Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 138 J'aime
  • 4 Commentaires

Claudia et Lorenzo

Chapitre 13

Dernière nuit et retour à la maison

Hétéro
Les enfants profitent un maximum de la piscine, du jardin et de tout ce qu’on peut faire de bien dans cette superbe Villa.Demain, on ne sera plus là et il nous restera une semaine pour préparer la rentrée et partir dans une nouvelle année scolaire pour nos petits et une nouvelle année de boulot pour nous, les adultes.  
 On passe la matinée à faire les valises avec Lorenzo et Clémentine. Tout est minutieusement préparé. Le fait d’oublier quelque chose n’est pas si grave, car après tout, cette Villa nous appartient. Mais on n’y reviendra que dans un an. Ou peut-être à Noël, car on a déjà envisagé de le faire ici, mais l’occasion ne s’est jamais présentée. Bref, on ne va pas être bientôt de retour. Mais si on oublie un doudou des petits, je n’imagine même pas la catastrophe !
 Je laisse ensuite mon mari seul, pour aider Clémentine, et surtout parler cul avec elle et voir de plus près tous les sex-toys qu’elle a amenés pour ces longues vacances passées à nos côtés.   
— Pressé de rentrer ? Me demande-t-elle.— C’est toujours bien de rentrer chez soi. Mais les rentrées scolaires ça me stresse toujours. Mes enfants grandissent trop vite.— C’est drôle quand on y pense. La première fois que tu étais ici, tu étais une jeunette sexy pas marié et sans enfants.— Ouais. Le temps passe… Et toi, contente de rentrer ?— Oui et non. Je vais aller voir de la famille maternelle en Pologne. J’aurais bien aimé avoir une semaine à moi avant de reprendre le taf. Mais bon, on fait avec. Au moins, je vais trouver le moyen de me faire sauter par un local et de retour en France, je pourrais reprendre ma vie bien remplie de bonnes baises. Parce que je t’avoue que vers la fin, mes joujoux ne rendent triste…— J’imagine, ha, ha. C’est pour ça que tu devrais te mettre en couple. Tu viendrais ici avec ta vraie bite.— Le couple, ça ne m’intéresse pas. Ça m’excite que quand c’est les autres. Mais pas moi. Et puis je suis accro à la bite moi, comment je vais faire avec une seule ?— Je ne sais pas moi. Grâce à l’amour ? Ou alors, le libertinage.— L’amour, l’amour… C’est toi la fleur bleue, pas moi. Et puis le libertinage, c’est comme le couple. J’aime voir ça chez les autres. Être celle qui se fait sauter par le mari, sous les yeux excités de madame. Mais être la madame, non merci. Ou que ce soit mon gars qui me mate, non plus. Il faut que ça soit quelqu’un de l’extérieur qui se branle en me regardant. Sinon, ça ne me branche pas.— Qu’est-ce que t’es compliquée !— Toi aussi je te rappelle. T’as été une mal-baisée durant des années avant de trouver ta moitié.— Absolument. Mais au moins, je l’ai trouvé. 
****
Nous sommes dans un jacuzzi, à l’intérieur, tous nus, en train de nous embrasser. On apprécie le contact de l’eau et des bulles tout en sentant notre excitation grandir.Lorenzo capture mes lèvres avec les siennes. Son baiser est doux, sensuel et il utilise ses lèvres pour masser les miennes avant de sucer ma lèvre inférieure dans sa bouche. Puis, sa langue passe le long de mon cou et finit sa course sur mes jolis seins. 
Il les lèche délicatement, sa langue caresse mes aréoles qui frémissent et mon téton s’allonge et durcit et il rajoute du piment en les mordillant. Je gémis en tombant ma tête en arrière.Je finis par me dégager de lui et me plaquer contre un rebord, en remontant mon ventre et mes jambes à la surface. Une de ses mains glisse le long de ma cuisse et un doigt effleure les plis humides de ma chatte. Sous cette caresse mes cuisses s’écartent et son index fouille dans ma vulve ouverte et lisse. Il commence à faire des allers-retours avec son doigt dedans, et de l’autre main, il caresse habilement mon clitoris qui émerge de sous son capot. Sa tête trouve une place entre mes cuisses écartées et il colle sa bouche sur mon sexe chaud. Lorsque ses lèvres entrent en contact avec mon sexe ouvert et trempé, une secousse électrique traverse mes reins. Un cunnilingus à moitié aquatique. La sensation est superbe… Mon clitoris palpite pour attirer son attention et prie sa langue de le retrouver rapidement. Je halète et je gémis doucement en le regardant me dévorer avec passion.
