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Claudia et Lorenzo

Chapitre 14

Ça bosse dur !

Hétéro
Les vacances sont finies. De très belles vacances avec beaucoup d’amour, de baises et de jouissances, comme d’habitude.On repart dans une nouvelle année. Scolaire pour mes enfants, qui sont repartis à l’école depuis deux semaines. Gabriella est en seconde section de maternel et Luciano est rentré au CP.Lorenzo est reparti dans son journaliste sportif, quant à moi, je suis de retour en tant que secrétaire/ bras droit de mon patron.
 Quelques changements à noter. Le fait que mon fils rentre en primaire va nous demander pas mal de concentration dans sa gestion, au niveau des devoirs. Les objectifs du patron sont aussi en hausse.Une grosse année pour nous tous.
 Nous sommes mardi. J’ai posé des heures et je suis partie plus tôt. Je suis sur ma terrasse et je bois un bon café. Il fait encore beau en septembre, mais on sent que l’été est bel et bien terminé. Je prends plaisir de cette petite solitude reposante, durant une bonne demi-heure. C’est bon aussi, de prendre du temps pour soi.J’attrape mon téléphone et je me prends en photo, pour l’envoyer à Clémentine qui est toujours au taff, pour la narguer. Elle me renvoie une photo de son écran d’ordinateur, où elle fait un doigt d’honneur en ma direction.Je me sens super bien aujourd’hui. Je ne me suis pas changée en rentrant et je suis toujours apprêtée comme pour le boulot ou la présentation est importante. Mon visage est bien maquillé, des petites lunettes sexy sur mon nez fin, mes cheveux bruns tombant à mi-dos sont attachés en huit autour d’une grosse pince. Je porte un short noir, avec un blazer de la même couleur. En dessous, un petit top blanc, moulant légèrement ma petite poitrine et laissant le bas de mon ventre tonique à nu. Mais en fermant le bouton du milieu, je peux le recouvrir facilement avec le blazer, ce que je fais au boulot. Mais depuis que je suis rentré, je l’ai défait, pour me rendre plus sexy.Une de mes mains se pose sur un de mes seins. Je n’ai pas de soutien-gorge donc il n’y a qu’une fine barrière contre ma peau et mon téton qui réagit doucement à la caresse. Mon autre main vient entre mes jambes, glisse dans mon entrecuisse, mais par-dessus mon short.
Je pense alors à mon mari. Il est dans son bureau et travaille sur son article. Il nous reste bien une heure trente avant de devoir aller chercher nos enfants et de ne pas avoir une minute pour nous jusqu’à leur coucher vers 20 heures. Même si je sais déjà qu’il y a de fortes chances qu’on nique devant la télé, ou dans le lit : ou les deux ? J’ai envie de lui plus que tout.
Je me lève de la chaise et quitte la terrasse pour rejoindre l’intérieur. Je pose ma tasse dans l’évier de la cuisine et me dirige à l’étage, là où le bureau de mon italien est situé.  
Je rentre discrètement dans la pièce et je m’avance prudemment en le regardant travailler. Il est dos à moi.J’arrive à son niveau, juste derrière lui et pose sensuellement mes mains sur son torse pour les descendre le long de son ventre.Il relève la tête et je vois un sourire se dessiner sur son beau visage. Je pose ma tête sur son épaule.
— Tu avances bien ?— J’ai presque fini. Il me manque plus que la touche finale.— Je peux t’aider si tu veux. Je suis très doué pour les touches finales.— Un peu d’aide ne me fera pas de mal…
Je le contourne en lui souriant. Je passe sous le bureau et me positionne à genoux entre ses jambes. Mes mains caressent ses cuisses.Les siennes reprennent son clavier et il continue d’écrire.
Je défais sa boucle de ceinture, déboutonne son jean et ouvre tout ça à son maximum. Je baisse son boxer noir, et dégage un sexe qui se réveille doucement.Une demie- molle de, je dirais, quatorze centimètres. La peau du gland n’est pas encore totalement descendue.Je cherche ses testicules et les extrais de son boxer.Je les caresse tendrement avant que ma main ne remonte sur le sexe qui durcit doucement sous le frôlement de mes doigts. Je l’empoigne au niveau du gland, et je serre un peu, puis ma main descend jusqu’aux couilles. Je commence à masturber sa queue en variant les pressions de ma main. Et je finis par avoir un beau dix-huit centimètres bien dur et optimal de mon Lorenzo chéri.Ma queue préférée, et de loin !
