Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 351 J'aime
  • 8 Commentaires

Le Déclic... en famille ...

Chapitre 1

Inceste
Connaissez vous "Le Déclic", cette fameuse BD de Manara ? Figurez vous qu’il m’est arrivé une drôle d’histoire, dont le sujet n’est pas si éloigné...

Je m’appelle Adrien, j’ai 20 ans, et j’habite dans l’Est de la France, avec mes parents et ma sœur.C’était le printemps dernier. Dès mes cours terminés, je suis rentré à la maison. J’ai pris un truc à grignoter dans le frigo et je suis allé dans le salon. Il y avait ma sœur Clara, affalée dans le sofa, en train d’écouter de la musique.Comme à son habitude elle ne me calculait même pas. Clara n’a jamais été très chaleureuse avec moi. C’était même une vraie petite peste. Entre elle et moi c’était chien et chat, toujours à se chamailler... Ce jour là elle était habillée d’un t-shirt blanc qui moulait sa poitrine et un mini short rose. Malgré son sale caractère, je devais avouer qu’elle était vraiment pas mal gaulée, ma sœurette. Petite blonde, menue, mais avec des formes très appétissantes, et surtout des yeux d’un bleu profond, magnétique. 
C’est là qu’un drôle d’objet attira mon attention sur la table. C’était une sorte de boîtier, de couleur verte, d’aspect assez anodin, avec plusieurs boutons.— C’est quoi ce truc ? demandai je à Clara.— Aucune idée. C’était là quand je suis rentrée.— Tu sais vraiment pas ?— Non. Ca ressemble à une commande à distance. C’est peut être maman qui l’a ramené de son boulot. Mais laisse moi tranquille, j’écoute de la musique.
Poussé par ma curiosité, j’ai attrapé le boitier. Il y avait un bouton marche-arrêt dessus. J’ai poussé le bouton. Il y eut une lumière rouge qui apparut sur le boitier.— Pourquoi ça clignote ? demandai je à Clara.— Je ne sais pas, répéta t-elle, agacée.
Mais l’instant d’après Clara se mit en position assise dans le canapé et fronça les sourcils, comme si elle était prise d’un malaise.— Clara, qu’est ce qui se passe ? Ca va ?— Oui ca va. Mais je me sens toute bizarre, tout d’un coup. J’ai très chaud.— Ha bon ? Il ne fait pas spécialement chaud...— Si... Je ne supporte plus mes vêtements là...
Devant mes yeux stupéfaits je la vis alors commencer à se déshabiller. Elle enleva son T shirt, sous lequel elle portait un petit soutien-gorge blanc.

— Clara ca va ? Qu’est ce qui te prend ?— Je sais pas... Je n’en peux plus. Il me faut de l’air !!!
D’un geste fébrile elle passa alors ses mains dans son dos, enleva l’aggraphe de son soutien-gorge, et le laissa tomber sur ses genoux. Elle était seins nus. Et moi bouche bée. Je ne savais que dire. Je ne comprenais évidemment pas pourquoi Clara faisait ça. Mais le résultat était là. Ca faisait d’ailleurs bien longtemps que je ne les avais pas vus, ses beaux petits seins, tout ronds, tout mignons. Clara me fixait avec un drôle d’air. Elle se leva et s’avança vers moi, et posa ses mains autour de ma taille.— Adrien je ne comprends pas ce qui se passe. Aide moi...— Mais comment ?— Je ne sais pas, j’ai la tête qui tourne.. Excuse moi...
Collée à moi, elle commença me caresser partout, glissa ses mains sur mon torse et descendit vers mon sexe, qu’elle se mit à caresser à travers mon pantalon.— Clara, mais ça va pas ? Qu’est ce que tu fais ?— Adrien, je sais pas ce qui m’arrive, là... J’ai une envie folle de...
Sans terminer sa phrase, Clara s’accroupit alors devant moi, baissa mon pantalon et mon caleçon. En deux gestes elle avait libéré ma queue. Elle la prit dans la main et sans un mot l’enfourna dans sa bouche. Elle se mit à me sucer d’une incroyable façon, comme si elle était affamée. Evidemment je ne mis pas longtemps avant de bien bander. Le traitement de Clara était irrésistible. Elle allait et venait avec sa bouche, malaxant mes couilles. C’était génial.
