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Claudy

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Le lendemain matin, Claudie est vasouillarde dans la salle de bain.
— Ça ne va pas ma chérie ?— Non, j’ai trop bu hier soir et en plus...— En plus ?— J’ai un peu mal au cul
J’éclate de rire.Puis elle me demande si ce n’est pas allé trop loin hier.
— Tu vois mon chéri, j’ai peur que Domi et Nico reviennent un peu trop souvent et perturbent notre couple.— J’y ai réfléchi mon amour. Dans un 1er temps j’ai pensé la même chose que toi, ensuite je me suis dit que ça avait été terriblement excitant ce que nous avons fait avec nos amis. Je dois t’avouer que ça m’a fait bander en y repensant. Si on estime que ça commence à déchirer notre couple, on leur demandera d’aller chercher une autre fille.— Oui c’est vrai que c’était extraordinaire cette soirée, moi aussi en y repensant je mouille à nouveau.
Je lui fais un grand sourire et je l’embrasse à pleine bouche. Ah oui quand même ! Elle a bien picolé ma chérie, elle a une haleine de chacal.
— Tu sais mon cœur, j’aimerais que tu renouvelles l’expérience avec d’autres personnes.— Avec qui ?— Ça je n’en sais rien. Au boulot, personne ne te drague ?— À part le contremaître il n’y a que des femmes, le choix est très limité.— Pourtant tu m’as dit que ton patron avait baisé toutes les femmes.— Tu es malade, il a 77 ans.— Ce n’est pas de lui dont tu me parles lorsque tu le décris comme une copie de Robert Redford ?— Oui c’est vrai, mais 77 ans tout de même.— Il ne t’a jamais fait de propositions ?
— Il est plus talentueux que ça, ce n’est jamais directement. Des petits regards, des flatteries sur mon corps, mes vêtements, ma façon de me tenir, des effleurements. Je dois reconnaître que parfois j’ai un peu envie mais je me contrôle.— Tu ne devrais pas mon bouchon, laisse-toi aller.
Finalement nous prenons notre douche puis je vais chercher le pain. Comme pratiquement tous les jours je croise Mr Lefranc. Le patron de Claudie. Je saisis ma chance. Je lui demande s’il peut m’attendre car j’ai quelque chose à lui demander. Il est d’accord. Je reviens vite vers lui dès que j’ai acheté ma baguette.
— Que puis-je pour vous ? Me demande-t-il.— En fait, pour moi rien, c’est plus pour ma femme. Vous voyez qui elle est ?— Oui bien sûr c’est Claudie, très jolie d’ailleurs votre épouse. Mais venez donc continuer cette conversation chez moi, nous serons plus à l’aise.
J’emboîte son pas. À 77 ans, il est vraiment bel homme. Grand, svelte, de la prestance. Il est vêtu d’un ensemble en lin.
— Asseyez-vous je vous en prie.— Merci— Je vous offre quelque chose— Non merci Mr Lefranc— Alors que puis-je faire pour votre femme ?— En fait c’est autant pour elle que pour moi— Mais encore ?— C’est assez délicat et je ne trouve pas mes mots pour ma demande— Il va bien falloir pourtant, c’est une demande d’augmentation ?— Pas du tout, c’est plus personnel, j’aimerais... Heu... Que... Heu...— Ça semble difficile à sortir— Oui très. Voilà, ma femme vous trouve très à son goût et n’ose pas vous le dire directement.
Il ne répond pas et me regarde droit dans les yeux, enfin un sourire malicieux éclaire ses lèvres et ses yeux bleu profond. Il me prend les deux mains et me félicite pour mon courage de lui avoir exposé ma demande.
— Mais toi ?
D’un coup il me tutoie.
— Sincèrement Mr Lefranc ça m’excite.— Tu sais tu peux m’appeler Pierre et me tutoyer, c’est quoi ton prénom ?— Moi c’est Yann, vous appeler Pierre oui mais vous tutoyer ce sera moins aisé.
Ensuite je lui explique que je suis venu sans en parler à Claudie et que je vais la travailler pour qu’elle succombe à son charme qui est énorme. Moi aussi il me plaît ce Pierre. Je lui fais tout de même remarquer que sa chemise en lin boutonnée jusqu’en haut c’est un peu ringard. Il me demande de lui ouvrir jusqu’à ce que ça me semble plus jeune. Je le fais avec plaisir. J’ouvre trois boutons, je ne sais pas ce qui me prend mais j’entre ma main dans l’ouverture pour lui caresser un sein. Quel con ! Ce type m’attire. Je retire ma main prestement.
