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Claudia et moi

Chapitre 1

Divers
Je travaille avec Claudia depuis maintenant 2 ans, je l’ai employée pour remplacer ma secrétaire comptable partie en retraite. Ma jeune société se devait de se doter d’une jeune collaboratrice. J’avoue que la sélection des unes et des autres fut difficile et j’avais du mal à choisir ma future sans tenir compte de critère physique. Heureusement Claudia avait toutes les compétences et du haut de 35 ans, elle était mignonne. Très rapidement, elle acquiet les principes de base de son travail et logée dans le même bureau nous avons souvent eu des discussions amicales sur divers sujets. Nous avons toujours évité de parler de sexe entre nous échappant les questions de l’un ou évitant les remarques de l’autre. Claudia, au moment de son embauche était mariée, puis son jeune compagnon trouvant du travail loin de notre ville, Claudia se trouva seule la semaine et très prise le week-end. Je ne remarquai pas de changement immédiat de son comportement mais elle restait de plus en plus tard, libérée des contraintes du mariage et notre conversation devinrent très libres. Ces tenues journalières sont devenues beaucoup moins chastes, à la limite du sexy du raisonnable.
J’ai pris un peu de temps pour vous présenter notre relation et vous amener à hier, cette fameuse journée d’hier. Dans la matinée, nous nous sommes assis autour de la table de travail commune pour prendre notre café en échangeant les propos de travail concernant le journalier. De son air narquois, elle me demande subitement :
’ Bruno, nous allons jouer à un jeu aujourd’hui tout en travaillant qui va sûrement te plaire et qui à moi va me permettre de me libérer ! Ne dis rien pour le moment, ne poses pas de question et laisse moi t’en expliquer les principes. ’
Je la regarde certainement bizarrement compte tenu de ses réactions, mais pris par l’intérêt du jeu et des propos tenus je reste attentif à son explication, coincé dans le fond de mon fauteuil. ’ Voilà, le principe de base est ce lui du jeu de ne jamais dire Oui ou Non mais avec uniquement deux mots, les verbes aller et faire sous toutes leurs formes de conjugaison. C’est simple non ! Le premier qui dit : je vais ou bien vas me chercher, a perdu et a droit a un gage, tu vois que les règles sont simples et que nous pouvons bien prendre une journée pour jouer tous les deux. Surtout que nous ne recevons jamais personne ici sauf le facteur vers 10 heures pour amener le courrier et le coursier vers 16 heures pour reprendre le courrier ’.
J’avoue m’attendre à autre chose mais c’est vrai que la simplicité du jeu m ’étonne mais je lui fais remarquer que deux choses m’inquiètent :
’ Dis-moi Claudia, je suis d’accord sur le principe du jeu mais quels seront les gages et je ne voie pas ce que viennent faire au milieu les deux visites journalières du coursier et du facteur, à moins qu’il y ait une relation entre les deux. ’
’ Hum ! Je crois que tu commences à comprendre. Commençons par les gages ou plutôt par le but des gages : nous donner à tous les deux du plaisir de nos corps par la montée du désir, la prise de plaisir pour finir par la jouissance ! ’
’ Mais Claudia, tu te rends compte ce que tu me proposes, tu es mariée enfin, tu es magnifique c’est vrai, c’est également vrai que je te désire parce que depuis quelque temps tu attises mes envies mais tu sais que nous travaillons ensemble et que je n’apprécie pas ce genre de relation entre collègues et encore moins entre patron et employée parce que tu n’ignores pas que je suis ton patron tout de même. Et en plus tu es mariée, même si tu as tendance à l’oublier dans la semaine. ’
’ Chut, ne t ’énervent pas comme ça, tu vas casser l’ambiance, qui te parle de rapports entre nous et laisse moi finir mon explication et tu me diras ce que tu en penses ! ’
’ Bien je vous écoute mademoiselle ’ tout en prenant un ton distant.
