Il y a des jours où rien ne semble réussir. Dès le réveil je pense être dans ce cas. Je me lève pourtant avec un pressentiment. Tant pis je fais comme tous les matins: je vais me doucher. Nue sous le jet d’eau tiède, je me lave à ma façon: je savonne le gant de toilette, le passe sur mes seins que je caresse: les pointes se durcissent toujours. Je ne vais pas très loin: j’ai envie de jouir, je dirige le jet sur ma chatte, je l’ouvre avec deux doigts de ma main gauche, mon clitoris avide attend le jet. Je le met assez loin et doucement je l’approche jusqu’à presque le toucher. Je me redresse, ferme les yeux et me laisse aller vers ce suprême plaisir de la masturbation. Je sors de la douche, me sèche avec la serviette de bain, en insistant toujours sur ma poitrine. Je vais m’habiller avec au fond du ventre l’envie de recommencer. Je sors mes affaire pour m’habiller. Heureusement que la glace me reflète: je vois les aréoles qui entourent mes tétons: je me plais, je me donne envie de m’aimer. Je suis prête à me donner encore du plaisir, pas le même que sous la douche, je sors mon bon gode qui me donne tant de plaisir. J’écarte les cuisses, me touche la chatte: elle est bien mouillée, je prend le gode pour me le mettre je ne sais pas encore où. Ce matin j’opte pour la plus hard des formules; je m’encule et me caresse le clito en même temps. Pour moi c’est le nirvana depuis que j’ai flanqué dehors mon mec.Maintenant je me sens prête à affronter le monde entier. Je pars au travail, dans le bistrot où je sers. Je lave un peu les verres, sers deux ou trois cafés. Arrive une fille de mon âge que je connais comme cliente: Clio. Elle me semble plus agréable aujourd’hui. Je la trouve plus belle, resplendissante. Enfin elle a des mots gentils avec moi. Moi qui hier ne comptais pas pour elle.Elle doit préparer un mauvais coup, pas possible. Il y a peu de monde, alors elle m’invite à sa table. Je pense qu’elle a envie de parler, sans doute a-t-elle un nouveau type, quoique je ne l’ai jamais vue avec un homme. — Est-ce que tu peux prendre ton après midi?— Ca dépend pourquoi.— Pour nous promener au bord de l’eau et bavarder.— Je suis libre. S’il n’y a que ça pour te faire plaisir je t’accompagne. — Nous ne serons pas seules, mon copain viendra aussi. — Je vais vous déranger.— Mais non, à trois c’est bien, mieux qu’à deux;Je me demande ce qu’elle veut dire par là, Est-ce qu’elle veut m’embarquer dans un trio. J’aime assez. Ou est-ce qu’elle me met à l’épreuve ? A 32 ans, je n’ai pas peur de certaines bricoles. Si nous sommes trois dans un lit, il faut que les deux autre vous plaisent. Elle ne me déplaît pas. J’attend pour son type.Nous voilà au bord du fleuve. L’ami de Clio est mignon, semble bien fait coté sexe, vu la boule qu’il a entre les jambes il doit faire l‘affaire. Ses lèvres me plaisent aussi. Je suis partante pour une suite crapuleuse dans une chambre.C’est elle qui prend la décision en m’interrogeant sur son ami:— René te plais?— Bien sur.— Tu verras il baise très bien.Lui ne dit rien, il me sourit simplement. Il me charme. Nous retournons sur nos pas pour aller chez elle.Elle ne fait pas de chichi: elle se met toute nue, vite fait devant nous, sans pudeur: son corps vaut le coup d’œil.René me regarde en souriant toujours, il me pousse vers Clio qui me prend dans ses bras pour m’embrasser sur la bouche. Elle embrasse parfaitement bien: j’en ai déjà eu des filles comme elle. René, ne chôme pas: il se met derrière moi, cherche mes seins qu’il caresse longuement. Je colle mes fesses sur son bas ventre: je sens sa bite bander. C’est très excitant de sentir une bite se