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Claudine

Chapitre 1

Hétéro
Cet été-là, j’avais décroché un job étudiant dans un hypermarché de l’agglomération bordelaise et, 5 jours par semaine, de 5h à 13h, je m’attelais à entretenir les locaux, à réapprovisionner les rayons et, accessoirement, à draguer quelques caissières un brin girondes.N’eut été une chef de rayon hautaine et méprisante sur laquelle je reviendrai dans quelques instants, je ne me plaignais pas de mon sort. Je conservais l’entière liberté de mes après-midi et dès 13h, je filai en voiture vers les plages du Médoc, les rouleaux de l’Atlantique et ses spots de surf.Claudine, la chef de rayon en question, avait un prénom qui collait bien à sa personnalité, tant elle semblait droit sortie d’un magazine féminin des années 60. Assez mince, brune, les yeux marrons et le teint pâle, elle avait la mise austère avec sa jupe tailleur et ses chemisiers boutonnés jusqu’au col. En plein mois de juillet, je me demandais comment elle pouvait résister aux fortes chaleurs qui nous accablaient…Claudine avait toujours un reproche aux lèvres et en tant que nouveau, j’étais plus particulièrement la cible de ses admonestations. « Trop lent », « trop indolent », « n’anticipe pas les besoins », étaient ses observations les plus fréquentes. Le jour-même de mon arrivée, elle avait proprement fait renvoyer une employée qu’elle avait surprise à fumer une cigarette à l’arrière de l’entrepôt, alors que le règlement l’interdisait formellement.Etrangement, au bout de quelques semaines, son caractère à mon encontre s’était adouci et chose que je ne m’explique toujours pas aujourd’hui, elle avait même fini par m’accorder quelques sourires, alors qu’elle ne réservait même pas cette marque de sympathie au directeur de l’hypermarché. Un matin où je m’étais montré particulièrement motivé pour l’aider à réaménager son rayon (puériculture), charriant des tonnes de couches, layettes, biberons et autres porte-bébé, nous avions fait une pause et elle m’avait demandé à quoi je consacrais mes après-midis. Elle sembla poser sur moi un regard plein d’ironie à ma réponse et m’avoua que sa passion à elle, c’était le jeu. Elle jouait partout et à tout : courses hippiques, loteries, jeux à gratter, casinos, etc. Les paris en ligne n’existaient pas encore mais, plus anglaise qu’un sujet de sa gracieuse majesté, elle pariait sur tout : du temps qu’il ferait le même jour du mois prochain aux résultats sportifs, en passant par le sexe du futur enfant de la comptable qui venait tout juste d’apprendre qu’elle était enceinte.Claudine me demanda si j’étais parieur. N’ayant pas grand-chose à perdre et souhaitant m’attirer une bonne fois pour toute son estime, je lui répondis par l’affirmative.Ce jour-là, nous pariâmes sur la victoire d’étape du Tour de France qui se déroulait l’après-midi même à l’Alpe d’Huez. Je ne connaissais strictement rien au cyclisme et Claudine me déclara qu’un certain Richard Virenque serait premier à l’arrivée. Ma petite amie de l’époque étant italienne et pris d’une inspiration aussi subite que saugrenue, je lui répondis que ce serait un Italien qui serait vainqueur d’étape ce jour-là.Un peu interloquée, Claudine me demanda puisque je semblais si sûr de moi, quel serait l’enjeu du pari. « Votre petite culotte », lui répondis-je sans même m’apercevoir de l’énormité de mon propos. Elle resta quelques secondes bouche bée et je crus un instant qu’elle en profitait pour mieux armer la magistrale gifle à laquelle je m’attendais. Mais contre toute attente, elle déclara « pari tenu » et sans un mot, sans un regard, tourna les talons et me planta au beau milieu du rayon, comme si notre conversation n’avait jamais eu lieu.L’après-midi, je filais à Lacanau où m’attendaient mes amis. Le soir, en rentrant sur Bordeaux, je branchais l’autoradio et je faillis faire une embardée lorsque j’entendis qu’un certain Giuseppe Guerini avait remporté l’Alpe d’Huez.Le lendemain, le cœur battant et d’une ponctualité plutôt inhabituelle, je me présentai