Vendredi soir 18h30. Voilà, Clémentine se retrouvait seule, encore une fois. Elle venait de déposer sa fille au train qui la conduirait à Paris, chez son père. Lorsqu’ils avaient divorcés il était retourné à la ville pour sa carrière. elle regarda à travers la fenêtre le soleil rougeoyant passer derrière la colline. Encore un week-end à faire le bilan de sa vie. Finalement elle s’en était pas mal sortie. Son divorce s’était bien déroulé et la situation de son ancien mari lui garantissait une pension acceptable. Elle avait pris un emploi à mi-temps dans la grande surface de la ville voisine, plus pour tromper l’ennui que par besoin. Elle avait aussi eu la garde de Julie sans trop combattre, c’était ça le plus important. Julie l’amour de sa vie pour qui elle avait sacrifié ses études. Qu’est-ce qu’il avait pris à Florence de lui parler de ce tchat... de lui avoir raconter la conversation qu’elle avait eu avec cet inconnu, de lui avoir détailler comment elle s’était caressée seule devant son écran, de lui avoir décrit comment ses mains avaient glisser le long de son cou, faisant frémir sa peau. comment ses doigts s’étaient glisser sous son soutien gorge, rencontrant ses mamelons excités, comment ils avaient poursuivi leur chemin sur son ventre, entre ses cuisses avant de découvrir son clitoris échapper de ses lèvres entrouvertes. Depuis ce matin Clémentine ressentait cette boule de désir qui lui envahissait le ventre. Elle qui n’avait plus fait l’amour depuis son divorce 18 mois plutôt. Elle qui ne ressentait plus de désir depuis si longtemps. Non! Clémentine s’extirpa de sa torpeur, et décida de prendre sa douche. En sortant de la salle de bain enveloppée dans sa serviette, elle se figea devant la grande glace de sa chambre. Elle s’examina. Après tout elle pouvait encore être désirable. Elle avait quelques année plutôt raccourci sa belle chevelure châtain, au fond de ses yeux bleue, il y avait encore cette fille qui avait fait tressaillir son premier amant. Elle dénoua sa serviette, dévoilant ses seins lourds, ornée de tétons roses délicieux. Son ventre était un peu rond, ces cuisses un peu trop forte a son goût, étaient ferme. Ces fesses rondes et généreuses . Elle voyait pointer entre ses cuisses, sous ses poils clairs et soyeux ses lèvres généreuses. De nouveau cette boule au creux du ventre. Après tout... pourquoi ne pas se laisser tenter. Elle sentait son désir grandir au creux de ses reins. Elle fouilla dans son armoire... redécouvrit cet ensemble en dentelle un peu osé qu’il lui avait offert il y a 2 ans et qu’elle n’avait jamais porter. En enfilant le string elle sentit sa peau s’électrisée. Ses mamelons se rétractèrent. Elle voulait se sentir désirable et enfila une robe très courte qui datait de ses 30 ans. Elle la moulait un peu trop, faisant ressortir le haut de ses seins sur son décolleté dévoilant un peu de dentelles. Clémentine était plutôt fière de pouvoir encore porter cette robe. En fouillant dans son placard et elle mit la main sur sa trousse a maquillage, qu’elle n’avait plus vu depuis le mariage de sa petite sœur, 5 ans auparavant. Elle appliquât soigneusement du bleu autour de ses yeux, mit un peu trop de rose sur ses joues et passa soigneusement son rouge à lèvre. Le résultat la faisait ressembler à une employée de maison close, mais Clémentine se sentit désirable... prête pour son premier rendez-vous virtuel. Elle mit dans l’âtre de la cheminée une nouvelle bûche. Déposa son ordinateur portable sur la table basse qui ornait son salon. S’installa dans son fauteuil anglais. Son ventre s’enflamma lorsqu’elle lança le navigateur internet et qu’elle saisi l’adresse du tchat. Son corps entier était saisi de tremblement, un mélange de peur, d’excitation, de honte et de désir. Pseudo..."fleursdedesir" Invitation... que choisir..."première fois". Immédiatement des 10aines de fenêtres s’ouvrirent. "bonjour", "salut", ’’t’es libre"… -"bjr cochonne" une décharge électrique parcouru son bassin, irradiant son ventre, ses lèvres et ses seins. les mains tremblantes elle saisi son clavier pour répondre à maitre666. -Bonsoir -Alors tu es nouvelle ici petite salope? tu viens chercher un maitre -c’est la première fois que je me connecte oui -il y a une tradition ici, ma chienne, lorsque tu arrives, le premier a qui tu répond sera ton maitre. C’est enregistré sur le site. Tu ne pourras rien faire sans que je te le permette. Sinon tu seras définitivement exclue. Tu as compris putain? -euh.. oui -Très bien, a partir de maintenant tu vas être mon esclave. docile à mes ordres, tu devra faire tout ce que je dit. Tu vas commencer par m’appeler maitre dans toute tes phrases. Compris sale pute? -Oui -oui qui? -Oui maitre Chaque mot vulgaire, chaque insulte qu’il utilisait déclenchait en Clémentine des sensations qu’elle n’avait jamais connue. Elle sentait son ventre se tordre, son vagin s’humidifié. A la demande de maitre666 elle du décrire son corps, sa vie... -Ta fille est avec toi? -Non maitre -Hummm dommage. dès qu’elle sera de retour