Ma langue sur ses boules. Ses si belles prunes arrondies porteuses de vies, je les enduis de salive puis les nettoies avec ma langue. Je les gobe et les suçote. Ma petite langue remonte et réalise de petites léchouilles sur tout son chibre érigé.Arrivé au frein, je le câline, le caresse et je lui fais un doux massage avec ma langue bien à plat. Cela le fait grogner.Je m’occupe ensuite du gland boursoufflé par le désir. Ma langue s’enroule autour, tourne et retourne, avant de l’aspirer entre mes lèvres.Méthodiquement, je profite de toutes les parties de sa bite qui glisse dans ma bouche.Je n’ai pas envie de le pomper, en prenant entièrement sa bite dans ma bouche. Je veux gouter chaque partie de son membre viril et jouer avec, titiller ses points sensibles.À ses nombreux mouvements de recul et ses grognements, je sais que je réalise cette pipe à merveille.
— Finis… dit-il d’une voix rauque.— C’était bon mon amour ?— Pour être bon, ça l’est. Je dirais même parfait.— Tu vois, je suis bonne pour les touches finales.— Extraordinaire… Ooooohhhhhh. 
Je viens de presser ses couilles de ma main et je suçote plus ardemment son gland.Je recrache son pieu et me redresse. Mon short est déboutonné et glissé le long de mes cuisses. Je relève mon top pour dévoiler mes petits seins et conserve mon blazer.Je l’enjambe, guide sa bite d’une main et m’empale sur son membre. Je profite un instant de sa queue qui remplit parfaitement ma chatte avant de me déhancher, mon front contre le sien. Je me colle ensuite à lui, ma tête dans le creux de son cou.Je commence à haleter, très excitée par cette pénétration.Je remonte ma bouche à son oreille.
— Hann… n’oublie pas la relecture, c’est très important. Et quand tu auras fini, tu pourras me défoncer la chatte, hann…
Je suis vraiment sadique. Sa petite salope comme il me dit parfois quand je l’excite à mort. Je le sens tout raide contre moi. Sa concentration est perturbée par mes mouvements de hanches ou encore, par les contractions des parois de ma chatte.Il met du temps à réussir sa relecture. Soit son article est très long, soit ma chatte est trop bonne.Je penche sur la seconde option…
— C’est bon. Prêt à être publié. Et toi, prête à te faire démonter !— C’est parti mon kiki, ou plutôt le tien.
Il me soulève et me pose sur le bureau, après avoir décalé son ordinateur portable.
Sa bite toute dure est toujours en moi. Il commence tout de suite ses coups de bite. Lorenzo est un très bon, je dirais même, un excellent limeur de chatte. Il sait y aller fort, vite et profond. Et surtout, attaquer les points sensibles de la chatte de sa petite femme.J’ai été sadique tout à l’heure, il l’est maintenant. Heureusement pour moi que je n’ai rien à faire.  Car je suis en trans. Ma respiration s’est accélérée, ma chatte envoie de trop nombreux signaux de plaisir à mon cerveau, difficile de tous les gérer.En plus de ça, un pouce torture mon clitoris et deux doigts font rouler un de mes tétons durcis entre eux.
Je finis par jouir, le teint rouge, les yeux fermés et en serrant les dents.
— Aaaaarrggh !
 Il me retourne et me laisse à peine le temps de reprendre mes esprits qu’il me baise en levrette. Ma petite chatte toujours limée et contractée par le plaisir qu’elle reçoit. Mon clitoris se prend de plein fouet des claques de couilles bien lourdes de jus. Une sensation dont je ne me lasserais jamais.Ses mains caressent et claquent mon cul.Je prends trop de plaisir et je dois me pencher de plus en plus sur le bureau, car je ne peux plus tenir la position debout.
Mon mari le comprend et saisit mes hanches pour bien me tenir et se remettre dans son siège. Sa main gauche relève mon blaser pour avoir une belle vue sur mes seins et sa main droite me donne une claque pour me dire de bouger mon cul.Je remue alors sur son sexe en contractant ma chatte du mieux que je le peux. Je le branle et je le suce avec mon vagin comme une bouche vorace aux lèvres gonflées et trempées de jus féminin.Il ne tient pas longtemps et sa longue bite me crache son jus au moment où je descends au maximum pour que mon col d’utérus rentre en contact avec son gland.
Une inondation digne d’un bon film porno met fin à cette baise d’après boulot.
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