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La cliente enchanteresse

Chapitre 1

Lesbienne
— Mélinda, dépêche-toi d’apporter ces plats à la table six, puis reviens chercher celui de la douze.— Oui chef !
Il est vingt et une heures, et je suis en plein rush dans le restaurant où je travaille en job étudiant, depuis maintenant plus de trois mois. Bien que je sois habituée au rythme effréné de la restauration, ces moments-là sont toujours aussi épuisants et demandent un maximum de concentration. Heureusement, je n’en manque pas, et il ne m’arrive que très rarement de faire des erreurs de plats, ou de commande... Du moins maintenant, parce qu’au début, j’avais bien plus de mal.
De ce que disent mes collègues à mon propos, je suis souriante, toujours polie et agréable avec les clients même les plus dérangeants, et je n’hésite pas à prendre du temps pour discuter quelques instants avec eux, quand j’en ai le temps. Tout cela m’a rapidement attiré la sympathie de mes collègues, mais aussi des clients les plus attentionnés qui n’hésitent pas à me laisser des pourboires.
Mais ce soir-là, j’ai affaire à une cliente particulière. En temps normal, ce sont des couples, des familles ou des groupes d’amis qui viennent manger au restaurant, mais rarement des personnes seules. Or, c’est bien une personne seule qui se tient de manière élégante à sa table.
À la fameuse table douze où je dois apporter le plat que tient dans mon plateau, une jolie femme d’origine asiatique est assise. Elle a de longs cheveux noir de jais attachés en queue-de-cheval, dégageant ainsi son visage fin et ses yeux en amande, dont les pupilles sont de couleur noisette.
— Bonsoir, voici votre plat.— Merci beaucoup.
D’un simple geste de la main, la cliente me fait de la place sur sa table en faisant un léger signe pour me dire de déposer l’assiette. Aucun mouvement n’est superflu, tout est fait avec une grâce que je n’ai que très rarement vue dans ce restaurant.
— Bon appétit à vous.
En guise de réponse, la cliente m’adresse un autre sourire, cette fois plus large, et commence à manger son repas. Ayant encore pas mal de boulot avant la fin du service, je me remets rapidement au travail, et réussis pendant un temps à oublier cette envoûtante dame. Mais à chaque fois que j’ai un petit moment de tranquillité, je me retrouve à faire le tour de la salle faisant mine de voir si les clients ont besoin de quelque chose, dans l’unique but d’observer cette femme.
Je ne sais pas pourquoi, mais elle me fascine. À chaque fois que je me retrouve à regarder dans sa direction, je la vois se tenir bien droite avec ses couverts parfaitement tenus par ses doigts fins. Il émane d’elle une sorte d’aura, quelque chose qui fait que je ne peux pas, ou plutôt que je ne veux pas la lâcher du regard. Vers la fin du service, au moment de me demander l’addition, cette aura fait que je ne peux soustraire mon regard du sien.
— Votre repas s’est bien passé ?— Très bien, merci. Le plat était très bon, et le service parfait. Vous êtes très aimable et c’est très agréable.— Merci, passez une bonne soirée.
— Vous aussi, bon courage pour la fin du service.
Même sa démarche est très distinguée, elle est vraiment très différente des autres clients que j’ai l’habitude de voir. Durant toute l’heure qu’il me reste à nettoyer la salle et à faire le ménage, je n’arrive pas à m’enlever cette femme de la tête. Même au cours des jours qui suivent, il m’arrive de penser à elle, à sa posture, à ses gestes, à son regard... Et cela ne s’arrange pas avec le temps.
En effet, cette cliente vient de plus en plus souvent au cours du mois qui suit, au point de venir deux à trois fois par semaine, à chacun de mes services. Et plus elle vient, plus elle m’envoûte. Je ne sais pas si c’est volontaire, mais, à chaque fois, elle me subjuguait un peu plus d’une manière ou d’une autre : que ce soit par des vêtements ou des robes qui la mettent en valeur, du maquillage très léger faisant ressortir ses yeux, ou alors par son parfum que j’aime beaucoup.