Je devais avouer toujours avoir eu ce fantasme de me faire sucer par ma peste de sœur. Mais jamais je n’aurais pensé qu’un jour ça arriverait, et pas de cette façon si soudaine en tous cas.
— Clara, mais enfin, qu’est ce qui t’arrive ?— Je sais pas ! Mais c’est tellement bon ! Ta queue est superbe Adrien ! Je l’aime trop !
Elle remit mon sexe dans sa bouche et recommença à me sucer de plus belle. Elle semblait vraiment se régaler, utilisant beaucoup de salive et me masturbant frénétiquement en même temps. Ca l’excitait comme une dingue. Et moi aussi.— Clara, c’est pas normal ! Il y a un truc, là... C’est trop étrange !— Mais non, tout va bien ! C’est juste que j’en peux plus ! Excuse moi, j’arrive pas à m’empêcher, j’ai tellement envie !
Elle se redressa, retira son petit short et sa petite culotte. Elle se retrouva alors entièrement nue devant moi. Elle s’assit dans le sofa à nouveau et écarta les jambes, exhibant sa petite vulve toute épilée, toute lisse. Clara étant plutôt blonde, ses lèvres étaient d’une jolie couleur rosée, c’était magnifique. Elle glissa alors un doigt entre ses lèvres, les écarta pour me montrer l’intérieur. Je constatai qu’elle était déjà trempée, chaude comme la braise. 
— Frérot, viens au dessus moi ! Il me faut ta queue ! dépêche toi... Prends moi !— Clara, c’est pas normal ! C’est peut être ce boîtier qui...— Je m’en fous, viens vite, je n’en peux plus ! Mets moi ta queue !
Brûlante d’impatience, Clara attrapa alors ma main pour me faire venir sur elle, me forçant à m’installer entre ses jambes. Là elle saisit mon sexe, le dirigea vers sa vulve. Agrippant mes fesses elle me fit pénétrer en elle. Ma queue glissa jusqu’au fond de son vagin. J’entamai alors des va et vient en elle, regardant complètement abasourdi mon membre disparaître au fond du corps tout menu de ma sœurette. Mon plaisir était énorme et Clara semblait très excitée aussi car elle mouillait beaucoup. Ma queue était trempée d’une cyprine blanche, abondante qui suintait de sa chatte.En quelques minutes elle réussit à me faire prendre toutes les positions possibles et m’amener au bord de la jouissance. Elle criait, remuait comme une folle, m’implorant de la prendre par devant, par derrière, s’installant au dessus de moi, s’agitant sur ma bite comme une damnée. — Ha c’est bon !!! Encore Adrien ! Encore !— Clara arrête, c’est trop bon je vais...— Non ! J’en veux encore !— Trop tard, désolé, je ne tiens plus ! Haaa !— C’est pas grave, frérot ! Vas y jouis dans ma chatte ! Régale toi. Je prends la pilule, ça ne risque rien.— Ha Clara, je viens... Non ! Haaa ouiiii !
J’explosai en elle, dans une vague de plaisir qui me submergea, libérant ce qui me sembla être des litres de mon jus à l’intérieur de ma surprenante frangine. Le temps que je me retire d’elle, et que j’essuie mon sexe trempé d’un mélange de nos deux jus, Clara s’écarta de moi, visiblement ravie, le sourire aux lèvres. 
Elle alla ensuite récupérer à la cuisine des sopalins pour s’essuyer elle aussi. Puis, redevenue sérieuse et imperturbable, elle récupéra son short, son t-shirt. Lentement elle se rhabilla. 
Un peu gêné, mais heureux d’avoir vécu un tel moment de plaisir, je fis de même et remis mon pantalon.— Clara, ca va ?— Adrien, qu’est ce qui s’est passé ?— Comment ça "qu’est ce qui s’est passé" ?— J’ai un blanc de quelques minutes, là...— Mais enfin, tu m’as sauté dessus Clara. Tu te rappelles pas ?— Je t’ai sauté dessus ? Pourquoi faire ?— Ben pour... Enfin, on vient de baiser ensemble, Clara ! Tu t’en rappelles déjà plus ?— Meeerde ! Oui, ça me revient ! J’ai vraiment fait ça avec toi ? Tu m’as vraiment mis ta bite, là ?— Ben oui... C’est un peu la base quand on baise... J’ai joui en toi, même ! 