’ A chaque fois que l’un de nous prononcera les verbes Aller ou Dire à quelques conjugaisons que se soient, et surtout à quelques occasions que se soit également, dialogue entre nous ou au téléphone, l’autre devra soulever la faute et faire exécuter un gage au fauteur. Le gage sera d’abord de retirer un vêtement puis quand nous n’aurons plus de vêtement il faudra exciter l’autre par des gestes ou des mots, je sais que tu as assez d’imaginations pour çà. Nous n’aurons aucun contact physique entre nous, par contre nous pourrons nous masturber autant que nous le voudrons ou.... Et puis tu verras bien ! ’
’ Je vois le problème des visites de 10h du facteur et du coursier de l’après-midi, je vais quand même pas fermer le bureau et compte tenu de ce que tu viens me dire le jeu n’en sera que plus pimenté ! ’
Claudia éclate d’un rire franc et contente que j’accepte le jeu sans aucune concession. Elle m ’explique que nous devons mettre une dernière chose au point pour équilibrer le jeu c’est l’égalité du nombre de vêtement que chacun doit porter. Les accessoires comme les chaussures, les chaussettes, les cravates et foulards sont exclus. Nous fixons le nombre à quatre. Nous devrons avant de commencer nous isoler pour préparer notre tenue et ne laisser que 4 vêtements sur notre corps. Le début du jeu commencera à 9h30 précise.

L’horloge du bureau affiche précisément 9h10. Nous retournons chacun à notre place pour commencer notre travail. Je passe quelques coups de téléphone à divers clients. Je regarde Claudia du coin de l’?il et je la vois partir au petit salon avec son sac à main et d’un autre sac le sourire coquin aux lèvres, passant devant moi tout en se déhanchant lascivement. Mon interlocuteur au téléphone me demande ce qu’il ce passe n’entendant plus rien ans le combiné. Je lui réponds que j’ai eu un problème de câble, tu parles j’étais en train de désirer Claudia comme jamais tout en me demandant comment j’allais faire pour ne pas lui sauter dessus quand elle n’aurait plus grand chose sur elle.
Claudia regagne place de 3/4 face à moi dans une jupe courte ample et d’un chemisier fin tellement fin que le soutien gorge est parfaitement visible. J’imagine déjà le premier gage que lui ferai faire. A voir son sourire complice je suis certain qu’elle porte des bas la coquine. De toute manière à ce moment de la journée je ne vois que ses mollets gainés de Nylon couleur chair. Je réfléchis sur ma tenue personnelle, pantalon, chemise, caleçon, et petit gilet par-dessus.
L’heure fatidique approche quand le téléphone sonne, il est exactement 9h27. Je décroche et reconnais mon principal client avec qui nous entretenons plus que des relations professionnelles. Les formules de politesse passées, nous échangeons quelques informations sur la profession. Comme les conservations sont loin d’être inintéressantes sur le plan professionnel, je branche très souvent l’écouteur pour que Claudia écoute et après nous effectuons une analyse commune de la discussion. Nous parlons ensuite de la dernière facture de pièces détachées vendues. Pour une meilleure compréhension, je dis à haute voix :
’ Claudia, tu peux aller me chercher la dernière facture de Mr.Gérard ’. Tout en disant cela, je lève très vite la tête vers la pendule affichant copieusement 9h38 en me rendant coupable de la première faute de la journée.
Claudia me tend la facture avec un petit mot écrit de sa main : je veux que tu retires ta chemise pour être torse nu sous ton gilet. Tu dois continuer la conversation avec Mr.Gérard et tu ne pourras raccrocher qu’après avoir fait le gage. Claudia retourne à sa place en marchant à reculons le visage enchanté comme jamais. Elle s’assoit sur le coin du bureau pour bien profiter du spectacle.