Quand elle vient et que je m’occupe de sa table, elle me pose des questions sur moi, mes études en sociologie, mais respecte toujours mon intimité en évitant des questions trop personnelles. De mon côté, je n’ose pas lui en poser, j’ai peur de la froisser ou de la vexer d’une manière ou d’une autre.
— Encore une fois, le repas était très bon, et le service toujours aussi efficace.— Tant mieux si votre soirée vous a plu.— J’ai laissé quelque chose en plus du pourboire, rien que pour vous. J’espère que vous l’accepterez.
Elle se lève de sa chaise, puis se dirige vers la sortie en passant très près de moi, me laissant sentir son parfum du jour. Et je me fais harponner comme un poisson, ne pouvant m’empêcher de la regarder s’en aller jusqu’à ce qu’elle soit hors de vue. Je prends alors mon pourboire, et je vois juste en dessous le « quelque chose » qu’elle a laissé : un numéro de téléphone. Est-ce vraiment le sien ? Et dans quel but me l’a-t-elle laissé ? Je me pose tout un tas de questions, mais n’ai pas le temps d’y répondre maintenant, il me faut terminer mon service.
Ce n’est que le lendemain matin, samedi, que je peux me poser et réfléchir tranquillement devant ce numéro. Mais bon, il n’y a pas grand-chose à réfléchir, si je veux vraiment tirer les choses au clair, il n’y a pas dix mille solutions. Je prends alors mon courage à deux mains, et compose le numéro griffonné sur le morceau de serviette qu’elle a laissé.
— Allô ?
Et merde ! C’est bien sa voix, je la reconnaîtrais entre mille ! Mais je n’ai absolument pas prévu quoi lui dire si jamais c’était bien son numéro.
— Allô, euh, c’est Mélinda. La... La serveuse du restaurant.— Je sais, j’ai reconnu votre voix. À vrai dire, je me doutais que vous alliez appeler.— Et comment vous avez fait pour le savoir ?— J’ai un très bon instinct pour ces choses-là. Êtes-vous disponible ce soir ?
Woh, elle ne passe pas par quatre chemins, je ne pensais pas qu’elle le serait autant. Je m’attendais plutôt à ce qu’elle me suggère de discuter un peu, d’échanger par message. Bref de prendre son temps, mais non.
— Euh, oui. Oui, je suis disponible ce soir.— Parfait, vous connaissez le bar « le Delirium » ?— Oui, je vois où c’est.— On s’y retrouve vers dix-neuf heures ?— D’accord, à ce soir.— À ce soir, j’ai hâte.
Puis elle raccroche sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit d’autre. J’ai quand même un peu de mal à croire à ce qu’il se passe, et surtout, j’ai du mal à savoir si elle veut qu’on se voie juste pour discuter parce qu’elle se sent seule, ou parce qu’elle voudrait faire un peu plus que discuter.
Durant l’après-midi, entre deux de mes cours à réviser pour le lundi, je suis prise d’un doute : est-ce que je dois annuler en trouvant une excuse bidon, ou aller jusqu’au bout et voir ce que veut vraiment cette femme ? Je dois avouer que mon choix s’est d’abord fortement penché sur la première option, puis je me suis souvenu de l’effet enivrant, du respect et de la force d’attraction qu’elle a fait preuve envers moi, et mes doutes se dissipent.
Je commence donc à me préparer sur les coups de dix-sept heures trente, je prends une douche, je me coiffe puis, dubitative, je mets une bonne dizaine de minutes à choisir ma tenue. Que dois-je mettre pour une soirée comme ça ? Surtout que j’ignore complètement ses intentions, c’est un peu troublant. Je me décide donc à porter une jupe longue rouge et un haut noir à manche longue, mais épaules dénudées, de quoi me mettre en valeur sans en faire trop. Et je ne mets pas de maquillage, je préfère rester au naturel.
