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La clinique

Chapitre 1

Lesbienne
Je m’appelle Margaux et j’ai 42 ans. Pour me décrire, je suis de taille moyenne dans un corps proportionné, cheveux blonds tombant sur mes épaules et des yeux bleus, le cliché, mais je née ainsi. Je suis mariée à Mathieu mon ainé de 8 ans, et ce qu’il a tout de suite aimé en moi, comme beaucoup d’hommes qui se retournent sur mon passage, c’est ma poitrine, je porte des bonnets D pour contenir mes seins lourds et laiteux, je dis lourd et non pas retombant, j’y tiens !
Au mois de juin dernier j’ai rencontré Sonia, une patiente qui venait d’être admise à la clinique où je suis infirmière. Peu de temps après qu’elle se soit installée dans sa chambre, je lui rendais visite pour finaliser les derniers papiers administratifs. Sonia était une belle jeune femme de trente trois ans au teint légèrement mat, pas vraiment en chair, mais surtout pas maigrichonne. Elle s’était assise sur le lit tandis que je prenais place sur le siège visiteur muni de ma paperasse. Je vérifiais toutes les données qu’elle avait fournies auparavant, puis je lui posais la question rituelle : - Quelle est la personne à prévenir au cas où il y aurait une complication ? Ne vous inquiétez pas, il n’y aura aucun soucis, mais dès qu’il y a anesthésie même locale, je dois tout noter. Elle me regarda les yeux un peu hagards en haussant les épaules. - Je ne sais pas ? Personne. - Vous avez bien des proches, des parents ? - Je n’ai que ma mère qui est en Alsace, mais je n’ai pas envie de l’inquiéter. Ca ne fait que quinze jours que je suis dans la région, j’ai personne de vraiment proche. Débita-t-elle d’une mine tristounette. - Vous n’avez pas un petit ami, même si ce n’est pas… Je réfléchissais au terme que j’allais employer, puis je lâchais : officiel ? - Si j’avais un petit ami, ce serait plutôt, UNE. Appuya-t-elle en me défiant presque de son regard avant de le baisser. - Je vous ai dit qu’il n’y avait aucun risque pour votre intervention, mais j’ai besoin d’un nom et d’un numéro de téléphone, alors donnez-moi celui de votre maman s’il vous plait. Elle releva son visage et son regard se ficha sur mon badge. - Alors vous avez qu’à inscrire Margot, et votre numéro de téléphone car je ne le connais pas. Ne voulant me donner les coordonnées de sa mère ni de qui que ce soit, j’inscrivais à contre cœur les miennes. Puis je me levais pour repartir. - Maintenant vous allez vous mettre en tenue de nuit, le docteur anesthésiste va passer vous voir, puis je reviendrais vous préparer pour demain matin. Désolée, mais pour ce soir ce sera la diète, alors si vous avez amené des friandises, gardez les pour demain après l’opération, d’accord ? A tout à l’heure. Je repartais à d’autres occupations dans le service, un peu attristée de penser à cette femme sans attache dans une région où elle venait de débarquer, et qui plutôt que de me dire qu’elle était vraiment seule, m’avouait sans détour son attirance pour les femmes. Je retournais dans sa chambre en fin d’après midi pour préparer le champ opératoire, c’est-à-dire en première étape la dépilation prescrite pour une intervention à l’abdomen, puis désinfecter la zone, quoique elle le serait une seconde fois avant de rentrer au bloc. Je trouvais Sonia allongée sur son lit en culotte et tee-shirt à regarder la télévision. A mon entrée elle coupa le son. - Vous avez vu l’anesthésiste ? - Oui, oui, il n’y a aucun problème. - Très bien. Je suis venue pour vous préparer. Vous devez savoir que pour ce genre d’intervention vous devez être épilée ? - Mon médecin me l’a dit. - Vous a-t-il dit que même pour une petite incision comme vous allez avoir, vous devez être épilée de dessous de la poitrine à mi cuisses ? Elle hocha la tête. Bien, vous allez vous déshabiller et vous étendre sur le lit. Je préparais mon trousseau de parfaite esthéticienne fournit par la clinique pendant que Sonia ôtait ses vêtements et s’allongeait sans pudeur sur son lit. Mon regard fut attiré par la beauté de son corps, des ses seins lourds qui flanchaient sur son buste et de son pubis totalement glabre. Elle eut un sourire en voyant mon visage confondu à la découverte de son corps. - On dirait que vous allez me faire gagner du temps, lui dis-je un peu bêtement. Je me penchais sur elle et lorgnais plus que je n’examinais sa peau.