Tout en continuant à parler avec Mr.Gérard, je quitte mon gilet. Pour retirer ma chemise, je me lève du fauteuil. Je suis sur que Gérard va se douter de quelque chose. Le téléphone coincé dans mon cou je défais chacun des boutons pour quitter la chemise complètement puis, je la pose sur le bureau pour remettre mon gilet. Je continue à parler de chose et d’autres avec Mr.Gérard qui m’a demandé plusieurs fois ce que je pouvais bien faire en téléphonant car ma tonalité de voix changeait à chaque instant. Finissant la conversation Claudia est venue lascivement chercher la chemise pour la déposer sur la patère près de la porte d’entrée, bien en vue de tous visiteurs. Je raccroche étonné de me trouver torse nu sous mon, petit gilet. Je souris en voyant Claudia face à moi appuyée sur le coin de son bureau faisant mine de se caresser les seins :
’ Tu sais Bruno, j’aime les garçons avec un torse aussi poilu que le tien. Mon mari est complètement imberbe et toi si fourni. C’est mignon de te voir les cheveux châtains très clairs et des poils si noirs. Lèves toi pour vérifier si tu es poilu sur le ventre aussi. ’
’Non, Claudia, je vais fermer le gilet je ne vais pas rester comme ca, le facteur doit venir ! ’ ’ Je te rappelle que tu as perdu et que tu dois faire ce que je te dis un point c’est tout ’ C’est vrai ce qu’elle dit, ma fois ce n’est pas si terrible de rester torse nu sous ce gilet je pourrai prétexter divers problème de tache sur la chemiser partie au nettoyage en cas de visite impromptue.
Nous continuons notre activité en silence de peur de dire les mots interdits et de se retrouver dans une situation délicate. Je réfléchis à la manière de lui faire dire ces mots je fantasme sur le gage à lui donner que je sens mon sexe bouger dans mon caleçon. Elle prend le téléphone pour appeler je ne sais qui. Je prends sur mon bureau le dernier courrier qu’elle a tapé hier soir et je lui demande d’une voix assez forte qu’elle entende bien :
’ Claudia, as-tu vérifié les cours de change hier soir du Dollar ? ’. Je sais parfaitement qu’elle sera sa réponse.
Elle pose sa main sur le combiné et me dis en souriant d’une vois suave.
’ Oui bien sur que j’ai vérifié le taux de change du Dollar et tu le sais bien car tu étais à côté de moi ! ’ En voyant son sourire complice j’ai deviné qu’elle a évité le piège tendu. Très rapidement je lui pose une deuxième question
’ Et il faudra penser à envoyer un avoir à Mr.Gérard avant ce soir pour que sa comptable accélère le paiement ! ’ Je sais que je l’énerve quand elle est au téléphone et que je lui parle. Elle fait de grands gestes de la main pour me signifier qu’elle est au courant. Comme j’insiste sur la réponse, elle se tourne en me disant : ’ Oui, je vais le faire ’ et elle reprend sa conversation comme si de rien n’était. Je souris content et fier d’avoir obtenu cette réponse. Je suis excité comme un diable de savourer cette victoire. Je prends un papier blanc sur lequel je lui écris :
’ Claudia, ma chère Claudia, le facteur vient dans exactement 7 minutes. Pour le recevoir, je veux que sous ton chemisier tes seins soient libres et tendus. Avant qu’il ne vienne à ton bureau tu iras à sa rencontre pour lui prendre le courrier des mains. ’
Je m’approche de son bureau et pose le papier sous son nez. Toujours au téléphone je la voie rougir du rose au rouge écarlate. Compte tenu de l’heure, elle raccroche très vite prétextant une autre ligne en attente et se dirige vers le salon pour effectuer le gage.
’ Dis, donc Claudia je me suis déshabillé devant toi tout à l’heure, je ne vois pas pourquoi tu te changerais toi dans le salon ! ’. Elle sourit consciente du plaisir qu’elle va me donner et soucieuse de respecter le temps qui passe. Au milieu de la pièce elle entreprend un déshabillage rapide de son corsage qui atterrit sur le dossier du fauteuil. Elle retourne dégrafant son soutien-gorge qu’elle jette par-dessus ses épaules et qui atterrit sur le clavier de l’ordinateur. Malgré sa position je vois le coté de ses petits seins ronds. Elle rajuste son chemisier dans sa jupe et se tourne vers moi. Je ne peux rester que bouche bée devant Claudia. Le chemisier si fin ne cache absolument, rien de sa poitrine. Il est juste un voile atténuant la lumière mais toutes les formes, les courbes les mouvements de sa respiration sont visibles.