Je pars pour le bar une heure après, et j’arrive un peu avant l’heure convenue, au moment où le lieu commence à être bien rempli, mais aucun signe de la cliente. D’ailleurs, je viens d’y penser, mais je ne connais absolument pas son nom, et j’ai complètement oublié de lui demander ! Qu’est-ce que je vais avoir l’air conne quand elle arrivera. Et justement, elle arrive pile à l’heure prévue, et elle m’a carrément éblouie.
Elle est vêtue d’une robe mauve lui descendant jusqu’aux genoux, mais avec un décolleté assez échancré. Comme quand elle vient au restaurant, ses cheveux sont attachés en queue-de-cheval pour dégager son visage et ses beaux yeux marron. Si je devais l’analyser, je dirais que c’est une femme très sûre d’elle, et fière de son corps n’hésitant pas à s’exposer un peu avec ses tenues. En s’asseyant à la table, ses yeux ne me quittent pas.
— Bonsoir Mélinda, je suis contente que tu sois venue.
Sa voix est très posée, très douce, bien plus que quand nous nous parlions au restaurant. Encore une chose chez elle qui m’envoûte.
— Oui bien sûr, pourquoi vous en doutiez.— Je t’en prie, nous ne sommes pas à ton travail, tutoie-moi s’il te plaît.— Comme tu le souhaites. D’ailleurs, et je m’en excuse, mais...— Je m’appelle Akiko. C’est bien ça que tu voulais savoir ?— Euh... Oui. Enchantée Akiko.— De même, Mélinda.
Connaître son nom m’aide déjà à moins appréhender ce rendez-vous, malgré le fait qu’elle m’intimide toujours autant, en plus de me fasciner. Nous commençons à discuter en parlant encore de moi, de mes études, de mes projets d’avenir encore incertains. Puis, au fil de la soirée et des verres, les questions se font plus en plus personnelles, mais j’ai enfin réussi à lui en poser moi-même.
Akiko est arrivée en France, il y a à peine deux mois, mais parle très bien français, car elle a suivi des cours particuliers depuis son plus jeune âge. D’ailleurs, elle fait beaucoup plus jeune que son âge réel : alors que je pensais qu’elle était à peine plus âgée que moi, entre vingt-cinq et vingt-huit ans, elle en a trente-deux, soit dix ans de plus que moi. Au début, apprendre notre différence d’âge m’a fait bizarre, mais je m’y suis très vite faite. Sa voix, sa présence, sa grâce, tout me fascine chez elle et je bois chacune de ses paroles.
— Du coup, je commence mon nouveau travail lundi prochain, continue-t-elle entre deux gorgées de cocktail. Je ne devais commencer que plus tard, mais mon employeur a eu un souci de personnel, me forçant à commencer plus tôt.— Et tu te sens prête ? Tu ne stresses pas trop ?— Non, pourquoi je devrais être stressée ? Cela ne sert à rien de se faire un sang d’encre, à part faire des erreurs, ça n’aide pas beaucoup. Je ne pense pas me tromper en disant que tu as dû faire quelques boulettes en commençant ton travail au restaurant, non ?— Non, en effet, les deux premiers jours, je me suis trompée trois fois de table et ai cassé quelques éléments de vaisselles.— C’est ça que je trouve fascinant avec toi, Mélinda : tu es très compétente et travailleuse, capable de t’adapter à diverses situations, mais tu stresses dès qu’un élément imprévu survient.— Je ne suis pas aussi stressée, dis-je en essayant de cacher ma gêne face à sa déduction très précise.— Pendant combien de temps as-tu hésité avant de te décider à venir ce soir ?
Je ne sais pas quoi répondre et, pour la première fois de la soirée, je détourne mon regard en buvant une bonne grosse gorgée de ma bière. Comment elle fait ça ? Comment elle fait pour me discerner ? Et je suis persuadée qu’elle a fait ça dès notre première rencontre.
— Presque toute l’après-midi, dis-je en balbutiant dans mon verre.— Et pourquoi as-tu hésité ? Dis-moi.— Parce que je... Je ne savais pas, et je ne sais toujours pas quelles sont tes intentions ce soir. Au début, j’étais persuadée que tu voulais juste parler, mais quand je t’ai vue débarquer dans cette robe...