Comme pour vérifier mes dires, Clara passa ses doigts entre les lèvres de sa chatte, et les retira, dégoulinants de jus blanc translucide. — C’est ton sperme ? Berk ! Quelle honte ! Ca me dégoûte !— Heu, ça avait pas l’air de te dégoûter tant que ça, il y a quelques minutes de ça ! C’est même toi qui m’a demandé de jouir en toi ! — Ha bon, j’ai fait ça ? — Ben oui. C’est dingue que tu t’en rappelles pas ! C’est un truc de fou ! Tu crois que c’est ce boitier, là ? Au moment même où je l’ai allumé, tu as commencé à te sentir bizarre... Et là ça s’est arrêté de clignoter.— Je ne sais pas. Mais en tous cas tu ne diras rien aux parents ?— Non promis.— Bon. Tu as intérêt ! Allez, laisse moi tranquille.
Clara fila dans sa chambre. En quelques secondes elle avait à nouveau changé d’attitude. Elle semblait tout avoir oublié et était redevenue la grande soeur dédaigneuse que je connaissais. Je n’y comprenais rien. Il avait du se passer quelque chose d’anormal ! Était ce en lien avec ce boitier ?
xxxxxxxxxxxxx
Le soir, ma mère nous appela pour venir manger. Mon père était absent pour une petite semaine, en déplacement professionnel, et nous étions juste tous les trois, Clara, ma mère et moi. Lorsque nous fûmes tous assis à la table familiale, je surveillai Clara du coin de l’oeil. Elle ne semblait pas se souvenir de ce qui s’était passé quelques instants avant. Elle était ni plus ni moins désagréable qu’à son habitude. La télé était branchée, et ma mère ne nous prêtait pas attention. Ça m’arrangeait plutôt, pour l’occasion. Je n’avais pas trop envie de discuter... 
Toute la soirée je repensai à ce qui s’était passé. C’était fou, Par quel miracle ma sœur avait elle été amenée à baiser avec moi ? Ca ne pouvait être  un effet de sa générosité, ou d’une soudaine affection pour moi. Elle avait vraiment été prise d’une pulsion incontrôlable. Était-ce en lien avec ce boîtier...? Il me revint alors à l’esprit cette BD ultra connue de Manara, "le déclic" où l’héroïne se met à faire des choses complètement folle, baiser avec le premier venu, sous l’impulsion d’un tel engin...Etait-il possible qu’un tel système existe en réalité ? Qu’une certaine fréquence d’onde par exemple ait pour effet d’exciter monstrueusement l’esprit féminin (ou masculin d’ailleurs) ?
xxxxxxxxxxxxx
Le soir même, je suis allé dans ma chambre, et avec un petit tournevis j’ai démonté le boîtier. A l’intérieur c’était un enchevêtrement de composants électroniques. Je n’y comprenais rien. Je refermai alors le boitier et allai m’asseoir sur mon lit pour me déshabiller avant d’aller dormir.
J’avais tout juste enlevé mon pantalon, lorsque j’entendis toquer à ma porte. C’était ma mère.— Adrien, je peux rentrer ?— Heu oui... Qu’est ce qu’il y a ?— Rien mon chéri, je viens juste te dire bonne nuit.
Elle était habillée d’une vieille robe de chambre rose avec des froufrous, qu’elle traînait depuis des années. Ma mère n’était du reste plus un modèle de beauté, avec pas mal de kilos en trop, des vêtements en général très ringards et une coupe de cheveux au carré, complément démodée. — Bon, hé bien bonne nuit, mon chéri. Tu as cours à quelle heure demain ?— Heu, vers 10h, maman...
Tout en parlant avec ma mère, j’eu une idée : "Et si je réessayais mon boîtier ?" me demandai-je. Après tout ça ne coûtait rien d’essayer. Ma mère était là, dans ma chambre, seule avec moi. Et même si à priori elle ne m’inspirait pas de fantasme particulier, il fallait juste que j’en aie le coeur net, que je sache si ce boitier avait réellement ce pouvoir maléfique, ou si l’aventure avec Clara était juste un hasard.
Discrètement j’appuyai sur le bouton. La lumière se mit à clignoter. Alors ma mère se figea.— Qu’est ce qu’il y a maman ?— Je sais pas. Tout d’un coup je sens un drôle de truc.
Elle s’assit sur mon lit, comme prise de vertige.— Oulala, je ne sais pas ce qui se passe, j’ai tellement chaud tout d’un coup !
