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Clément, le petit copain de ma cousine

Chapitre 2

Hétéro
Au réveil, Clément est allongé sur le dos ; je viens poser ma main sur son torse. Nous échangeons nos premiers mots depuis qu’on est couché :
— Bonjour…— Bonjour.— Tu as bien dormi ?— Oui, et toi ?— Merci pour hier soir…— De rien. Ecoute, je suis désolé de t’avoir prise par surprise cette nuit, mais j’étais trop excité depuis le début de soirée.— Ah bon ? Et qu’est-ce qui t’a tant excité ?— Déjà, la tenue que tu portais, puis le massage que je t’ai fait. Je dois t’avouer que je regardais aussi sous ta jupe, et ce que j’y ai vu m’a beaucoup plu.— Alors comme ça, on regarde sous la jupe des filles, petit coquin !— Oui, et c’était très joli, ce que tu portais. Ça me change de la lingerie de ta cousine.— C’est vrai que j’aime beaucoup porter de la lingerie fine, et tu n’es pas le seul mec à qui ça plaît.— OK. Dans tous les cas, je m’excuse pour cet égarement et je te promets que ça ne se reproduira plus. J’aimerais qu’on oublie ce qui s’est passé, et je te fais confiance pour ne pas en parler à Audrey.
Vexée par sa dernière phrase, je ne sais plus quoi répondre et suis déçue qu’il m’annonce clairement que c’était une erreur de sa part, alors que j’en demandais bien plus.Nous nous levons et allons prendre notre petit déjeuner. Ce matin, c’est moi qui dois partir la première car Clément n’a qu’une épreuve cet après-midi. Je pars donc m’habiller la première. En arrivant devant mon placard, il me vient alors une idée : demander l’avis de Clément sur ma tenue.
— Dis donc, Clément, toi qui aimes bien ma lingerie, tu voudrais pas m’aider à choisir ma tenue pour aujourd’hui ?— Euh, si. Qu’est-ce que tu veux mettre ?— Ce qui te fait plaisir.— As-tu un ensemble rouge ?— Oui, lui dis-je en sortant un soutien-gorge et un string rouge à dentelles.— Ah oui, c’est sympa en effet !— Et avec ça, je mets quoi ?
— Tu as quoi comme robes ?
Je lui montre mes quelques robes et nous tombons d’accord pour une robe violette à manche trois quarts qui arrive juste au-dessus des genoux. Pour le reste, il désire que je remette mes bas couleur chair avec mes bottes à petits talons. Étant en retard, je m’habille assez rapidement et file travailler. Je profite qu’il me tienne la porte d’entrée pour lui voler un smack avant de descendre les escaliers.
Le soir, je rentre à 18h30 ; Clément n’est pas encore arrivé. Il ne devrait plus trop tarder et je profite du temps libre pour faire un peu de rangement et la vaisselle. Il est finalement 19h15 lorsque j’entends la porte s’ouvrir. Clément est là, souriant dans son beau costume gris. Je continue de faire ma vaisselle pendant qu’il enlève sa veste, puis il vient délicatement derrière moi pour me faire un bisou sur la joue. Nous nous mettons à discuter de son nouvel examen qu’il pense à nouveau avoir réussi malgré quelques difficultés.
Quelques minutes après, je l’invite à venir boire l’apéritif sur le canapé, et c’est là qu’il me tend un sac cartonné d’une marque de vêtements et sous-vêtements bien connue. Il me dit que c’est un cadeau pour me remercier de l’héberger. Je trouve cette attention touchante car, pour moi, le cadeau le plus important, c’est sa présence. Notre petite aventure d’hier soir était déjà un cadeau supplémentaire.Nous nous servons donc à boire pendant que je regarde le sac. M’a-t-il acheté un vêtement ou un sous-vêtement ? Ce serait un indice sur ses intentions pour la soirée... En ouvrant le sac, je souris en voyant un tas de dentelles noires. Il y a là un soutien-gorge à balconnet, un string tout en dentelle, un porte-jarretelles avec un tour de taille assez épais et une paire de bas noirs avec des coutures à l’ancienne. Je trouve cet ensemble magnifique et hyper sexy, et je suis vraiment étonnée que Clément ait osé m’acheter cela.
— Alors, ça te plaît ?— Oui, c’est super mignon. Mais ce n’est pas à porter tous les jours pour aller au boulot !— Tu pourrais, mais c’est vrai que ce n’est peut-être pas le but.— C’est clair. Mais dis-moi comment tu as su pour choisir la bonne taille ?— Ben, pour tout te dire, j’ai fouillé dans ton placard et regardé les tailles que tu portes.— Ah carrément… Tu as fouillé dans mes petites culottes ?— Oui, et j’y suis même resté un bon moment car j’ai voulu voir toute ta collection. Mais je n’y ai pas trouvé de porte-jarretelles.
N’en revenant pas de l’audace de Clément à m’avouer tout cela, je comprends rapidement que la soirée risque de ne pas être ennuyeuse.
— Merci pour ce beau cadeau, alors. J’imagine que tu veux voir ce que cela donne sur le mannequin ?— Tu es libre de faire ce que tu veux ; mais si tu tiens à l’essayer, tu en as le droit.— Bien sûr que j’ai le droit ! Si tu fais à manger, j’en profite pour l’essayer.— OK, c’est parti ; je vais te montrer mes talents culinaires !
Sur ces belles paroles, Clément se lève et va préparer le repas. De mon côté, je vais dans la salle de bains me préparer. Je mets donc le string, le porte-jarretelles et galère un peu pour fixer les jarretières sur les bas, qui me sont d’ailleurs un peu grands. Après avoir mis un bas, je me rends compte qu’on ne peut pas retirer le string sans enlever les bas. Vu ce que j’attends de la soirée, ça m’ennuie ; je décide donc de ne pas mettre le string. Par-dessus, je remets ma robe violette et mes escarpins à talons hauts que Clément apprécie et qui affinent mes jambes.Je profite de ce passage à la salle de bains pour me maquiller plus sexy et me parfumer, si bien que Clément m’annonce que le repas est prêt avant que j’aie terminé.
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