Je n’arrive pas à terminer ma phrase, je n’arrive pas à lui dire qu’elle s’est, selon moi, volontairement habillée de manière élégante et sexy pour me faire de l’effet, à moi spécifiquement.
— Qu’est-ce que ça te ferait de savoir que tu es la première personne que j’invite à sortir depuis que je suis arrivée ici ? Que tu es la première personne à qui j’ai envie de plaire depuis un moment ?
Elle accompagne ses mots par une caresse de sa main sur mon bras, très délicate, du bout des doigts, mais cela fait son petit effet. Sous mon haut, je sens un frisson parcourir ma peau et, de nouveau, je ne peux plus la quitter des yeux. Son regard a changé, il ne fait plus ressortir sa grâce et son élégance naturelle, mais montre maintenant quelles sont ses véritables intentions : celle d’une femme qui a des désirs à satisfaire.
— Allons continuer cette conversation chez moi.— D’accord.
Je ne peux rien répondre d’autres que ce simple mot, Akiko règle notre note et m’embarque tendrement en me prenant par la main. Tout le long du trajet, elle ne me lâche pas une seule seconde et continue à parler d’elle, mais, pour être honnête, je ne l’écoute qu’à moitié. J’ai déjà fait quelques petites choses avec une amie, mais juste des caresses et des préliminaires, et puis, nous étions plus jeunes, nous ne savions pas trop quoi faire, et nous n’avons pas osé aller plus loin.
Or, je ne pense pas qu’Akiko s’arrêtera à quelques caresses. Oh que non, elle vaudra aller jusqu’au bout, et cela me stresse.
Nous arrivons chez elle au bout d’une dizaine de minutes, et dès que nous entrons dans l’ascenseur, nous menant au huitième étage où elle habite, elle se montre déjà plus directe. Elle me plaque en douceur contre la paroi métallique et froide de la petite cabine, et vient sentir mon odeur tout en embrassant mon cou. Je n’oppose aucune résistance et ferme les yeux au moment où le bout de ses doigts commence à passer sur mes épaules nues, et que son parfum vient enivrer mes sens.
— Ta peau est aussi douce que je l’avais imaginée, dit-elle dans un soupir.— Tu as déjà imaginé comment est ma peau ?— Il n’y a pas que ça que j’ai imaginé.
L’ascenseur arrive à son étage, et dès que nous passons sa porte, Akiko passe aux choses sérieuses. Elle défait la fermeture de sa robe qui tombe aussitôt au sol, me dévoilant sa poitrine généreuse avec de beaux tétons marron, et une petite culotte rouge en dentelle cachant à peine une intimité avec un duvet très bien entretenu.
— Va dans ma chambre, juste sur ta droite. Mets-toi à l’aise, j’arrive tout de suite.
Elle se tourne aussitôt vers une autre pièce pour je ne sais quelle raison, et j’entre dans sa chambre... D’ailleurs, c’est vraiment une chambre ? On dirait plus un décor pour une scène de cul : de petits néons au plafond éclairent la pièce d’un rouge tamisé, le grand lit est recouvert d’un drap magenta, et les étagères sont remplies de livres diverses, mais dont beaucoup traitent du plaisir sexuel. Je n’ose pas fouiller, mais je suis sûre que la petite table de nuit à côté du lit est remplie d’accessoires divers pour le sexe.
Je l’entends revenir dans ma direction, et je me déshabille à mon tour, mais garde mes sous-vêtements : un soutien-gorge turquoise avec une culotte assortie.
— Tu es vraiment très jolie, dit Akiko en fermant la porte de la chambre et en déposant une mallette au sol. J’adore ta poitrine, tu fais quel bonnet ?— Du 85 B, tu n’es pas déçue ?— Bien au contraire.
Elle vient se coller à moi et embrasse délicatement mes lèvres, je réponds immédiatement à ce baiser par un autre, puis un autre, et encore un autre tandis que mes bras s’enroulent autour de sa taille. Elle aussi elle a la peau douce, vraiment douce... Je ne peux plus résister !