Et là, devant devant mes yeux incrédules, elle ouvrit sa robe de chambre, comme si elle recherchait un peu de fraîcheur, puis elle l’enleva carrément. Par dessous elle était vêtue d’une simple chemise de nuit, assez légère.— Adrien, je ne me sens pas bien ! Qu’est ce qui se passe ?— Heu, je ne sais pas maman...— C’est insupportable, cette chaleur dans ta chambre !— Maman, il ne fait pas chaud du tout ! Mais je dois t’avouer un truc avec ce boîtier, là. Je l’allume et il se passe des choses étranges. C’est peut être ça, cette impression de chaleur...— Quoi ? De quoi parles tu ? Ca ne va pas du tout... J’ai la tête si lourde !
Toute perturbée, haletante comme si elle manquait d’air, ma mère retira alors sa chemise de nuit à son tour. Sous mes yeux ahuris, elle se retrouva en petite petite culotte. ... Seins nus...Ils étaient énormes, un peu trop mous, mais très impressionnants quand même. Elle me regardait avec des yeux exorbités, très bizarres.— Qu’est ce qui se passe, Adrien ? Je ne comprends pas, j’ai des vertiges, et des envies étranges.
Si j’avais été raisonnable, j’aurais arrêté ce jeu dangereux, appuyé sur le bouton "off" du boîtier électronique, avant d’aller trop loin. Cet engin semblait vraiment avoir des pouvoirs terribles. Mais trop tard. Car ma mère avait commencé à basculer dans le même état d’excitation intense que Clara la veille.
— Ha, j’ai trop chaud, je ne supporte plus rien ! Ma culotte me gêne !
Sans attendre de commentaire de ma part, elle glissa ses doigts dans les élastiques de la culotte, la fit glisser vers le bas et l’enleva entièrement. Elle écarta alors les jambes et me livra l’incroyable spectacle de son intimité totalement dévoilée.... Sa chatte ... Ainsi ma mère m’offrait la vision de sa belle foufoune, bien poilue. Entre les poils très blonds de sa toison, sa vulve était bien visible, massive, charnue. De ses grandes lèvres dépassaient largement ses petites lèvres. Je n’avais pas vraiment prévu ça, mais la vision du sexe de ma mère, le caractère inattendu de la situation, tout cela commença à m’exciter énormément.
Ma mère passa ses doigts sur sa vulve, écartant ses lèvres, commença à se caresser le clitoris. En même temps elle me regardait avec un petit sourire provocateur, sûre de son effet. Au bout de quelques secondes de ce traitement, elle dû juger qu’il était temps de passer aux choses sérieuses, car elle rapprocha alors de moi, puis, toute langoureuse, comme une chatte en chaleur, passa les mains sous mon t-shirt, les glissa sur mon torse...— Tu es musclé, mon chéri. Et ta peau est douce !— Maman, qu’est ce que tu fais ? Arrête, ressaisis toi !— Laisse moi m’occuper de toi ! J’en ai tellement envie...
Alors elle retira mon t shirt et s’attaqua à mon caleçon. Elle agrippa les élastiques et tira le caleçon, l’entrainant vers mes mollets. Elle le retira alors entièrement, et l’envoya valser en bas du lit. Son visage s’illumina d’un large sourire en découvrant ma bite.— Mon Dieu, qu’elle est belle !
Ainsi ça recommençait. Après ma sœur, ma mère ! J’étais bien conscient que ma mère n’était pas dans son état normal. J’aurais voulu tout arrêter, mais elle avait attrapé mon sexe dans ses mains et me masturbait avec entrain. Alors oui, j’avoue : je l’ai laissée faire, me caresser, me branler et finalement.. me sucer...Car elle était descendue vers mon bas ventre et avait mis ma bite dans sa bouche. Elle se mit à me sucer avec délectation. En même temps j’admirais ce corps aux formes larges, épanouies, qui tout compte fait me paraissait fait pour être aimé. Je n’osais plus bouger, de peur de rompre le charme. Quel bonheur de se faire sucer pas sa mère !Après m’avoir régalé de cette somptueuse fellation, tout en savoir faire et maîtrise, ma mère ordonna :— Allez, viens, baise moi ! Je ne sais pas ce qui se passe mais j’ai trop envie. Je n’en peux plus !
