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Cléopâtre, la salope du Nil

Chapitre 1

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Assis sur son trône, Ptolémée réfléchissait. Le pouvoir était devenu un trop lourd fardeau sur ses épaules de 19 ans. De plus, il avait été marié à sa grande soeur Cléopatre dans le but consolider le pouvoir. Mais cette union incestueuse (chose assez courante dans la noblesse égyptienne) avait sombré à cause de la soif de pouvoir de la jeune reine.
Ils avaient fini par se séparer. Cléopatre dirigeait le sud et la capitale Thèbes tandis que Ptolémée regnait sur le nord avec pour capitale Alexandrie. Les tensions augmentaient au fûr et à mesure que le temps passait et Ptolémée supportait mal l’idée que la moitié de l’Égypte puisse être dirigée par quelqu’un d’autre. Il envisageait de mener ses troupes contre Cléopatre. Cette dernière avait elle aussi l’idée d’attaquer Ptolémée afin de prendre seule le contrôle de l’Égypte. Mais elle pensait à une autre sorte d’attaque.
***
Le reflet de la lune se montrait à la surface du Nil. La quasi totalité de la ville d’Alexandrie était endormie. Le cri d’un chacal vint troubler le silence de la nuit. Dans la tradition égyptienne, le cri d’un chacal annonçait la mort. Certains habitants se réveillèrent et se mirent à prier Anubis de les préserver de la guerre civile qui se profilait à l’horizon.
Dans le calme de la nuit, une douzaine de jeunes filles se faufilait dans la ville haute, près des appartements de Ptolémée. Parmi elle se trouvait la jeune reine, facilement reconnaisable à ses lèvres pulpeuses et son cul digne de faire bander le grand Osiris en personne.
La plupart des gardes du palais de Ptolémée étaient des Nubiens, ces colosses d’ébène venus du Nord de l’Afrique. Le petit groupe de filles qui accompagnaient Cléopatre n’avait aucune chance de gagner contre les vingt-quatre soldats qui gardaient la résidence du jeune pharaon, mais la jeune reine avait pensé à une stratégie qu’elle disait infaillible. Arrivés près du palais, les douze jeunes filles se séparèrent.
De forme circulaire, le palais avait douze portes, chacune d’elles était gardée par deux colosses nubiens. Cleopatre avait donné des instructions claires et précises à sa petite armée, l’une d’entre elles devrait se diriger vers chaque porte et distraire les deux gardes comme bon leur semblera. Tout ça pour permettre à la treizième qui n’était autre que Cleopatre, d’entrer et de tuer son frère.
Tandis que ce dernier dormait et rêvait d’une grande bataille où ses milliers de soldats affronteraient l’armée de sa soeur, la vraie bataille allait se dérouler dehors, douzes filles contre ses vingt-quatre grands soldats nubiens. Tandis que les filles se rapprochaient des portes, Cleopatre restait en retrait, guettant une occasion pour se faufiler dans une des portes.
***Une fois arrivées près des portes, certaines filles feignaient d’avoir été envoyées pour offrir aux gardes un moment de répit. Et ceux-ci se laissèrent caresser le torse. Près de deux minutes plus tard, la plupart des filles étaient à genoux, en train de sucer les longues bites des soldats nubiens. Certaines étaient déjà plaquées contre un poteau du palais et se faisaient baiser.
Cleopatre observait la situation à partir d’une ruelle lorsqu’elle remarqua que quelqu’un se dirigeait vers le palais, cette silhouette, elle la reconnaîtrait entre mille. Il s’agissait de Mori, le chef de la garde des Nubiens. Elle croyait qu’il était en mission hors d’égypte mais aparemment il se trouvait bien dans la ville. Cleopatre savait que Mori pourrait nuire à ses projets s’il arrivait au palais. Elle allait devoir s’occuper de lui en personne. Il l’avait connu quand elle était plus jeune et la reine avait changé, elle esperait qu’il ne la reconnaitrait pas.
— Héé toi.
Mori se retourna et fit face à la jeune femme.
— Qui es tu ? Femme.
Cleopatre ne répondit pas à lui prit la main, l’entrainant vers une ruelle sombre de la ville. Elle lui caressa le torse. Tandis qu’il allait parler, la jeune reine saisit ses lèvres avec les siennes et lui fit l’amour. Leurs lèvres se mélangèrent et le chef de la garde commença à malaxer les fesses de la belle égyptienne.
Celle ci se mit à genoux en face du colosse et entreprit de lui libérer la bite. Elle se retrouva face à 25 centimètres de chair dont les veines reluisaient à la lumière de la lune.
Elle commença à lécher le gland, ce qui arracha un râle de plaisir à Mori. Cleopatre était une suceuse expérimentée. Elle suçait souvent les gardes de son palais lorsqu’elle s’offrait à eux. Elle avait de grandes pulsions sexuelles qu’un seul homme ne pourrait calmer. Souvent elle se retrouvait en train de chevaucher une grosse bite alors qu’une autre lui défonçait le cul. La double pénétration, elle aimait cela plus que tout au monde.
Elle continuait à lécher le gland turgescent de Mori tout en lui malaxant les couilles.
— Ohhh ouiii, qu’est-ce que tu suces bien... Vas-y... Humm ouiii... Ça s’voit que t’es une salope... Une suceuse de queue professionelle...
Encouragée par ces injures, Cleopatre mouillait comme une folle et commença à gober la longue bite de Mori. Elle serrait ses lèvres afin de l’exciter de plus en plus. Elle commença alors les allers-retours et multiplia les coups de langue sur le gland du géant nubien.
— Vas-yyyyy... Oh putain... Par Osiris... la salope... Continue ainsi ne change pas de rythme... Lèche bien ma queue et tu auras une belle récompense...
Mori se baissa un peu et entreprit de la doigter lorsqu’il se rendit compte qu’elle mouillait comme la pire des catins.
— J’en peux plus. Je vais te défoncer comme la chienne que tu es.
Il la souleva comme un fêtu de paille avant de la déposer sur son dard. Cleopatre poussa un cri de plaisir et de douleur. Son chibre était imposant et étirait les parois de la chatte royale. Il la tint ainsi, sur sa bite.
***
Debout dans cette ruelle d’Alexandrie, Mori ne savait pas que celle qui haletait et hurlait sur sa bite depuis près de dix minutes était la fameuse reine Cleopatre. Il la baisait avec violence et Cleopatre commençait à aimer celà. La douleur avait fait place au plaisir et elle en demandait plus. Elle montait et descendait sur cette bite d’ebène qui la défonçait et lui procurait de plus en plus de plaisir.
— Oh ouiii... Défonce moi... Tu m’exploses la chatte... C’est trop bon... Tu baises comme un dieu .. Oh ouii... Vas-yyy... Fais de moi ta chienne... Baise moi comme la sale pute que je suis...
Mori obéissait et continuait à la défoncer. Soudainement il s’arrêta et ôta sa bite de sa chatte. Il la plaqua contre mur et commença à frotter sa bite contre l’anus de la reine.
— Tu veux que je te défonce ? Alors tu vas être servie...
À suivre...
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