à mon travail dès 4h45. Claudine était déjà là et, lorsqu’elle m’aperçut, je remarquais une étrange rougeur qui lui teintait les joues. La matinée se passa sans que j’aperçoive ma perdante qui devait se terrer dans quelque recoin. La chaleur était déjà écrasante et rendait plus pénible le travail en réserve.A 13h, alors que je rangeais mes affaires, je la vis s’approcher de moi et me faire signe de la suivre. Nous gagnâmes le recoin de la réserve où elle entreposait les produits dont elle avait la responsabilité. Claudine se retourna et se pencha au-dessus d’une palette de couches culottes. Effaré, je la vis remonter les pans de sa jupe et dévoiler des cuisses assez fines mais d’une blancheur laiteuse et enfin, les reflets bleu nuit d’une culotte de soie.Je m’agenouillais derrière cette croupe légèrement tendue et des mains, j’effleurais le galbe des mollets, remontant doucement vers le haut des jambes. Claudine eut un hoquet et je vis du coin de l’œil, qu’elle s’avachissait un peu plus sur le matelas improvisé. Mes mains avaient maintenant gagné le haut des cuisses, mes doigts s’étaient insinués sous l’élastique de la culotte et tâtaient le gras de ses fesses qui s’étaient tapissées de chair de poule.Le nez à quelques centimètres du cul de Claudine, je perçus des effluves qui affolèrent mes sens, mélange de sueur, d’iode et parfum musqué dont je devinais l’origine sans peine. Tout doucement, j’accrochais mes doigts aux bords de la culotte et je tirais vers le bas, découvrant centimètre par centimètre, une raie culière tapissée d’un fin duvet brun. Claudine écarta légèrement les cuisses pour faciliter la manœuvre et je découvris stupéfait, que le fond de sa culotte était déjà tapissé d’un liquide clair et visqueux. Elle mouillait et pas qu’un peu ! J’en prélevai des traces du bout de l’index, que je portai à ma bouche. Le gout était plaisant, plus marqué que celui de mon amie…Je fis glisser la culotte jusqu’aux chevilles et j’invitai Claudine à l’enjamber pour qu’elle se débarrasse de mon gain. Ce faisant, elle écarta encore plus les cuisses et je pus admirer son sexe luisant. Les grandes lèvres brunes, presque violacées s’ouvraient déjà, dévoilant des nymphes d’un rose profond, au sommet desquelles jaillissait un clitoris particulièrement volumineux.Penchée sur ses couches culottes, Claudine avait le souffle court et un peu rauque. Elle savait ce que je contemplais et elle m’exhibait sans vergogne, ses secrets les plus moites, les plus intimes. Mes mains s’étaient d’ailleurs à nouveau posées sur ses fesses et les écartaient, dévoilant l’étoile bistre de l’anus, autour duquel poussaient quelques poils folâtres.Mes lèvres se posèrent sur ce cul désormais à ma portée. Je l’embrassai, le mordillai, le léchai tandis que Claudine creusait les reins et se cambrait outrageusement. Ma bouche descendit encore un peu et atteignit les lèvres grasses de son con. Le nez posé sur son trou de balle, je m’appliquais à recueillir à la source, le précieux jus de cette femme qui s’offrait sans retenue. Lorsque ma langue se posa sur son clitoris, Claudine eut un sursaut et un gémissement sourd jaillit de sa gorge. Elle tendit encore plus le cul vers moi dans un encouragement muet à poursuivre mon exploration. Mieux, elle empauma elle-même ses fesses qu’elle écarta à l’extrême.Ma langue virevoltait dans le con de Claudine, lapant la mouille qui semblait ne jamais vouloir se tarir et dont quelques filets coulaient le long de ses cuisses. Elle eut un premier orgasme qu’elle libéra dans un feulement, tout le corps agité de tremblements nerveux. Je décidai qu’il était temps de lui porter l’estocade et je baissai rapidement mon pantalon.Bite en mains, je l’approchai du con béant mais à l’instant où mon gland se posa à l’entrée du vagin, Claudine se tendit, m’interdisant l’accès à cet orifice si convoité. Un peu dépité, je m’agenouillais à nouveau derrière elle et cette fois-ci, mon attention se porta sur la raie culière qu’elle écartait toujours des deux mains. Son anus palpitait