en continuant d’embrasser. Mon cerveau est comme déconnecté avant que d’un coup, comme si je prends un électrochoc, je viens de comprendre.Je me retire brusquement.
— Clémentine !
Une main se pose sur mes cheveux, au niveau du bandeau, et le défait.Je découvre alors en effet, ma meilleure amie, à genoux dans mon lit. Incroyablement belle, bonne et sexy, en sous-vêtements en dentelle blanche.Mon mari vient poser sa bouche contre mon oreille.
— Joyeux anniversaire Claudia.— Oh merde… dis-je toujours abasourdie.
Mon mari me pousse délicatement dans les bras de ma Clem et on recommence à s’embrasser alors qu’elle s’allonge dans mon lit. Ses mains se posent sur mon corps. D’abord sur mes cheveux qu’elle caresse avant de descendre et d’arriver sur mes épaules et puis mes bras, mon dos.Au moment où ses deux mains viennent attraper mes fesses, j’écarquille les yeux. Je ne peux même pas décrire à quel point ça me fait de l’effet. Elle me les malaxe et je sens son excitation.Nos salives s’échappent de nos bouches pour couler sur nos joues. On se galoche comme des actrices pornos.Ce n’est pas la première fois qu’on s’embrasse. Lors d’une soirée à 19 ans, complètement bourrées au milieu de la nuit, on a dérapé. Mais on n’a pas couché ensemble.Je ne sais même pas si elle s’en souvient…
Je me détache de sa bouche et on se regarde pour la seconde fois depuis que j’ai découvert que c’est elle que j’ai embrassé sous mon bandeau.Je lui fais des petits bisous dans le cou, puis sur la naissance de ses seins. Clémentine comprend ou je veux en venir. Une chose que je n’ai absolument jamais fait de ma vie, mais j’en ai tellement envie ! Elle, par contre, à l’habitude.Elle se redresse légèrement pour dégrafer son soutif qu’elle balance plus loin sur le lit.Bien évidemment, j’ai déjà vu sa poitrine à plusieurs reprises. Même touché. Mais là, c’est différent, car je vais avoir ses gros seins pour moi.Un peu stressée et tremblante, je pose ma bouche sur son mamelon. Son gros et long téton et déjà bien dressé et je le suçote. Je lui tète le sein comme un bébé. Je passe de l’un à l’autre. Ma langue fait littéralement du ski sur sa poitrine, mettant de la salive partout. Je mordille même ses tétons, en essayant de ne pas trop y aller violemment.En tous cas, j’ai l’air de bien me débrouiller, car elle ne fait aucune remarque et se contente de me caresser les cheveux et de gémir les yeux fermés.
Son 95F si beau et si massif est à moi aujourd’hui. J’ai connu cette poitrine à ses débuts. Je l’ai vu grossir, changer de lettre sur les soutifs tandis que moi, je suis resté à la même dimension. Elle m’a fait jalouser cette magnifique paire de seins. Mais là, je les chéris comme si c’est la septième merveille du monde.Mais j’ai aussi envie de me sentir être sa chose. J’arrête de lécher sa belle poitrine. Et dès que je me redresse, elle vient baisser d’un seul coup les bonnets de mon soutif et elle chope mes seins entre ses lèvres. Elle suce mes tétons, lèche la chair de mes petits nichons. Je ne peux m’empêcher de geindre.Je tourne la tête vers mon mari qui me sourit en caressant son sexe. Il doit bander comme un âne le pauvre.
Je n’en reviens pas qu’il a organisé ce plan à trois avec ma meilleure amie. Mon plus grand fantasme, inavouable. Mais à mon mari, mon amour, je ne peux rien cacher. Je me rappelle avoir eu du mal à le dire à Lorenzo. Ce n’est pas comme si je voulais un plan à 3 avec un second homme. Mais j’ai eu du mal à avouer mon fantasme à mon homme.J’ai en moi deux émotions. D’un côté, l’excitation de partager la queue de mon mari avec ma meilleure amie. Et de l’autre, l’appréhension. Jalouse comme je suis, est-ce je vais réussir à aller au bout de cette partie sexe ?Clémentine ne semble pas se soucier de ça vu comment elle me bouffe mes petits seins, ce qui me fait grimacer et gémir de plaisir.
