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Claudine soumise

Chapitre 11

Orgie / Partouze
Un silence pesant règne dans la Mercedes qui nous ramène chez moi. Jessica nous a de nouveau humilié Sylviane et moi en nous exhibant dans le centre ville, nous faisant rougir de honte en croisant des personnalités de la ville qui nous ont dévisagé, choqués de voir ces deux femmes respectables habillées comme des putes. Nous rentrons dans mon pavillon et nous devons nous déshabiller. La séance d’ »exorcisme » que ce Prêtre pervers a infligé à Sylviane a beaucoup amusé Jessica et elle raconte la scène à Rachid et Bruce. Sylviane a enlevé ces vêtements et elle déambule dans le salon uniquement vêtu de ces talons rouges et ces bas blancs.Pour ma part, Rachid a soulevé ma jupe dévoilant mes bas gris et il a ouvert mon chemisier, baissant mon soutien-gorge.Mes seins sont à la vue de tous et Bruce ou Rachid ne se prive pas de me les triturer à chaque occasion. Il est midi et nous devons préparer le repas et faire le service accompagné par Charles et Paul, qui n’est plus habillé en soubrette. Ils sont nus tous les deux, l’érection de leurs sexes entretenue régulièrement par Jessica ou Leila qui toutefois leur interdit d’éjaculer. Nous mangeons ensemble dans une ambiance glauque.Paul et Charles étant masturbés par Leila qui est assise entre eux deux pendant que Sylviane coincée entre Rachid et Jessica se fait peloter ses gros seins. Bruce lui me plonge régulièrement deux doigts dans ma fente. J’ai l’impression que le repas dure des heures.Rachid prend son portable et appelle plusieurs personnes leurs donnant rendez vous dans le nouveau parking souterrain que la Municipalité a fait construire. Jessica et Leila nous entraine Sylviane et moi dans ma chambre en nous annonçant une promenade dominicale. Nous devons nous déshabiller totalement et mettre les vêtements que nous tendent nos « maitresses ». Je dois enfiler un élégant tailleur blanc sur des bas blancs avec les inévitables talons aiguilles également blancs. Sylviane, elle, porte une jupe droite serrée avec des bas nylons et une veste avec un col en fourrure sans rien en dessous bien sur. Habillée, pour une fois, très bourgeoise.Jessica m’explique qu’en fait nous allons retrouver des internautes qui par le biais du site internet ont souhaités rencontrés ces deux bourgeoises salopes. Elle précise avec un sourire pervers que nos maris nous accompagnent cette fois. Nous prenons ma Mercedes et nous dirigeons, de nouveau, vers le centre ville. Nous arrivons très vite devant le parking et descendons la rampe d’accès. Le responsable de la caisse, qui pour une fois n’est pas automatisée, nous annonce le prix pour 2 heures et bien entendu, je suis contrainte de payer. Nous nous garons dans le troisième sous-sol du parking. Comme dans tous les parkings souterrains, l’atmosphère y est oppressante, glauque. Le peu de luminosité et nos talons aiguilles qui résonnent me font frissonner. Nous nous dirigeons vers le fond du parking ou j’aperçois cinq personnes qui attendent. Ils sont d’âge et de physique différent.Il y a un jeune, d’a peine vingt ans, je pense et un autre beaucoup plus âgé certainement un retraité. Un gros, presque obèse ; l’autre a un physique vraiment ingrat et doit rêver de se taper deux belles bourgeoises. Le dernier est tout petit. Rachid s’approche d’eux et horrifiée je l’entends leur parler du tarif ! Une fois de plus, nous sommes prostituées par ces pervers et devant nos maris ! La transaction financière se termine très vite, ils payent tous sans rechigner, impatient qu’ils sont de pouvoir se taper ces deux bourges qui les font fantasmer depuis tant de mois sur internet. Rachid se tourne vers Jessica et lance :— C’est bon, tu peux déballer la marchandise !Je suis outrée d’être traitée de marchandises mais je ne proteste pas quand Jessica s’approche de moi et me soulève la jupe de mon tailleur découvrant mes longues jambes gainées de bas blancs. Elle m’ouvre également la veste de mon tailleur exhibant mes seins. Les cinq hommes nous dévisagent le regard fou en ricanant, commençant à nous traiter de salopes. Sylviane a été forcée de se mettre à quatre pattes sur le sol du parking, la jupe tirebouchonnée autour de la taille dévoilant son cul. Leila lui donne des claques faisant rougir ses grosses fesses et la contraint à avancer vers le groupe d’hommes. Certains ont commencé à sortir leurs