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CLO en vacances

Chapitre 1

dernier trimestre au Lycée

Trash
Je venais de terminer mes examens de la dernière année de secondaire à Bruxelles. L’équivalent du BAC en France, je crois. Pour les vacances, mes parents avaient loué un appartement à Ostende.Je n’avais pas de petit ami. Beaucoup de copines en avaient et en parlaient. Seule, je me serais sans doute emmerdée vraiment ferme. Heureusement, cette année, les parents de Josie, ma cousine, avaient loué un autre appartement dans le même immeuble.Josie était une chouette fille, très délurée et qui m’avait déjà raconté quelques trucs avec des garçons. Elle fréquentait le même Lycée que moi et, sur le tram, elle m’avait déjà coincée avec des garçons. On était, Josie et moi, sur la plate-forme arrière du tram qui remontait de la gare du Midi vers la commune d’Uccle, où mes parents et moi nous habitions. On était entourées de garçons bruyants qui, profitant du tram archibondé, se collaient à nous. Josie les attirait. J’ai appris pourquoi, plus tard.
— Ma cousine dit qu’elle n’est pas chatouilleuse, les gars. Un baiser sur la bouche à celui ou ceux qui prouveront le contraire.— Josie !
Josie me maintenait contre la vitre. Et, tout de suite, j’ai senti des mains qui passaient sous mon manteau, sous ma jupe. Je ne pouvais crier, évidemment. Le tram était plein.
— Josie, lâche-moi, tu veux.
Mais le ton n’était pas du tout convaincant. Les garçons l’avaient bien compris et devenaient plus entreprenants. Une main inconnue glissa entre mes genoux et remonta entre mes cuisses.
— Oh la petite fille sérieuse qui fuit les garçons et qui n’est pas chatouilleuse. Nous allons voir. Pour le premier qui y arrive !
Je me mis à rire. Josie déboutonna mon manteau et je sentis aussitôt des doigts explorer ma poitrine.
— Elle en a une de paire, ta copine...— Il faudrait en être sûr ! dit Josie, et elle déboutonna mon chemisier en experte.
Le fait que toute une bande de garçons s’intéresse à moi fit disparaître ma honte et ma timidité. Avant de fermer les yeux et, en riant comme une folle, je remarquai que des hommes, étrangers à notre groupe, louchaient dans notre direction.Des doigts s’étaient introduits dans mon soutien-gorge et, après avoir exploré des seins que j’avais bien fermes, me chatouillaient les tétons. Cela me procura une sensation inconnue.J’avais une poitrine bien fournie depuis déjà mes treize ou quatorze ans, mais je ne l’avais jamais exhibée. Ma mère m’avait imposé des soutiens-gorge armés de baleines rigides pour la protéger. J’enlevais ce soutien en cachette pour aller au Lycée. Mais jusqu’ici, seuls ma mère et mon médecin avaient pu regarder ma poitrine. Personne ne l’avait touchée, jamais en revanche. Maintenant, ma cousine, dans un tram bruxellois, livrait mes seins aux regards lubriques des jeunes les plus dévergondés de mon quartier. Pire, ils étaient carrément en train de me peloter. En public et avec la complicité de ma propre cousine. Celle-là, elle me faisait passer en seul trajet de tram du statut de bécasse blanche à celui de petite pute dévergondée. Il suffisait que quelqu’un connaisse l’un d’entre nous sur cette plate-forme de tram et la rumeur serait lancée. Je n’ose pas penser au risque si ça venait aux oreilles de ma mère. J’étais perdue.

Les yeux mi-clos et la bouche entrouverte, tout à coup, je sentis des doigts s’introduire dans ma petite culotte et commencer à fouiner avec de plus en plus de hardiesse. Le chatouillement vint bientôt se concentrer sur ma petite fente, les doigts suivaient le sillon des grosses lèvres, exploraient ma touffe que j’avais très fournie. Puis retournaient caresser ma fente avec plus d’insistance. Cette exploration, même maladroite, finit par provoquer une humidité qui augmenta bientôt pour devenir abondante. C’était la première fois. Mais je dois avouer que je ne défendais pas vraiment. J’étais trop curieuse de connaître des garçons de cette manière.
Quelqu’un prit ma main. C’était Josie. Elle posa ma main sur la braguette d’un garçon. Je n’avais jamais fait ça, je le jure. Je sentis quelque chose de dur. La curiosité l’emporta sur le dernier rempart de ma pudeur. Je laissai Josie caresser la braguette du garçon avec ma main. Deux doigts effleuraient ma fente. Une main de fille les rejoignit.
C’était ma cousine qui se penchait et avait introduit ses doigts dans ma culotte, mais en profitait aussi, en se penchant, pour me sucer un téton libéré. Je mouillais abondamment. Elle fourrageait maintenant avec deux doigts dans ma fente. Cela faisait un bruit de chuintement très indiscret. C’était honteux.
Elle sortit ses doigts de mon sexe gluant et les introduisit dans ma bouche.
— Goûte ça, ma chérie. C’est du naturel. Suce bien. C’est à toi.— Je peux aussi goûter ? a fait un garçon.
Josie a mis ses doigts gluants de mon foutre de jeune fille dans la bouche du garçon.
— Humm... qu’il a fait... C’est drôlement fort de goût !
Déjà, Josie avait réintroduit sa main dans ma petite culotte et l’abaissait légèrement.J’étais un peu paniquée.
— Personne ne collectionne les petites culottes de fille ? C’est le moment, les gars ! — Josie ! Non !
Trop tard, deux mains descendaient ma petite culotte. Josie et le reste des garçons m’empêchaient de me défendre. Heureusement pour ma réputation. Parce que de toute façon, je me serai laissée faire...Un garçon brandit la petite culotte et la porta à son nez.
— Dites donc, ça sent le foutre de fille à plein nez... C’est une vraie jouisseuse cette petite bonne élève... Elle cachait bien son jeu ! C’est une vraie petite salope à baiser, cette garce !— Oh, ma chérie, quel succès auprès des garçons ! me dit Josie. Elle ajouta :— Les gars, c’est notre arrêt ! Clo et moi, nous descendons.
Jamais le trajet ne m’avait paru aussi court.
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