Je relève la tête de ma meilleure amie et je l’embrasse de nouveau. Mon envie de faire ce plan à trois est finalement plus forte que ma jalousie.
— Ça te dit qu’on s’occupe de mon mari ? dis-je d’une voix tremblante.— Avec plaisir. Tu veux qu’on aille jusqu’au bout ? Me demande Clémentine.— Je crois oui…— C’est toi qui décides de ce qu’on fait et comment on le fait. Me dit Clem en caressant mes petits seins.— OK… Alors, on fait l’amour tous les trois. Mais vous ne vous embrassez pas. Vous m’embrassez autant que vous voulez, mais pas entre vous.— Tes désirs sont des ordres princesse.
Lorenzo nous rejoint dans le lit et je viens dans ces bras pour l’embrasser avec tout mon amour. Une fois que je me détache de lui , il s’allonge sur le lit, les jambes écartées. Avec Clémentine, on se positionne devant son service trois-pièces qu’il déballe doucement. Je l’aide à virer ce vilain caleçon et Clémentine regarde ce pénis d’un bon 18 centimètres, d’une épaisseur normale et surtout, d’un beau gland bien gonflé, à la peau lisse et à la température bien chaude. Un sourire de coquine s’affiche devant son visage.
— Voilà l’objet tant désiré… Je l’ai déjà partiellement vu, les quelques fois où je vous ai surpris en train de forniquer. Mais de près, elle est magnifique.
Elle passe sa main le long de sa queue, tandis que la mienne est posée sur ses boules, pour les pétrir sensuellement. Elle amène sa bite dans notre direction, puis la décale vers mon côté.
— Tu me montres comment tu suces ?— Avec plaisir.
J’embouche son gland et le suçote. Puis je prends son sexe plus en profondeur dans ma petite bouche. Clémentine branle sa belle queue en suivant le rythme de ma fellation. Et me regarde droit dans les yeux. J’entends mon mari grogner, ça doit lui faire un effet de dingue.
— Tu suces vraiment bien…
Me dit Clémentine, les yeux fixés sur ma bouche et la bite de mon mari qui glisse dans ma bouche.
Je le suce avec passion, Clémentine me regarde telle une féline, en me caressant les cheveux.
Puis une chose étrange se passe. Ma chatte me supplie de le faire, mon cœur et mon cerveau me l’interdisent. J’écoute alors ma chatte trempée. Je crache sa queue et je la prends en main pour la tourner vers une Clémentine, plus que gourmande.Elle le prend d’un coup dans sa bouche et le suce comme une assoiffée, descendant jusqu’à son pubis. En regardant ma meilleure amie avaler toute la bite de mon mari, ma chatte est immédiatement toute brulante et mon cœur à l’impression de se fendre en deux. Une main vient se poser sur la mienne : celle de Lorenzo.Il a les yeux fermés de plaisir, mais il veut être avec moi. Il doit être dans le même état que moi.Ne voulant pas être spectatrice de cette pipe, je commence à lécher les boules de mon beau mari et je l’entends grogner à distance en serrant ma main.Il préfère ma langue sur sa couille plutôt que sa bite dans la bouche de Clem.Voilà qui me réchauffe le cœur, presque à la même température que ma chatte.
Clem termine sa pipe et une idée me vient à l’esprit.
— Tu me prêtes tes seins pour le branler ?— Bien sûr, ma chérie, c’est ton anniversaire !
Je viens me placer derrière elle. Mes mains se posent sur le côté de ses seins. Ils sont tellement énormes qu’ils ne tiennent pas dans mes mains. Elle se baisse pour que le pénis de mon mari arrive dans le creux de ses gros seins. Et dès que c’est le cas, je l’emprisonne.Les deux fois où je suis tombée enceinte, ma poitrine est passée à un bonnet B. J’ai pu alors réaliser de (toutes petites) branlettes espagnoles. Mais là, la poitrine de Clem l’englobe parfaitement. Je commence à faire des va et viens.Non de dieu, qu’est-ce que c’est dur ! Ses nichons sont énormes, ils se barrent de mes mains. Ce n’est pas pratique tellement c’est encombrant. J’ai vraiment du mal à masturber le sexe de mon mari.