bites fièrement dressées ! Elle n’eut pas le temps de protester.Une queue épaisse s’engouffra dans sa bouche manquant la faire étouffer.C’était le « papy » qui lui faisait coulisser sa verge dans sa bouche en soufflant et en l’insultant. Le plus jeune faufila une main dans l’échancrure de la veste et lui pinça la pointe d’un mamelon la faisant couiner de douleur. Un des hommes, accroupi derrière elle lui enfonçait ses doigts dans sa fente et la branlait. Jessica me force à m’agenouiller également et je dois me diriger vers une voiture ou c’est adossé un des hommes, le sexe tendu. Je me positionne entre ses cuisses et j’avale sa queue ; Ma tête monte et descend sur le membre dressé.Je m’active, la mâchoire distendue par le calibre impressionnant du type. Il m’appuie sur la tête m’obligeant à engloutir encore plus loin son sexe. J’entends Sylviane gémir et je l’aperçois toujours en train de sucer le papy tout en alternant avec le gros. Leila lui tanne le cul et ses claques résonnent dans le silence du parking. Le papy fait soudain le tour et pénètre Sylviane en poussant un soupir, il lui agrippe les hanches et commence à la pistonner à grand coups de reins faisant claquer son ventre contre ses fesses. Celui que je suis en train de sucer s’active soudain faisant coulisser sa queue de plus en plus vite entres mes lèvres pulpeuses et me lâche un torrent de sperme dans ma bouche me contraignant à tout avaler en me tenant solidement la nuque. Je me relève et aperçoit Paul, mon époux, en train de baiser Leila sur le capot d’une voiture. Je réalise que mon mari s’entend très bien avec ma tortionnaire et je trouve cela offusquant et choquant. Sylviane pousse un hurlement étouffé par la bite qu’elle en train de sucer et je tourne la tête vers elle.Le vieux pervers lui a enfoncé sa bite dans le cul et il la sodomise violemment. Rachid s’approche de moi et m’allonge sur le sol crasseux du parking, mon élégant tailleur n’est plus si blanc..Bruce, Rachid et Charles, les yeux luisants s’approchèrent de moi et se mirent à genoux. Ils me caressèrent les seins, les jambes, ma chatte. Je m’offrais sans aucune pudeur aux mains qui me fouillaient. Le papy pervers éjacula sa semence sur le dos de Sylviane en poussant un râle pendant que celui qu’elle suçait lui déversait tout son foutre sur son beau visage de bourgeoise distinguée. Elle fut trainée à coté de moi et on nous força à nous mettre à genoux. Sylviane, le sperme coulant sur son visage, dut sucer le membre qu’on lui présentait et elle fit une grimace de dégout.Derrière elle, le gros lui enfonça sa bite dans son anus et se mit à aller et venir lentement. Prenant son temps. Je subie le même sort et je gémis de douleur quand la queue d’un de nos « clients « me pénètrent sans précaution. On me pinça le nez, me forçant à avaler une bite qui appartiens à je ne sais qui .je lui tête le gland en salivant dessus .Le plus jeune se faufile sous Sylviane et s’amuse à lui téter les seins. L’obèse qui encule Sylviane éjacule le premier avec un cri rauque. Il lâcha son foutre au fond de son cul. Celui que je suçais m’arrosa le visage de sa semence épaisse. Le type que suçait Sylviane jouit a sont tour lâchant des trainées de sperme sur ses lèvres, son nez, son menton. Des filaments coulent sur ses seins ; Nous restons toutes les deux, haletantes, fiévreuses, à quatre pattes dans une posture de soumission qui excite encore plus nos bourreaux. On m’oblige, à petits coups de langues, à lécher le sperme qui souille le visage de Sylviane. Tous les hommes font cercle autour de nous, nous regardant avec lubricité. Les commentaires vont bon train :— Quelles deux belles salopes, jamais vu ca .— Ces bourgeoises ! Toutes des chiennes en chaleur .— Des vraies putains !Le papy s’avança et me caressa les fesses avant de m’enfoncer un doigt dans l’anus. — Ça m’excite de défoncer le cul de deux bourgeoises, ca te plait aussi hein salope ? me lança-t-il.La tête baissée, je ne réponds pas mais je pousse un gémissement quand il tourne son doigt dans mon cul et le fait coulisser. Puis il m’enfonça deux doigts, puis trois.bientôt ce fut toute sa main qu’il réussi à introduire dans mon rectum. Deux des cinq hommes furent obligé de me bâillonner de leurs mains pour étouffer mes hurlements. — Allez ! ricana le vieux pervers, un petit Fist Fucking n’a jamais tué personne ! Et ton cul en a vu d’autre ma salope ! Il fit coulisser son poing dans mon