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Claudine soumise

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Claudine, j’ai 49 ans, les yeux verts, je suis blonde et, parait il, je suis encore bien conservée pour mon âge. Je suis marié avec Paul, qui est ingénieur dans une grande firme pharmaceutique. Il a toujours été très gentil avec moi et je l’aime mais il a un défaut que je ne supporte plus : il joue au poker assez régulièrement et il perd de plus en plus d’argent. Cette manie est souvent le point de départ pour nos disputes qui se répètent de plus en plus souvent. Je suis professeur de français dans un lycée professionnel de la région qui accueil notamment des jeunes en difficultés issues des citées voisines. Nous étions dimanche soir et je revenais d’une visite chez ma fille, Anne-Sophie, qui habitait dans une ville de la région parisienne que je ne nommerais pas par souci de discrétion. Depuis mon départ de chez elle, ma voiture faisait un drôle de bruit et je commençais à m’en inquiéter. Il me restait encore quelques kilomètres à faire pour arriver dans notre pavillon qui se situe dans une ville huppée, également dans la région parisienne. Je priai en silence pour qu’elle ne me lâche pas avant que je sois arrivée chez moi ne m’imaginant pas en panne dans cette banlieue que j’avais décidé de traverser pour gagner du temps. Soudain, ce fut la catastrophe ! Ma voiture cala et impossible de la redémarrer. Je sors de la voiture et soulève le capot tout en sachant par avance que de toutes façons je n’y connais rien. Je prends mon portable pour appeler mon mari et lui demander de venir me chercher...Le téléphone sonne dans le vide et je tombe sur sa messagerie. Furieuse, je lui laisse un message de détresse lui expliquant où je suis. Je suis sur qu’il est encore partie jouer au poker avec ses copains ! Je jette un oeil à ma montre : 21 h. La nuit commence à tomber...et je ne suis pas rassurer, je dois bien le reconnaître. Pas très loin, j’aperçois un bistrot ouvert. Peut être pourrons t’il m’aider ? Je laisse ma voiture et m’avance vers le bistrot. Je dois traverser un espace assez boueux et je lève les pieds faisant attention pour ne pas salir mes escarpins...Mes talons aiguilles s’enfoncent dans la boue. Je rentre dans le bar en murmurant un ? Bonsoir ? pas très rassuré...Un silence de plomb accueil mon arrivée. Il faut dire que je détonne dans cette endroit, glauque à souhait, avec mon chignon et mon tailleur noir très BCBG. Le patron, un homme gros avec une barbe de 3 jours, fait le tour de son comptoir et se dirige vers moi.— Qu’est ce que je peux faire pour vous ma p’tite dame ? Je lui explique que je suis en panne et je demande si un de ses clients par hasard ne pourrait me dépanner. — Alors la ! On peut dire que vous avez de la chance. S’exclame le Patron en se tournant vers une des 5 personnes, tous des hommes, qui se trouvent dans le bar. — Roger ! Tu ne veux pas rendre service à la jolie madame qui est en panne ? Je me sens rougir sous le compliment et le fameux Roger se lève en marmonnant quand même qu’il n’a pas fini sa bière. Je lui indique ou est ma voiture et il sort.Immédiatement, le Patron me propose une bière ou autre chose...J’hésite ne voulant vraiment pas m’éternisée mais ils on été si gentil et après tout la réparation va peut être prendre du temps. Finalement, j’accepte une bière. Je m’assoie et le Patron m’apporte ma bière tout en m’expliquant que Roger est garagiste et que ma voiture sera vite réparée. Il me fait les présentations rapidement. — Je m’appelle Francis, je suis le Patron et voici Thierry, mon fils. Il travaille à la Mairie, aux services balayages. Le dénommé Thierry me fait un signe de la main avec un drôle de sourire béat aux lèvres. Je remarque qu’il n’arrête pas de mater mes jambes gainées de nylon noir que j’ai croisé machinalement en m’asseyant. Je suis soudain étonnée de reconnaître deux de mes élèves dans le fond de la salle qui ne disaient rien mais qui eux aussi n’arrête pas de me mater. Ils sont assis devant une bière et discutent à voix basse tout en me regardant. Je suis soudain mal à l’aise. Ce n’est vraiment pas de chance de tomber sur deux de mes élèves parmi les plus mal noté en plus parmi ses clients. Je commence à siroter ma bière et a discuter un peu avec tout le monde y compris mes élèves qui très vite s’assoie à ma table. Les autres se rapprochent également. La tête me tourne un peu...Je n’ai pas l’habitude de l’alcool. Mes élèves, Rachid, un français d’origine maghrébine ayant déjà eu des démêlées avec la justice et Bruce, un grand black, guadeloupéen je crois, commencent à me questionner sur les dernières notes que je leur ai donné lors d’un contrôle et qui étaient largement en dessous de la moyenne. — C’est pas juste, Madame, nous, on avait vachement bossé pour avoir une bonne note. — C’est que tu n’avais pas assez travaillé Bruce...Roger revient en me signalant que ma voiture est réparée et que je peux partir...Il est aussitôt emmené à l’écart par le Patron qui lui murmure quelque chose à l’oreille. Je paie ma bière et me lève rapidement pour pouvoir partir. Bruce me saisie le poignet.