Je ne le laisse pas seul à manger. On inverse nos positions et je saisis fermement son sexe pour branler sa bite chaude, dure et veloutée. La tenant d’une main, je lèche son beau gland et je commence à le sucer. Je passe un moment à lécher et à embrasser tranquillement le dessous de sa bite avant de prendre tout ce que je peux dans ma bouche pour le sucer goulument. 
Lorenzo est passif, profitant de mon habile fellation, car je prends soin de sonder la zone toujours aussi sensible située sous la tête de son gland. Ses couilles dans une main, je glisse le bout de ma langue dans son méat et je lèche le pré sperme qui s’écoule. Il me repousse et me plaque contre le rebord, dos à lui et son sexe glisse lentement dans ma chatte palpitante.
Ses coups de bites sont bien coordonnés, il m’excite aussi avec ses mains en me malaxant les fesses. Les mouvements de ses hanches rajoutent des vagues dans le jacuzzi. Mes muscles vaginaux se serrent sur sa queue comme pour l’attirer plus profondément et plus rapidement. Je gémis de plaisir , frissonnant sous les prémices d’un orgasme que je sens venir. 
— Han ! Aaahhh… ouii, ouiiiii ! OOoohhh !— Vas-y mon cœur, jouit pour moi !— OOhhh mon Dieu ! Hannn ! Oui, je vais, je vais, je vais… Oooooohhhhh ! Aaahhh, je jouiiiisssss !
Mon orgasme me fait glisser du bord et c’est Lorenzo qui doit me récupérer. Je finis de trembler entre ses bras. Je remarque alors qu’il ne m’a pas remplie. C’est rare quand il résiste aux contractions de jouissances de ma petite chatte.  
Il me retourne, pour que je sois face à lui et replonge sa bite dans ma chatte encore frémissante. Il s’assoit sur un siège du jacuzzi et me fait bouger sur sa queue. Je n’ai plus trop la force de suivre le mouvement alors je le laisse tout faire au niveau mouvements. Mais je joue avec mes muscles vaginaux pour faire cracher sa belle bite.Et au bout de quelques minutes, je sens des giclées de sperme chaud remplir ma chatte et je m’effondre dans un état d’inconscience alors qu’un autre et puissant orgasme me submerge complètement. Un moment plus tard, le membre de mon mari quitte à contrecœur ma fente béante avec un son obscène et humide. . . et nos jus mêlés suivent rapidement, s’écoulant de ma chatte ouverte sur ma cuisse droite puis dans l’eau du jacuzzi. 
 On repart se coucher pour avoir une bonne nuit de sommeil, car demain, on a une grosse route à faire.
****
 Enfin rentré à la maison ! Que le trajet fut long, une horreur. Mais bon, c’est un bien petit prix à payer pour passer des vacances de folie.On est rentré tard, mangé puis couché les enfants qui n’ont même pas râlé pour regarder la télé. Complètement crevé par la voiture. De mon côté, je suis bien fatigué et j’ai envie de dormir. Je me suis mise en nuisette, démaquillée. Je sors de notre salle de bain, dans notre chambre.Alors que je suis prête à aller dormir et pourquoi pas, faire un petit câlin, je me retrouve seule.Je quitte la chambre et descend les escaliers et je trouve Lorenzo en short de pyjama, sur le canapé, à regarder la télé.
— Tu ne veux pas aller te coucher ?— Non, je suis trop en forme là. Avec tout le café que j’ai bu pour rester réveillé, je sens que je ne vais pas dormir rapidement. T’y vas toi ?— Non, je veux être dans tes bras. 
Je viens me coller à côté de lui. Ma tête sur son épaule, mes bras autour de son corps. Il passe un de ses bras sur mon dos et me caresse. Sa main passant tendrement sur mes fesses. Je descends une de mes mains pour la balader sur ses cuisses. Je ne touche pas son entre-jambes, mais je fais en sorte qu’elle sente ma main, pas très loin d’elle.Mon mari approche son visage du mien. Je le relève et on s’embrasse avec beaucoup d’amour. Nos lèvres remuent l’une contre l’autre, nos langues se disent bonjour, dansent érotiquement ensemble.