- Regardez bien, je prends soin de moi pour m’épiler, mais peut être que j’ai oublié un endroit ? Je passais le revers de ma main sur son ventre de velours à la recherche de la moindre aspérité, puis je contournais ses hanches pour effleurer ses cuisses avant de me délecter de son pubis tout aussi glabre et soyeux. Sans que je lui dise, elle écarta ses cuisses et offrit à mes prunelles un sexe en forme d’abricot qui dissimulait ses lèvres. Des frissons parcoururent mon bas ventre. Je n’osais aller plus loin, Mr Hyde et docteur Jekill était en moi, l’un me poussait au plaisir et l’autre me retenait d’avoir une quelconque relation dans mon milieu professionnel. Bien que retenu par le docteur Jekill, Mr Hyde qui sommeillait en moi proposa à Sonia : - Ca me semble parfait, cependant je vais vous faire une palpation de votre abdomen, dite-moi si vous ressentez la moindre douleur. Elle acquiesça. En réalité, en tant qu’infirmière je n’y connaissais pas grande chose, et surtout je n’étais pas habilité à le faire. Je me mettais dos à la porte, pouvant prévenir de mes gestes si quelqu’un venait à entrer à l’improviste, tout en mettant à mes côtés mon trousseau d’esthéticienne comme prétexte. Je posais mes mains sur son ventre et commençais plus à la caresser qu’à la palper. Sonia avait fermé ses paupières et se détendit. Mes doigts parcouraient son giron en descendant subrepticement vers son mont de vénus tout en appuyant mon poignet sur son sexe. Sa respiration se fit plus profonde et je découvrais ses tétons s’enfler et s’ériger. J’allais trop loin ! Je me ressaisissais : - C’est bien, il n’y a rien d’anormal, dis-je d’un ton se voulant professionnel, puis je rabattais le drap sur son torse. - Je vous remercie, répondit Sonia d’un ton obligeant, je ne voudrais pas abuser, mais je pourrais vous demander autre chose ? - Oui, que voulez-vous ? Répliquais-je tout en rangeant mon trousseau intact. - Voilà, j’ai heu… Je me suis rendue compte il y a peu de temps que j’avais un ganglion sur un sein, enfin je crois, j’en suis pas sure. - Oui, et alors ? - Je voulais savoir si vous ne pouviez pas vérifier ? En finissant sa phrase elle ne put retenir un léger sourire plutôt coquin. - Je suis infirmière, je ne suis pas médecin, ce n’est pas dans mes attributs. Si vous avez des doutes, voyez avec votre gynécologue lors de votre prochaine visite et en cas de doute il vous fera passer une mammographie, ça sera plus sérieux. - Oui, je sais, mais… Si dans un premier temps vous ne sentez rien, ça me rassurera, dans le cas contraire je prendrais un rendez-vous dès ma sortie. Objecta Sonia d’une moue enfantine. Le docteur et Mr Hyde revinrent me tarauder, devais-je succomber à ses suppliques, mon bas ventre parcourut de moiteur lascive disait oui, tandis que l’infirmière que j’étais, était beaucoup plus réticente. Finalement, Mr Hyde lui lâcha : - Je veux bien pour vous rassurer, mais même si je ne décèle rien, promettez-moi de consulter un spécialiste. Je n’ai pas de réelles connaissances dans ce domaine. - Vous êtes gentille, répondit Sonia fébrile et déjà impatiente. Je ne pensais pas qu’elle ait le moindre problème. La palpation de son abdomen et la réaction de ses sens ne me trompait sur ses intentions. Quelle attitude adopter devant sa demande, celle d’une professionnelle qui presserait et manipulerait sa poitrine à la recherche de la moindre grosseur, ou celle de Margot qui désirait tout autant qu’elle, des attouchements plus lascifs ? Je rabattais le drap sur son ventre. Ses seins étaient une provocation et une incitation créés par un Dieu pervers. Dès que j’eus plaqué mes deux mains sur sa poitrine, elle ferma les paupières. Je refermais mes doigts sur les chairs onctueuses pour en prendre leur teneur et leur tempérament. Je les malaxais avec douceur. Je concluais mes circonvolutions impudiques, en agaçant délicatement du bout des doigts ses tétons arrogants. Ses gémissements étouffés m’obsédèrent. Dans cette chambre je ne pouvais laisser mon instinct aller plus loin et jouir à ma façon de son corps, j’étais frustrée, cela n’empêchait que je désirais son plaisir. Je m’appliquais à lui prodiguer les caresses dont moi-même j’étais friandes. Tout en lui procurant du plaisir, je collais mon ventre contre le montant du lit, plaquant mon sexe sur l’ossature du lit tout en ondoyant mon bassin lascivement. Ma vulve était en feu, assoiffée de luxure, mais docteur Jekill me disait de me cantonner à ce que je lui