durcir contre soi. Indirectement c’est Clio qui en profite: ma langue va plus profond dans sa bouche. Par derrière René arrive à me dévêtir: je suis aussi nue que Clio. J’arrive à sortir sa queue que je caresse à ma façon: à pleine main, sans bouger, je fais de petits mouvements saccadés en la pinçant à peine. Bien sur il réagit en bandant encore plus.Si je suis mouillée, Clio l’est au moins autant. Je ne peux pas la branler encore, la bite de René se loge entre mes fesses, elle cherche mon petit trou. J’adore ses recherches surtout quand il trouve. Je le sens se baisser derrière moi, il m’encule lentement malgré que je ne sois pas mouillé à cet endroit. Il est le premier à m’enculer à sec. J’ai mal à l’anus. Il passe malgré les douleurs. Il sait parfaitement ce qu’il me fait: il me l’a mise à fond; je sens ses couilles contre mes fesses et là, je commence à avoir un plaisir extraordinaire.Je gémis de plus en plus. Clio me confirme qu’il l’encule aussi comme il me fait et qu’elle y a pris goût. Ce plaisir me fait oublier Clio et son con. René arrive à me faire aller sur le divan, tout en continuant à me sodomiser. Il s’assied: je suis sur ses cuisses ouvertes. Clio en profite pour éloigner mes doigts qui caressent ma chatte pour sortir sa langue et me lécher partout dans la chatte. Je la regarde me lécher, j’en suis encore plus excitée. Et cette bite qui va et vient dans mon ventre, n’arrête pas de me limer le cul. Je sens sa pine avoir des spasmes ce qui m’entraîne également dans l’orgasme. Clio est un cas particulier, elle me fait lever, et quand je suis debout me fait écarter les jambes pour recueillir le sperme qui coule. Elle le partage avec René. Je ne pensais pas qu’il bande à nouveau aussi vite. Clio le prend dans la bouche, me le donne également pour le partager. Elle le fait coucher sur le divan, se met sur lui, prend encore la bite en bouche en lui donnant sa chatte. J’aurais bien aimer la sucer: je le ferai tout à l’heure sans doute, j‘espère bien. Je vois surtout la bouche de Clio et la bite dans sa bouche. Elle le pompe réellement. Je sais que quand je fais comme elle mon amant du moment n’y résiste pas longtemps. Je vois ses joues se creuser quand elle aspire et se regonfler quand elle se relâche. La bite aussi a des à coup: elle ne va pas tarder à le faire juter. Je peux voir les seins frotter contre le ventre de son amant. Je les regarde et me branle: je me fait jouir au moment où René largue sa semence. Clio garde tout en réserve dans la bouche. Elle me demande de venir partager avec elle dans un baiser toujours profond. J’aime le goût de sperme et celui de René en particulier: s’il n’était pas l’amant de Clio, je le garderais bien pour moi: il a bon goût et il encule d’une façon douloureuse au début et tellement jouissive ensuite.J’ai envie de Clio maintenant. Je n’ai pas besoin de lui faire un dessin. Le baiser avec le sperme est le commencement d’une série de 69. Nous roulons sur nous même, toujours réunies par nos langues et nos doigts dans le cul. Pour finir elle me fait coucher sur le dos, les jambes ouvertes . Clio passe une jambe sous ma cuisse pour coller sa chatte contre la mienne: c’est la première fois qu’une fille me fait une telle chose. Je suis septique sur le résultat. Que j’avais tord: c’est un plaisir autre qui s’annonce: pas un orgasme inhabituel qui arrive: je jouis comme une folle: ça dure longtemps. Quand elle se dégage, je ne sais plus comment me mettre. Il nous arrive souvent de baiser à trois et souvent, plus souvent toutes les deux, soit chez elle soit chez moi. Voilà en gros ce qui m’attendait comme mauvais présage.