Elle me tira à elle, comme Clara l’avait fait l’après midi, sans me laisser d’alternative. Elle saisit ma queue, l’orienta vers sa vulve, et sans plus de discussion, elle la fit rentrer en elle. Bien sûr je me laissai faire. J’étais moi même super excité, je bandais dur. Je commençai alors à la baiser avec une énergie que je ne me connaissais pas. Faire l’amour à ma mère n’avait jamais fait partie de mes fantasmes. Mais là, dans cette situation, aussi improbable, inattendue, c’était tellement excitant ! Jamais je n’aurais imaginé prendre autant de plaisir. Complètement couché sur elle, sur ses gros seins, je laissai mes hanches remuer et ma queue bouger dans sa chatte, faire des va et vient de plus en plus agréables. Je relevai ensuite ses jambes et je m’écartai pour mieux profiter du spectacle incroyable de ma bite en train de pénétrer cette grosse vulve trempée d’une abondante cyprine blanche.
Et là j’y allai de bon cœur : j’augmentai mon rythme de va et vient, de plus en plus rapide, énergique. Je tenais ses jambes bien relevées et c’était d’énormes coups de butoir que j’envoyai dans ce vagin trempé d’excitation. Quel pied ! Sous ses airs de grosse maman un peu ringarde, ma mère était extraordinairement excitante. J’imaginais quel plaisir devait prendre mon père à la baiser, et du coup ça m’excitait encore plus. Là aussi ma résistance fut vite atteinte. J’allais jouir quand ma mère m’interrompit.— Ha maman, c’est trop bon ! Je vais venir !— Non, retiens toi ! Baise moi encore !
Un peu surpris par son ton autoritaire, je réussis tant bien que mal à me contrôler, et je sortis d’elle. Elle se retourna alors, m’offrant son gros cul. Elle écarta ses fesses pour me laisser jouir du spectacle de toute sa fente, de l’anus à la vulve. J’agrippai alors ses hanches dodues et rentrai ma queue en elle à nouveau. Je me relançai dans une série de coups de rein énergiques. 
Curieux d’expérimenter toutes sortes de choses, je mouillai alors un doigt avec de la salive et je le glissai à l’entrée de son anus. Complètement détendue, ma mère le laissa rentrer, quasiment sans forcer, jusqu’au fond. A travers la paroi vaginale je pouvais sentir ma bite. C’était génial. Tout en doigtant ma mère dans le cul, je recommençai mes va et vient énergique dans son vagin. Ma mère était incroyablement excitée, elle aussi.— Tu veux me prendre par le cul, mon chéri ?— Je peux faire ça maman ?— Oui, évidemment !
Trop content de pouvoir expérimenter ce genre de pratique, je retirai ma queue de son vagin et je la positionnai à l’entrée de son petit trou. Je poussai légèrement et hop ! Le gland pénétra directement. C’était magique. Je n’avais jamais fait ça (mes copines de l’époque n’aimaient pas ça). Je commençai alors à me mouvoir au fond de son rectum, arrachant à ma génitrice maints gémissements. Hélas j’étais trop excité... Incapable de résister plus longtemps. Je sortis de son cul et rentrai en vitesse dans son vagin. C’est là, dans ce vagin, origine de ma naissance, que je voulais jouir ! Je me laissai alors aller, et éjaculai en elle, dans un orgasme incroyable .... J’étais au paradis.C’est là que la lumière rouge s’éteint. Ma mère se redressa, toute dégoulinante de mon sperme.— Adrien, que s’est il passé ?— Heu... Ben, on a baisé...— Ha bon ? Oui, ça me revient. C’était comme dans un rêve... J’ai eu tellement envie... C’était réel ?— Ben oui... C’était même vachement bon... — Ha mince ! Oui c’est vrai ! C’est terrible ! Je suis désolée mon fils, je ne sais pas ce qui m’a pris...— Mais c’est pas grave maman...— Ne dis ça à personne, et surtout pas à ton père, compris ?— Évidemment, maman...
