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Claudia et Lorenzo

Chapitre 10

Le début des grandes vacances !

Hétéro
Il fait nuit noire, seuls les phares de notre Alfa Romeo modèle Giulia, nous donnent de la luminosité sur la route que nous traversons.Nous sommes en Italie depuis plusieurs heures déjà, et nous avons encore de la route avant d’arriver à destination.On a passé les deux premières semaines au Portugal, chez mes parents.On se dirige vers Pescara, la ville des parents de mon chéri (en quelque sorte, car il n’y a que son père qui est immigré, sa mère étant née en France de parents venant de Pescara et de Milan). Sa famille a donné à leurs enfants la villa familiale. C’est à dire, mon mari et ma belle-sœur.On va rester à Pescara les deux semaines de juillet qu’il nous reste, et les trois premières semaines d’août avant de rentrer en France pour la dernière semaine.
 J’adore passer nos vacances en Italie avec ma famille. C’est une villa magnifique, il y a une incroyable piscine, de superbes chambres, une cuisine de luxe. Vraiment, le rêve !Mes enfants adorent aussi cette villa et à juste titre.Clémentine, ma meilleure amie, est également de la partie pour ses vacances.Et la grande sœur de mon mari, Eleonora, sera aussi présente une semaine en août, avec son compagnon et son bébé. Elle a accouché d’un petit garçon très récemment. Mais ça, on en parlera plus tard.
On est sur la route, en pleine nuit. Les petits dorment. Clémentine nous suit dans sa voiture. Depuis quelques kilomètres, on voit les panneaux nous indiquant une aire de repos. Je sens une excitation grandissante me parcourir.Les vacances au Portugal, c’est chiant. Enfin, c’est bien, car ce sont mes origines, mes parents et tout. Mais pour baiser, c’est l’horreur ! On peut baiser que la nuit, et encore, vu que les petits dorment dans la chambre juste à côté. Donc on ne peut faire que du sexe très doux ou on se retient. Ce qui n’est pas cool. Car même quand on est dans du sexe amoureux et romantique, on se laisse aller à nos pulsions sensuelles. Là, il y a toujours de la retenue. Et la journée, pas un moment où on peut s’éclipser !Voilà pourquoi je veux baiser maintenant, là, tout de suite, sur une aire de repos italienne.Mais même si on s’arrête, on ne va pas le faire dans la voiture, il y a les petits. Et en parlant de mes amours, on ne va pas les laisser seuls dans la voiture pour aller faire nos affaires dans les buissons ou les toilettes… Mais il y a Clémentine qui peut nous aider…
— Bébé, prends l’aire de repos s’il te plait.— Tu veux aller aux toilettes ?— Non. Dis-je d’une petite voix.— Ah, je vois. T’es sûre, pas trop fatiguée ?— Non, et toi ?— Même fatigué, je le fais.— J’appelle Clem. 

Elle est seule en voiture, mais possède le kit mains libres.
— Allo Claudia.— Allo Clem. On va prendre l’aire de repos, tu nous suis.— Vous êtes fatigués ?— Pas vraiment au fait. Mais on aurait besoin de toi pour garder les enfants.— Ahah, vous allez vous envoyer en l’air !— Oui.— Où ça ?— Je ne sais pas encore, mais on trouvera.— Faite-le dans ma voiture, la banquette arrière est super confortable, tu peux me croire.— T’es sûre ?— Entre nous…on n’est pas à ça près.— C’est vrai… À tout de suite.
Je raccroche et informe mon mari que nous allons faire l’amour dans la voiture de Clémentine.
 On arrive sur l’aire de repos, on sort de la voiture et Clémentine nous rejoint. Elle s’est garée loin de nous pour nous laisser de l’intimité. On s’échange nos clés de voiture et je l’embrasse sur la joue en lui disant : merci ma chérie.Avec Lorenzo, on se place sur la banquette arrière de sa Clio et on commence à s’embrasser. Je me baisse, accroupie sur le siège à côté de lui et j’attache mes cheveux bruns en chignon pendant qu’il sort sa longue bite bien dure. Je la prends en bouche et la suce avec envie. Mais c’est surtout pour le rendre bien opérationnel, car durant notre séjour au Portugal, la seule chose que j’ai pu faire tranquillement, c’est lui sucer la bite. Mais ce qui me manque vraiment, c’est sa queue dans ma chatte en chaleur !