procurais sans aller au-delà. Je vis au niveau de son ventre le drap se plisser et se soulever. Sonia se masturbait. Des sanglots étranglés filtraient de ses lèvres mi-closes. Mes mains dépravées se firent plus immorales en voulant tirer toute sa quintessence de louve dévergondée. Elle enfouit son visage dans l’oreiller pour étouffer sa jouissance alors que son corps fut prit de convulsions incontrôlables. Je poursuivais mes caresses d’une tournure plus apaisante jusqu’à ce qu’elle reprenne peu à peu ses esprits. Je rabattais à regret le drap sur sa poitrine. Elle ouvrit ses paupières et me dit comme sortie d’un rêve, « merci ». Revenir à la réalité ne fut pas simple. Mon ventre me brulait tout en n’étant pas apaisé. - Reposez vous Sonia, (jamais je n’aurais nommé un patient par son prénom) , euh… Excusez-moi , mademoiselle XXX, n’oubliez pas, ce soir vous êtes à la diète, et si vous avez apportez des friandises, gardez les pour demain après l’opération. Me répétais-je bêtement. - Merci Margot, vous… Vous repasserez dans la soirée ? - Non, j’ai déjà fini ma journée, mais on se reverra plus tard. Son regard me suivit en quittant la chambre. Lorsque la porte claqua dans mon dos, ce fut comme un trou noir, j’étais épuisée. Tellement épuisée et chamboulée, que j’avais oublié des documents dans sa chambre. J’y retournais. Sonia n’avait pas bougé, seul son drap la recouvrait jusqu’au épaule. Son sourire béat éclaira son visage à mon retour. - Je crois avoir fait des sottises, me dit-elle. - Comment ça ? - Là, en me faisant un signe de tête vers le lit, je crois que mes draps sont mouillés. Je fronçais les sourcils, pensant qu’elle utilisait une supercherie pour revenir à elle, ou bien peut être s’était-elle oubliée ? Je m’approchais du lit et je soulevais le drap tout en glissant mon autre main en dessous pour inspecter la literie sur son flanc. - Vous dites des sottises, il est sec. - Non, là. Sa main s’empara de la mienne et la guida entre ses cuisses qu’elle écarta. Je sentis l’humidité de ses chairs puis celle du drap. - Excusez-moi, je n’ai pu me retenir, mais vous y êtes pour un peu. Elle me dirigea ma main dans son entre cuisses souillée de sa jouissance et la fit aller et venir délicatement sur ses lèvres jusqu’à ce qu’elle sente qu’elle n’avait plus à me conduire dans sa démarche de coucherie. Mes doigts s’insinuèrent entre ses lèvres juteuses, mon pouce dans un mouvement circulaire s’affairait à rendre vie à son clitoris. Sonia se mit à geindre. Sa main s’échappa du drap pour déboutonner le bas de ma blouse et s’immiscer sous ma culotte. Elle calqua flagornerie au rythme de la mienne. Autant elle se laissait aller à son plaisir, que mon oreille attentive était aux aguets de l’arrivée d’un intrus. Mes doigts chuintaient dans sa vulve visqueuse, c’était obscène de la voir s’offrir, et très enivrant de lui donner du plaisir. Mes doigts souillés glissèrent sur ses lèvres et s’aventurèrent sur son périnée puis sur son anus que je me mis à lustrer. - Tu peux mettre ton doigt, j’aime ça tu sais. Mon pouce fureta dans son vagin, tandis qu’une phalange se fourra dans son intestin. Son ventre se contorsionna au tempo de sa respiration. J’écartais mes jambes, ses doigts me fouillèrent comme les miens. - Je vois que tu aimes. Lui dis-je en me baissant sur elle. Nos lèvres se mêlèrent comme nos langues. Sous cette frénésie de vouloir la faire mourir de jouissance, je joignais mes quatre doigts pour la sodomiser en faisant crochet de mon pouce dans son vagin. Ses contorsions abdominales se transformèrent en convulsions incontrôlables, elle referma ses cuisses sur ma main entièrement maculée de sa jouissance. Elle retira la sienne de mon intimité pour se lécher ses doigts et étouffer ses grognements de petite garce comblée. Puis Sonia se détendit, mes doigts continuèrent de parcourir la fente de son sexe jusqu’à ce qu’elle revienne à la réalité, quand on frappa à la porte. Elle s’ouvrit sans attendre une réponse. Une femme de service poussant un chariot se saisit d’un plateau et posa un bol de bouillon. J’eus juste le temps de recouvrir Sonia de son drap et de rester figée à ses côtés, n’osant faire le moindre pas, ma culotte devait être à mi cuisse. La femme repartit. J’embrassais Sonia de manière éhontée. Pendant qu’elle allait prendre sa douche, je lui changeais sa literie. Pendant mon trajet de retour je lui envoyais un texto, « A très bientôt ».
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