A nouveau, comme dans le cas de Clara, ma mère semblait à moitié avoir oublié ce qui s’était passé, de façon instantanée. C’était fou.Elle se rhabilla en silence, déposa un baiser sur mon front et sortit de ma chambre comme si rien n’était (mais plutôt contente quand même). 
xxxxxxxxxxxxxxx
Ainsi le terrible pouvoir du boîtier magique semblait se vérifier... Ca me faisait un peu peur, mais le constat était là. Dire que j’étais perplexe était un euphémisme. Certes ça avait été une expérience délicieuse, j’avais adoré baiser ma sœur et ma mère. Mais il y avait quand même quelque chose qui m’interpellait. "le Déclic", c’est une histoire de science fiction. Ca ne peut pas exister en réalité ! Alors comment expliquer l’attitude de Clara, et de ma mère ????Il avait suffi d’appuyer sur ce bouton pour provoquer une irrésistible pulsion sexuelle chez les deux femmes. Mais j’avais beau essayer de comprendre, je ne voyais pas comment ceci était possible, par quel miracle technologique un tel engin pouvait provoquer ce genre de débordement.
xxxxxxxxxxxxxx
Le lendemain après midi, une copine de classe vint a la maison pour réviser pour nos partiels de fac. Elle s’appelait Louise, jolie brune aux cheveux longs. Depuis le début de l’année je fantasmais souvent sur ses jolis seins, son petit cul tout rond. Ce jour là elle était habillée d’un pantalon très moulant qui mettait son cul spécialement en valeur, laissant deviner jusqu’aux formes des lèvres de sa chatte. J’avais du mal à me concentrer... Et si je me servais encore du boîtier ? 
Après tout, un tel engin pouvait permettre de baiser toutes les femmes les plus belles du monde : quel fantasme !!!! Louise serait la première (sans compter ma mère et ma sœur). 
J’allais le récupérer dans ma chambre. Mais au moment de mettre le bouton en position "marche", j’eu quand-même quelques remords. Ce n’était pas très "réglo" quand même, comme pratique. Baiser une fille dont le comportement était ainsi altéré, c’était un peu limite, voire carrément abject, je m’en rendais compte...
En réalisant ça j’en eu des sueurs froides. Qu’allai-je faire ? Quel salop je serais si je me servais du boitier pour assouvir mes pulsions ? Les effets mystérieux de l’objet étaient vraiment dangereux. Avec Clara et ma mère, je n’étais pas au courant, j’avais des circonstances atténuantes. Mais là je savais. L’utiliser à nouveau avec Louise aurait été véritablement dégueulasse. 
Je décidai donc de ne pas m’en servir. J’allais ainsi le ranger dans un tiroir lorsque Louise arrêta mon geste.— Adrien, c’est quoi ce truc ?— Quel truc ?— Ce boitier, là, que tu caches ?— C’est rien...— Fais voir.
Elle m’enleva le boîtier des mains.— Qu’est ce qu’il y a de bizarre avec ce boîtier ? Pourquoi t’essaies de le cacher ?— Non ! Arrête Louise, c’est dangereux.— Pourquoi ? C’est quoi ce bouton ?
Elle appuya sur le bouton "on/off" et la lumière rouge se mit à clignoter. — Louise, merde, je t’ai dit de pas y toucher, qu’est ce que tu as fait ??? — Ben quoi. Y’a rien qui se passe. dit t-elle naïvement.— Ben, normalement si... Tu vas voir... Ca va ? Tu te sens bien ? T’as pas trop chaud ?— Ben non. Pourquoi ?
Rien. Pas de chaleurs, pas d’envie frénétique de sexe. Louise restait tranquille, imperturbable. Elle ne retira pas son t-shirt, ni son pantalon trop serré, ni son soutien gorge, ni sa culotte. Elle ne me demanda pas non plus de la baiser, comme ma sœur et ma mère. Ca ne marchait pas.— Bon c’est quoi ces cachotteries ? renchérit-elle. Ca sert à quoi ce boîtier ?— Heu... A rien... Tu vois...
Ainsi mon petit appareil miraculeux ne fonctionnait pas à tous les coups ? Rassuré, quoi qu’un peu déçu, j’ai juste continué à réviser mes cours avec Louise.
Pour en avoir le cœur net, le lendemain je l’essayai sur toutes les représentantes du sexe féminin que je croisais. Des copines, la boulangère, et même une de mes profs. Et rien... Pas le début d’une vague excitation.
J’allai alors voir un copain passionné d’électronique.— Alex, c’est quoi ce boîtier ? demandai-je d’un air faussement innocent.