cul quelques minutes puis le retira. Me laissant haletante .Un des hommes se positionne derrière Sylviane et appui son gland contre l’anus.Il pousse et introduit sa bite dans l’orifice.la saisissant aux hanches, il fait coulisser sa queue dans son anus et lui donne de grand coups de reins. Sylviane a poussé un cri strident .Il continue de la limer sans se soucier de ses plaintes. Il se retire soudain et se plaçant devant elle, il se vide par saccades sur le visage de Sylviane.Toujours positionné à quatre pattes dans ce parking désert, Sylviane et moi sommes maintenant lécher par tous ces pervers qui introduisent leurs langues dans notre chatte, nos trou du cul.Tous nos orifices sont explorés, fouillés. Nos seins sont malmenés par des mains avides qui les tirent, les malaxent sans aucun ménagements. On nous oblige à sucer des doigts couvert de sperme puis à nous embrasser langue contre langue ..Nous devons sucer sous la contrainte nos propres maris.Qui n’ont pas l’air gêner du tout.On allonge Sylviane et l’Obèse la pénètre et la lime furieusement. Il jute dans son ventre la remplissant de sperme. Puis elle dut le sucer pour le nettoyer. Le plus jeune et le vieux pervers décidèrent de s’occuper de moi, ils me prirent en sandwich. Un dans ma chatte, l’autre dans mon cul. Alternant leurs coups de bites, faisant balloter mes seins. Un autre m’enfonça sa queue dans ma bouche. Celui qui m’encule bouge de plus en plus vite dans mon cul et fini par éjaculer. Celui que je suce décharge dans ma bouche m’envoyant son sperme au fond de ma gorge. Le dernier se dégage et m’éjacule sur le visage .Nous avons été baisé Sylviane et moi pendant des heures. Enculé un nombre incalculable de fois, soumises a toutes les dépravations de ces pervers. On nous a éjaculés sur nos cheveux, nos chattes, nos culs, notre bouche, souillant nos visages. Nous sommes remplies de sperme. Nous en avons sur tous le corps. Nous avons été prises de toutes les façons, dans toutes les positions. Leila et Jessica nous prennent alors a part et nous demande de leur sucer la moule. Nous protestons, n’en pouvant plus. — Tais-toi, la bourge ! tu n’es qu’un sac a foutres, une trainée ! Je suis saisie et plaquée au sol, jambes écartées. Leila s’est assise sur mon visage et s’est frotté la moule sur mon nez et mes lèvres. Elle me barbouille le visage de sa mouille.je suis forcée d’ouvrir la bouche pour lui lécher la chatte et lui pomper le clitoris. Sylviane subie le même sort avec Jessica pendant qu’un des hommes la baise furieusement. Puis nous devons sucer Leila et Jessica leur donnant de grands coups de langue sur leurs chattes dégoulinantes, les faisant jouir. C’est à ce moment que surgit le gardien du parking, celui qui était à la caisse. Il est accompagné d’un pitbull menaçant, les babines retroussées. Il nous menace d’appeler les flics si on ne dégage pas rapidement les lieux. Rachid, Bruce et Jessica s’approche de lui et commence à lui parler. Nous sommes relevés Sylviane et moi et on nous débarbouille la figure, enlevant le sperme avec un mouchoir. Le gardien change d’attitude, nous regardant avec une lueur pervers dans le regard. Ce n’est pas compliqué de comprendre ce qu’on est en train de lui dire.Il s’approche de moi, le chien a ses coté. — Alors, la bourgeoise ? On fantasme sur les parkings souterrains ? On veut se faire prendre à la chaine, comme une vulgaire pute ?Je reste sans voix.Voila donc ce qu’on imaginé Rachid et Bruce.Il me pousse vers le capot d’une voiture et ordonne a Sylviane de faire la même chose. Nous devons nous allonger, les escarpins posés sur le pare-chocs de la voiture. Je pense qu’il va nous prendre mais le gardien est bien plus pervers .Il tira sur la laisse de son chien, le faisant avancer vers la fente de Sylviane qui instinctivement serra les cuisses. On la frappa sur les seins et elle se repositionna correctement, dévoilant sa fente. Le chien s’approcha, grognant et se releva, posant ses pattes sur le capot. De cette manière, il était à la hauteur de la vulve de Sylviane. Il approcha le museau et commença à lui lécher la fente. Sylviane poussa un « Ho » de surprise et de dégout mêlé. Sa truffe s’enfonçait de plus en plus loin.Perdant toute dignité, Sylviane haletait en secouant la tête dans tous les sens, ouvrant largement les cuisses. Le chien ouvrit la gueule, pointant sa langue, l’enfonçant dans le vagin de Sylviane. Il lapa les gouttes de mouille qui s’en échappait. Sylviane ouvrit la bouche mais aucun son n’en sortit comme si elle étouffait. Elle poussa tout à coup un petit cri et jouit dans un spasme. Elle ferma les yeux, tentant de reprendre son souffle. Le gardien s’approcha de moi sortant sa bite gonflée a bloc.