’ Voilà j’ai exécuté mon gage, j’ai une belle poitrine n’est ce pas ? ’ Tout en disant ces mots elle prend ses seins par-dessous comme pour les remonter. Je sens la fermeté de sa poitrine, comme j’aimerai être à la place de ses mains.
Au même moment le facteur entre comme à son habitude sans frapper dans le bureau. Claudia se retourne pour lui prendre le courrier des mains. Je vois la tête du préposé des postes changer, ses yeux s’ouvrirent encore plus sous les lunettes. Notre facteur est sous le charme qu’il lâche tout le paquet de lettres. Il ne sait plus quoi dire quoi faire. Claudia, consciente du trouble de l’homme se baisse accroupie à ses pieds pour ramasser le courrier. J’imagine la vision de cet homme plongeante dans son corsage ne cachant plus rien de la poitrine dénudée. Je pose ma main droite sur mon entre cuisse ou mon sexe bandé pousse mon caleçon. Par petite pression j’excite le bout du gland. Le facteur repart la tête pleine de question et surtout avec une vision extraordinaire de cette poitrine offerte.
Claudia retourne à son bureau le courrier dans ses mains. A chacun de ses pas je vois ses seins se soulever sous le corsage comme deux petites balles. Assise presque face à moi je vois que ses mamelons ont grossi et que ses tétons ne sont pas du tout insensibles à la situation. Je prends le dernier courrier m’approchant de son bureau. Je lui pose le papier devant elle et me place debout à ses côtés. Elle lit lentement le papier. Je profite de ma place pour diriger mon regard dans le corsage rempli et bien rempli. Je fantasme et m’imaginant mon sexe sorti a l’entrée de sa bouche arrondi qui s’apprête à le gober complètement et mes mains sur ses seins pour les masser. La lecture finie elle tourne la tête vers moi.
’ Et bien je ne savais pas que ma poitrine pouvait susciter autant de désir chez toi. Je vois bien que sous ton pantalon ton sexe pousse et ne demande qu’à sortir pour venir me forcer ma bouche. Mais tu ne le feras pas ’.
’ Tu as un deuxième gage à faire tu viens de dire un autre mot interdit ’. Je retourne vers le milieu de la pièce tenté de lui demander de retirer complètement son chemisier qu’elle soit seins nus comme ca jusqu’à ce soir. Mais soucieux de faire duré le plaisir plus longtemps je lui dit :
’ Claudia, tu vas retirer ta culotte devant moi, mais tu ne dois pas remonter ta jupe, juste passer tes mains dessous et l ’enlever ’
’ Oui, je veux bien mais si je porte des collants, je fais comment ! ’ J’avoue ne pas avoir pensé à cette éventualité. Le téléphone sonne. Mr.Djamel, notre correspond en Afrique du Nord me demande des précisions techniques sur des versions de machines. Claudia se place dans le centre de la pièce. Tout en participant à la discussion je pose une main sur mon sexe dur tout en regardant Claudia qui fait glisser une minuscule culotte sur le haut de ses cuisses, se penche en avant me montrant une nouvelle fois sa poitrine nue sous le chemisier. La culotte passe sous les mollets puis elle l’enjambe pour la prendre avec le pied et la jeter le plus loin possible dans ma direction. Son cou de pied m’a permis de découvrir que ce sont des bas du genre dim-up qu’elle porte. Je participe peu à la discussion technique ma main droite enfermant mon gland essayant de calmer mon désir et Claudia retournant s’asseoir certaine de son charme. Je raccroche avec Mr.Djamel, avant que je dise quoi que ce soit Claudia prends la parole :