Mon copain ouvrit le boîtier, le regarda un instant, inspectant les différents éléments électroniques.— Ben c’est un boîtier d’ouverture de porte de garage, pourquoi ?— Tu es sûr ? Tu ne penses pas qu’il puisse provoquer des choses bizarres chez les gens ?— Comment ça ?— Hé bien, je ne devrais pas te parler de ça, mais récemment je l’ai allumé en présence de deux copines. (je ne parlais évidemment pas de ma mère ni de ma sœur), et ça les a rendue folles de sexe, complètement nymphomanes. Elles se sont jetées sur moi pour que je les baise.— Ha ha ! T’es sûr qu’elles avaient pas juste envie de baiser avec toi, tes copines ? Je te dis que ce boitier c’est juste un système pour porte de garage !— Mais je te jure, c’est juste après l’avoir mis en marche !— Elle t’ont mené en bateau, les coquines, je te dis ! Elles t’ont fait croire qu’un tel gadget pouvait exister, comme dans la Bd de Manara... C’est idiot !— Tu connais cette BD ?— Évidemment, comme tout le monde ! Moi aussi ça m’a bien fait fantasmer quand j’étais plus jeune. Mais c’est de la science fiction ! J’espère que tu t’es bien régalé avec tes copines, en tout cas. Tu les as baisées toutes les deux ? — Oui... Mais pas en même temps. —  Mon salop !...
Les révélations de mon ami me laissèrent incroyablement perplexes. Que s’était il passé avec ma mère et ma sœur alors, si ce n’était pas ce boîtier qui les avait rendues momentanément folles de sexe ? Avaient elles abusé de ma naïveté ? Ma propre mère et ma soeur ? Pour du sexe avec moi ??? Et pourquoi pas ? Après tout je ne connaissais pas grand chose de la vie sexuelle de ma sœur. Je ne savais même pas si elle avait un copain. Et quant à ma mère, elle s’était révélée être une vraie tigresse, folle de sexe. Et avec moi, son propre fils en plus ! C’était encore plus incompréhensible.
xxxxxxxxxxxxxxxx
Le soir je décidai d’un stratagème pour en avoir le coeur net. Je démontai le boîtier, j’enlevai les composants électroniques et je laissai juste la lumière rouge. J’avais ainsi supprimé tous les composants qui auraient pu être responsable d’un phénomène quelconque. Si par hasard, comme l’avait supposé Alex, ma mère et ma soeur m’avaient mené en bateau, la preuve serait faite.
Lorsque nous fûmes à table pour de dîner, avec ma mère et ma sœur, je posai le boîtier sur la table, sous leurs yeux, et je l’allumai. En voyant que j’avais sorti l’engin, elles se regardèrent surprises, d’abord sans savoir que faire. Elles hésitaient, c’était flagrant. Puis ma mère commença à se trémousser sur sa chaise.— Ha mon Dieu, j’ai si chaud d’un coup !
Elle retira sa chemisette, se retrouvant en soutien gorge. Ma sœur sembla un peu surprise, au début, de voir ma mère agir de la sorte. Mais elle décida de partir dans le jeu elle aussi.— Houla ! Moi aussi, je me sens toute bizarre, enchaîna ma soeur, qui à son tour retira son t-shirt.
En l’espace de quelques secondes, elles se retrouvèrent toutes les deux en petite culotte. Ma mère attrapa ma sœur par la main et l’attira sur le canapé. Là elles commencèrent à se caresser, s’embrasser sur la bouche, à grands renforts de langues gourmandes. Ma mère enleva alors sa culotte, et ma soeur fit de même, exhibant son minou pour mieux se laisser caresser.
J’étais évidemment médusé par ce spectacle. Mais finalement pas si surpris, mon ami m’avait mis la puce à l’oreille. Non, il n’y avait rien dans le boîtier ! Et oui ma mère et ma sœur étaient bel et bien en train de jouer la comédie ! Je prenais conscience de l’évidence : je m’étais bien fait manipulé. Je m’étais bien fait baisé, au sens propre du terme
En attendant, le spectacle était aussi étonnant qu’excitant. Quelles salopes quand même ! Elles s’étaient mises à se caresser la chatte, mutuellement, sans la moindre retenue, tout en s’embrassant à pleine bouche. J’imaginai qu’elles faisaient ça depuis longtemps, toutes les deux, car il n’y avait aucune gêne entre elles. Elles avaient visiblement l’habitude de se donner du plaisir entre mère et fille, les coquines ! 
Au bout d’un moment à s’embrasser, se caresser, s’introduire des doigts dans leurs chattes, ma mère et Clara me firent face.— A ton tour ! Aide nous, implora ma mère ! Tu ne peux pas nous laisser dans cet état !— Oui, continua ma sœur, pitié, on a tellement envie.
