Le reflet des milliers d’étoiles visibles dans la voute céleste se glisse sur le Nil au fil des minutes. En cette nuit d’hiver, il fait extrêmement froid. C’est la raison principale pour laquelle le lit de Ptolémée est occupé par une belle jeune fille venue des contrées lointaines du pays du soleil levant. Chargée de réchauffer le jeune monarque, elle est, tout comme lui, plongée dans un profond sommeil. Elle a vraiment besoin de repos après que le roi l’a sauvagement pénétrée durant de longues heures, lui arrachant minutes après minutes de longs cris de plaisir et l’emmenant sur les rives de la jouissance une dizaine de fois. Si Ptolémée est jeune, il compense son manque d’expérience par une force mentale et physique impressionnante. Il administre l’Égypte d’une main de fer. Mais cette rigidité n’est pas seulement administrative, les nombreuses femmes de son harem et sa femme sont au courant que le roi possède une bite longue d’une vingtaine de centimètres. Le tout surmonté d’un gland turgescent, violacé. Deux lourds testicules viennent compléter le paquet royal. Ses concubines savent mieux que personne que le roi est une machine à baiser, il ne se fatigue qu’après leur avoir complètement défoncé la chatte et le cul. Et une fois sa semence royale éjectée de sa jeune verge vers la bouche et les fesses d’une femme, il se plaît à la laisser à ses gardes, afin qu’ils continuent de la mener vers les rivages du plaisir. Ses concubines sont comblées. Xi-Tao, celle qui dort avec lui ce soir, est originaire d’une lointaine contrée asiatique. Elle est une experte en fellation, souvent le tyran trouve le sommeil grâce à sa langue. Fatiguée et perdue dans le monde des rêves, Xi-Tao ne sent pas le poignard de Cléopâtre s’enfoncer dans son cou. Elle sombre pour toujours dans le monde des morts, emportée par Anubis. Tout comme Xi-Tao, Ptolémée ne sent rien. Mais pour lui, la froideur de la lame du poignard fait place à la douce étreinte d’une corde liant ses deux mains aux coins nord de son lit, de même que ses jambes aux coins sud. Après avoir lié son frère, Cléopâtre prend sa bite en main, elle lui lèche doucement le gland. Alors que les cordes ne l’ont pas réveillé, la douce langue de sa sœur le fait frémir et il ouvre les yeux, croyant que Xi-Tao lui fait une petite gâterie. Plongé dans la dure réalité, avec Cléopâtre en train de le regarder en souriant et sa concubine égorgée baignant dans une mare de sang, Ptolémée, contre toute attente, sourit. Il ne peut hurler, alors que sa sœur tient sa bite en bouche. Il sait que la partie est perdue. — Alors ainsi tu as réussi à t’introduire jusqu’ici, chère sœur. Elle ne répond pas, elle continue à lécher le gland de son frère. Sa bite atteint une taille appréciable. Elle pompe sa hampe comme si sa vie en dépendait. Ptolémée adore ce jeu sadique, il ne peut bouger et il sait que sa fin est proche, s’il doit mourir, il vaut mieux que ce soit après une dernière fellation venant de sa pute de sœur. — Oh ouiii… tu suces bien. Je vois qu’il y ‘a de l’amélioration dans ta méthode. Résistant d’habitude, Ptolémée finit par se lâcher et éjacule dans la bouche de Cléopâtre en poussant des râles de plaisir. La reine se lève, la bouche pleine de sperme résultant de cette fellation incestueuse. Elle va vers la fenêtre et prend le cor royal. Elle souffle dedans de toutes ses forces.Ses troupes, postées hors d’Alexandrie, avancent et commencent à prendre les avant-postes de la ville. Tout comme le palais royal, la ville n’est pas préparée efficacement contre ce genre d’attaque. De plus, Cléopâtre bénéficie d’un millier de soldats romains, chose qu’ignore Ptolémée.Sentant que la victoire lui appartient, elle sourit. — Si seulement tu savais à quel point je t’aime ma sœur. Elle ricane. *** Alors que les gardes baisent les filles qu’avait amenées Cléopâtre, ils reçoivent une salve de flèches des archers romains. Ils s’écroulent sur le sol, sans vie. Anubis doit être particulièrement content ce soir, le gardien du royaume des morts va devoir effectuer plusieurs voyages pour grossir les rangs de son empire des ténèbres.
Du haut de la fenêtre de la chambre royale, Cléopâtre se délecte du spectacle qui s’offre à ses yeux, une Alexandrie réveillée en pleine nuit, qui tente en vain de se défendre contre une attaque surprise. — Que comptes-tu faire maintenant ? Demande Ptolémée.— Si seulement tu savais combien j’ai rêvé de ce moment, de ce jour où enfin je pourrais me débarrasser de toi et récupérer ce qui me revient de droit.— Tu auras beau avoir Alexandrie, le peuple se soulèvera, ils ne t’aimeront jamais, sois en sûr.— Ils m’aimeront, tout comme nous nous sommes aimés il fût un temps.— Quand je t’ai demandé ce que tu comptais faire, je parlais du sort que tu me réserves. Cléopâtre sourit. — Je crois savoir que tu connais bien les romains, il y’a à Rome certains gladiateurs qui aimeraient baiser une petite salope au cul vierge comme toi. J’ai déjà préparé ton voyage d’Alexandrie à Rome. Il essaye de se dégager de ses liens, fait une grimace. — Non ! Tu ne peux pas me faire ça ? Je suis ton frère !— Tu as essayé de me faire tuer à de nombreuses reprises, quel amour fraternel, lance-t-elle ironiquement.— Pitié!— De la pitié? Je viens d’en avoir tout à l’heure, quand je t’ai offert ta dernière fellation. Des fellations, c’est toi qui en feras maintenant. Tu vas être formé à Rome et tu reviendras ici, comme une catin. Ton cul sera plus large que le bateau du Dieu Râ. Afin de l’empêcher de répondre, elle le bâillonne. Ptolémée essaie d’hurler en vain. Mais il a beau faire semblant, au fond il aime ça. Il a hâte de se faire tringler par ces hommes musclés et torrides dont la réputation dépasse la Méditerranée. Des pas se rapprochent, deux soldats romains font irruption dans la pièce et s’agenouillent devant la reine. — Ma reine, quels sont les ordres ? Demande le plus grand d’entre eux.— Débarrassez-moi de cet homme, envoyez-le à Rome auprès de César. Dites-lui qu’il doit servir de salope auprès des nobles gladiateurs de Rome. Mais en attendant, disposez de lui comme bon vous semblera ce soir. Il aime ça, il cache bien son jeu. Les deux hommes échangent un sourire, l’érection qui vient de faire son apparition chez Ptolémée prouve que la reine a raison et qu’il est plus que consentant. Ils détachent un Ptolémée excité et le font sortir de la chambre.Cléopâtre s’assoit sur le lit encore empreint de l’odeur du sexe et du sang de Xi-Tao.Une nouvelle ère va commencer. À suivre…
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