J’arrête mon activité pour recommencer à sucer avec ma meilleure amie. Mais cette fois-ci, nos deux langues valsent ensemble sur le gland, sa tige… On se touche à de nombreuses reprises. C’est vraiment excitant de sentir sa langue lécher avec moi la bite de mon mari. On descend toutes les deux pour finir par gober une couille chacune.
Les préliminaires touchent à leurs fins. Clémentine s’allonge sur mon lit et je viens à quatre pattes entre ses jambes tandis que Lorenzo vient derrière moi.Clémentine retire son string et je pose mon regard sur sa petite chatte toute rose et intégralement rasée. Je l’ai déjà vue, mainte et mainte fois, nue, et même en train de baiser. Mais je la regarde de près en la détaillant pour la toute première fois.Je n’ai jamais léché de chatte de ma vie, donc j’appréhende un peu comment faire. Mais vu le nombre de fois où ma minette s’est fait bouffer par un Lorenzo divin dans cet exercice, je pense avoir quelques trucs en tête.
Le long pénis de mon amour me pénètre après avoir décalé mon string. Je gémis en grimaçant devant une Clem qui ne me quitte pas du regard. Je commence à me faire baiser et j’halète de manière bien sexy. Puis, je commence à descendre ma tête vers cette petite chatte qui n’attend que moi. ‘Ma chérie’ se malaxe les seins en me regardant avec excitation.Je l’embrasse. Je lui donne un gros coup de langue. Je lèche ses lèvres bombées, je rentre ma langue à l’intérieur et finit par lécher son clitoris tout dur.Mes ‘hannn, meemmh, hannn, mmh’ se mélangent au ‘Ouh… Ouh…’ de Clem.Lorenzo ne me baise pas trop fort pour me permettre de bien lécher ma meilleure amie. Je sens son regard sur moi et son excitation grandissante de me voir réaliser ce cunni. Je me concentre sur son clito jusqu’à ce que je sente son corps commencer à trembler. En lâchant un gros ‘OOOOH !’ elle jouit en tendant son corps. Je me sens alors incroyablement fière de l’avoir fait jouir ! - Bébé… Viens… viens la lécher avec moi.
J’en veux plus, je veux avoir mon mari à mes côtés pour partager cette chatte dégoulinante de jus. On lèche tous les deux sa belle chatte charnue. On l’entend gémir sous nos coups de langue. Plus on la lèche et plus nos langues se rejoignent. On finit par s’embrasser sur sa chatte.
— Hey, ne m’oubliez pas ! Se plaint la léchée avec une petite voix tout excitée.
On rigole avant de replonger dans son vagin. Lorenzo prend mes doigts pour les poser à l’entrée de sa chatte et je commence à la doigter. Les doigts de mon amour font de même, mais avec moi. On se retrouve toutes les deux doigtées en même temps.
— Aaaahhhh… dis, on échange nos places ?
Elle me répond par un oui de la tête, avec des yeux qui pétillent. Est-ce parce qu’elle va se prendre la bite de mon mari, dont je vante les talents sexuels depuis presque une décennie ? Ou est-ce car elle va me bouffer la chatte ?Je pense que c’est les deux.
C’est dans la même position qu’on se retrouve, sauf que je suis à la place de Clémentine (donc allongé) et elle est à ma place, à quatre pattes devant moi.Elle ne se fait pas prier pour me faire un cunni. Elle plonge directement pour bouffer ma petite chatte en feu. Mon mari me regarde dans les yeux, comme pour me demander ma permission, que je lui donne.Il la pénètre. Pour la première fois depuis qu’on s’est rencontré, il en baise une autre. J’ai un mélange de sensations, d’excitations et de douleur, de voir ça. Et je vois que c’est la même chose pour lui.Mais son plaisir prend le dessus et donne de gros coups de bite dans sa chatte bien trempée et ma meilleure amie gémis comme il se doit. Mais elle ne faiblit pas pour me lécher. Sa langue va partout, accompagnée de ses doigts. Je remarque qu’elle lèche très différemment que Lorenzo, mais c’est quasiment aussi bien que lui. Ses doigts me caressent l’intérieur des cuisses, les poils bien taillés de ma chatte, voire mes petits seins quand son bras remonte.Je passe mes mains dans ses cheveux noirs bouclés pour lui faire une queue-de-cheval et la tenir avec ma main droite. Ça m’excite de la tenir comme ça et je comprends maintenant pourquoi mon mari me le fait autant pendant que je le pompe.Je finis par jouir quand elle aspire et mordille mon clitoris. Mon mari la bourre presque violemment et elle atteint l’orgasme peu de temps après moi.