Elles m’attirèrent alors vers elles, retirèrent mon pantalon, mon caleçon, et ma mère commença à me sucer. Puis ma sœur s’y mit aussi. C’était dingue. Et très agréable. Sachant qu’elles le faisaient exprès, je n’avais plus aucune raison de ne pas en profiter. 
Elles alternaient ainsi sur ma bite, la suçant comme deux affamées. Leur traitement était évidemment délicieux. Je bandais comme un fou, tout au plaisir d’avoir les deux femmes de ma vie qui me faisaient une si bonne fellation. Et tant pis si c’était complètement immoral, tant pis si elles étaient en train de se moquer de moi, je n’allais pas cracher dans la soupe ! J’en rajoutai même.— Ha c’est bon, ça ! Vous sucez vachement bien toutes les deux !
Ma mère écarta alors les jambes, livrant à nouveau la beauté de sa chatte à mes regards fascinés.— Tu attends quoi ? S’impatienta ma mère. On est tellement chaudes, avec ta sœur. Viens vite nous baiser !
Obéissant à l’injonction maternelle, je vins m’installer devant elle en premier, et je rentrai ma bite dans son large vagin. Elle fut comme aspirée à l’intérieur. Ma mère était brûlante de désir. Pendant que je baisais ma mère, Clara vint par dessus elle, au dessus de son visage. Le message était clair :— Lèche ma chatte, maman !
Ma mère se mit à lécher Clara avec un art et une motivation sans faille, promenant sa langue avec habilité dans toute la vulve de sa fille : Clara gémissait de plaisir. Ce fut ensuite au tour de ma soeur de se faire prendre, à genoux, en levrette. Elle me présenta son joli petit cul tout rond, j’écartai ses fesses pour mieux profiter de la vue, puis je rentrai en elle. Je la baisai avec délice un moment, jusqu’à ce qu’a son tour ma mère s’installe devant elle, jambes écartées, pour se faire lécher.
Nous sommes restés ainsi plus d’une heure, à tester diverses positions, ravis de faire l’amour à trois, en famille, d’aussi belle façon. Je réussis pour ma part à me retenir assez longtemps pour mieux profiter de ces moments incroyables. Ma résistance ayant cependant atteint ses limites, j’exprimai ma joie :— Ha c’est bon. Je vais venir !
J’étais à ce moment là en train de baiser ma mère. Mais Clara ne l’entendait pas de cette oreille.— Moi aussi j’en veux, Adrien ! Jouis sur nos seins, à maman et moi !
Je me retirai alors de ma mère et Clara prit mon sexe dans la bouche pour m’achever... Je n’avais en effet plus qu’à jouir sur les seins de mes deux amantes, qui se battirent pour récolter les dernières gouttes de mon sperme avec leurs langues...Quelques minutes passèrent avant que tout le monde ne reprit ses esprits. Comme les fois précédentes, les deux coquines feignirent alors l’amnésie.— Que s’est il passé ? demanda Clara. Pourquoi on est là, toutes nues ?— Je ne sais pas, répondit ma mère. C’est étrange ! Adrien que s’est il passé ?— Menteuses !...— Hein, comment ?— Vous êtes deux menteuses, en plus d’être des parfaites salopes ! Je sais tout ! Vous avez tout inventé, il n’y a rien dans ce boîtier ! C’est juste un morceau de plastique avec une lumière dessus ! Vous avez monté cette histoire de toutes pièces juste pour baiser avec moi ! Juste parce que vous êtes deux vraies cochonnes !
Prises de court, réalisant que leur stratagème n’avait pas tenu bien longtemps, les deux femmes se mirent à rougir.— Adrien, excuse nous, gémit ma mère... C’est mon idée, c’était pour rigoler au début... On pensait pas aller si loin. Mais on a tellement bien aimé qu’on n’a rien pu t’avouer... — Oui désolée, renchérit Clara. Et tu es vraiment un bon coup, Adrien ! Pour ma part j’ai adoré ! Et toi aussi maman, n’est-ce pas ? — Oui... vraiment... 
Je feignis l’énervement mais bien sûr j’étais plutôt heureux de la situation...— Vous savez quoi, toutes les deux ? Hé bien moi aussi je me suis bien régalé ! On recommencera ?— Ho oui ! dirent-elle de concert...
Diffuse en direct !
Regarder son live