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Cléopâtre, reine d'Egypte

Chapitre 1

Hétéro
Cette fiction est librement adaptée des faits historiques tels qu’ils nous ont été rapportés. N’y cherchez pas une quelconque véracité historique.Chapitre 1 : L’exil et le royaume

Je suis déchue. Mon frère m’a trahie. Mes armées sont défaites. En Égypte, j’étais souveraine et maîtresse d’Alexandrie. Ici, en Judée, je suis exilée et soumise au bon vouloir des seigneurs de guerre arabes. À la mort de mon père, Ptolémée XII, je suis montée sur le trône éternel d’Égypte en compagnie de mon frère cadet, Ptolémée XIII, que j’ai épousé comme le veut la coutume. Mais celui-ci m’a chassé du pouvoir pour se l’accaparer. Le petit insolent. Il pense pouvoir se débarrasser de moi et régner seul, mais il oublie qu’à seulement 18 ans, il ne maîtrise pas tous les rouages du pouvoir.

Néanmoins, il me reste peu de fidèles loyaux à Alexandrie. La ville est montée contre moi par les autorités de mon frère. L’armée de mercenaires arabes à mes ordres ne le restera que contre l’argent que je leur donne, et ma trésorerie s’amenuise de jour en jour. Je dois ruser. Je dois réussir à détourner mon petit frère des conseillers perfides qui l’ont manipulé, et le récupérer pour le manipuler à mon tour.

— Ma reine ! Sa Majesté le Roi de Judée vous attend dans la salle d’audience.

La salle d’audience. Voilà un terme bien pompeux pour désigner la tente du campement qui sert effectivement de salle d’audience. Nous vivons depuis deux semaines dans le désert de Judée, où je me suis réfugiée avec les survivants de mon armée après notre défaite à Péluse. Heureusement, le Roi de Judée est un ami de l’Égypte et je n’ai pas eu de mal à le convaincre que les machinations de mon frère sont un complot monté de toutes pièces. Je ne sais pas ce qu’il me veut.Le garde qui me conduit à la tente marche d’un pas décidé. La nuit tombe sur le désert, des feux commencent à être allumés.

— Sa Majesté la Reine Cléopâtre d’Égypte !

La tente est assez spacieuse pour qu’un simulacre de trône y soit placé au fond, gardé par deux braseros. Deux gardes encadrent l’entrée à l’extérieur comme à l’intérieur. Le jeune Roi de Judée attend patiemment au centre de la tente, face au trône vide. À l’annonce de mon arrivée, il se retourne vers moi et me fixe intensément, de ses yeux noirs profonds. Cet enfant-roi me trouble. Il a beau être aussi âgé que mon petit frère, son instinct politique et la sagesse dans son regard contrastent totalement avec ses traits juvéniles. Sa beauté si singulière me perturbe et provoque en moi des sentiments contraires, entre attirance personnelle et méfiance politique. À seulement 18 ans, il semble avoir mené toutes les batailles d’Alexandre le Grand et acquis toute la sagesse des philosophes grecs tout en portant toute la candeur de l’enfance sur son visage.

— Votre Grâce. Le soleil du désert de Judée vous embellit de jour en jour, ce qu’aucun homme sur Terre n’eût jamais cru possible après vous avoir vu de ses propres yeux. — Votre Altesse. Votre visite impromptue m’honore, ainsi que toute l’Égypte. Que venez-vous faire au campement ?
— Je viens vous quémander une audience privée.— Vous êtes ici chez vous, votre Altesse. Je vous suis redevable pour l’accueil que vous nous avez réservé, vous n’avez rien à quémander.

D’un simple geste de la main, les gardes en faction à l’intérieur de la tente sortent et ferment les deux battants de toile successifs qui permettent l’accès à la salle d’audience. Soudainement, l’atmosphère se détend. Nous ne sommes plus tenus de respecter l’étiquette et la bienséance théâtrale que nos rôles nous imposent d’ordinaire. L’enfant-roi quitte son masque royal d’apparat et devient l’enfant de 18 ans que j’ai côtoyé lors de notre dernière rencontre. Ces changements soudains d’humeur me perturbent vraiment.

— Cléopâtre, vous êtes si belle. Vous n’avez pas cessé de hanter mes nuits depuis notre dernière rencontre. L’univers que vous m’avez fait découvrir, tout ce que vous m’avez montré … Je ne peux plus attendre. J’ai besoin de vous. — Cyrus … Je suis votre obligée, je le sais. — Je ne veux pas vous forcer à quoi que ce soit. Je ferais tout pour vous, vous le savez bien.

Quelle naïveté touchante. Lorsque l’enfant est devant moi, lorsque le garçon innocent de 18 printemps prend le dessus sur le Roi tacticien expert du jeu politique, je peux le manipuler à ma guise. Et profiter de son inexpérience.

— Ma reine, montrez-moi à nouveau les palais que vous m’avez fait découvrir ! Je veux m’y engouffrer et continuer à les explorer avec vous. Laissez-moi profiter des plaisirs charnels à nouveau.

Sa candeur est touchante. Depuis le plaisir des mains et de la bouche que je lui ai fait découvrir pour obtenir notre place dans le désert, il semble obsédé par cela.

— Je partirai en guerre à vos côtés contre votre traître de frère ! Je prendrai Alexandrie ! Je brûlerai ses navires de mes propres mains, j’affronterai moi-même, seul et sans épée, toutes ses armées s’il le faut ! — La guerre n’est pas souhaitable, mon fougueux Cyrus. Permettez-moi d’atteindre mon frère dans le palais royal d’Alexandrie, et mes vœux seraient comblés. — Vous aurez ce que vous désirez. Chevaux, navires, escorte, provisions.