— J’aime te voir au naturel, tu es si belle… 
Je lui souris tendrement. J’adore quand il me complimente. Il passe ses mains dans mes cheveux bruns et lisses. Plus long que d’habitude.
— C’est la première fois que je te vois avec les cheveux aussi longs.— C’est vrai. En presque huit ans de vie commune. Tu aimes ?— J’aime beaucoup ta coupe que tu as depuis que je te connais. Elle te rend très sexy. Je dirais que je la préfère, peut-être par habitude. Mais plus long, tu es très belle aussi.— Quand j’étais plus jeune, je les avais bien plus longs. T’as pu le voir sur les photos. J’avais vingt d’eux/vingt-trois ans quand je les ai coupés pour la première fois. Pas super longtemps avant de te rencontrer d’ailleurs. Enfin bref, Clem m’a toujours dit que ça me donnait plus de maturité et un côté plus coquin. Je trouvais aussi. Mais le changement, c’est bien aussi. Je vais les garder comme ça un peu, avant de recouper.— Tu as raison. Et puis, pour les levrettes, c’est encore mieux. Me dit-il sensuellement.— Je savais que tu comprendrais. Lui dis-je en riant.
Je l’embrasse en y mettant plus de passion que le premier baiser.
— Bon, assez parlez de mes cheveux…
Je remonte ma nuisette, et il baisse son short. Sa queue est déjà bien raide et ma chatte bien trempée. On passe les préliminaires pour directement aller à la pénétration. Je m’empale lentement sur sa belle bite bien droite, ses mains guidant mes hanches. Je commence par faire tourner ma chatte sur lui, d’une manière lente et langoureuse pour bien l’exciter. Je feule de plaisir lorsque sa queue s’enfonce entièrement dans mon vagin en le remplissant sublimement. Mes doigts passent dans les poils de sa poitrine et mes longs ongles peints ratissent ses mamelons. 
Lorenzo me copie et saisit mes seins sous ma nuisette pour pincer un téton puis l’autre, les tirant l’un après l’autre, pour que des sensations les plus agréables s’étendent de mes tétons gonflés à l’aine. Il cesse de taquiner mes tétons pour caresser mon clitoris, et bientôt je geins de plaisir en raison de la stimulation de mon clitoris gorgé de sang et du frottement torride de sa queue qui va et vient dans ma chatte. Mon bassin bouge, parfois d’avant en arrière, parfois de gauche à droite, parfois de manière circulaire. Je rebondis sur son érection et mes mouvements pelviens s’apaisent pour être remplacés par de profondes plongées pour des pénétrations le plus loin possibles.On halète, on gémit, et on grogne de plaisir tous les deux.   Je retire complètement ma nuisette, ressentant l’envie d’être complètement nue. Je prends mes cheveux dans mes mains et les remontes en l’air, de manière bien sexy, puis je les passe le long de mon coup, sur le côté droit. Cela les fait recouvrir un de mes seins. Une des choses que je ne peux pas faire d’habitude.On continue de bouger et on se dévore du regard.
Il passe ses mains sur mes fesses, pour les malaxer, les pétrir, les écarter puis les serre l’une contre l’autre. Cela m’excite davantage et j’accélère mes mouvements de hanches.Je m’écroule sur mon mari et bouge de plus en plus vite. Nos gémissements deviennent de plus en plus forts. Je l’entends grogner et son instinct animal prend le dessus.
D’un coup, il se lève. Étant sur lui, il me porte pour que je suive le mouvement. Je suis bien accrochée à son cou, ses mains posées sur mes fesses avec mes cuisses reposant sur ses avant-bras. Il commence à me faire venir sur sa bite, assez fort et avec un rythme très rapide. Bien évidemment, ce limage de chatte fait mouche.
— Ooohhh ! Ahhhhh ! Ohhhhh ! OOOhhhh, mon amour… je jouiiiiisss !
Je jouis, le visage collé au torse de Lorenzo. Il continue de me baiser pendant son orgasme. Lorenzo donne le meilleur de lui-même, une putain de baise dure et rapide jusqu’à ce qu’il ne puisse plus se contenir.Il se laisse retomber sur le canapé, et se vide les couilles en crachant son sperme au fond de mon utérus qui se sent trop vide. Mon vagin se crispe sur sa bite qui tressaute à chaque giclée de foutre et je m’effondre sur son torse haletant. 