On change de position. Je me retrouve sur mon Lorenzo à le chevaucher comme je sais si bien le faire. Clémentine est en face de moi, le sexe posé sur la bouche de mon mari pour se faire encore brouter le minou. On gémit toutes les deux en se regardant. Je passe ma main de temps à autre sur un de ses gros nibards, et me permets même de venir baisser la tête pour en lécher un.
— Han ! Han ! Aah !— Aaahh ! Ouuh ! Ahhh ! Ton mari lèche bien ! Hann ! Ooohh, Putain, t’es trop sexy en cavalière ! Oooh !— Hannn ! Hannn !
À l’écoute de ses compliments, j’accélère mes mouvements et deviens féline, comme pour lui montrer à quel point je suis bonne au lit.On finit par s’embrasser en remuant sur mon beau mari.
En cuillère, Lorenzo pistonne ma chatte à grands coups de reins. Allongée devant moi, Clem m’embrasse où me donne son sein à téter. Par moment je finis presque étouffée entre ses deux énormes seins. Mais j’adore ces sensations. Je finis par jouir une nouvelle fois. Un ‘Uuurgghst’ étouffé par la poitrine de ma meilleure amie en est la preuve. En plus de la réaction de ma petite chatte qui se contracte sur la bite de mon mari.Je sens son pénis grossir et palpiter dans ma chatte : Il va bientôt jouir !
Avec Clémentine, on se dépêche de se mettre par terre, à genoux. Il saute pour être au-dessus de nos visages et se branle à peine deux secondes. Un énorme jet de foutre gluant bien chaud gicle pour atterrir sur mon visage. Il décale sa queue pour que son deuxième jet arrive sur le visage de ma meilleure amie.Au total, il va déverser sept-huit jets de sperme. Variant de visage à chaque fois. Il y a même un jet sur ses seins.On s’embrasse avec tout ce sperme et nettoyons l’autre. Cela fait très porno, mais ça colle parfaitement avec nos libidos. Je suis très ouverte d’esprit avec mon mari et on fait plein, plein de choses. Quant à Clémentine, c’est une salope. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est elle. Et elle en est fière. Elle aime le cul et n’a aucun tabou.
Cette partie de sexe se termine. Toute l’excitation retombe et je me sens étrange. Une boule au ventre, je commence à avoir peur. Et si cette baise aller tout changer entre nous ?Je la regarde remettre ses sous-vêtements. Elle salue Lorenzo, allongé sur le lit, en sueur.On se retrouve dans mon salon où elle s’était déshabillée tout à l’heure. Elle se rhabille tranquillement et j’ai l’impression qu’elle ne pense pas comme moi. Elle ne se demande pas si on va tout chambouler ...Je la raccompagne jusqu’à la porte d’entrée. Au moment où je lui ouvre et qu’elle se retrouve entre dedans et dehors, on se parle pour la première fois depuis la fin de ce plan à trois. Nous sommes très proches physiquement l’une de l’autre.
— T’as aimé ? Me demande-t-elle.— Beaucoup.— Moi aussi.— Mais…— Ne t’inquiète pas. Ça ne va rien changer entre nous.— Tu es sûre ?
Elle se colle à moi et m’embrasse. Ses mains viennent se poser sur mes deux petites fesses rebondies et me les pétrissent. Puis elle me relâche.
— J’ai adoré tout ce qu’on a fait. Le sexe avec vous est incroyable. Tu es mon plus grand fantasme Claudia. Dès demain, on continuera comme avant, car rien ne peut nous dissocier. Mais n’oublie jamais que si tu veux de moi dans votre vie conjugale, je ne te dirais jamais non.— Merci pour cette nuit, et pour être la personne exceptionnelle que tu es.— Joyeux anniversaire Claudia. Me dit-elle en souriant et en m’embrassant une dernière fois.
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