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Clémence et nos plans à trois

Chapitre 2

Le temps d'un café.

Avec plusieurs hommes
Je vous ai raconté comment Clémence et moi avions découvert le plaisir des plans à trois. Avec Antoine, mon ami qui fêtait son anniversaire. On peut dire qu’il l’a arrosé(e). C’était nouveau pour nous. Sur le chemin du retour, nous n’osions pas aborder ce qui s’était passé. Au bout d’une vingtaine de kilomètres, elle osa en parler, la première. Elle avoua qu’elle avait pris son pied, qu’elle avait aimé. Même plus qu’aimé. Les mots lui échappaient. Nous étions toujours très ouverts l’un envers l’autre. Une part de moi voulait la garder pour mon unique plaisir, une part plus égoïste. Mais d’un autre côté, cela m’avait terriblement excité, la voir à moitié salope, s’occuper de nos deux sexes. Et c’était cette part qui était indéniablement la plus forte. Ce que je lui avouai.
Les jours passèrent et nous avons pris la résolution de goûter un peu plus à ces plaisirs que nous venions de découvrir. Elle voulait plus que des fellations. Je cédais bien rapidement. Ne sachant pas vers qui se tourner, nous avions contacté à nouveau Antoine. Plutôt, je l’avais appelé. Il venait de ranger entièrement la salle. Il me remercia d’être venu à sa soirée avant de demander l’objet de mon appel. Les mots ont coulé d’eux-mêmes. Je lui exposais la situation, il émit des petits bruits d’acquiescement pour me montrer qu’il écoutait. Officiellement, nous l’invitions boire un café à l’appartement. En effet, Clémence et moi louions un petit appartement aux abords de la ville. Le prétexte était de lui faire découvrir. Il est marrant de trouver un prétexte alors que tous les trois savions que la vérité officieuse était tout autre. Il devait venir pour trois heures tapantes.
Ayant raccroché, Clémence dut deviner à ma mine qu’il avait accepté le rendez-vous. Elle se leva, termina son thé avant d’aller dans la salle de bains. Se faire une petite beauté. L’après-midi passa lentement. Je voyais les aiguilles de l’horloge murale avancer. Trop lentement. Une heure sonna. Puis, deux. Enfin, trois. Clémence vint s’installer à côté de moi. Elle avait revêtu, pour l’occasion, une petite robe léopard. Elle m’avoua qu’elle n’avait rien en dessous. Je voulus le découvrir par moi-même, mais elle m’en empêcha. Il fallait attendre notre invité. J’ai cru qu’il n’allait jamais venir. J’allais partager mes idées avec ma petite-amie alors que la sonnerie retentit. Elle se leva d’un bond, me laissant apercevoir le pourtour de ses fesses et appuya sur le bouton d’ouverture de la porte d’entrée avant d’ouvrir celle de notre appartement. Il était donc bien venu.
Je ne sais pas qui de nous trois était le plus affamé. L’atmosphère était rapidement devenue plus charnelle, plus sexuelle. La tension montait, était palpable et nous n’eûmes même pas le temps de boire une tasse de café que nous nous retrouvions tous les trois dans le canapé bleu du salon. Clémence entre nous. Elle fit sortir ses seins de dessous de sa robe. Je vins l’embrasser avec passion et envie. Mon ami avala goulûment son téton et joua fermement avec un de ses seins. Je sentais notre baiser devenir de plus en plus langoureux, de plus en plus sauvage. Elle le coupa seulement lorsque mon ami, insatiable et affamé, releva sa robe et sans plus de cérémonie, lui glissa deux doigts dans le vagin. Elle se tourna alors vers lui, lui offrant sa bouche avec autant de passion, me laissant jouer avec sa poitrine tendue sous le désir. Elle écarta franchement ses cuisses, déposa une de ses jambes sur les miennes, exposant sa chatte au va-et-vient profond des doigts de mon ami.
Elle lâcha ses lèvres, trahissant son plaisir d’être ainsi doigtée par des gémissements et de petits cris. Je peux vous dire que l’entendre de la sorte m’a toujours beaucoup excité. Elle m’embrassait entre deux gémissements alors qu’Antoine jouait au fond de sa chatte trempée, taquinant ses tétons de sa bouche.