’ Alors, tu bandes mon salaud. Je sais que tu bandes que ton sexe est dur comme une trique et que tu as envie de me prendre comme ca sur le bureau. Tu sais que mon minou se remplit de sa liqueur de savoir ça. ’ Ses paroles si crues dans cette si belle bouche décuple encore mon érection. Ne sachant que répondre, je me plonge dans un dossier compliqué en anglais. Quelques minutes se passent en silence. La sonnerie de la porte d’entrée retentit. Je me lève de ma chaise en disant, d’un ton très naturel :
’ Reste à ta place, je préfère y aller ! ’ J’ouvre la porte sur un coursier de DHL expliquant que j’ai taché ma chemise partie au dégraissage et que je l’attends d’une minute à l’autre. Je signe le récépissé de l’envoi, referme la porte pour porter les documents sur le bureau de Claudia. Je la voie assise sur la table commune de travail jambes pendantes. Elle me toise en me disant :
’ Qu’est-ce que tu as m’a dit avant d’ouvrir la porte ? ’
’ Que j’allais ouvrir par ce que j’ai eu peur que tu te montres comme ça à un inconnu ? Et oui j’allais, tout ça par gentillesse je viens de perdre une occasion de me taire ’
’ Non, c’était gentil de ta part, mais tu me dois un gage maintenant. ’ Elle retourne à sa place, assise dans son fauteuil. Après quelques instants de réflexion elle me propose :
’ Tu vas rester au milieu de la pièce tu vas me tourner le dos. Tu vas quitter ton pantalon puis ton slip ou ton caleçon, puis ains, nu, tu vas remettre ton pantalon toutefois en oubliant de reboutonner ta braguette. Allez tu peux y aller ! ’ Je me place au milieu de la pièce lui tournant le dos, défais la boucle de la ceinture puis déboutonne les 4 boutons de la braguette, le pantalon tombe par terre. J’enjambe le pantalon et entreprends de baisser mon caleçon. Dans cette position, j’ai mon sexe dardé bien droit devant moi, le gland gonflé presque découvert.
’ Je me caresse le clitoris en pensant à ta queue qui doit être bien droite en ce moment, surtout ne la touches pas. Si tu voyais ta petite Claudia jambes bien écartées sur le bord de la chaise. J’ai relevé ma jupe jusqu’à la taille pour bien dégagé mon minou. Je me branle en pensant à ton énorme dard plein d’envie. Si tu savais comme c’est bon de se caresser comme ça, j’en avais envie depuis si longtemps. ’ Je n’ose pas toucher mon sexe tellement je me sens prêt à exploser, à jouir.
Je tends le tissu de mon caleçon dégageant mon sexe tendu. Je me tourne de côté pour bien montré à Claudia mon dard, le gland déjà bien dégagé du prépuce. J’entends Claudia gémir derrière son bureau. Comme elle se caresse cette coquine, elle va se faire jouir c’est sur. Je l’a suspecte de se sucer les doigts comme si c’était mon dard. Je remets mon pantalon attachant la ceinture mais laissant la braguette ouverte. Ma queue longue et gonflée sort sans problème du pantalon. Je me dirige vers mon bureau ainsi habillé sans oser me retourner. Je m’assois sur mon fauteuil. Claudia, de son côté, très excitée à du poser une jambe sur un des tiroirs ouverts et l’autre passée par-dessus l’accoudoir du fauteuil. De ma place je ne vois que le haut de genoux et le haut de son corps. Je vois sa main s’activer entre ses cuisses. J’imagine ses doigts emprisonnant son clitoris, écartant ses grandes lèvres puis venir pénétrer son intimité. Ses seins gonflés se soulèvent à chaque spasme de plaisir. J’entends ses gémissements, ses petits cris de plaisir. Petit à petit elle revient à une pose normale de travail rassemblant ses jambes sous elle, et se plaçant normalement dans son fauteuil. Elle replace son chemisier n’oubliant pas de flatter chacun de ses seins. Elle me montre sa main droite.