Je m’enhardis et la plaque à mon tour contre le mur de sa chambre, laissant mes mains aller toucher et masser ses seins. Mes lèvres s’ouvrent un peu plus pour laisser passer ma langue, et Akiko imite mon geste et lâchant un profond soupir de désir. Elle ne me fascine plus, elle m’obsède, et je veux explorer chaque partie de cette envoûtante femme !
Mais c’est elle, comme je m’y attendais, qui prend les devants en m’allongeant sur le lit et en venant mordillant mes seins. Elle n’a aucune hésitation ni retenue, ses dents exercent la pression adéquate sur mes tétons : assez pour que je sente la morsure me faire de l’effet, mais pas trop pour ne pas me faire mal, vraiment le parfait équilibre. Je ne peux que caresser son dos et ses cheveux pendant que sa bouche s’accapare mes seins, pour ensuite descendre lentement de ma poitrine... À mon entrejambe.
Elle se débarrasse de ma culotte en la faisant délicatement glisser le long de mes jambes, puis fait coulisser lentement le bout de sa langue sur mon sexe épilé. Tendrement, en prenant son temps, elle explore chaque recoin de mon intimité en me faisant très rapidement mouiller. Je gémis assez vite, elle sait s’y prendre pour donner du plaisir aux femmes, elle a clairement plus d’expérience et d’assurance que moi.
Mais alors que je commence à bien prendre mon pied, elle s’arrête d’un coup, se lève et prend un ruban qu’elle vient me coller devant les yeux. Je n’ai pas le temps de dire un seul mot, Akiko vient immédiatement me coller son sexe sur ma bouche. Je ne vois rien, mais je sens qu’elle est déjà chaude et humide, en plus de la fameuse toison fine et entretenue.
— À ton tour maintenant, et si tu t’en sors bien, je te ferais un joli cadeau.
Un peu frustrée, mais obnubilée par Akiko, j’obéis en lâchant un petit gémissement pour lui faire part de mon approbation. Je commence alors à lécher son intimité en insistant bien sur son clito, et en appuyant bien sur ses fesses avec mes mains pour sentir son odeur. Oui, sa cyprine et son sexe dégagent un parfum très agréable, c’est dingue que même sa chatte m’envoûte à ce point, cette femme a tout pour elle.
Je lèche son clito, mordille ses lèvres, ma langue entre en elle avec une très grande facilité, et cela lui fait de l’effet. N’ayant jamais fait ça à une autre fille, je suis très heureuse de voir que je donne du plaisir à une autre, et cela me donne encore plus envie de me donner à fond. Je soulève légèrement ses fesses pour que deux des doigts entrent en elle, en imitant la forme d’un crochet. L’effet est immédiat et Akiko gémit plus fort.
— Hum, tu as l’habitude d’utiliser ta langue à ce que je vois. Tu es une bonne petite.
Encore une fois, elle ne me laisse pas dire un mot et commence à se déhancher sur mon visage. Sa mouille coule du bout de mon nez jusqu’à mon menton, elle se sert de moi comme d’un jouet pour se faire du bien, mais qu’est-ce que cela me plaît ! Plus elle gémit, plus ses mouvements sont secs et sa mouille abondante, mes doigts semblent frotter pile à l’endroit où il faut, si j’en juge par les contractions de sa chatte.
— Hum, tu es douée, Mélinda, oh oui, tu es douée ! Mais maintenant tu vas faire un truc pour moi, ajoute-t-elle en m’enlevant le bandeau.— Quoi donc ?— Tu vas venir me montrer comment tu te frottes à une autre.
Elle s’allonge et écarte ses jambes pour m’inviter à venir coller ma chatte à la sienne. Je vais donc devoir la prendre en ciseaux, d’accord, mais je ne l’ai vraiment jamais fait. Un peu intimidée, je me mets en position et commence à bouger ma chatte contre la sienne, en faisant bien attention à bien frotter mon clito contre le sien.