Je la laissais quelques instants, seule avec Antoine, pour me mettre nu. Je me plaçai entre ses jambes. Antoine me laissa sa chatte dégoulinante pour venir jouer avec ses seins. Là où il avait laissé encore une once de pudeur, je la prenais. Mes deux doigts s’enfoncèrent férocement en elle. Sans aucune peine. Ses gémissements se faisaient de plus en plus rapides. La sentant suffisamment préparée, je vins placer mon gland contre l’entrée de son intimité et me glissai en elle, lentement. Antoine ne lui laissa aucun répit, jouant avec une certaine dextérité sur ses seins. Je commençai mes mouvements de va-et-vient et voyais ces derniers se balancer au même rythme, alors que mes coups de reins sur ses fesses commençaient à retentir. Je devins rapidement plus féroce, ne laissant aucune place pour les jeux de mon ami. Il profita de cet instant pour se déshabiller.
Clémence s’allongea un peu plus dans le canapé. Je la tins par les hanches, sans discontinuer mes mouvements tortueux. Le sexe dressé, Antoine se plaça près de ma petite blonde qui lui prit son membre entre ses lèvres. Elle commença à le sucer. Parfois, elle devait lâcher cette queue de sa bouche, pour gémir, quand mes coups de reins étaient trop puissants. La situation m’excitait de plus en plus. Elle, affamée, suçait mon ami entre deux coups de reins alors que ce petit coquin lui donna parfois un coup de hanches, glissa entièrement sa queue dans la bouche de ma petite-amie.
On s’est regardés, lui et moi. Nous n’avions pas eu besoin de mots pour nous mettre d’accord. Je me retirai des cuisses de mon amie et nous nous échangions les rôles. Elle apprécia l’initiative, car elle vint dévorer, sans plus attendre, mon sexe trempé alors qu’Antoine donnait ses premiers coups de reins, après l’avoir pénétrée d’un grand coup. Je lui malaxai les seins alors qu’elle me pompait avidement, ses gémissements étouffés. Il fallait dire qu’il n’y allait pas de main morte. Je ne sais pas ce qui m’excitait le plus, la voir presque nue, baisée de la sorte ou sentir toute son envie dans la maladroite fellation qu’elle me procurait. Peut-être les deux. Je regardais son petit sexe, épilé pour l’occasion, se faisant maltraiter sous les coups de reins sauvages de mon ami d’enfance.
Je vins m’allonger au sol. Elle se positionna au-dessus de moi, tournée vers moi, avant de glisser sur mon sexe, allant et venant avec force, tantôt elle, tantôt moi. Lui se branlait en la regardant sous toutes les coutures. Il devait beaucoup aimer son cul qui montait et descendait. Mais cela ne dura pas longtemps. Je m’installai dans le canapé. À genoux, elle vint me prendre dans sa bouche. Elle adorait, par-dessus tout, sucer. Ce qu’elle faisait très bien. Antoine vint derrière elle et lui donna quelques fessées qui claquèrent contre son cul. Elle se cambra et il la prit, ainsi, en levrette. Nous nous échangions et je fis de même. Son sexe était de plus en plus trempé. Et moi-même, j’étais de plus en plus près de l’orgasme.
Il était assis dans le canapé. Elle se mit sur lui, se laissant glisser le long de sa queue. Le coquin devait être tout aussi excité que moi, car il ne tarda pas à se lâcher dans ma belle. Je pris sa place. La chatte dégoulinante, elle vint sur moi. Elle me regarda dans les yeux, m’embrassa. La sensation était un peu différente. Je la sentis venir au bout de quelques mouvements. Cette sensation, renforcée par celle du liquide chaud et épais de son vagin, me fit lâcher prise et me déchargea puissamment en elle.
Nous dûmes tous les trois reprendre nos esprits. Je regardai l’heure. Il était quatre heures de l’après-midi. Combien de temps dure un café ?
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