— Tu pouvais continuer tu sais. Tu es homo ?— Non pas du tout, je suis désolé d’avoir fait ça.
Il se lève et me lève aussi. Il est plus grand que moi.
— Il ne faut pas. Maintenant il faut caresser aussi l’autre sein il est jaloux.
J’hésite.
— Allez vas-y.
Je fais ce qu’il me demande. Ce type a un effet incroyable sur moi. Je commence à sentir mon sexe s’ébrouer dans mon slip.
— Pour quelqu’un qui n’est pas homo, tu caresses bien mon chéri.
Mon chéri, il m’a appelé mon chéri, ça me fait bizarre. Il pose une main derrière ma nuque et m’attire inexorablement vers ses lèvres.Non et non, ça je ne peux pas. Pas embrasser un mec quand même. C’est vrai que parfois lorsque je me masturbe je m’imagine faire une fellation mais jamais embrasser. Je résiste mais il insiste. Mes lèvres sont maintenant au contact des siennes qu’il a humidifiées avec sa langue, langue que je sens entrer dans ma bouche. Timidement je tends ma langue contre la sienne puis je me laisse emporter par mes pulsions. Comme c’est bon, j’adore. Cet homme est merveilleux.Je lui ôte la chemise et j’entre ma main dans son pantalon en lin. Comme c’est doux et chaud un sexe d’homme. Je l’ai imaginé tant de fois que je suis électrisé. Sa queue grossit entre mes doigts, je quitte ses lèvres pour regarder cette jolie chose dans ma main.
— Tu aimes ma bite mon chéri ?— Oh oui ! Comme elle est agréable au touché.— Tu as envie que je baise ta femme, n’est-ce pas ?— Oui Pierre— Alors fais ta petite pute avec moi, tu veux devenir ma salope ?— Oui mon chéri, ta petite salope.— Allonge-toi.
Je fais ce qu’il me demande. Il enlève mon bermuda et mon tee-shirt.
— T’es bien gaulé petite pute. Lèche mon cul pouffiasse.
Le gentleman a bien changé. Ce n’est pas pour me déplaire. Bien au contraire.Il présente son cul un peu plissé sur mon visage tout en écartant bien ses fesses. Son petit trou est à portée de ma langue. Je le déguste avec gourmandise, je le sodomise avec mon appendice lingual. Comme c’est bon. Être humilié et en même temps se régaler. Il se retourne et me propose sa bite. Mais ça je n’avais pas vu. Elle fait au moins 18 cm et quatre centimètres de diamètre. Pour une première pipe, ce n’est pas du touche-pipi.Une fois dans ma bouche, cette pine correspond à l’idée que je m’en faisais. Douce et dure, goûteuse à souhait, l’odeur de ce sexe m’enivre, me fait bander, m’emporte. Je fais ce que j’aime que l’on me fasse. Ma langue s’enroule autour de son gland, je fais un maximum de salive pour qu’elle glisse bien dans mon palais, parfois j’ai un haut de cœur, Pierre sort un peu puis revient à la charge. Comme j’aime cet homme, comme j’aime être à lui. J’adore sa mouille autant que celle de Claudie.Ça dure assez longtemps au moins 40 minutes mais c’est toujours un plaisir pour moi. Parfois il me doigte et vient ajouter ce doigt qui sort de mon cul dans ma bouche. C’est divin. Je fais la même chose, je le doigte de temps à autre et j’insère mon doigt entre sa verge et mes lèvres.Il finit par jouir dans ma bouche, pas énormément, je suis un peu déçu mais je n’en perds pas une goutte.
— Tu t’es déjà fait prendre ?— Non jamais— Tu peux venir demain matin ? J’ai deux connaissances qui viennent me rendre visite. Je te les présenterai.— Tous les dimanches matin je vais faire un footing, ce sera le prétexte pour m’éclipser et vous rejoindre.— D’accord ma petite pute. Pas un mot à te femme. Mets la lingerie de ta chérie, j’aime bien.
Je retourne chez moi. Impossible de ne pas tout dire à Claudie. Nous convenons que demain elle viendra avec moi pour honorer notre nouvelle relation...
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