doucement, sous l’effet du récent orgasme qu’elle venait d’avoir et sans autre forme de procès, j’y appliquai ma langue, désireux d’une caresse de laquelle mon amie m’interdisait la pratique. « Oh Nooooooon, pas là ! » murmura Claudine. Mais je n’eus cure de ses jérémiades et je me régalai du goût âcre et poivré de ce trou du cul qui palpitait sous l’effet d’un début de panique. Lorsque ma langue perça le sphincter, Claudine lança un « Seigneur Marie Joseph ! » et tenta en invoquant la Sainte-Trinité, de se soustraire à cette invasion qu’elle jugeait trop contre nature. Mais la langue fichée dans son cul, mes deux mains agrippées à ses hanches, je l’attirais encore plus vers moi pour fouiller ce rectum qui commençait déjà à s’assouplir.Vaincue, honteuse et coupable du plaisir sale qu’elle ressentait, Claudine me laissa investir son fondement, tandis que mes doigts avaient repris leur course folle sur le clitoris qui semblait encore vouloir grossir. Lorsque je la sentis au bord d’un 2e orgasme, je m’arrêtai et me mettant à nouveau debout derrière elle, je posai ma bite généreusement enduite de salive sur la couronne anale. Claudine ne sembla pas s’apercevoir de la manœuvre mais lorsque mon gland disparut dans son fondement, elle poussa un cri strident. Elle se déhancha sauvagement pour tenter de se soustraire au boudin de chair qui s’enfonçait inexorablement dans son cul. Lorsque je fus empalé jusqu’à la garde, je m’immobilisai pour la laisser s’habituer à cette première sodomie.Ma bite était engloutie jusqu’à la garde et autour d’elle, l’anus distendu formait une bague diaphane et incroyablement serrée. Couchée sur la palette de couches culottes qu’elle griffait des ongles au risque de déchirer les emballages, Claudine roulait follement des yeux. Des gouttes de sueur perlaient à ses tempes et elle me traitait de salaud entre deux cris.Au bout de quelques instants, elle sembla se calmer et je me retirai doucement avant de m’enfoncer de nouveau dans le puits sombre de son cul. J’entamais ainsi un ballet allant crescendo, me contentant de légers mouvements de bassin au début mais qui prirent de plus en plus d’amplitude au fur et à mesure que je coulissai plus aisément dans le fion de ma chef de rayon.Bien qu’elle ne criât plus, Claudine continuait de serrer les dents et je passais une main sous son ventre pour y pincer le clitoris entre le pouce et l’index. Je la branlai en même temps que je l’enculai et j’eus la joie de l’entendre respirer de plus en plus fort. Elle ne mit que quelques minutes avant de se redresser brusquement et ma bite bien plantée dans son rectum, elle s’exclama : « Je jouis du cul ! » avant de venir à la rencontre de ma queue avec une violence inouïe, la vrillant littéralement au plus profond d’elle.Il n’en fallut pas plus pour que je jouisse à mon tour et que je tapisse son rectum d’un foutre que je libérai dans un cri rauque…La fièvre de cet instant passée et ayant fini par déculer non sans regarder mon sperme qui sourdait par l’anus entrouvert, Claudine fit retomber sa jupe et s’éloigna de moi, d’une démarche mal assurée et un peu claudicante.Je ne la revis que le lendemain et voulant m’excuser, elle me coupa la parole. Elle m’indiqua que ce qui s’était passé la veille dans la réserve ne se reproduirait plus jamais mais que grâce à moi, elle avait gagné son pari. Comme je la regardais éberlué, elle m’avoua qu’elle avait parié avec sa petite amie, également employée de l’hypermarché, qu’elle coucherait avec moi avant la fin de mon job d’été, l’enjeu étant un voyage à Bali. Les traces de sperme qui maculaient son trou de balle et l’intérieur de ses cuisses avaient constitué une preuve irréfutable…J’ai toujours la petite culotte de cette bisexuelle doublée d’une parieuse hors norme. Longtemps, j’ai humé les doux effluves que Claudine y avait laissés et aujourd’hui encore, même au terme d’une longue et difficile journée, il suffit que je plonge le nez dans une culotte odorante pour bander immédiatement…
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