— J’en peux plus salope, tu vas me sucer la bite.Trop heureuse d’échapper au chien, je me relève, me mets a genoux et prends sa bite dans ma main, le masturbant un peu avant de l’enfoncer dans ma bouche. Elle est dure comme l’acier et je commence mon mouvement de va et vient, lui pompant le gland. Il me demande de m’appliquer, me menaçant de me faire baiser par le chien. Frémissante a cette idée ,je fis du mieux que je pouvais, lui suçant le gland, lui léchant la hampe, lui malaxant les couilles. Il me releva brusquement, me fit pivoter contre le capot. Courbée en avant, les seins écrasés contre la tôle, je poussai un cri quand je senti soudain la langue du pitbull me lécher la fente ! Ce gardien était diabolique, il m’avait fait croire que j’échapperais au chien alors qu’il en était rien .J’entendis les autres éclater de rire. Le chien enfonce sa langue dans mon vagin puis il me lèche mon anus.Il revient au vagin, il enfonce sa langue de plus en plus loin. J’halète, c’est une sensation extraordinaire, à la fois écourante et terriblement excitante .Je suis sur le pont d’avoir un orgasme quand je sens que le gardien repousse le chien. Je pousse un cri de frustration mais il m’enfonce sa bite dans ma chatte me tenant solidement aux hanches et commence à me donner des coups de reins puissants. A coté de moi, Paul, mon mari, baise Sylviane comme une brute sous le regard pervers du mari de Sylviane, Charles. Le gardien accéléra ses coups de reins et éjacula sur mon dos. Sylviane gémit a coté de moi, poussant des petits cris, se tordant sous les coups de boutoirs de mon mari. Celui-ci se retire soudain et lâche son sperme sur le ventre de Sylviane. Nous nous relevons, exténuées, vidées. Les cinq internautes et le gardien prennent congés de nous et nous nous dirigeons vers la Mercedes pour rentrer. Jessica se penche vers moi :— Pour demain, après les cours, nous irons dans le chantier qui est coté du pavillon. T’as remarqué comme les ouvriers te reluquent chaque fois que tu passes devant ? Je suis sur qu’ils seraient ravis que je t’y emmène toi et l’autre salope !Je n’ai pas le temps de répondre.une voiture surgit soudain faisant crisser ses pneus, trois hommes en surgissent, pistolet au poing, en criant :— « Police »Tout le monde reste immobile.J’aperçois soudain Pierre, mon gendre, sortir d’une autre voiture avec un homme. Pierre s’approche de moi et me prend dans ses bras.— Le cauchemar est fini Belle maman.Il me présente l’homme a coté de lui, un commissaire de police a qui il a tout raconté. On passe les menottes à Jessica, Leila, Rachid et Bruce. Pierre m’explique qu’une « souricière » a été monté des le matin et qu’ils nous ont suivi pour les prendre en flagrant délit. Une pensée sournoise me traverse l’esprit.il aurait pu intervenir plus tôt.Les policiers ont bien du se rincer l’oil.Leila, Rachid, Bruce et Jessica sont emmené au SRPJ pour être mis en garde à vue. Plus tard je raconterai mon histoire à un officier de Police Judiciaire qui m’auditionnera pendants des heures. Pendant que je lui explique comment je suis devenue l’esclave de ses jeunes, comment ils m’on contrainte à me prostituer dans un bar, une cave et même un sex-shop, je me demande si il bande.Leila, Jessica, Bruce et Rachid ont été condamné à quinze ans de prison ferme pour agressions sexuelles. Je sais qu’aujourd’hui Bruce et Rachid sont devenus les « vides-couilles » des Caïds de la prison.Y a une justice quand même. Le Maire a gagné les élections municipales et Sylviane est devenue 1er Maire Adjointe. Il parait qu’elle est la maitresse du Maire.Anne-Sophie et Pierre se sont mariés et on ouvert un cabinet d’avocat qui marche très bien. Quand a moi..J’ai changé de lycée et de région pour oublier cette terrifiante histoire.Mais ma vie je dois bien le reconnaitre à complètement été bouleversé.J’ai divorcé et je vis avec un homme plus jeune que moi.Il est adorable mais.Il a de ses fantasmes ! Nous allons tous les week-ends dans une boite échangiste. Il adore me voire me faire baiser par d’autres hommes que lui.Que les hommes peuvent être cochons !

FIN
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