Après avoir baissé mon short et ma culotte, je l’enjambe et m’empale sur lui. Je commence à onduler et sauter sur sa queue en gémissant des ‘han, ooh, ahh’ tandis que monsieur ferme les yeux pour savourer mes mouvements. Ses mains se posent sur mes fesses pour les malaxer fermement avant de remonter sur mon débardeur. Il le lève d’un coup pour dévoiler une jolie, mais petite paire de seins. Cette dernière va bien vite avoir la visite d’une langue habile.Je prends un super pied en me baisant comme ça et me faisant lécher les nichons.Je finis par lui montrer tout mon amour en l’embrassant à la folie.
On change de position, mais je suis toujours sur lui. En reverse cowgirl. Mes mains sont posées sur les sièges de devant et je monte et descends mon petit fessier rebondi sur sa longue queue bien dure. Je la lustre littéralement avec ma petite chatte trempée à l’extrême. Je sens ma cyprine qui coule abondamment et il doit la sentir ruisseler sur l’arrondi de ses couilles.  Dans cette position, mes jambes ne sont pas écartées, mais bien serrées. Cela me donne une sensation de dingue, car sa queue d’épaisseur classique me paraît bien plus grosse. C’est ce qui me fait jouir une première fois, puis nous fait jouir ensemble. Mon mari grogne ;
 - Ooooh, bébééé, ta chatte m’a trop manqué ! - Et moi c’est ta bite ! AAaaahhh, ouiiiiiiii ! rempli moi !
Il crache son sperme en abondance dans ma chatte qui se contracte toujours autour de son membre pour bien lui vider ses couilles.
J’aurais aimé que ça dure plus longtemps. Lorenzo a été précoce sur ce coup, par rapport à ses standards. Mais vu le manque de sexe et l’excitation de fou que nous avions, c’est tout à fait logique.On se désaccouple, on s’embrasse encore et on quitte la voiture de Clémentine qui a une odeur de sexes masculin et féminin. Pas la première fois que ça arrive, mais c’est la première fois que c’est avec du jus n’appartenant pas à la propriétaire de la voiture.Mais la connaissant bien, elle devrait aimer ce parfum.
*****
 Enfin arrivés ! Presque deux heures de route après notre baise improvisée dans la voiture de Clem sur l’aire de repos.On récupère nos enfants et nous les installons dans leurs chambres. Clémentine prend la chambre d’amie qu’elle prend toujours, vu que ce n’est pas les premières vacances que nous passons ensemble.
Je dis bonne nuit à Clémentine puis je passe dans chaque chambre de mes enfants. Je les regarde dormir et leur donne un dernier bisou avant de me rendre dans ma chambre.Pour tout dire, c’est Lorenzo et Eleonora qui ont hérité des deux meilleures chambres, vu que c’est eux qui utilisent le plus la maison. Leur père a une sœur et un frère, tous deux avec un enfant. Mais ils ne sont pas souvent là vu qu’ils vivent en Italie, ils ne viennent pas forcément ici pour leurs vacances.Donc nous avons clairement la maison pour quasiment nous seuls, ce qui n’est pas déplaisant.
 Je rentre dans cette chambre magnifique. La lumière de la lampe de chevet éclaire la pièce. Mon beau mari est nu, le sexe bandé et il le masturbe avec tendresse en me regardant de ses beaux yeux.Sans rien lui dire, je retire mon débardeur pour dévoiler mes seins, je retire mon short doucement, en ondulant mes fesses. Je fais glisser ma culotte le long de mes jambes bronzées et je la laisse tomber par terre en montant sur le lit.Je passe ma main dans mes cheveux pour défaire mon chignon et faire valser mes cheveux pour les recoiffer.J’embrasse mon chéri sur la bouche, sa poitrine, son ventre, avant de me mettre sur lui en position du soixante-neuf. Il commence par me bouffer la chatte pendant que je le suce en malaxant ses couilles d’une main. On gémit tous les deux en dégustant doucement le sexe de l’autre et c’est de très bons préliminaires.
À regret, je sort sa bite de ma bouche pour me retourner et m’empaler sur la queue bien raide de mon chéri. C’est la seconde cavalière de ce jour, mais bon, j’adore cette position. Je suis bien droite et je me déhanche sur son pieu, en passant mes mains sur mes petits seins pour pincer mes tétons. Lorenzo me regarde avec beaucoup d’excitation.