tu devra lui expliquer qu’il y a de nouvelles règles dans cette maison. un nouvel homme à qui vous devrez obéir. premièrement dès que vous êtes chez vous vous devrez vous connecter. puis vous déshabiller. C’est moi qui choisirai vos tenues. Je veux que vous soyez mes salopes soumises, toutes les 2. Loin de choquer Clémentine, cette phrase la fit fondre. Elle avait totalement perdue le contrôle et obéissait mécaniquement. Des flots d’adrénaline parcouraient son corps. A chaque fois qu’une nouvelle phrase, ponctuer de mots vulgaires ou d’insulte apparaissait sur l’écran, des décharges enflammait son intimité. Docilement elle dégrafa le haut de sa robe, extirpa ses seins de son soutien gorge, sa robe cinglant encore ses hanches. Elle répondit a toutes les demandes de son maitre. Pris délicatement son sein, le soulevant des 2 mains pour y déposer ses lèvres, faire courir sa langue sur son mamelon, ce qui l’électrisa d’avantage. Elle n’avait plus aucune volonté. avant de la faire se dévêtir complètement, elle du sortir sur sa terrasse défaite pour récupérer des pinces a linge qu’elle fixa a ses seins. Lorsque les pinces se refermèrent sur ses tétons, une douleur qu’elle n’avait jamais connu irradia son corps, immédiatement remplacer par un plaisir intense. Elle sentit son sang affluer dans ses mamelles qui se teintèrent de rouge. Il lui demandé de se déshabiller ce qu’elle fit immédiatement, se retrouvant entièrement nue dans son salon. Il l’obligea a se fixer devant la fenêtre, a coller son corps au carreau. Ses seins s’écrasèrent contre la vitre. Ses tétons s’étalèrent sur le froid du verre, elle sentait la fraîcheur de la nuit. Elle colla son ventre et son pubis contre la baie vitrée. Au fond du jardin, dans les broussailles elle ne vit pas les 2 yeux scintillant qui s’allumèrent devant ce spectacle. Son clitoris excité par la vulgarité de maitre666 se gonfla de plaisir. Elle eu une première jouissance lorsqu’il rentra en contact avec la vitre. Elle voyait son reflet un peu vulgaire dans la vitre et, dans un moment de délire, y déposa ses lèvres, embrassant son image comme elle aurait embrasser un amant. Enfin il l’autorisa a ses caresser. elle s’assit sur son fauteuil devant l’écran, les cuisses écartées. ses doigts parcoururent ses lèvres humides. découvrirent son clitoris. Son vagin aspirât un puis 2 doigts qu’elle faisait allez et venir, déclenchant des vagues de cyprine qui inondèrent sa main. Elle se caressa ainsi pendant 1 heure s’arrêtant de temps en temps pour s’embrasser un téton, malaxer un sein, ou tordre un mamelon. Une immense jouissance parcouru son corps, elle perdit connaissance quelques secondes s’affalant, nue contre le cuir de son fauteuil. quelques gouttes de plaisir perlèrent de son vagin pour s’écraser sur le cuir de son fauteuil. Puis il lui demanda de s’agenouiller sur son fauteuil, a l’envers, ses seins pendaient contre le dos rugueux du dossier. Elle du déplacer son ordinateur pour pouvoir répondre aux ordres de maitre666. Ses mains caressèrent ses fesses, ses doigts courraient entre ses cuisses, rencontrant son clitoris, s’humidifiant au contact de ses lèvres ouvertes. Il lui ordonna de s’écarter les fesses. D’amener ses doigts au contact de son petit trou. Elle qui s’était toujours refusé à la sodomie n’hésita à aucun moment. posant ses phalanges sur son anus qui aspira immédiatement ses doigts. Elle ressentait les contractions de son vagins excitées. De son autre mains elle vient jouer avec son clitoris et enfila 3 doigts dans son vagin gourmand. Ses seins ballotaient, se griffant contre les aspérités du fauteuil. Une vague de plaisir lui envahit le corps. toutes ses zones érogènes s’enflammèrent au même instant. Elle s’écroula sur le dossier du canapé. Maitre666 n’en avait pas fini avec elle. Il lui fit créer une adresse courriel à partir de laquelle ils communiqueraient désormais, même si elle n’était pas connectée sur le tchat. Elle reçu un seul mail ce soir là. Voici l’effet que tu fait à ton maitre salope. Elle ouvrit la pièce jointe. un sexe dressé s’afficha sur l’écran. elle n’avait plus vu de queue depuis plusieurs mois. Une queue qu’elle trouva splendide, longue, large, rose, veinée avec 2 bourses bien gonflées. Elle imagina sa langue parcourir ce membre. ces lèvres se refermer sur le gland rose et imposant. Elle ressentie ce sexe envahir sa bouche, jusqu’à buter au fond de sa gorge tandis que ses mains caressait les couilles pendantes. Elle se délecta du goût du sperme envahissant ses joues, giclant sur sa langue et descendre le long de sa gorge. A 2 heures du matin il la laissa, lui ordonnant de se reconnecter le lendemain. Elle était épuisée comme si elle avait fait l’amour pendant des heures. Ses bras et se jambes pendaient mollement de son fauteuil. Sa chatte était en feu a force d’y avoir fait jouer ses doigts. Ses seins étaient rouges, ses cheveux collant de sueur. Chancelante elle retourna à sa chambre, s’affala sur son lit et s’endormit instantanément d’un sommeil sans rêve. (A suivre)