— Allez, Mme, restez encore un peu. Tous les hommes dans le bar me cri en coeur de rester mais je refuse gentiment. Thierry c’est levé et c’est mis derrière moi sans que je ne m’en aperçoive. Soudain ses mains se faufilent dans l’échancrure de mon tailleur et me saisissent un sein ! Je pousse un cri et Bruce se lève aussi se mettant devant moi l’air soudain menaçant. — Ta gueule salope ! Tu n’attends Que ça depuis tout à l’heure. Tu crois vraiment u’on a cru a ton histoire de panne. Ce que tu cherches c’est de faire troncher. Toutes les mêmes les bourgeoises dans ton genre ! Je veux protester que c’est faux mais Bruce me collent ses lèvres sur les miennes ce qui étouffent mes protestations. Je sens sa langue tenter de forcer le barrage des mes lèvres serrées. Pendant ce temps la, Thierry, toujours derrières moi, a déboutonnées ma veste de tailleur dévoilant mon soutien gorges pigeonnant qui retient à peines mes deux gros seins. — Ouaaa matte un peu les deux mamelles de la prof ; s’écrie Rachid tout en baissant mon soutient gorges.Il se met à malaxer mes seins pendant que Thierry lui s’occupe d’un coup de ma jupe qu’il retrousse dévoilant mes bas et mon porte-jarretelles. J’ai toujours aimé la lingerie fine et affriolante pour plaire à mon mari. On me contraint à me mettre à genoux sur le carrelage froid. Je proteste que je ne veux pas mais personne ne m’écoute bien sur. Francis, le Patron va fermer le bar pour être tranquille dite il en ricanant. Il me lance un regard bien pervers. Une queue se matérialise soudain devant moi, je ne sais même pas à qui elle appartient. Elle se pose sur me lèvres pulpeuses et je ne sais pas pourquoi j’ouvre la bouche. Je sens un plaisir sale s’emparer de moi ...Que m’arrive t’il ? Je suis en train de me faire violer dans ce bar sordide et j’en éprouve un plaisir intense...Je suce cette bite avec application entendant les encouragements obscènes que l’on me lance. — Vas y salope, sale bourges, suce bien !J’émet un son étouffées par la bitte que je suis en train de sucer. Je sens qu’une main se faufile sous mon slip et caresse ma fente déjà humide. — Elle mouille cette salope !Je reconnais la voix. C’est Thierry qui n’à jamais du toucher la fente d’une femme, du moins pas d’une bourgeoise friquée, bonne épouse et bonne mère de famille. Respectable et respectée. Car je ne me fais pas d’illusion, c’est le fait qu’il soit en train d’humilier une bourgeoise qui les excite rien d’autre. Une autre queue a remplacé celle que je suçai et elle s’active dans ma bouche comme si on me baisait. Je ne sais plus ou je suis...Je suis mise à quatre pattes et l’on finit de retrousser ma jupe. Je sens que l’on écarte mon slip et un doigt s’empare de ma fente, puis deux. Mes gros seins ballottent par le tailleur ouvert et ils sont tripotés par plusieurs mains. Le sexe d’un des hommes me pénètre et je pousse un hurlement étouffé. Des mains s’emparent de mes hanches et l’on commence à me pistonner à grand coup de reins. Mes seins sont secoués dans tout les sens par les coups de boutoirs de mon assaillant. Pendant ce temps la, des bittes se présentent devant moi et je les acceptent toutes sans rechigner. Deux à la fois même...Je ne suis plus qu’un trou que l’on rempli de spermes....Je me rend soudain compte que Rachid prend des photos avec son téléphone portable et que Francis fait de même. Roger s’approche de moi, tenant son sexe dans la main et me l’enfourne dans la bouche en me disant qu’il mérite bien une récompense après avoir réparé ma voiture. Je sens que celui qui me prend par derrière éjacule et lâche un torrent de sperme dans mes entrailles. Roger lâche son sperme également sur ma figure. Je suis rempli de spermes. J’en ai partout sur mes cheveux, mon chignon respectable de bourgeoise est d’ailleurs totalement défait et mes cheveux tombent dans mes yeux. J’halète comme une folle cherchant à reprendre ma respiration. Mon tailleur noir est également souillé par les traces de spermes. Un filament coule de ma bouche pour aller s’écraser sur mes seins. Mon calvaire ne s’arrête pas la....Je suis leur jouet et il s’en abusent. Après avoir taillées des pipes à tous ces obsédés et avoir été prisent de toutes les façons et plusieurs fois, ils s’arrêtent soudain épuisés, repus. J’ai honte de le reconnaître, mais plusieurs fois, j’ai eu des orgasmes foudroyant On joue encore avec moi quelques temps. On me forcent a marcher a quatre pattes avec le talon aiguilles d’un de mes escarpins enfoncées dans mon anus. On prend des photos. Beaucoup de photos. Puis, on me relève et je suis reconduit dehors à ma voiture. La veste du tailleur encore ouverte, les seins à l’aire et la jupe tirebouchonner autour de ma taille. Mes bas sont déchirés. Et je titube sur mes talons aiguilles... Ivre de plaisir....Ils font tous cercles autour de moi....— Voila ma salope, lance Francis, tu va pouvoir rentrer chez toi. Mais pas un mot hein ? N’oublie pas qu’on a les photos et que surtout t’a pris ton pied. Si tu ne veux pas que ton mari l’apprenne, je te conseille de rester discrète. Et reviens nous voir quand tu veux !Tout le monde éclate de rireRachid et Bruce, mes élèves me regardent avec un air salace...— A demain Mme, nous avons cours....Leur regard est lourd de sous entendus. Je remonte dans ma voiture qui effectivement démarre au quart de tour et je prends la direction de mon pavillon, ne désirant qu’une seul chose, oublier ce qui vient de ce passer.
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