Akiko est patiente et très attentionnée, je sens bien que je m’y prends de manière maladroite, car, même si le plaisir commence à monter en moi, je vois bien à son visage que le sien ne monte pas beaucoup. C’est vraiment frustrant ! En temps normal, je fais passer en priorité le plaisir de mon partenaire, mais là, je suis en train d’en prendre alors qu’Akiko semble être sur le point de s’ennuyer. Et quand je dis que le plaisir monte, il monte vite, au point que j’ai du mal à continuer à maintenir le rythme.
— Je sens que je vais devoir refaire ton éducation ma belle.— Je suis vraiment désolée, Akiko, je... Je n’ai jamais fait ça.— Ne t’en fais pas, je vais te montrer.
De nouveau avec tendresse et passion, elle inverse nos positions et elle se retrouve presque sur moi, à frotter sa chatte à la mienne, sauf que l’effet est totalement différent ! Là où moi, j’ai voulu tout de suite la faire jouir, Akiko prend son temps. Lentement, son sexe parcourt le mien, son clito se fait plaisir en se frottant à la moindre parcelle de peau de mon entrejambe, et ses mains viennent pincer mes tétons pour me procurer davantage de plaisir. Et plus son rythme accélère, plus le plaisir monte pour nous deux !
— Akiko ! C’est trop bon ! Tu peux y aller plus fort !— J’aime quand on m’en demande plus. Tu vas être servie ma belle.
Sa chatte s’appuie plus fort sur la mienne, et son rythme est beaucoup plus rapide. Le plaisir augmente, encore et encore, je ne gémis plus, je crie dans la chambre de cette déesse du sexe saphique ! Je sens un véritable flot de mouille couler le long de ma chatte jusqu’à mon trou du cul, et ce n’est pas que de moi, Akiko aussi prend son pied. Elle gémit, ses mains ont une emprise de plus en plus ferme sur mes seins... Je ne pensais pas que je prendrais un tel pied avec une femme !
— C’est tellement... fort Akiko ! Tu vas me faire jouir ! Fais-moi jouir !— Avec grand plaisir.
Et là, c’est le grand final ! Akiko termine de me faire jouir avec quelques coups de hanches bien fort et bien placés, et je crie de plus belle en inondant ses draps de mes fluides. Je n’arrive plus à bouger, et Akiko vient m’embrasser délicatement en frottant la pointe de ses seins sur les miens.
— C’était... Woh !— Ton premier orgasme avec une femme ?— Oui. Et je n’aurais pas pu rêver mieux.— Nous pourrons tenter de nouvelles choses demain, si tu veux.— J’aimerais bien, mais je dois absolument terminer de réviser mes cours pour lundi. Un nouveau prof arrive dans un de nos cours majeurs, je dois être prête.— Pas de soucis, j’aime bien les filles sérieuses. On pourra toujours remettre ça une prochaine fois, j’ai toujours un cadeau à te donner.— Avec plaisir, j’ai hâte de voir ce que contient le reste de la mallette.
Cette fois, c’est à mon tour de venir l’embrasser et me coller contre elle. Nous finissons notre nuit en nous endormant dans les bras l’une de l’autre, et le lendemain matin, je repars en direction de ma chambre étudiante. Durant toute cette journée de révision, je ne peux m’empêcher de penser à la belle Akiko, et ça devient vraiment très dur de me concentrer, et en allant me coucher, après une petite séance de plaisir solitaire, je souhaite la revoir le plus vite possible.
Mais parfois, je devrais faire attention aux vœux que je formule.
En effet, lundi matin arrive et je me retrouve dans l’amphi à étaler mes affaires devant moi, mais alors que j’ai la tête dans mon sac, j’entends une voix familière s’élever dans la salle.
— Bonjour, à toutes et tous, je suis votre nouvelle professeure de sociologie.
Attends, cette voix... Non ! Non ! Non ! Ce n’est pas possible ! Je me relève d’un bond, comme un lapin sortant de son terrier, et qui vois-je cinq rangées plus loin en train de se présenter à mes camarades ? Akiko !
— J’espère que nous allons passer une très bonne année ensemble.
Et merde ! Je me suis tapé ma nouvelle prof sans le savoir !
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