 On reprend doucement nos esprits. Je lui fais de petits bisous un peu partout.
— Je ne vais pas réussir à dormir si t’es pas avec moi.— Alors, je vais me coucher. 
Il me reporte, et m’amène à notre chambre, comme si j’étais une princesse. Il me pose doucement sur le lit. Je sens alors un gland bien gonflé frôler ma vulve. Une longue tige bien dure pénètre à nouveau ma chatte, mais je lui l’arrête.
 - Chéri… je le veux dans mes fesses. Ne veux-tu pas mettre ta belle bite dans mon petit cul ?  Une offre qu’il ne peut refuser. Il saisit mes fesses, les presse deux fois et je l’entends gémir de joie. Ses doigts se déplacent à quelques millimètres de mon trou du cul et le pressent à un rythme rapide, enflammant les capteurs nerveux de mon anus. Ma main se dirige vers ma chatte et je frotte mon clito jusqu’à ce que je crie, trop enflammée pour supporter davantage de titillation. Du coup, complètement excitée, je me mets à genoux, j’enfonce deux doigts dans ma chatte et je me branle en présentant mon superbe fessier à mon mari pour qu’il m’encule. 
Lorenzo me connait assez bien pour éviter une pénétration rapide et il commence à me taquiner en frottant son gland sur mes lèvres gonflées et je crie :   - Non, chéri ! je veux ta bite dans mon cul !    Pour démontrer mon désir, j’utilise mes deux mains pour écarter mes fesses et ouvrir mon trou de cul avec mes pouces. Lorenzo lubrifie bien sa bite en utilisant le jus coulant de ma chatte et c’est seulement à ce moment-là qu’il positionne son gland sur ma rosace qui palpite.Je crie de plaisir lorsqu’il s’enfonce dans mon cul. 
Son gros gland est dans mon rectum et il attend que mon sphincter s’élargisse et l’accueille vraiment avant de bouger à nouveau. Il n’attend pas longtemps et pousse sa queue plus profondément avant de s’arrêter pour que je m’adapte à sa taille, car je n’ai plus le Plug de ‘Clem’ dans mon petit cul pour le préparer pour mon mari. Mais il a été bien rodé ses derniers jours et j’ai tellement envie de retrouver sa belle queue dans mon petit cul que je remue mon bassin jusqu’à ce que sa queue m’envahisse par mes seuls efforts. Cela lui suffit pour qu’il se recule un peu et que d’un seul coup, il enfonce son membre jusqu’à la garde en claquant ses couilles sur ma chatte. Je crie :  - OH MON DIEU ! - Est-ce que je t’ai fait mal ?   — Oui ... Non ... c’est ce que je veux. Maintenant, baise-moi. Baise-moi comme si j’étais une belle salope !
Un peu surpris par ce que je viens de crier, il s’arrête un instant avant de se mettre à m’enculer avec de bons coups de bite, longs et puissants. Je place mes deux mains sur ma chatte, écarte bien mes lèvres vaginales et je plonge mes doigts dans ma chatte inondée. Je n’aime pas la sodomie en temps normal, mais ça m’excite tellement de donner mon cul a mon mari qui est un vrai fada d’anal. J’en viens à me comporter comme jamais je ne l’ai fait avec mes anciens amants qui m’ont pris le cul.  
Superbement excité, mon mari attrape mes seins, saisit mes tétons pour les tirer très fort. Je sens qu’il ne va pas continuer de me labourer le cul plus longuement. Lâchant mes tétons, il attrape mes hanches et explose dans son cul tellement fort que je j’ai l’impression que pourrais recracher son foutre par ma bouche. 
Quand il finit de jouir, il s’effondra sur le côté, mais je reste collée contre lui en maintenant sa bite dans mon petit trou qui s’est resserré pour ne pas le perdre. Heureuse, comblée, je ferme les yeux en appréciant ce membre qui me donne tant de jouissance, qu’il soit dans ma chatte, mon cul ou ma bouche. Ses doigts d’une main s’enlacent dans les miens, les autres prennent ma chatte et on finit par s’endormir.
Diffuse en direct !
Regarder son live