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Le club J

Chapitre 1

Prélude : Bienvenue aux Sept Portes

Inceste
Jeanne et son fils David viennent de s’installer dans le quartier des Sept Portes, loin de chez eux et bien malgré eux. Ils vont tous les deux découvrir que les mères au foyer de ce quartier ont des mœurs bien particulières et ont même fondé un club secret de mères perverses.
Quand Jeanne s’installa avec sa famille dans le très chic lotissement des Sept Portes, son enthousiasme était au plus bas.Le mari de Jeanne venait de recevoir ce qu’il appelait la promotion de sa vie dans ce pays si éloigné. Son employeur avait fourni le logement dans ce lotissement de grand luxe réservé aux expatriés. Jeanne n’y voyait qu’un clapier à riches prétentieux peuplé de rombières oisives et d’adolescents pourris gâtés. Elle était journaliste et ce changement de vie avait détruit sa carrière. Son mari et elle s’étaient longuement disputés avant qu’elle cède devant le salaire mirobolant et surtout la détermination absolue de son mari à accepter l’offre.
Alors que le van qui les conduisait s’arrêtait devant leur nouvelle maison, elle se dit que les Sept Portes ressemblait très exactement à l’image qu’elle s’en était faite. Des maisons blanches au style sans âme jusqu’aux jardins tondus au millimètre près. Elle soupira d’exaspération alors que son mari sautillait dans tous les sens, frappant dans ses mains et s’extasiant de tout ce qu’il voyait.
Leur fils David ne partageait pas non plus l’enthousiasme de son père. Il avait déjà 19 ans mais il avait accompagné ses parents pour profiter de la très bonne université privée payée par l’entreprise. Cependant, il voyait des opportunités dans cette vie loin du foyer, contrairement à sa mère. Ses relations avec les personnes de son âge n’étaient pas aisées et il pensait pouvoir enfin nouer quelques relations dans ce petit milieu fermé. L’université privée très select et peu surchargée contrairement à celles qu’il avait fréquentées lui donnait envie de se plonger dans ses études. Il regrettait pourtant les nuits très chaudes de son ancienne fac ; les expatriées n’avaient pas la réputation d’être les femmes les plus excitantes, ni les plus portées sur la bagatelle ...
Jeanne aperçut pour la première fois sa maison pour les prochaines années et la dernière étincelle d’envie mourut immédiatement. C’était une bâtisse luxueuse, prétentieuse et surtout dénuée de charme, sans piscine, heureusement. Coincée entre une imitation de manoir encore plus vulgaire et une maison jumelle qui, celle-là, avait une piscine. Son mari s’extasiait d’être juste à côté du directeur général et de son responsable de service. Jeanne ne put s’empêcher de grimacer en s’imaginant servir les boissons et faire de la lèche à tous les cadres habitant la rue. Elle se força à sourire à son mari.
David aussi avait aux lèvres un sourire contrefait. Lui aurait aimé avoir une piscine à la maison et lui non plus n’aimait pas l’idée des mondanités forcées. Quand son père entra d’un pas pressé dans la maison, Jeanne et lui effacèrent leur sourire et échangèrent un regard éloquent ; chacun espérait que les années à venir ne seraient pas que frustration et ennui, mais ni la mère ni le fils ne le croyaient vraiment. Ils entrèrent ensemble dans la maison d’un pas résigné.
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