— T’es belle Claudia.— Hannn, hannn, je t’excite ?— Oh oui…— Hannn, hannn…— T’as aimé baiser dans la voiture de Clem ? Ça t’a bien fait jouir.— Hannn, j’aime faire l’amour avec toi mon bébé… Hannn, qu’importe l’endroit.— Je remarque quand même que tu étais plus mouillée tout à l’heure.— Ah, oui ?— Ouais… Tu penses souvent à ce plan à trois ?— Oui… C’était bon… Hann, et tellement flippant… J’ai eu peur que ça gâche tout, hannn.— Au final, tout va bien entre nous.— Au début, c’était étrange. J’ai eu du mal à être naturelle. Mais je suis vite redevenue à l’aise. Hann, ouhhh… Mais dès que je regardais sa bouche, je la voyais m’embrasser, te sucer, ou me lécher… Dès que je voyais ses gros seins, je les revoyais autour de ton sexe ou sur ma bouche…— Ça t’excitait ?— Oui, mais ça me faisait aussi peur…— Tu la vois toujours comme ça ?— Moins. Aaahhh, ouiii…mais je l’ai toujours sexualisé en fait. J’ai juste mis du temps à comprendre mon fantasme, hann, hann. Comme elle après tout, mais elle compris plus vite que moi, qu’elle voulait me sauter, aaahhh, quelle est bonne ta bite !— J’ai adoré te voir jouir comme ça.— Tu ne semblais pas prendre plus de plaisir que ça à la baiser. Mais ta bite palpitait tellement dans ma chatte… aaahh, comme maintenant !— Clem est vraiment bonne, je ne vais pas le nier. Et si je ne t’avais pas rencontrée ce jour-là, j’en aurais sûrement fait mon quatre heures. Mais toi, tu ne boxes pas dans la même catégorie mon amour…— Hann, AAAaahhhhh , tu m’excites ! Oohhh… ça me fait du bien de te voir comme ça. Mais toi, ça ne te dérange pas qu’elle m’excite… autant ?— Non… Au contraire, ça m’excite davantage. Ta sorte de bisexualité naissante est vraiment bandante. Tu as toujours aimé regarder les jolies femmes. Mais, j’ai toujours su que toi et Clémentine, vous aviez une relation particulière. Je sais qu’il n’y a qu’avec elle que tu peux faire des trucs sexuels.— Hannn, oui. Mais des trucs, avec toi… Seules, je ne sais pas…— On verra ça pour un autre anniversaire ma chérie. Pourquoi pas le mien, c’est bientôt. Un petit live lesbien, c’est toujours sympa. Sourit-il.— AAaahh, merci de prendre ça comme ça. Tu es l’homme parfait, ouhhh…
Je m’allonge complètement sur lui pour l’embrasser. Discuter de sexe pendant qu’on fait tendrement l’amour : j’adore ça. Je me suis amusé à lustrer son sexe pendant qu’on parlait de cul. Et ça n’a fait qu’aggraver mon niveau d’excitation.Je me redresse légèrement. Lorenzo en fait de même avec son bassin et passe ses mains sur mes fesses rebondies pour me les presser et les écarter un peu. Il adore jouer avec mon superbe fessier. Sa bouche vient à la rencontre de mes petits seins pour me les lécher tendrement.C’est alors qu’il se met à me pistonner avec sa longue queue. De gros coups de bites directement envoyés au fond de ma petite chatte. Ses couilles bien fermes viennent claquer et rebondir sur mes fesses. Un jolie ‘pock, pock’ se fait entendre.
— Ohh ! Ohh ! Ahhh ! Ohhhhh ! Ouiiiiiiiiii… 
Je finis par jouir sous cette rapide et forte pénétration et il continue de me baiser. Il n’a plus aucune technique ni précision. Maintenant qu’il m’a fait jouir, il baise férocement ma chatte pour gicler et la remplir de sperme.Il le fait une bonne minute plus tard, en grognant virilement. Ses couilles se vident dans mon utérus et je peux assurer qu’il en a à revendre malgré sa première vidange quelques heures plutôt…
 Ces vacances en Italie s’annoncent chaudes… très chaudes…
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