’ Tu vois, sans avoir eu de rapports avec toi j’ai joui. Ces doigts tu vois comme ils brillent et bien ils m’ont pénétré comme aurait fait ta queue. Regarde comme je ferai après ta jouissance ’. Elle glisse ces deux doigts sur ses lèvres pour que sa langue vienne les lécher jusqu’à leur base. Je ne peux retenir de me caresser le sexe de venir faire remonter mes peaux le long de ma hampe. Elle a complètement nettoyé ses doigts avec sa bouche imitant une fellation torride. Pour essuyer chacun d’eux sa main s’est glissée dans son corsage pour venir caresser chacun des seins. Le mouvement de ma main s’est accéléré sur mon sexe je sens le plaisir monté doucement le long de mon sexe. Je ne voudrais pas jouir mais de la voir comme ca si osée, si cochonne que les fantasmes les plus fous m’excitent au plus haut point. La sonnerie de la porte d’entrée résonne supprimant toutes mes ardeurs, je me lève pour ouvrir mais réalisant ma tenue, je me tourne vivement vers l’armoire coinçant mon sexe tendu entre deux dossiers de clients.
’ Claudia, peux-tu aller ouvrir ? Et zut ! je viens de dire le mot interdit. OK va ouvrir et tu me diras le gage après, ça te va comme çà ! ’
’ Oui et non, le gage de cette faute sera de rester comme tu es sans te retourner tout en faisant mine de consulter des dossiers. J’espère que tu bandes bien et je te parie que vas jouir sans avoir à toucher ta queue ’. Inquiet de ces propos je tends l’oreille. La porte s’ouvre.
’ Bonjour monsieur, je vous en prie entrer dans le bureau. Mr.Charles est occupé pour le moment mais je peux sans aucun problème voir avec vous le problème ’. Je me demande qui peut bien être cette visite incongrue de fin de matinée.
’ Bonjour Claudia, Bonjour Bruno, ne t’inquiètes pas je vois mon problème avec Claudia aujourd’hui. Je ne perds pas au change elle est très en beauté notre chère petite Claudia ce matin ’. Je reconnais la voie de Mr.Gérard.
’ Bonjour Patrick, je suis sur que je te laisse en de bonnes mains avec Claudia, elle est parfaitement au courant de ton problème ’. Tout en disant ce la je sors un dossier faisant mine de le consulter. Je tourne légèrement la porte de l’armoire pour qu’elle me serve de miroir.
Claudia fait asseoir Mr.Gérard sur une chaise de la table de travail commune. Elle s’est assise elle-même sur un coin de son bureau jambe pendante mais jupe très relevée sur le haut des cuisses laissant apparaître la naissance des bas. Mr.Gérard de sa place ne doit rien manquer et compte tenue de sa position il doit mater son minou. Je connais mon client comme un chaud lapin et je ne sais pas qu’elle saura sa réaction face à cette situation d’attaque. Tout en discutant avec lui de choses et d’autres Claudia s’est plusieurs fois penchée en avant pour lui montrer sa poitrine nue sous son chemisier. De ma place je ne vois que ces gestes à elle sans deviner le moindre de ses mouvements à lui.
’ Mr.Gérard vous devriez sortir votre sexe, car je pense que vous avez assez vu le mien depuis quelques minutes alors donnant donnant montrer moi votre outil. ’ . Le ton de sa voie est faible mais suffisant pour que je l’entende et pour Mr.Gérard croie qu’il n’y a que lui pour entendre.