Si facile.

— Merci, Cyrus. Ce ne sera pas oublié. L’Égypte entière vous en sera redevable, Râ m’en soit témoin. — Je ne le fais pas pour l’Égypte, ma reine. Je le fais pour vous.

Ce garçon est vraiment trop craquant. Je ne peux plus résister. Je laisse tomber ma cape sur le sol, prends son doux visage entre mes mains et pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Docile, il se laisse faire. Je mets fin à ce baiser en caressant son visage encore imberbe. Il me regarde fixement. Je lui rends son regard intense tout en délaçant sa tunique, retirant d’une main experte les fils de lins qui la font tenir. Le voilà entièrement nu devant moi, à l’exception de chausses en laine qui cachent son intimité. Son corps est vraiment bien bâti, comme un guerrier prêt à en découdre avec n’importe quel ennemi. Mais ici, dans cette tente, je ne fais pas face au guerrier redoutable. Je domine complètement cet enfant innocent assoiffé de plaisir. Je le mène jusqu’au trône au fond de la tente, retire doucement ses chausses et le fais asseoir. Son sexe est fièrement dressé et déjà suintant, preuve – s’il en fallait une – de son excitation. Je m’agenouille devant lui. J’effleure de mes doigts sa verge. Je le sens tressaillir. Je la saisis dans une main tout en continuant de le fixer de mes yeux acérés. Il ne peut supporter mon regard lorsque je commence à la masturber doucement, et détourne le regard pour profiter de son plaisir. 

Je joue avec lui. J’accélère, je ralentis, je l’enserre plus fermement. La grande Reine Cléopâtre manipule le plaisir de l’enfant-roi Cyrus de Judée. Je ressens son pénis tressaillir. Sa jouissance est proche. Ses petits gémissements de plaisir vont me rendre folle. Je veux le faire crier, je veux qu’il me supplie de le faire jouir. J’arrête un instant ma masturbation pour laisser son plaisir redescendre. Je lèche mes doigts pour les humidifier, et caresse à présent son gland saillant, dégoulinant de liquide visqueux. Ses gémissements s’intensifient, j’adore ça. Il se trémousse dans tous les sens sur mon trône. Si je continue trop longtemps, il va exploser sur mon visage. Je reprends ma masturbation un moment, puis, sentant qu’il ne va pas supporter encore trop de changements de rythme, pose ma langue sur son pénis et lèche sa verge de bas en haut, jusqu’à atteindre son gland.

— Oh ma reine ! J’ai tant rêvé de ce moment !

Je cajole son gland avec ma langue habile tout en le masturbant d’une main douce mais ferme. Puis, je referme ma bouche sur son pénis, et commence à le sucer activement en l’aspirant comme si je voulais vider ses couilles si remplies qui ne demandent que ça. J’adore dominer les hommes, jouer avec leur plaisir, décider de leur jouissance. Et je décide que ce ne sera pas dans ma bouche royale. J’arrête ma fellation et reprend une masturbation rapide.

— Allez-vous jouir, Cyrus ?— Ma reine, je voudrais que ce moment dure une éternité ! — Laissez-vous aller, Cyrus. Souillez les tapis de cette tente qui n’attendent que votre jouissance. Honorez-les.

Le pauvre garçon est à bout. Je me relève, et vient l’embrasser à pleine bouche tout en le masturbant violemment. Je suis assise sur un côté du trône, ma langue s’engouffre dans sa bouche, et il jouit bruyamment de nombreuses giclées de sperme qui retombent toutes sur les tapis de la tente. Je suis toujours fascinée par mes jeunes amants, qui sont capables d’éjaculer une quantité incroyable de sperme.

— Ma reine … Vous êtes incroyable. — Reposez-vous, Cyrus. Rentrez dans votre palais et reposez-vous. Demandez à vos courtisanes de vous satisfaire.— Ne venez-vous donc pas avec moi ? — Je pars demain à l’aube. Je vous ferai savoir ce dont j’aurai besoin avant le lever du soleil.

Je ressors sans plus attendre de la tente d’audience, passe devant les gardes en faction sans dire un mot. L’air nocturne du désert est glacial. Deux gardes autour d’un brasero se rapprochent de moi et m’apportent une chaude cape en laine pour retourner à la tente qui me sert d’appartement. J’y retrouve mon général Achillas, le commandant de mon armée. Enfin, de ce qu’il en reste.

— Votre Grâce.— Mon Général. Nous quittons le camp à l’aube.— Où voulez-vous nous mener ? Nous ne sommes pas de taille à affronter l’armée d’Égypte à nouveau.— Je sais, Achillas. Nous partirons, vous et moi, ainsi que votre meilleur guerrier pour Alexandrie. J’ai obtenu du Roi Cyrus les moyens de nous y rendre.— Ma Reine.

Le général salue et prend congé. J’apprécie sa loyauté et sa discrétion. Il ne pose jamais de questions intempestives et obéit toujours à mes ordres. Je déniche un parchemin vierge dans ma tente, entre deux ouvrages classiques écrits en grec et en arabe, et rédige ce dont j’aurai besoin pour m’infiltrer dans le palais. Je le fais envoyer au Roi Cyrus par un messager. La nuit sera courte, j’ai besoin de repos.
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