’ Regarde Claudia, tu vas voir une chose extraordinaire ’. J’entends des bruits de braguette, de frôlement de tissu
’ Voilà, regarde la comme elle est grosse pour toi ’
Dans le reflet de l’armoire je vois Claudia s’accroupir dos à la paroi du bureau et faisant signe du doigt à Mr.Gérard de venir la langue sortie léchant un glaçon imaginaire. De ma place le sexe coincé dans le dossier de je ne sais quel client mon sexe tremble. En bougeant légèrement, le carton des dossiers frottent contre le gland me donnant des sensations de masturbation extraordinaire. Pas comparable à autre chose, mais si bon dans ces moments là. Mr.Gérard arrive à sa hauteur et Claudia ouvre sa bouche en forme de rond pour venir avec ses dents complètement décalotter le sexe de mon client. Sa queue vibre de désir. De ses deux mains appuyées contre ses hanches elle pousse légèrement en arrière pour dégager sa queue. Dans sa poche elle sort un préservatif qu’elle enfile sur la queue de Mr.Gérard tout en lui massant les bourses. Il n’arrive pas à chuchoter tellement son désir est fort. Il supplie Claudia de le sucer le gland, de gober entièrement son sexe et de lui masser le couilles et qu’il s’en fout que je sois la. Claudia a glissé une de ses mains entre ses cuisses pour se masturber en même temps que sa langue s’enroule autour du sexe tendu face à son visage. Son autre main masse chacun des testicules au rythme de sa fellation. Elle enfonce un peu plus le gland dans sa bouche pour venir le frotter contre l’intérieur de ses joues. Ce spectacle est insoutenable pour moi qui ne peut bouger et encore moins participer à ce jeu. En faisant bouger ma propre queue dans les dossiers, j’arrive à exciter mon gland. La scène visible au travers de l’armoire faisant le reste de mes fantasmes. La main de Claudia toujours active entre ses cuisses s’est transformée en, pénis artificiel imitant une pénétration sauvage. Son bassin montant et descendant au même rythme que la queue de Mr.Gérard entrant jusqu’à la garde dans sa bouche déformée par la grosseur du sexe. De mon côté le mouvement s’accélère pour faire venir la jouissance, je sacrifierai ce dossier qui va être taché dans quelques instants de mon jus. Les gémissements de Mr.Gérard se sont transformés en petits cris annonçant la décharge prochaine. Claudia qui a du obtenir son plaisir a sorti la queue de Mr.Gérard de sa bouche et le masturbe des deux mains, l’une sur la hampe avec un mouvement accéléré et l’autre sur les bourses. Claudia se relève légèrement sur les pieds enlève la capote du sexe et dirige la queue entre ses seins tout en le masturbant violemment. C’est à ce moment que ma jouissance sort de mon sexe tendu pour venir gicler dans le fond de l’armoire et sur les documents du dossier. Je ferme les yeux pour savourer ce plaisir jusque là inconnu. Quand j’ai fini de jouir, Je vois les mains de Claudia dirigée la queue de Mr.Gérard entre ses seins pour voir celui ci dégorger à gros jets laiteux. Notre client repus recule sort quelques propos à haute voix remerciant la gentillesse de Claudia ma secrétaire d’avoir su si bien traiter ce problème et qu’il n’hésiterai pas de faire appel à elle pour d’autres circonstances. J’entends qu’il se rajuste et la porte se referme sur lui. Toujours le ses coincé dans les dossiers et complètement pendant entre mes jambes. Je sens Claudia derrière moi m’invitant à me retourner. Elle constate que j’ai moi aussi de mon côté eu du plaisir.
’ Dis donc toi aussi t’as profité de la séance particulière avec notre meilleur client, mais comment tu as fait tu as juste fantasmé sur les bruits parce que nous tournant le dos tu ne pouvais rien voir ? ’
’ Non ce n’est pas vrai, regarde le dos de la porte de l’armoire, elle fait office de miroir et de ma place j’ai tout vu et ça fut un plaisir presque parfait de voir ta petite bouche grossi par le sexe de notre ami, crois moi que j’ai apprécié ce moment là. Je commence à comprendre l’importance de notre relation, et sa teneur. Je ne souhaite pas obtenir de toi plus que la vision de tes actions amoureuses ’
’ C’est parfait, Bruno et exactement le but de notre jeu d’aujourd’hui. Tu viens de te rendre compte que tu vas préférer cent fois mieux ce type de rapport avec moi qui nous engage à rien et qui sera toujours renouvelé par la qualité des intervenants. ’
’Je suis d’accord avec toi, mais je ne souhaite pas toujours prendre du plaisir dans les placards des dossiers clients, tu ne crois pas ’
’ C’est vrai, suspendons le jeu pendant le repas, enfin jusqu’à 14 heures, pour nous permettre de reprendre quelques forces et de réfléchir à étendre le champs d’action, invite moi au restaurant ce midi ’. Tout en dialoguant, elle soulève sa jupe bien haut découvrant ses fesses rondes pour remettre sa petite culotte, puis se dirige vers les toilettes pour se laver et enlever les traces de sperme de notre ami Mr.Gérard. De mon, côté, j’enfile ma chemise, rajuste ma braguette toujours nu sous mon pantalon.
Bruno
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